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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 17:47

 

 

 

Hello !

 

Mes chers inspirateurs célestes m'ont expliqué que le sentiment de culpabilité est comme une pieuvre.

 

Pendant que l'on est aux prises avec une de ses facettes (tentacule), et qu'on cherche à s'en libérer, un autre tentacule, sournoisement, vient nous agripper, prêt à prendre la relève.

 

Alors que lors de son « départ », mon frère m'avait libérée d'un sentiment de culpabilité injustifié, et que j'en ai éprouvé un tel sentiment de libération que j'avais vraiment l'impression qu'enfin j'allais pouvoir aimer la vie, sournoisement, dans l'ombre, un autre a pris la relève, décelé puis désamorcé péniblement, mais aussitôt remplacé par un autre !

 

Dur de changer de peau !

 

Pendant mon cheminement de guérison, le livre de Marie Fugain :


« Moi on ne m'a jamais demandé comment j'allais » a été mis sur ma route fort opportunément,

 

J'avais voulu l'acheter lors de sa parution, l'ouvrant au « hasard » quand je l'ai vu dans un rayon.


Mais je suis tombée sur le passage dans lequel elle raconte son adieu à sa sœur, lors de la mise en bière...

 

**** Tiens, petit clin d'oeil, car tandis que j'écrivais les lignes qui précèdent, à la télé, un jeune homme (prénommé Daniel) a prononcé le prénom de la jeune fille qu'il aime :

 

« Marie » !!!!

 

(Emission : « Le jour où tout a basculé », avec l'histoire de 2 jeunes gens dont les parents s'opposent à leur amour pour une histoire de religion).

 

Revenons au livre. Je ne me suis pas senti à ce moment là le courage de l'acheter et de le lire encore.

 

Quelque temps plus tard, j'avais voulu le commander sur internet, à 2 reprises, mais cela n'avait pas fonctionné.

 

Et puis un jour, nouvel essai, et il est arrivé comme une lettre à la poste, au bon moment !

 

 

Beaucoup de points communs, comme son identification aux épreuves de sa mère qui a failli mettre en péril son couple, et la couper de son père.

Heureusement pour elle, elle a réussi à s'en affranchir.

 

Autre petit clin d'oeil, le nom de son petit chien :


« Tara » qui est aussi celui d'origine de mon chat « Mémère » (laissée à l'abandon par des voisins qui se séparaient), qui est de race Persane. Nous l'avons baptisée ainsi car nous la croyions âgée, vu son état. Plus tard, quand nous avons su son nom exact, nous avons essayé de l'appeler ainsi, mais elle ne répondait qu'à « Mémère ». Visiblement, elle ne voulait plus être celle d'avant.

 

Marie a « perdu » sa sœur en Mai 2002 (mon frère est parti en Mai 2012, et mes premiers messages ont commencé en 2002).

 

J'ai relevé quelques passages. Page 39, Marie déplore :

 

« Cette manie d'établir une hiérarchie dans la douleur »,

à rapprocher de messages délivrés à plusieurs reprises par mes chers inspirateurs célestes expliquant que :

 

« Il n'y a pas de hiérarchie dans la douleur ».

 

Page 61 :

 

« Chaque individu que l'on croise a déjà vécu un traumatisme au moins une fois dans son existence mais certains le cachent mieux que d'autres. Soit parce qu'ils sont forts, soit parce que leur douleur n'a pas été respectée et que, pour garder intact le goût de la vie, il leur a fallu faire abstraction de leur propre histoire afin de ne pas gêner les autres. »

 

Et d'autres passages qui font trop écho à mon vécu familial pour que je les écrive ici. Je ne me sentirai jamais totalement le droit de parler de toutes mes souffrances (à part à quelques personnes proches triées sur le volet), trop peur de culpabiliser ou faire du mal.

J'envie Marie de s'aimer suffisamment pour se le permettre.

 

Bonne soirée !

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 09:06

 

 

Hello !


 

Pour te répondre, Rose, c'est effectivement le problème. On a du mal à savoir s'il faut dire ou pas, d'où nécessité de prendre le temps de la réflexion.

 

Il n'y a pas un jour, depuis le « départ » de mon frère, où je ne me reproche pas de ne pas avoir parlé, expliqué mon cheminement, la façon dont j'avais vécu les choses, les raisons, mes ressentis aussi.

 

Qui sait, cela lui aurait peut-être permis de réaliser certaines choses plus tôt et peut-être d'y travailler dessus, notamment sur les addictions dues aux souffrances intérieures...

 

Cela m'aurait aussi sûrement permis d'éviter cette horrible mésaventure en juin 2010, où cette personne, ces personnes, qui n'avaient rien compris à rien, m'ont imposé le silence à grands cris (hurlements serait plus approprié).

 

Mais c'était significatif de la façon dont nous avons vécu, avec mon frère, donnant la priorité aux ressentis de notre mère, étouffant les nôtres, et surtout nos besoins intérieurs, comportements qui nous ont amenés à l'auto-destruction.

 

A cette époque là, mon frère avait déjà des problèmes de santé sérieux, et j'étais déjà inquiète, mais je m'étais laissé imposer le silence, comme toujours.

 

Le destin de mon frère prouve parfaitement la nécessité impérative de ne pas sous estimer l'impact que peuvent avoir des drames sur l'entourage, TOUT l'entourage, enfants compris, car ce sont les premières victimes silencieuses, même des années après les faits, d'où l'importance et l'urgence de se soigner, de se faire aider, PAR DES PROFESSIONNELS COMPETENTS, tant pour soi, pour s'éviter des épreuves, que pour ses proches qui s'ils souffrent, courent plus de risques de développer des maladies graves, voire fatales et pour les générations futures qui risquent de porter le poids de tout ce qui est étouffé, nié, par ricochet.

 

 

 

Toutes les souffrances sont dignes de respect, de compassion, ne l'oublions pas, car nous ne sommes dans la peau de personne, et il faut bien prendre garde à ne pas minimiser, et encore moins mépriser celles que nous n'avons pas vécues, même si elles sont trop souvent silencieuses.


 

Pourtant, l'aide avait été mise sur ma route, j'aurais pu m'éviter tout cela, mais je n'ai pas su la voir.

A cette époque là, en 2010, j'avais hésité à me rendre chez un professionnel de psychologie diplômé et reconnu, pourtant, dont on m'avait dit à plusieurs reprises beaucoup de bien, et qui, « coïncidence», officie à 5 km du domicile de ma famille, (50 km de chez moi, à l'époque). Je suppose que lui m'aurait aidée à extirper ce sur quoi j'avais mis le déni, avec sa compétence, sa réelle compassion.

 

Au lieu de cela, malgré tous les signes et intuitions négatifs, je m'étais finalement décidée brusquement à parcourir 250 km (500 aller/retour), espérant que des conférences m'aideraient à trouver ma solution ! Cela semblait tellement plus simple que de prendre du temps pour chercher.

Je l'ai payé très cher (à tous points de vue).

 

Il faut bien réaliser que les personnes attirées par ces conférences sont la plupart du temps pétries de souffrances. S'il n'y a pas un encadrement de professionnel en psychologie sérieux, compétent, capable de remettre la situation sur les rails dans le respect de tous (et non pas uniquement de celle qui fait rentrer des sous dans les caisses, face à celle qui ne peut pas payer une adhésion), on assiste à de graves dérives dont les conséquences peuvent être dramatiques.

 

Si j'ai eu du mal à me remettre de cette horrible expérience, c'est parce qu'elle a trouvé en moi un écho déstabilisateur dans un vécu non « soigné », car non pris en compte, mais peut-être aussi ce fait tentait-il d'attirer mon attention sur le danger de se taire et pis encore de se laisser museler.

Mon expérience pouvait aider, aurait dû aider...

 

Le vécu dramatique de notre mère nous a toujours amenés à donner la priorités à ses ressentis et à nier les nôtres. L'important était de lui éviter des peines supplémentaires.

On ne pouvait pas se plaindre, on n'en avait pas le droit, quoi qu'il nous arrive, étant donné tout ce qu'elle avait passé, elle.

 

Nous avons vécu inconsciemment dans le sacrifice, pour tenter d'apporter un apaisement, une compensation, une illusoire et impossible réparation au malheur.

 

Oui, mais notre « Maître intérieur » respectif, il savait, lui, ce que nous ressentions, il savait que personne n'est venu sur terre pour se sacrifier, il ne trouvait pas normal, lui, que nous nous niions ainsi, et il n'a trouvé que la maladie pour se faire entendre.

 

Moi j'ai eu la « chance » (enfin, bon, vu sous un certain angle...) que cela se produise quand j'étais bien plus jeune, que j'avais mes enfants, et surtout de ne pas avoir coupé tout à fait le lien avec mes chers Anges, qui m'ont probablement guidée pour trouver les réponses à mes

 

« Pourquoi ??? » désespérés.

 

Souvent je disais, au plus profond du précipice et de l'anorexie, que j'aurais préféré avoir un cancer, ainsi j'aurais su de quoi je crevais.

 

La compréhension venue, j'ai cherché à me protéger et protéger mes enfants de la reproduction des schémas familiaux toxiques, mais je ne me le suis pas pardonné. Un enfant n'a pas le droit de juger ses parents, n'est-ce pas ?

 

Mais voilà, ce qui n'a pas été empêché devait être, c'est ainsi, mais je suis bien décidée à ne plus jamais me taire quand je ressentirai viscéralement de dire quelque chose, et pour y arriver, je travaille, grâce à mes chers inspirateurs célestes, à évacuer tout ce vécu douloureux, d'où aussi mes silences, ces derniers mois.

 

Je ne voudrais pour rien au monde revivre cette horrible expérience.

 

Il ne s'agit pas de chercher à convaincre, ce n'est pas le but, chacun est libre, mais de dire, simplement mais fermement, et aussi d'expliquer le plus possible, à chaque occasion, même si ça ne fait pas plaisir, même si ça casse l'ambiance, car de toute façon, quand les choses qu'on redoutait arrivent, hélas, l'ambiance, elle est en miettes, et les larmes empêchent de voir les morceaux pour les ramasser.

 

Mais si je me le tiens pour dit, j'essaie aussi de travailler sur le sentiment de culpabilité qui n'a pas lieu d'être (et non de le chasser, car tout ce sur quoi on met le mouchoir dessus nous explose à la figure à un moment ou un autre).

 

D'autant plus qu'un jour où nous circulions en voiture, avec ma belle-soeur, évoquant « l'absent », et chacune s'employant à déculpabiliser l'autre, il s'est trouvé que ma belle-soeur a fondu en larmes.

Catastrophée, je lui ai dit qu'il fallait qu'on arrête d'en parler, et de tenter de refaire l'histoire à l'envers.

 

« Allez, on va écouter la musique », lui ai-je dit en montant le son de l'autoradio...

 

Et c'était...

Francis (prénom de mon demi-frère) Cabrel, qui chantait :

« Je l'aime à mourir » !!!!!!

 

Chanson avec laquelle, vous vous en souvenez, j'avais eu des signes réconfortants quant à la « fin » de mon frère, et notamment sur le fait qu'il avait fait ce choix de départ là (au moment de choisir cette incarnation là), par Amour, pour me délivrer du poids du sentiment de culpabilité par rapport à lui et à sa relation avec notre père (que mon vécu m'avait inculqué), et dont, même si elle n'avait absolument pas lieu d'être, je n'avais jamais réellement pu me libérer, mais aussi pour permettre à sa chère épouse de trouver en elle et en elle seule son « Sauveur ».

 

Je voudrais aussi préciser, j'ai réalisé récemment le lien avec cet incident destructeur de juin 2010, et plus particulièrement à l'attention de certain(e)s voyant(e)s (une infime minorité, Dieu merci, car hautement dangereux), persuadés d'avoir la vérité (si ça pouvait les amener à plus d'humilité, de respect et de réflexion, ce serait bien), qu'une des racines de notre histoire familiale difficile, et des souffrances de mon frère, donc des miennes par ricochet, a été les affirmations d'une « voyante » à qui mes parents n'avaient rien demandé d'ailleurs (étrange « coïncidence », non?), mais qui avait eu la prétention de faire des révélations parfaitement erronées sur eux (sans les connaître) à un ami de mon père, lequel s'est empressé de les relayer.

 

Le destin était en marche, mû par cette « bonne » femme et « l'ami » en question, qui eux, auraient mieux fait de la fermer et de ne pas chercher à jouer les Don Quichotte.

 

Je n'en dirai pas plus, car c'est trop personnel et je n'ai pas encore travaillé sur la colère.

 

Chacun a sa place ici bas, on ne peut aller vers la Lumière en éteignant la sienne propre, ni en permettant à quiconque de l'éteindre en nous, non plus surtout qu'en éteignant celle des autres, mais il est primordial que chacun reste à sa place, dans son rôle lié à ses compétences, (et en matière de psychologie cela demande des années d'étude, le pouvoir de l'esprit est bien trop compliqué à appréhender), afin de ne pas, justement, éteindre la Lumière de son prochain par ignorance, voire pire encore.


Je reviendrai sur le sujet car j'ai lu le livre de Marie Fugain:

 

"Moi on ne m'a jamais demandé comment j'allais"

 

Voilà, bonne journée !

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 17:21

P1020616

Photo personnelle

 

 

Hello !

 

Vous n'allez pas le croire, mais ça y est, on a trouvé la maison de nos rêves à acheter ! Elle nous plaît à tous les 2, ce qui est une forme d'exploit.


 

On l'avait déjà repérée en décembre, mais nous hésitions à cause des travaux. Les qualités nous ont finalement convaincus, car outre le cadre magnifique, elle devrait permettre à mon compagnon de mieux se préserver des ondes électromagnétiques.

 

Voilà, reste plus qu'à se reposer un peu avant le déménagement.

On a de la neige depuis hier matin, donc repos forcé !


 

Sujet important que le « hasard » m'a désigné.

Je suis tombée tout à l'heure sur l'émission :

 

« Toute une histoire » sur France2, présentée par Sophie Davant, consacrée aujourd'hui au...

 

harcèlement à l'école.

 

Une mère y a raconté la descente aux enfers de sa petite fille, qui a finalement mis fin à ses jours, il y a un an, victime de harcèlement de la part de ses « camarades » de collège. Elle avait 12 ans.

 

Cette Maman et son mari ont pourtant prévenu le collège mais les choses n'ont pas été prises suffisamment au sérieux, et hélas, la conclusion a été tragique, car l'enfant s'est murée dans le silence, honteuse de ce qu'elle vivait (et c'est une constante, face à une agression, que l'agresseur parade, pavoise, alors que la victime s'enferme dans la honte).

 

J'avais le cœur serré en écoutant ce témoignage et les conseils du Docteur Stéphane Clerget, présent sur le plateau, car cela m'évoquait les modes d'action des sectes et gourous, tant par les humiliations et vexations publiques, que par la façon de dire et penser des « spectateurs » plus ou moins complaisants sinon couards, et des agresseurs, que ce serait la victime la coupable, qu'elle l'aurait cherché, notamment, et c'est un comble,,,

 

En étant différente !

 

Le docteur Clerget, s'est insurgé contre cette abomination, exhortant tous ceux qui voient, savent et à plus forte raison lorsqu'ils ont un rôle d'encadrement, à intervenir, parler, dénoncer, expliquant notamment  le pourquoi de ces silences complices:

 

« Le groupe se solidarise grâce à une victime expiatoire ».

 

Cela peut sembler effectivement plus commode, de faire l'autruche, de faire comme si on n'avait rien vu, de laisser les choses suivre leur cours sous prétexte qu'il n'arrive que ce qui doit arriver, que ce n'est pas grave, etc., mais c'est oublier un peu vite que tout revient, y compris quand on se trompe, de bonne foi, car aider quelqu'un qui fait du tort, y compris en se taisant, donc en n'étant « que » complice, c'est aussi faire du tort, même si c'est indirect.

 

Comment s'étonner alors de chuter soi-même, si on envoie ou laisse aller quelqu'un au casse-pipes ?

 

J'en ai fait plusieurs fois l'expérience cuisante.

 

J'ai raconté dans mon livre la toute première fois. J'avais organisé un soir une conférence pour une medium, à la tête d'une association (connue quelque temps auparavant), pour parler des Anges (parce que j'avais peur de parler moi-même de mon expérience, et que la dame en question me semblait plus crédible que moi !).

 

Or, dès cette conférence, je me suis rendu compte qu'il y avait un problème de comportement de l'intervenante et de certains membres de cette association, mais n'ai pas jugé nécessaire ni urgent de le signaler, pensant attendre et voir la suite.

 

Dès le lendemain matin (soit quelques heures à peine après), un de mes chats, Biscotte (que j'avais recueillie dans la période même où j'avais fait la connaissance de la medium) a attrapé le coryza (on avait déménagé peu avant et j'avais laissé passer la date des vaccins).

Cela n'a pas été grave pour elle, mais elle a contaminé mes 2 autres chats (Croquette et Cracotte), qui elles, ont failli en mourir.

 

 

Je me doutais bien que cela avait un sens, mais ne comprenais pas lequel, même si le fait que cela ait débuté à la suite immédiate de cette conférence m'ait interpellée.

 

Dans la foulée, Biscotte m'a transmis la maladie des griffes du chat. Facile de savoir que cela venait d'elle car cette maladie est transmise uniquement par les jeunes chats, et qu'elle a débuté de mon menton, et plus précisément d'un bouton que j'avais pressé.

 

Je me rappelais très bien la façon dont cela s'était produit : Biscotte avait frotté son œil (qui coulait) contre mon visage, et surtout contre le bouton, J'avais frotté, mais pas écouté mon intuition qui me disait de désinfecter...

 

Et j'ai été malade pendant 4 mois, avec des kystes énormes dans le cou, exactement sous le bouton du menton, qui suppuraient.

 

Tout a cessé quand j'ai assaini (désinfecté donc) mon entourage, mais surtout averti les personnes en contact avec toutes ces personnes que je m'en désolidarisais, en expliquant aussi et surtout pourquoi.

 

Et chaque fois que j'ai fait l'autruche face à des gens au comportement sujet à caution, ignorant les signes et mes intuitions, j'ai eu des ennuis qui allaient crescendo jusqu'à ce que je cesse les relations avec ces personnes et aussi, encore, que je prévienne les personnes susceptibles d'être touchées et/ou d'intervenir.

 

Voilà, ce n'est donc pas un bon calcul, loin s'en faut, de se taire face à des abus, à plus forte raison par intérêt, car le retour se fait sentir immédiatement, c'est donc facile d'arriver à faire le lien et d'agir pour faire cesser cela.


 

Bonne soirée !

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11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 17:27

 

bonne-soiree.gif

 

Hello !


Je vous souhaite une excellente année 2013…

A l’écoute de vous-même et de vos ressentis…


Bon, ces chers Anges ne résistent pas à rajouter :


« Souhaite-toi le à toi-même aussi, ce n’est pas du luxe ! »


Nous avons eu quelques « démêlés » sur le sujet, ces derniers temps !


Notre déménagement s’est fait sur plusieurs jours, autour de la période des « fêtes », et nous avons emménagé définitivement il y a 8 jours. Comme il s’agit du 4ème déménagement en 3 ans et demi, inutile de dire que les occupations ne manquaient pas, comme je vous le disais dans le dernier billet (du 21 décembre), et du même coup, la fatigue.


D’ailleurs, après avoir écrit le billet en question (qui « coïncidence » était jour de Saint Pierre !), je suis partie faire des courses en voiture. Juste en arrivant sur le parking de la grande surface, une chanson de Joe a commencé, à la radio nostalgique. C'était…


« Le dernier slow »


J’ai bien ressenti la signification, car « slow » se traduit par « lent » :


« Ralentir le rythme, dernier rappel »


Bon, mais il m’a semblé faire preuve d’une bonne volonté évidente, car je suis restée dans la voiture, à écouter jusqu’à la fin de la chanson. Et j’ai assuré ces chers Anges, que je me reposerais…


« Après le déménagement ! »


Je ressentais bien que ce n’était pas ce que ces chers Anges attendaient, mais bon, je le répétais sur le mode du « disque rayé », histoire d’essayer d’en convaincre ces chers Anges.


Les «fêtes » de Noël se sont très bien passées, la famille était réunie chez moi, et nous avons fait le premier Noël de Victoria, moment de grâce qui nous a beaucoup aidés à surmonter ce premier Noël sans mon frère.


Dès le 26, cartons, nettoyage, et premier voyage, le soir, de mon compagnon et notre fils, pour déménager les objets les plus lourds avec le fourgon de location…


Mon compagnon, au retour, s’est affalé dans le fauteuil terrassé par une gastro !


Moi, je me sentais en pleine forme et ironisais un tantinet sur le moment choisi pour une gastro…

Sauf que le lendemain matin (27), aux aurores, c’était mon tour !


Sympa le déménagement !


Et inutile de gémir dans le giron de ces chers Anges, au risque d’entendre du tac au tac :


« Tu te reposeras après le déménagement, c’est bien ce que tu disais, non ? »


Alors, on a fait comme on a pu. Heureusement notre fils est passé à travers la gastro. Lui ne lésine pas à se reposer et s’amuser, en règle générale.


« C.Q.F.D. » disent ces chers Anges.


Le lendemain (28), fini la gastro, le mal de tête et surtout la grosse fatigue qui l’a accompagnée, mais d’énormes abcès aux gencives ont pris le relais. Heureusement cela n’a duré que la journée. Le lendemain, je me sentais à nouveau en pleine forme.

Allez, ce n’était rien, je pouvais continuer à m’activer.



Nous devions terminer le déménagement et intégrer notre location le 3 janvier, avec l’aide de la fille de mon compagnon et son mari.


Le 29 décembre, mon compagnon et notre fils ont pris l’après-midi pour aller promener avec les petits-enfants de mon compagnon. Je suis restée à la maison, car trop fatiguée, pas envie de trainer, et puis trop de boulot.


Je sentais bien encore que ces chers Anges espéraient que j’allais me reposer, que j’aurais dû me reposer, mais au lieu de cela, j’ai décidé de vous écrire un petit billet, expliquant à ces chers Anges que je sentais « un peu » agacés, qu’écrire, ce n’est pas travailler.


Voilà, j’ai écrit près d’une heure, un billet intitulé :


« Prendre le temps », dans lequel je vous confiais prendre vraiment conscience qu’il fallait que je travaille sérieusement sur ma dépendance au travail, combinée à la résistance à la fatigue et à la douleur, héritages de schémas familiaux.


Je concluais l’article en assurant, non sans une pointe d’humour, me semblait-il, que je le ferais…


« Après le déménagement »


Instantanément, j’ai ressenti un « vent mauvais » laissant présager…


Que je ne perdais rien pour attendre !

Et je n’ai d’ailleurs pas attendu !


Il semble que ces chers Anges avaient perdu le leur de sens de l’humour…

Quoi que, à bien y réfléchir, ce n'était pas mal calculé...


Car j’ai sélectionné mon texte, en vue de le copier sur le blog…


Mais au lieu de faire « copier », j’ai fait…

« Coller »


Et me suis retrouvée face à…


Une recette de pain d’épices copiée juste avant, sur le blog de Jackette (Tatiana) !!!!!


Et le texte de mon billet a disparu corps et biens, et pas moyen, bien évidemment, de le retrouver !


Même si je savais ne pas l’avoir volé, je n’ai pu m’empêcher de gémir sur le travail pour rien.


Réponse de ces chers Anges :


« Mais écrire, ce n’est pas travailler, c’est bien ce que tu nous a dit, non ? »


Voilà, la réponse des bergers à la tête de mule, qui n’a pas encore totalement intégré qu’on ne leur fait pas avaler des couleuvres.


Bon, j’ai ravalé ma rogne, et suis allée méditer… quelques minutes, ce que je zappais depuis pas mal de temps.


La suite bientôt !

Bonne soirée !

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 07:40

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Photo personnelle, comme la précédente, de plants d'ipomée de mon jardin

 

Hello !


Nous avons trouvé la maison à louer. Elle se situe dans le village où, en début d’année, j’avais gagné au loto (le premier que nous faisions depuis de nombreuses années) des pompiers (chargés d’éteindre les feux et de porter secours !)… un quart de cochon !

Evidemment, comme à chaque fois, c’est dans les quinze derniers jours qu’on a trouvé.


Note pour ceux qui doutent de la numérologie : mon amie numérologue avait situé la signature le 14 décembre…

Et mon compagnon a vu l’annonce le 15 au matin très tôt. La maison de l’annonce était déjà louée, mais le propriétaire venait d’avoir un désistement sur une autre, qu’il nous a fait visiter, et que finalement nous avons retenue.

Cela dit, je le répète, si sur le côté matériel, travail, finances, la numérologie me semble plutôt bien fonctionner, pour ce qui est du côté sentimental ou affectif, je suis bien plus réservée, car les sentiments dépendent de beaucoup de « paramètres », et tout peut être dépassé… ou pas.

Nous avons signé le 16 au matin.


Bon, il y a une piscine. J’espère que ces chers Anges ne caressent pas l’espoir insensé de me voir glandouiller au bord de l’eau…

D’abord parce que j’espère qu’on aura trouvé notre achat avant, et ensuite, parce que rester plantée sans rien faire, en plus en plein cagnard, ce n’est pas mon truc…

Et je dois dire qu’en ce moment, je ne suis pas dépaysée !


Alors, vu que ces jours-ci, où se portent mes yeux, il y a du boulot, je me prends à songer qu’il pourrait être doux de visualiser un peu de glandouille. Ça marcherait peut-être…

Quelques faits à relever :

Ceux qui me suivent depuis longtemps se souviennent peut-être du signe que j’avais eu, avec une chanson peu connue de Joe, il y a plusieurs années (relaté dans le blog Femme Actuelle), notamment ces paroles :

« Comme les oiseaux d’octobre,

Nous vous laissons notre nid dans la maison,

Et nous n’emportons,

Que 4 chansons,

Plus on est léger pour voler,

Plus loin on vole… »


Un jour où je pensais à un déménagement que nous devions faire, tandis qu’au même moment, une tourterelle m’a coupé la route, au point de m’amener à freiner.

Elle portait un rameau dans son bec, en vue de faire son nid, je suppose.

Nous avons trouvé la maison que nous quittons cette fin d’année, plusieurs années plus tard, un 28 octobre, et la promesse de vente date du début octobre 2012.


Le jour où nous avons accepté l’offre de prix, ma première pensée a été pour tous « mes » oiseaux du ciel, qui pour certains m’attendent dès le lever du jour : une merlette vient même manger à mes pieds, à moins d’un mètre, quand la faim est trop pressante.

Mais je n’ai pas eu à trop m’inquiéter, car une paire d’heures plus tard, nous avons constaté que notre nouveau voisin était en train d’installer une mangeoire encore plus grande que la nôtre !

Et nos acheteurs ont promis de continuer aussi.

Ce qui ne va pas m’empêcher de laisser de la nourriture en abondance, avant de partir.


J’ai noté plusieurs « coïncidences » étranges (quoi que… significatives, si on veut bien analyser) autour de la vente, et de la location.

Concernant cette dernière, notre propriétaire porte le même prénom que le premier mari de ma mère (Résistant fusillé).

Cela ne m’avait pas semblé particulièrement significatif, jusqu’à ce que, en nous disant au revoir, après notre accord, il dise à mon compagnon…

Au revoir M. Antoine !

Mon compagnon a rectifié, et j’ai vu le regard surpris de notre propriétaire : il semblait tout étonné de lui avoir donné ce nom-là.

Et ce nom, était aussi le prénom du frère du premier mari de ma mère !

La suite bientôt

Bonne journée et bonnes « fêtes » si je ne peux vous écrire avant.

 

 

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 16:25

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Hello !

J’espère que le moral est bon et que vous allez du mieux possible.

"Il est important, m’ont expliqué ces chers Anges, de prendre le temps de faire un peu d’introspection, afin d’être conscient des forces qui nous gouvernent, lesquelles tirent les ficelles de notre vie, et de s’assurer que ces forces, elles sont bien issues de notre être véritable, et non des fantômes du passé."

Je vous ai parlé de la prise de conscience que j’ai pu faire, grâce à mon travail en psychogénéalogie, et plus précisément grâce aux « constellations familiales » (avec l’aide de professionnels compétents, je le précise à nouveau), à savoir de cette peur de la folie qui a terrorisé une bonne partie de mon enfance, à cause des capacités dites « médiumniques » que je semblais la seule à avoir, dans le milieu dans lequel je vivais.

A la suite de cette découverte, mes chers inspirateurs célestes m’ont expliqué que ce n’était pas de ma folie que j’avais peur, mais de ce qui émanait de l’histoire familiale.

Pour ce qui est de la folie, ils m’ont rassurée, en m’expliquant que lorsqu’on fait le vrai chemin de spiritualité, c’est-à-dire celui qui nous conduit à la Vérité de notre âme, donc à la liberté d’être, de vivre, de ressentir et de penser, A NE SURTOUT PAS CONFONDRE AVEC LE MOT « RELIGION », et non à celle qui enferme, emprisonne, contrôle, par le biais de préceptes « prédigérés » destinés à fondre dans la masse, à étouffer, quand on s’accorde donc le droit de se chercher, et de se trouver, indépendamment des pressions extérieures, avec sagesse et discernement, bien sûr… on se trouve protégé de ce risque-là, de cette épreuve-là, puisqu’on n’a pas perdu NOTRE raison principale d’être et de vivre, on ne l’a surtout pas déléguée à quelqu’un d’autre.

Pourquoi, puisqu’on a compris cela : ne pas perdre sa raison principale d’être et de vivre, en retrouvant son « moi véritable », aurait-on à vivre cette épreuve-là ?

Je m’en suis tenue là, soulagée, et pensant du coup être guérie de ce vécu si difficile à vivre, pour un enfant qui n’ose pas dire ce qu'il vit, car il ne fait pas confiance aux adultes, et qui a peur d’être enfermé, quand ce sera découvert.

 

Mais récemment, j’ai pu vérifier que cette empreinte n’était pas totalement effacée, quand, dans le feu d’une discussion qui agitait l’épouvantail de la folie comme risque non négligeable, en fin de vie surtout, pour chacun d’entre nous, je me suis trouvée, tétanisée, révoltée, renvoyée à ces terreurs d’enfance :

« Sauve qui peut ! »

C’est bien de mettre en lumière les ficelles (voire les cordes) qui emprisonnent, encore faut-il défaire totalement les liens, et soigner les plaies occasionnées.

 

« Et on va commencer par SE FAIRE CONFIANCE A SOI-MEME, à SES RESSENTIS PROPRES, A CE QUI NOUS EST DIT DE L’INTERIEUR, sans se laisser déstabiliser par les avis contraires, et permettre ainsi à nouveau à la peur de reprendre possession de notre vie », rajoutent ces chers Anges.


En attendant, « hasard » opportun, la revue « Pleine Vie » (« hasard » encore que ce titre de revue ?) n° 319 de janvier 2013, p. 32 à 34, rubrique :

« C’est la vie ! » Enquête (et pas en quête !), par Caroline Desages,

Traite du sujet :

« La spiritualité, le chemin du bonheur ? », donnant la parole à différents « chercheurs » de chemin de spiritualité.

P. 33, notamment, à la question à Frédéric Lenoir (philosophe, sociologue et historien des religions, que j’apprécie beaucoup, et dont j’ai parfois parlé dans ce blog, surtout par rapport à son ouvrage « Petit traité de vie intérieure »):

« Selon vous, spiritualité et religions se rejoignent-elles, ou s’agit-il de 2 démarches différentes ? »

Réponse donnée par Frédéric Lenoir :

« Ce qui est spirituel n’est pas forcément religieux. Adhérer à une religion répond souvent à un besoin de socialisation, d’identité, de lien à une communauté de croyants. La spiritualité est plus individuelle. Il s’agit moins d’adhérer à des dogmes, de rallier une pratique collective, que de se poser des questions, de faire un travail sur soi. »

 

Bonne fin de journée !

 

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 11:46

 

P1030396.JPG

Photo personnelle d'un lever de soleil derrière notre maison

 

Hello !

Je prends un peu de temps pour vous donner des nouvelles.

Notre voyage à Strasbourg s’est bien passé, malgré l’alerte orange à la neige, le jour de notre départ. Heureusement, nous avons réussi à passer à temps, et même si nous avons eu de la neige une bonne partie du chemin, ma fille, qui conduisait, nous a amenées à bon port magistralement.

 

Beaucoup de choses à vous raconter, j’espère avoir la possibilité de le faire.

 

Mais Je voudrais commencer par parler du chiffre d’aujourd’hui,

le 12, puisque nous sommes le 12/12/12.

Foin des catastrophistes « illuminés » le plus souvent par des sectes, voici des extraits de ce que nous en dit le « Dictionnaire des symboles de Chevalier et Gheerbrant » :

« (…) mais le symbolisme du 12 reste le même : un accomplissement du créé terrestre par assomption dans l’incréé divin… (CHAS, 243). »

Et en conclusion :

« Douze est en définitive toujours le nombre d’un accomplissement, d’un cycle achevé. Ainsi dans le Tarot, la lame du Pendu (XIII) marque-t-elle la fin d’un cycle involutif, suivi par celle de la mort (XIII), qu’il faut prendre dans le sens de renaissance. »

 

Voilà qui j’espère réconfortera tous ceux et celles qui ont vécu une période difficile. Le renouveau n’est pas loin.


Pour cela, comme toujours, il est important de bien prendre conscience de la façon dont on se traite SOI-MEME, laquelle nous est signalée par la façon dont les autres nous traitent.

La majorité d’entre nous cherchent consciencieusement à s’améliorer, notamment par la bienveillance envers les autres, la tolérance et la compréhension envers les autres, la générosité envers les autres, l’aide aux autres, l’écoute des autres, en passant surtout par le pardon…

AUX AUTRES !!!

Mais parmi tous ceux-là, combien pensent à appliquer ces bienfaits aussi…

A EUX-MEME ????


Combien prennent le temps de guérir leur enfant intérieur, celui qui a souffert, qui a pleuré, qui n’a pas été écouté, entendu, compris, parfois même aimé ??

Alors nous attendons trop souvent la guérison de nos plaies par notre conjoint, ou nos proches, ou nos amis…

Lesquels sont eux-mêmes pris dans ce même schéma, et de ce fait sourds, indisponibles, le plus souvent.

Mais la guérison de notre enfant intérieur, nous seuls pouvons la réaliser, tant de souffrances sont restées muettes, parfois mêmes non conscientes, alors comment les autres pourraient-ils les comprendre totalement, et plus encore avoir la capacité de les guérir ?

Paradoxal ? Grotesque ? Dans ce monde d’apparence individualiste de conseiller de penser AUSSI à soi, de s’accorder AUSSI à soi ce qu’on prend tant de soin à accorder aux autres, notamment L’AMOUR, L’AIDE, LA BIENVEILLANCE, L’ECOUTE ????

Finalement, fort peu au total sont vraiment égoïstes, égocentriques, réellement méprisants envers les souffrances des autres.

Ceux qui le sont vraiment ne tomberont pas sur des écrits similaires aux miens, ou si cela arrive, ils en ricaneront.

 

Mes chers inspirateurs célestes m’ont expliqué qu’en réalité, là où nous pourrions voir égoïsme, indifférence, il y a le plus souvent…

DENI !!

Déni de ses propres souffrances, qui font ignorer, voire parfois même mépriser celles des autres.

Car la souffrance aveugle. Ces chers Anges ont souvent dit qu’elle rend aveugle, sourd et injuste.


Elle aveugle, dans le sens qu’elle empêche de voir, de ressentir ce (j’avais écrit ceux !) que les autres ressentent, mais elle rend aussi parfois aveugle à ses souffrances et ressentis personnels, tant elle fige, paralyse, comme un papillon épinglé en plein vol sur un mur glacé.


Alors, pour se libérer de ses souffrances, on risque, si on les fuit, de les nier, donc, et par là même de nier celles de ceux qui en vivent de similaires.

Ce qui nous semble de l’indifférence, voire du mépris, n’est en fait, quand on le vit (subit serait plus approprié, d’ailleurs), que le reflet de ce que nous nous faisons à nous-même : nier nos souffrances. Ces négations, faceà nous, qui nous tétanisent, viennent d’êtres qui eux-mêmes nient la toxicité de leurs souffrances enfouies.

Parce que reconnaître la souffrance des autres dans les situations similaires à son propre vécu, cela revient à reconnaître l’importance des siennes propres…

Et ça peut faire trop mal.

Alors, on fuit, on fait l’autruche, on essaie de se persuader qu’on n’est pas concerné, que les autres n’ont rien compris, voire qu’ils sont faibles, égoïstes, et j’en passe.

Quel horrible cercle vicieux, non ?


« Alors, que diriez-vous, afin de prendre le bon départ vers la renaissance, que diriez-vous de prendre le temps de revenir vers votre enfant intérieur, (car cela ne peut venir que de lui, ce renouveau), et de lui prêter (donner même, allez, soyons fous !) l’oreille (et même les 2, quand on aime on ne compte pas, au diable les interdits et restrictions !), de vous accorder le droit de pleurer avec lui, sur lui, oui, oui, vous avez le droit ! Et d’écouter, mais surtout D’ENTENDRE ce qu’il vous dira, cet enfant intérieur, qui est la Vérité de votre âme, qui détient votre bonheur, votre équilibre entre ses mains, alors que trop souvent vous ne lui accordez aucun regard, à part méprisant.

Et après, vous pleurez sur le mépris des autres.

Il serait temps d’en finir avec ces attitudes toxiques, non ?

Comment voulez-vous arriver à être tout Amour, toute compréhension, toute tolérance, tout pardon, envers les autres si vous ne commencez pas par vouloir voir vos propres souffrances, vous les permettre, et tout aussi important, si vous ne prenez pas la peine de les soigner, les désinfecter ??

Alors, on y va, on la referme cette porte sur le déni de la souffrance, afin de pouvoir ouvrir celle du renouveau qui nous permettra d’avoir l’attitude appropriée envers les autres ? »

 

Pour terminer, mes chers « petits » Anges m’ont expliqué que l’enfant vient d’un monde, nous le savons, où il baignait littéralement dans l’Amour inconditionnel, dont la souffrance est absente, notamment celle consécutive aux jugements. Ce « bain » là, l'enfant il en a encore le souvenir, le ressenti, pendant un certain temps.

Mais sa naissance à ce monde terrestre imparfait fait qu’il se trouve confronté à des situations, des attitudes, des comportements, des perceptions, des mots, qui l’amènent à croire qu’il n’est pas digne d’Amour, de par les interprétations qu’il en fait, car il n’a pas les outils de compréhension.

Ce qui fait que chacun de nous véhicule des « casseroles », dont personne n’est totalement responsable, mais qu’il faut s’accorder la grâce de décrocher, et de cicatriser.

 

Allez, bonne journée !

 

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 17:26

 

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Cracotte n'hésite pas à "exprimer sa magnificence", et elle a bien raison !


 

Rehello !


La revue Nexus, n° 83, de novembre/décembre 2012 consacre 9 pages au récit d’une emi (NDE) fort intéressante, qui diffère un peu des autres récits et qui me semble conforter ce que m’expliquent ces chers Anges depuis 10 ans, car j’y retrouve beaucoup de leurs discours.


Le titre du document, signé Kim-Anh Lim, rubrique « A la une », est :

"Anita Moorjani, une EMI miraculeuse ".


 


Premières « coïncidences », il y a une photo de la jeune femme fêtant son anniversaire, le 16 Mars 2006 (ce jour est aussi le jour anniversaire de mon père, et 2006 est l’année de parution de mon livre, et mon amie « décédée » était appelée Mme Li (Kim-Anh Lim).


Cet article est passionnant, alors difficile de choisir des passages. Je voudrais quand même citer p. 19 :

« Puis, cet état se dilate ; Anita devient l’Univers et l’Univers est elle. Anita se révèle à elle-même, « être merveilleux de l’Univers » qui mérite, comme chaque être, chaque atome, l’amour :

« Je méritais d’être aimée du simple fait d’exister, ni plus ni moins » écrit-elle dans son ouvrage. »


Plus loin, sous le sous titre :

« La cause et le pourquoi de son cancer », toujours dans Nexus, p. 20 :

« Lors de son entretien avec NEXUS, Anita insiste sur les peurs multiples qui l’ont assaillie depuis son enfance et qui l’ont conduite à la maladie. Peur de ne pas être aimée, peur de décevoir, peur de se créer un mauvais karma, comme l’enseigne sa tradition hindoue, peur de l’enfer auquel son école anglaise catholique l’a promise, peur de ne pas être à la hauteur (…) »


Encore un peu plus loin, p. 21, toujours selon Anita, dont les propos sont recueillis par Kim-Anh Lim :

« Toutes nos parties, notre ego, notre intellect, notre corps, notre âme sont magnifiques ; il n’y a rien à abandonner, rien à pardonner, rien à atteindre. (…). Le point le plus important pour moi en revenant de mon EMI est d’avoir compris que nous sommes ici pour nous exprimer tels que nous sommes, dans notre magnificence. »


Bon, j’arrête, sinon il faudrait tout copier !

Bonne soirée !

 

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 09:22

 

Marché de Noël 2011

Photo prise l'an dernier

 

Hello !


Petites nouvelles pour vous prouver que je ne vous oublie pas. Vous vous doutez que le temps est une denrée rare en ce moment, entre les recherches (location et achat), car on n’a pas encore trouvé, je suppose que comme d’hab, ce sera dans les 15 derniers jours…

Il faut aussi emballer, faire les bricoles prévues pour les acheteurs…


Puis il y a la période de Noël à préparer, et d’abord notre voyage aux marchés de Noël de Colmar et Strasbourg, entre filles (ma fille, ma petite-fille, ma belle-sœur et moi), pour nous changer les idées, face à la période de Noël qui, la plupart d’entre vous comprennent de quoi je parle, est un peu difficile.


Mais nous ne nous laissons pas abattre, grâce aussi à ces chers Anges, qui nous ont donné un petit coup de pouce opportun pour notre voyage.

En octobre, j’ai ressenti devoir ne pas traîner pour mettre notre séjour au point, et surtout retenir l’hôtel (notamment grâce à la chanson de Joe

« Souviens-toi », mise en fond sonore « à fond », par « erreur », au travail de ma fille).


Des hôtels, j’en avais cherché, surtout celui dans lequel nous étions descendues avec ma copine, l’an dernier, (qui porte un nom très symbolique) et qui est d’un rapport qualité/prix imbattable… mais c’était déjà complet pour la période.

Ma fille a cherché le soir en rentrant du boulot, et, à tout hasard, a cliqué sur l’hôtel en question, dans une des villes où nous nous rendons, car il apparaissait à l’écran… et elle appelé… et…


Il s’est trouvé qu’un groupe venait juste de se désister pour la période !

Ce qui fait que notre séjour nous coûtera moitié prix !


Important coup de pouce bienvenu, signe que ces chers Anges sont ravis de nous voir nous changer les idées et ne pas nous laisser aller à la tristesse.

Je vous fais un autre billet rapidement.

En attendant, bonne journée !

 

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 17:35

 Guy-Corneau-La-guerison-du-coeur.jpg

Hello !


J’espère que vous allez bien et que le moral est bon.

Dans le billet précédent, je vous disais chercher les mots pour tenter d’expliquer …

Et le « hasard » (ou ces chers Anges ?) m’a tendu la perche, par le biais du livre de Guy Corneau (psychanalyste dont les ouvrages m’ont toujours apporté une aide efficace, ce d’autant plus que sa philosophie rejoint en tous points celle de mes chers Anges) :

« La guérison du cœur »- « Au bout de nos épreuves, le bonheur ? », éditions « J’ai Lu » Bien-être.

que j’avais entrepris de lire après avoir terminé

 

« Revivre ! », du même auteur, livres achetés pour tenter d’apporter une petite aide à mon frère, même indirecte.

La couverture de « La guérison du cœur » avait attiré mon attention, car elle représente un gros cœur rouge composé d’un puzzle, dont un morceau est détaché.

S’agit-il d’un cœur brisé ou d’un cœur qui se répare ?

Plus probablement d’un cœur qu’une brisure va permettre de réparer.

J’avais beaucoup avancé dans ma lecture, marquant de post-it beaucoup de pages qui me « parlaient ». Puis le « départ » de mon frère avait fait que j’avais laissé l’ouvrage de côté.

A quoi bon soigner nos plaies réciproques ? Les siennes ne le faisaient plus souffrir, là où il était.

Alors, comme d’habitude, j’ai « zappé » les miennes, et ai mis la tête dans le guidon.

Jusqu’à il y a quelques jours, où j’ai ressenti urgent de reprendre ma lecture, et voici le passage, qui fait suite à quelques annonces que l’auteur a concoctées, sur un mode un rien sardonique, pour faire toucher du doigt à quel point, en ne s’aimant pas, on peut devenir violent avec soi-même, sans s’en rendre compte, relayant ainsi parfois le vécu issu de la violence psychologique dans laquelle on a pu baigner au début de sa vie (et bien plus encore parfois), parce qu’on ne l’a pas mise totalement et clairement en évidence (même si on peut le croire) :

« Je désire également mettre l’accent sur un autre point, car il présente souvent un obstacle majeur pour la compréhension. Je l’ai constaté lors de mes ateliers sur la relation amoureuse. Tout le monde semble se perdre dans le brouillard aussitôt que nous abordons cette dimension. Le miroir que l’autre nous offre de nous-même ne concerne pas nécessairement notre attitude romantique. Bien souvent, comme c’était le cas pour Hélène, il nous renvoie à une attitude que nous avons envers nous-même et qui est la plupart du temps inconsciente. Cette attitude relève du champ de l’amour. Non plus de l’amour de l’autre, mais de l’amour de soi. » P. 246, « La guérison du cœur », Guy Corneau.

Remontons à la page 240, toujours dans « La guérison du cœur » de Guy Corneau :

« En fait, tout ce qui a été rejeté par la conscience, possède le pouvoir, par l’intermédiaire des complexes, de faire retour dans notre vie. Les complexes font que nous transformons des situations favorables à notre évolution en situations défavorables.

A cet égard, Freud affirmait que tout ce qui est inconscient se répète. Jung ajoutait que tout ce qui a été rejeté par la conscience a le pouvoir de se manifester de manière autonome dans notre vie, sous la forme d’un accident ou d’un destin extérieur dans lequel nous ne reconnaissons pas, de prime abord, la trace de nos refoulements. Notez bien dans ce passage que c’est ce qui demeure inconscient qui a le pouvoir de se répéter. Ce qui a été intégré à la conscience perd ce pouvoir. »

Explications qui rejoignent celles que mes chers inspirateurs célestes ont souvent données, et dans ce but, ils ont souvent tenté d’attirer mon attention sur les dénis.

Mes chers inspirateurs célestes ont insisté sur l’importance de s’accorder le droit de soigner les plaies issues de blessures psychologiques, car si la violence psychologique (et la culpabilisation érigée en mode d’expression en fait partie) ne se voit pas de prime abord, contrairement à la violence physique, les dégâts peuvent être d’une extrême gravité, car cette violence, à l’image d’un cancer, va ronger peu à peu de l’intérieur.

Et rappelez-vous, les signes que j’ai eus avec la chanson :

« Ca ira mon amour »

Je me suis arrêtée sur le mot « Ira », car c’est le 2ème prénom de qui vous savez. Mais il fallait tenir compte aussi, m’ont expliqué ces chers Anges, des mots « mon amour »,

Ca ira, oui mais à condition de retrouver l’amour pour soi-même, qui fait qu’on prend soin de soi, qu’on respecte ce que l’on est, ce que l’on ressent, ce que l’on pense, plutôt que de se dire :

« C’est rien, ça va passer »

Cela risque de passer dans la non conscience, mais tôt ou tard, cela ressortira sous forme d’épreuve ou de maladie, à l’image d’une mine enfouie sur laquelle on mettra le pied.

A bientôt pour la suite.

Bonne soirée.

 

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