Hello !
Quelque temps avant de déménager, j’ai commandé un livre dont le titre avait attiré mon attention, mais je ne me rappelle pas où je l’ai vu.
Ce livre c’est:
« Plus de peurs que de mal », d’André Charbonnier, éditions « Points Vivre», préface de Frédéric Lenoir.
J’ai commencé à le lire, et ai constaté beaucoup de similitudes, sur le fond, avec les explications données par mes chers inspirateurs célestes, même si elles diffèrent sur la forme, l’auteur étant Educateur Spécialisé, directeur de centre de formation, puis coach.
Ces explications portent sur l’élaboration des peurs dans l‘enfance, puis sur les mécanismes inconscients qui conduisent à se retrouver confronté à des expériences similaires à celles vécues dans l’enfance, avec toujours les mêmes résultats induisant les mêmes souffrances.
Pour ceux et celles qui ne me lisaient pas à l’époque où j’avais donné les explications livrées par mes chers Anges, en voici le rappel:
« L’enfant, lorsqu’il naît, a gardé en lui le souvenir de l’Amour dans lequel baignait son âme, dans ce que l’on nomme « l’au-delà ». Il a gardé aussi le souvenir du fait que cet Amour, lorsqu’il est « refusé », cela provient d’un comportement et/ou de pensées inappropriées. D’où sentiment de culpabilité, car il n’a pas intégré les limitations induites par son enveloppe physique terrestre et sa totale dépendance, de ce fait, envers le milieu dans lequel il se retrouve « parachuté ».
Le corps humain est composé en majeure partie d’eau.
Si l’on verse de l’eau dans un vase carré, elle prend une forme carrée, si on la vide dans un vase rond, elle prend une forme ronde. De ce fait, n’ayant pas encore les outils de compréhension qui lui permettraient de ne pas s’identifier à son environnement, l’enfant va se « formater » suivant ce qu’il vit. »
Je suppose que c’est à rapprocher de ce que l’on nomme « la mémoire de l’eau », et renvoie encore à « la face immergée de l’iceberg », qui, toujours suivant les explications qui m’ont souvent été données, influence notre vie et notre comportement, le plus souvent à notre insu.
Je citerai l’exemple de l’enfant, qui culpabilisera lors du divorce de ses parents.
C’est pour cela qu’il est important de bien prendre garde à ce que vit un enfant, et à la façon dont il comprend les choses. Que de souffrances et d’épreuves pourraient être ainsi évitées. C’est vraiment une chance d’apprendre l’importance de cette période capitale, où l’enfant est tellement fragile.
Mais revenons au livre. Bien que très intéressée, je l’avais commencé puis, trop occupée par mon déménagement, le travail, la fatigue, les invitations et la grippe, je l’avais laissé de côté.
Mais il se trouve que je fais mettre un implant dentaire en ce moment. J’ai donc récupéré l’ouvrage pour patienter chez le dentiste. Bien m’en a pris car il y avait beaucoup de retard, et la poursuite de ma lecture m’a vraiment captivée.
Voilà pourquoi j’ai résolu de vous en parler aujourd’hui, ce d’autant plus qu’il est d’un prix abordable: 10 €.
Voici la quatrième de couverture:
« Entre nous et le bonheur, il n’y a que nos peurs
Nous sommes tous confrontés à des peurs irrationnelles ou disproportionnées qui nous empêchent de vivre pleinement: peur d’être jugé, de réussir, de dire à quelqu’un qu’on l’aime… En s’appuyant sur sa propre expérience, André Charbonnier démontre de manière claire et accessible la mécanique qui se joue derrière l’apparition de nos peurs. Le danger repose en réalité sur une illusion car ces peurs ne correspondent à aucune menace réelle: nous les créons de toutes pièces, nous rendant prisonniers de nous-mêmes.
Heureusement, il est possible de s’en libérer ! C’est tout l’objet de ce livre qui donne des clés essentielles pour y parvenir. »
Il conclue sa 4ème de couverture par cette phrase:
« Plus nos peurs se dissolvent, plus la joie se déploie, plus la vie devient simple et merveilleuse. »
Page 141, André Charbonnier écrit:
« Ce à quoi je porte attention devient ma réalité. »
Ces chers Anges disent souvent:
« Ce que vous mettez dans vos pensées, vous le mettez au menu ! »
Bon, j’en suis là, à la page 141. Ces derniers jours je n’ai pas eu le temps de continuer ma lecture. Mais je ne résiste pas à vous transcrire la fin de cette page, tellement conforme à ce que préconisent ces chers Anges:
« Si nous sommes capables de nous représenter sincèrement nos échecs comme la voie la plus directe vers notre succès, nous allégeons immédiatement la charge émotionnelle car nous montons dans une spirale ascendante, au lieu de plonger dans les affres de la peur. A partir de là, nous avançons plus légèrement dans la vie et affrontons nos échecs en restant positifs. »
Voilà, cela me remet en mémoire le jeu de mot d’une de mes amies, très consciente de ses peurs irrationnelles:
« Aie peur d’avoir peur ! »
Il s’agit bien sûr des peurs irrationnelles, non de celles qui signalent un danger, qu’il faut analyser et écouter, celles là.
Bonne journée !