20 mai 2019
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Hello !
Avant de poursuivre mon histoire, je voudrais vous faire partager quelques phrases, une citation de Pierre Bottero:
"N'oublie jamais: celui qui croit savoir n'apprend plus".
Et 2 proverbes:
"Bien sait le sage qu'il ne sait rien mais le fou croit savoir tout."
"Celui qui ne sait pas et croit qu'il sait est un sot. Evite le."
Depuis le jour de mon anniversaire (le 4 avril), j'ai l'impression d'être poussée vers quelque chose qui me dépasse peut-être, un peu comme si j'avais embarqué dans un moyen de locomotion, mais sans savoir pourquoi ni vers quelle destination...
Probablement annoncé par cette prise en main, le samedi de Pâques (20 avril) du téléphone de ma fille par une "main invisible" tandis qu'elle était sur "Snapchat" (voir billet), ces messages qui se sont écrits tout seuls et sont restés prêts à partir, composés de séries de P (PAIX a été le premier mot qui m'est venu à l'esprit, et cela me semble être la bonne traduction), ainsi que ces chiffres 8 (l'infini).
Peut-être y a-t-il encore quelque chose lié à l'histoire familiale pendant la guerre qu'il va falloir mettre au jour, ou nettoyer ?
J'ai poursuivi ma lecture du livre de Stéphane ALLIX:
"Quand j'étais quelqu'un d'autre".
Comme l'auteur, bien qu'un peu moins depuis que j'ai beaucoup travaillé sur le sujet, notamment grâce à la psychologie, les constellations familiales et la psychogénéalogie, j'ai eu toute ma vie la sensation de porter des souffrances dont je ne comprenais pas l'origine.
Moi qui n'ai jamais voulu lire quoi que ce soit sur la guerre, même pas les mémoires de ma mère, que j'ai rangées au bout de 2 pages de lecture, tant ça me tordait l'estomac, qui ai été bouleversée, en pleurs, par le film:
"Le vieux fusil" au point d'arrêter de le visionner quand Romy Schneider a été frappée par le lance flammes sous les yeux de son Amour, je me suis attelée à lire l'ouvrage de M. ALLIX, tant bien que mal, tant il fait écho à quelque chose que je ne peux même pas qualifier.
Une "coïncidence" m'a encore un peu plus interpellée, c'est le prénom d'une petite fille qu'il avait vue dans son rêve éveillé. Ce prénom ressemble au mien, et d'ailleurs, quand j'étais enfant, du fait que mon prénom n'était pas courant à l'époque, il est arrivé qu'on m'appelle par le prénom de cette petite fille.
Le lien de parenté de la fillette avec un personnage: nièce, qui m'a ramenée à mon jeune oncle fusillé par les SS.
La revue éditée par l'INREES s'appelle "INEXPLORE" et non INREES.
J'avais déjà vu en kiosque celle de ce trimestre (avril/mai et juin 2019), il y a quelques semaines, mais n'avais pas ressenti de l'acheter.
Ce matin, alors que nous étions passés à la gare pour boire le café,avec mon compagnon, tandis que je regardais machinalement la rangée de revues, le magazine m'a littéralement "sauté aux yeux" !
Je l'ai acheté, et tandis que mon compagnon lisait son journal, j'ai parcouru les titres...
POUR M'ARRETER SUR LES PAGES 44 ("coïncidence", l'année où mon jeune oncle et le 1er mari de ma mère ont été fusillés !) à 47, rubrique "Psychogénéalogie Santé":
Page 44, titre: "NOS FANTOMES DE GUERRE", par Catherine MAILLARD,
Sous-titre:
"Nos ancêtres agissent-ils dans nos vies à notre insu ?
Certains témoignages interrogent... Comment s'affranchir de ces mémoires de guerre et entrevoir un monde en paix pour l'avenir (...)."
Décidément, l'icône de Snap qui ressemble à un petit fantôme, et le "clin d'oeil" de la boîte de biscuits avec cette icône qui fait un clin d'oeil ne sont sûrement pas un "hasard"...
Une heure ou 2 après, une de mes cousines, QUI PORTE LE MEME PRENOM QUE MA MERE, m'a laissé un message: elle se plaignait d'avoir encore des angoisses sans raison, et me demandait de la rassurer.
Bizarre tout cela, car j'ai travaillé sur les conséquences de la guerre, en psychogénéalogie en 2011, le "hasard" a fait d'ailleurs que c'était le 8 Mai, sur le week-end des 7 et 8, et dans la ville où mon petit demi-frère est né et où ma grand-mère maternelle a accouché sur les marches de la gare.
Et au soir du 7, je dormais chez mes très chers amis de Provence. Peu après les avoir quittés pour regagner ma chambre, après une excellente soirée, une fois couchée, j'ai entendu clairement...
Un sanglot de femme, assez bref, derrière la porte.
Cela m'a semblé étrange, car je n'avais pas entendu de téléphone sonner, qui aurait pu annoncer une mauvaise nouvelle, et mes amis étaient tellement gais, que cela ne pouvait être eux.
Quelques secondes plus tard, nouveau sanglot similaire.
Et encore un autre peu après. Là j'ai eu peur...
Du coup cela ne s'est pas reproduit...
Par contre, ma nuit m'a parue agitée. J'ai rêvé que des bestioles grimpaient le long de la façade de la maison, puis qu'une boîte s'ouvrait, libérant des tas de CAFARDS. Note: les Résistants ont été pris à cause d'une DENONCIATION (cafards).
Au matin, j'ai constaté que le tableau au-dessus de mon lit était particulièrement de travers, ce qui n'était pas le cas quand j'étais rentrée dans la pièce, la veille au soir.
Mon amie, à qui j'ai raconté tout cela, le lendemain matin, m'a dit qu'eux n'avaient rien ressenti de négatif, tout au contraire ils avaient l'impression d'être protégés, comme dans un cocon.
Note importante: après ce travail en constellations familiales, mes chers inspirateurs célestes, qui m'avaient poussée dans cette direction, (car je freinais des 4 fers et n'y croyais pas vraiment), m'avaient expliqué que le travail que nous avions fait lors de ce weekend
AVAIT PERMIS DE LIBERER L'AME OU LES AMES (ils n'ont pas voulu être plus explicites) DE LA OU DES PERSONNES QUI AVAIENT DENONCE TOUS CES JEUNES HOMMES, AMES QUI ETAIENT ENFERMEES DANS LEUR PRISON DE REMORDS, AU VU DES CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES SUR TANT ET TANT DE VIES DE LEURS ACTES."
Bon, on va voir la suite...
Bonne soirée !!!
Published by lesangesetmarylou8
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