Photo personnelle, comme la précédente, de plants d'ipomée de mon jardin
Hello !
Nous avons trouvé la maison à louer. Elle se situe dans le village où, en début d’année, j’avais gagné au loto (le premier que nous faisions depuis de nombreuses années) des pompiers (chargés d’éteindre les feux et de porter secours !)… un quart de cochon !
Evidemment, comme à chaque fois, c’est dans les quinze derniers jours qu’on a trouvé.
Note pour ceux qui doutent de la numérologie : mon amie numérologue avait situé la signature le 14 décembre…
Et mon compagnon a vu l’annonce le 15 au matin très tôt. La maison de l’annonce était déjà louée, mais le propriétaire venait d’avoir un désistement sur une autre, qu’il nous a fait visiter, et que finalement nous avons retenue.
Cela dit, je le répète, si sur le côté matériel, travail, finances, la numérologie me semble plutôt bien fonctionner, pour ce qui est du côté sentimental ou affectif, je suis bien plus réservée, car les sentiments dépendent de beaucoup de « paramètres », et tout peut être dépassé… ou pas.
Nous avons signé le 16 au matin.
Bon, il y a une piscine. J’espère que ces chers Anges ne caressent pas l’espoir insensé de me voir glandouiller au bord de l’eau…
D’abord parce que j’espère qu’on aura trouvé notre achat avant, et ensuite, parce que rester plantée sans rien faire, en plus en plein cagnard, ce n’est pas mon truc…
Et je dois dire qu’en ce moment, je ne suis pas dépaysée !
Alors, vu que ces jours-ci, où se portent mes yeux, il y a du boulot, je me prends à songer qu’il pourrait être doux de visualiser un peu de glandouille. Ça marcherait peut-être…
Quelques faits à relever :
Ceux qui me suivent depuis longtemps se souviennent peut-être du signe que j’avais eu, avec une chanson peu connue de Joe, il y a plusieurs années (relaté dans le blog Femme Actuelle), notamment ces paroles :
« Comme les oiseaux d’octobre,
Nous vous laissons notre nid dans la maison,
Et nous n’emportons,
Que 4 chansons,
Plus on est léger pour voler,
Plus loin on vole… »
Un jour où je pensais à un déménagement que nous devions faire, tandis qu’au même moment, une tourterelle m’a coupé la route, au point de m’amener à freiner.
Elle portait un rameau dans son bec, en vue de faire son nid, je suppose.
Nous avons trouvé la maison que nous quittons cette fin d’année, plusieurs années plus tard, un 28 octobre, et la promesse de vente date du début octobre 2012.
Le jour où nous avons accepté l’offre de prix, ma première pensée a été pour tous « mes » oiseaux du ciel, qui pour certains m’attendent dès le lever du jour : une merlette vient même manger à mes pieds, à moins d’un mètre, quand la faim est trop pressante.
Mais je n’ai pas eu à trop m’inquiéter, car une paire d’heures plus tard, nous avons constaté que notre nouveau voisin était en train d’installer une mangeoire encore plus grande que la nôtre !
Et nos acheteurs ont promis de continuer aussi.
Ce qui ne va pas m’empêcher de laisser de la nourriture en abondance, avant de partir.
J’ai noté plusieurs « coïncidences » étranges (quoi que… significatives, si on veut bien analyser) autour de la vente, et de la location.
Concernant cette dernière, notre propriétaire porte le même prénom que le premier mari de ma mère (Résistant fusillé).
Cela ne m’avait pas semblé particulièrement significatif, jusqu’à ce que, en nous disant au revoir, après notre accord, il dise à mon compagnon…
Au revoir M. Antoine !
Mon compagnon a rectifié, et j’ai vu le regard surpris de notre propriétaire : il semblait tout étonné de lui avoir donné ce nom-là.
Et ce nom, était aussi le prénom du frère du premier mari de ma mère !
La suite bientôt
Bonne journée et bonnes « fêtes » si je ne peux vous écrire avant.