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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 21:10

Photo personnelle de la sonnette de la Tante de mon compagnon.

P1020752.JPG

 

 

Hello !

Merci Claire, pour ton témoignage.

 

Etrangement, le 8 Avril, jour de Pâques et de notre visite du Gouffre de Padirac, dont le guide qui nous a fait visiter en barque se prénommait comme mon ½ frère « décédé », je l’ai noté sur mon agenda (comme tout ce qu’il se passe d’un peu inhabituel), tandis que nous roulions en voiture, un joli écureuil a traversé la route, à une certaine distance, devant nous, et est resté, étrangement, sur la route, nous donnant l’impression de ne pas avoir peur, un peu comme s’il manifestait de la curiosité envers nous, ou comme s’il voulait nous laisser le temps d’admirer sa beauté. Il a fallu ralentir, d’ailleurs, pour ne pas le heurter.

 

Ce même jour de Pâques, je ne l’ai vu que ces jours-ci, allez savoir pourquoi, sur le site d’une boutique virtuelle, une de mes créations a été choisie dans une collection sur la danse. Il s’agit d’un petit bijou orné d’une mini-paire de ballerines ou de chaussons.

La collection est accompagnée d’une courte citation :

 

« Elle me dit c’est ta vie, fais ce que tu veux, tant pis… alors vas-y danse ! Danse, danse, danse ! (Signé Boucles d’or).

« Coïncidence », mon pseudo est : « La souris danse » !

 

En attendant de danser, et afin de m’aider à progresser sur le chemin, le « hasard » a fait que le dimanche 29, « jour des Déportés » (« hasard » ?), mon regard a été attiré par un livre, dans un vide-greniers, que j’ai ressenti devoir acheter (2 €, merci mes chers « petits » Anges !). Son titre ?

 

« Le sentiment d’abandon – Se libérer du passé pour exister par soi-même » de Saverio Tomasella, éditions Eyrolles – Collection Les chemins de l’inconscient ».

 

Je l’ai lu en quelques jours, tant il m’a apporté. J’y ai noté souvent le mot « gouffre » (pas de Padirac, hélas !), pour décrire certains ressentis.

Difficile de choisir des passages à vous citer, tant tout me « parlait ». En voici un :

 

« Il existe un abandon insidieux (…), c’est l’abandon par l’oubli, par l’absence. Rien n’est pire que d’être en présence de quelqu’un de cher et de voir qu’on n’existe pas pour cette personne ». C’est le cas lors de la naissance d’un enfant de « remplacement », après le décès d’un autre enfant. » Chapitre 9, p. 88.

 

Un peu plus loin, toujours dans le même chapitre :

 

« La personne en allégeance devient « sourde » et « muette ». Elle n’a plus la possibilité de remettre en cause son emprisonnement et son empoisonnement. Le questionnement sur l’ordre établi dans la famille ou le clan est impensable : il est remplacé par un vide désaffecté, une « zone morte », un no man’s land. Toute remise en question est empêchée par un « trou de conscience », un «blanc » dans la capacité de penser. » p. 94 et 95.


La suite bientôt.

Bonne soirée !

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commentaires

M
Oui coincidences ou pas ? il faut croire ! oui c'est triste ces passages du livre mais si vrai ! Bonne journée Marylou. Mary
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L
<br /> <br /> Merci à toi, Mary, et bonne soirée ! Maryline<br /> <br /> <br /> <br />