Je remets cette photo, mise il y a peu, qui me semble très symbolique:
Hello !
J’ai oublié de vous préciser, dans le billet précédent, que souvent, notamment quand je chipotais dans mon assiette, mon père me disait, quand j’étais petite :
« On voit que tu n’as pas fait la guerre ! » (en rapport avec :
« Elle a dû faire toutes les guerres, pour être si forte aujourd’hui ».
Merci encore infiniment à tous et toutes.
Je n’aurais jamais pensé devoir livrer ainsi mes blessures secrètes, et auparavant, d’ailleurs, je ne voulais pas le faire, mais je ne regrette pas, au regard de ce dont plusieurs d’entre vous m’ont confié que cela a contribué à leur faire prendre conscience.
J’en éprouve beaucoup de réconfort, surtout pour celles que cela a décidées à se faire aider par un « psy » (professionnel, je vous en supplie !), afin d’évacuer enfin les sentiments de culpabilité dont elles n’arrivaient pas à se débarrasser.
C’est la raison du « sauve qui peut », dont j’ai parlé, ressenti en lisant le livre de Guy Corneau : sa « sœur d’âme », comme il appelle la femme qu’il aimait, est « partie » d’un cancer, dans de grandes souffrances (il l’a accompagnée dans son combat). Elle n’avait pas eu le courage de travailler sur le sentiment de culpabilité qu’elle traînait depuis le jour où sa petite sœur a été écrasée par un véhicule, en sa présence.
Cette dame avait aussi refusé les traitements allopathiques, pensant que les médecines douces suffiraient.
J’espère que tout cela fera réfléchir les non conscients de leur immense ignorance quant au fonctionnement de l’être, donc de leur dangerosité à se vouloir "sauveurs" sans la moindre formation (et d'ailleurs, solide, c'est encore mieux !), ainsi que tous ceux qui se rendent complices, qu’ils le veuillent ou non, en les soutenant.
Cela nous ramène au sujet des sectes et gourous.
Étant donné que mes chers inspirateurs célestes m’avaient dit qu’ils avaient un fonctionnement similaire au cancer, en déprogrammant leurs proie de la vérité de leur âme, pour les rendre à leur image, je me suis inquiétée, face à la mort de mon frère :
« Est-ce à dire que les sectes auront le dessus, que le « mal » est trop avancé ? » ai-je demandé, même si je n’y croyais pas vraiment, tant il y a une chose dont je suis sûre, c’est que quelles que soient les apparences, tout est dans « l’ordre divin ».
Mais ces chers Anges m’ont rassurée. Ils ont toujours défini les gourous et manipulateurs par :
« Voleurs d’âme », voire même parfois : « violeurs d’âme ».
Et « sur le sujet de son âme, la guérison a été rapide, spectaculaire et parfaite ».
Il avait fait un tel bond en avant !
Je ne peux m’empêcher de faire le lien avec ce que mes recherches en psychogénéalogie et plus précisément les 3 « constellations familiales », sur un an, ont permis de mettre à jour, même si tout le mérite de cette guérison de son âme en revient bien sûr à mon frère, sous l’influence de sa maladie.
Mais peut-être cela a-t-il donné un coup de pouce, car après tout, face à la maladie, il aurait au contraire pu encore plus se fermer.
Rappel : ces chers Anges ont répondu, quand je leur ai demandé de ne pas s’occuper de mes vieilles blessures, mais de celles de mon frère, qu’on « pouvait aussi faire d’une pierre 2 coups ».
Et quant au choix d’incarnation qu’il avait fait: que son corps n’arrive pas à remonter ces 4 décennies d’excès, voici les explications données :
« Cette chère âme, a choisi ce « départ » là, refusant tout « miracle » qui aurait guéri son corps (même s'il y croyait dur comme fer de son "vivant"), car cela aurait pu donner à penser qu’il n’était pas grave de ne pas respecter son corps, sa santé, pendant tant et tant d’années, parce qu’un « miracle » pouvait toujours survenir et sauver, comme un coup de baguette magique.
Cela aurait même pu contribuer à pousser certains, n’ayant pas conscience que le « sauveur » est en eux (en association avec les méthodes de soin), à s’adresser à des « faiseurs de miracles ».
Au contraire, cette belle âme a voulu démontrer sans qu’il puisse y avoir le moindre doute, qu’il est de toute première importance de prendre soin de soi, de penser AUSSI A SOI, de se ménager, de ne pas sacrifier sa santé et sa vie par rapport à des considérations qui ne peuvent absolument pas être plus importantes que le respect de soi DANS LE PRESENT.
C’est ce qui peut faire toute la différence entre la guérison de l’esprit, du « cœur », de l’âme et celle du corps".
La suite bientôt !
Bonne journée !