Biscotte ne semble pas avoir de "mémoire ancestrale" gênante
Hello !
Merci, Mounette, de me signaler mon erreur de date. Les premiers messages significatifs que j’ai reçus, (dessin, écriture automatique, et intuitive), ont commencé mi juin 2002, et non 2012, pour me permettre, déjà, je le rappelle, de ne pas tomber dans une secte, et essayer de prévenir ceux qui s’y laissaient entraîner.
Hier, j’ai trouvé en kiosque le nouveau numéro de larevue Nexus - Science et alternative n° 81 (juillet/août 2012), que mon compagnon prend parfois (signe de sérieux !), car elle faisait sa Une sur plusieurs sujets intéressants pour moi, notamment un important dossier sur la « maladie de Lyme », potentiellement occasionnée par une piqure de tique (entre autres).
Cette maladie se retrouve souvent chez les électrosensibles, c’est pour cela que le sujet m’intéresse.
Un autre sujet qui y est développé…
C’est la « thérapie du deuil par contact induit ».
Il est rappelé dans l’édito que (je cite les paroles entre guillemets et de la même couleur) « Dans les sociétés traditionnelles, certains membres de la communauté travaillaient à apaiser la douleur du deuil en entrant en contact » avec ce que je nomme pour ma part « l’au-delà », pour apporter des nouvelles et donc un soulagement aux proches d’un « disparu ».
Après avoir précisé que dans le monde actuel cette démarche n’est pas toujours prise au sérieux (parfois, de surcroît, prétexte à escroquerie), il est fait part du fait que des recherches sérieuses ont prouvé pourtant la validité de ces contacts, QUAND ELLES ONT ETE EFFECTUEES SUR DES MEDIUMS AU-DESSUS DE TOUT SOUPCON.
Et autre nouvelle particulièrement intéressante et encourageante qui y est donnée, c’est que (je cite toujours) « quelques psychiatres et psychologues français, pionniers en la matière », utilisent cette méthode pour possiblement « provoquer un contact direct entre la personne endeuillée et le proche disparu », avec des résultats favorables !!!
Cela semble bien démontrer que tout un chacun a cette possibilité là. D’autre part, cela devrait permettre d’éviter que des intermédiaires peu scrupuleux profitent des médiums et des personnes en souffrance. Ces dernières seront ainsi bien conseillées et aidées, en toute connaissance et toute sécurité.
Dans ce numéro toujours, le cas d’une médium y est analysé (p. 24 à 26), qui a commencé à recevoir, en 2002 elle aussi (1er et 2 novembre), des messages qui l’ont initiée « à la connaissance des mémoires ancestrales ».
Des cas sont évoqués qui semblent confirmer les effets « miroirs communs de l’histoire familiale », tout comme les travaux de psychogénéalogie.
Pour ma part, ces chers Anges ont commencé à évoquer cette piste vers 2004/2005, par le biais de personnes avec lesquelles le « hasard » m’avait mise en contact, et pour qui des messages m’avaient été donnés, attirant l’attention sur des similitudes de faits entre les générations (faits que je ne connaissais pas bien sûr, et sur lesquels certaines personnes m’ont avoué que j’étais la première à qui elles parlaient de ce vécu difficile !).
J’avais d’ailleurs commencé à l’évoquer dans le manuscrit de mon livre, à cette époque, mais une fausse manip a fait disparaître la page. J’en avais donc conclu un peu vite que cela ne s’appliquait peut-être qu’à une minorité de gens, alors que ce n’était tout simplement pas le moment (au moins pour moi) d’y consacrer un chapitre.
Il faut dire que j’avais du mal à croire que cela soit vraiment possible. Je n‘avais pas encore assez foi en ce qui m’était expliqué.
Bonne fin de journée !