Hello !
Je voudrais commencer ce billet en citant une phrase de Raymond Aubrac, Résistant, disparu mardi soir, qui, selon le journal « Aujourd’hui en France » « expliquait en 2012 que RESISTER c’était »:
« Réagir à l’injustice », « pas seulement pour la constater mais essayer de faire quelque chose ».
(article de Marion Kremp p. 08 « Actu – politique » du jeudi 12/04/12).
**** « Coïncidence » ?? JUSTE comme je reviens à l’ordi, après être allée au salon vérifier le titre du journal, je tombe en arrêt devant UN PIC VERT, face à la porte-fenêtre du bureau !!!! Il est toujours là, à picorer, car le rideau l’empêche de me voir !
Je n’en avais pas revu dans mon jardin pourtant fréquenté par beaucoup d’oiseaux, depuis près d’un mois.
Bon, je comptais faire un billet sur l’explication des signes que j’ai eus depuis ma précédente « constellation » en psychogénéalogie, mais je n’aurai pas le temps.
Je venais de terminer le paragraphe précédent quand l’amie avec qui je dois me rendre pour cette recherche m’a appelée. Je lui ai raconté ce que je vous ai écrit, et elle-même m’a parlé de signes qu’elle a eus récemment avec des animaux.
Le pic vert me semblait parti, car mon chat Biscotte regardait par la fenêtre et avait soulevé le rideau.
Tandis que mon amie me parlait, je regardais sans le voir un « rouge-queue », joli passereau brun à queue rouge, qui sautillait sur le rond en ciment au milieu du jardin.
Nous venions d’évoquer la « Résistance » (dans le sens des peurs qui empêchent d’être), quand le « rouge-queue » a pris son envol, et a semblé venir directement sur la porte-fenêtre derrière laquelle je me tenais. J’ai cru qu’il allait heurter le carreau, mais au dernier moment, il est monté à la verticale, et s’est posé sur le toit, juste au-dessus de la fenêtre.
J’avais lu, il y a quelque temps, que la symbolique du « rouge-queue », ou « rossignol des murailles » était liée à la Résistance, mais c’est aussi un symbole d’abondance.
Du coup, j’ai prêté un peu plus attention aux oiseaux du jardin. Il y en avait beaucoup, comme toujours, même si le rideau m’empêchait de bien les distinguer, et j’ai retrouvé « mon » pic vert au fond du jardin.
Comme mon amie me confiait qu’elle sentait être tout près de se débarrasser de ses peurs, le pic vert a pris son envol, suivi D’UN AUTRE… Il y en avait 2 !
Avant de terminer mon billet, j’ai recherché sur Internet des infos sur le « rouge-queue », et suis tombée sur un article vantant l’utilité de certains oiseaux, pour la vigne notamment, car ils débarrassent les cultures de tout un tas d’insectes nuisibles, remplaçant fort avantageusement et sans danger surtout… les pesticides !
Parmi eux, beaucoup sont venus se nourrir au « réfectoire » dans mon jardin, cet hiver : le pic épeiche, les mésanges, et le rouge-queue, même si ce dernier n’est revenu que récemment… quand j’ai décidé de refaire une recherche psychogénéalogique !
Preuve supplémentaire qu’en prenant soi de la nature, on prend aussi, par ricochet, soin de nous-mêmes, ainsi que des générations futures ?
C’est en tous cas le sens de ce que m’ont expliqué mes chers inspirateurs célestes, quand je leur ai demandé, lors de ma prochaine recherche sur les influences familiales, de ne pas s’occuper de mes « vieilles souffrances », mais de celles de mon frère, afin de l’aider à guérir :
« On peut aussi faire d’une pierre (prénom du 1er mari de ma mère, fusillé en tant que Résistant) 2 coups, tout comme lorsque tu donnes à manger au chat affamé, tu contribues à préserver des vies d’oiseaux. »
Bonne journée et à bientôt !