Hello !
Dimanche matin, nous avons décidé d’aller promener dans une brocante à une cinquantaine de kilomètres de chez nous. Il faisait beau, et j’avais vraiment envie de me changer les idées.
Je conduisais en pensant évidemment à mon frère et à ses problèmes de santé, pour arriver à la constatation que nous sommes une famille pudique, l’amour que nous nous portons, nous ne savons pas l’exprimer autrement que par des actes.
C’est le « formatage » de nos conditions de vie familiales et de l‘enfance.
Je passais en revue tout ce qu’il était possible pour nous de faire, pour l’aider.
D’abord, j’assurai mes braves Anges que j’allais mettre tout en œuvre, de mon côté:
« S’il faut que je devienne guérisseur, je serai guérisseur, s’il faut que j’aille décrocher la lune, j’irai la décrocher ! »
D’autre part, j’avais demandé à mon amie numérologue de faire une étude sur les aptitudes professionnelles de mon plus jeune fils (avec son accord, bien sûr), quand il a été question de son orientation professionnelle, car il n’avait pas d’idée précise.
Son étude s’est avérée efficace, mais elle m’a aussi révélé qu’il avait des « dons », probablement de guérisseur lui aussi, et qu’un jour, il serait amené à les utiliser (cela m’avait déjà été dit quand il était petit, par une magnétiseuse).
Si je l’ai dit incidemment à mon fils, je me suis bien gardée d’approfondir, ne voulant pas à le pousser dans cette voie. D’abord parce que cela doit venir de lui, et aussi surtout parce que mon expérience m’a prouvé trop souvent que les écueils et pièges sont fréquents dans cette voie du « paranormal ».
Quand il sera adulte, quand ce sera le moment, ses Anges sont les mieux placés pour le guider, ai-je pensé
Alors dimanche, j’ai pensé que ce moment était peut-être venu, et je me suis promis de lui en parler.
Peu après, les premières notes de la chanson de Grégoire:
« Toi + moi », ont commencé à la radio (chérie, je crois, je n’ai pas noté).
J’ai commencé à chanter avec lui, en sautillant sur mon siège et en tapant la cadence sur le volant…
Quand nous sommes arrivés au passage:
« A deux, à mille, je sais qu’on est capable,
Tout est possible, tout est réalisable… »
A ce moment, les sanglots l’ont emporté… Mais des sanglots d’espoir, puisque je ne crois ni au « hasard », ni aux « coïncidences ».
Et à la fin de la chanson, je me suis rendu compte qu’en chantant, j’avais passé un tunnel, sans m’en rendre compte. Bonne symbolique, non ?
J’ai repris le cours de mes pensées, supposant que j’allais devoir travailler à décadenasser les mots, à me débarrasser de ces blocages qui se sont installés avec les idées fausses sur lesquelles je me suis construite, au son de:
« Tu ne m’as pas laissé le temps », chanson de David Halliday, dont:
« Pourquoi sans prévenir,
Un jour tout s’arrête
Et vous laisse encore plus seul sur terre
Sans savoir quoi faire
Tu ne m’as pas laissé le temps
De dire tout c’que je t’aime
Ni tout c’que tu me manques »
Et dans la foulée, j’ai traversé un 2ème tunnel. Il semble que ce ne sera pas forcément des plus facile. Peut-être en travaillant en psycho généalogie ? Car il va falloir expulser des notions imaginaires sur lesquelles je me suis construite… pour mon malheur.
Réponse ?
Sur le chemin du retour, il s’est passé quelque chose d’étrange. La radio (Chérie FM), diffusait une chanson d’une jeune interprète Canadienne qu’aime beaucoup mon plus jeune fils… quand l’écoute est devenue moins bonne, et un autre air est venu se superposer.
Quelques mots m’ont alors sauté aux oreilles:
« On ira, où tu voudras, quand tu voudras » !
Je me suis penchée pour écouter, et effectivement, c’était bien la voix de Joe qu’on entendait faiblement, par moments, en alternance avec l’autre chanson.
J’ai zappé pour essayer de trouver la station qui le diffusait, mais sans résultat.
Puis cela a cessé, et le programme a continué. Je n’y prêtais plus attention quand cela a recommencé: à nouveau, un autre air est venu se glisser au milieu de la mélodie (j’ai oublié laquelle).
Et c’était ???
« Dam dam déo » (de « L’horloge tourne », interprétée par Mickaël Miro).
Comme vous le savez, cette chanson représente pour moi la recherche en psycho généalogie que j’ai faite en mai, et surtout du fait de son titre.
Cela s’est produit plusieurs fois, avant de cesser…
Le temps d’arriver à la sortie du village:
« Saint Pierre la Feuille »
« Coïncidences », c’est le prénom du 1er mari de ma mère, fusillé, et juste avant, dans le billet de la veille, le 25:
« Ca ira avec les Anges », je vous avais mis la photo d’une feuille rouge au milieu du vert, qui me paraissait adaptée au sujet.
Voilà pour la journée du 26 février !
Bonne fin de journée !