Hello !
Vos com. n'apparaissent pas, car je ne sais pas les afficher ! Depuis la nouvelle formule, je pédale dans la choucroute ! Si une âme compatissante pouvait m'aider à les faire apparaître, ce serait bien.
Avant de parler du sujet de ce jour: le dernier livre de Patricia Darré:
"Les Lumières de l'invisible", éditions Michel Lafon, que j'ai lu il y a quelques mois, et dont je n'ai jamais pris le temps de vous parler, je vais vous raconter le dernier clin d'oeil de ces chers Anges.
C'était vendredi 16 août. A 7h du matin, avant de partir faire les courses, j'ai décidé de faire les vitres du bureau (pièce que nous étions en train de terminer, et qui est celle, est-ce un hasard, qui nous a donné le plus de mal).
J'étais perchée sur mon escabeau, quand tout à coup, j'ai entendu une chanson de Joe, à la radio, venant de la cuisine.
Et c'était ?????
"Souviens-toi" !!!!!
Mon compagnon avait dû zapper de sa station habituelle du matin (RMC), pour tomber sur Nostalgie. Du coup, il a monté le son pour que je l'entende.
J'étais "aux Anges", souriant intérieurement du clin d'oeil réitéré à prendre le temps...
Mais ai continué à frotter mes carreaux !
Mon compagnon a soudain baissé le son, ce qui m'a amenée à descendre de mon perchoir pour courir vers la cuisine et lui réclamer de remonter le son.
Mais il a refusé, prétextant qu'il ne voulait pas réveiller les voisins !
Vu l'éloignement, ça ne risquait pas, lui ai-je rétorqué. Mais il n'a rien voulu savoir et m'a dit que si je voulais écouter, je n'avais qu'à rester là !
Voilà, nul doute, ces chers Anges devaient être derrière pour lui souffler les mots. Ces chers "bougres" sont lève-tôt, inutile de chercher à leur échapper !
Le résultat ?
Vu que la lumière n'était pas suffisante, à cette heure là, les vitres sont pleines de traces, et ce n'est ni fait ni à faire, donc à recommencer !
Venons-en au livre de Patricia Darré, cité plus haut.
Il m'a été offert par mon fils aîné pour mon anniversaire, mais je n'ai pu le lire que quelque temps plus tard.
Le "hasard" avait fait qu'au moment où je le lisais, Guylaine l'a lu aussi de son côté, sans le savoir, et en a parlé sur son blog.
Pas mal de passages intéressants dans ce livre (je n'ai pas lu le 1er).
Beaucoup de similitudes avec les messages de mes chers inspirateurs célestes, notamment la même expression:
"Il n'y a pas de hiérarchie dans la douleur".
Cela rejoint parfaitement ce qui m'a souvent été expliqué : personne ne peut savoir l'intensité des souffrances que chacun a vécues et subies.
Patricia, qui a "perdu" son mari, trouve aussi insupportable qu'on classifie les souffrances.
Mes chers inspirateurs célestes ont souvent dit:
"Un abandon peut tuer,
Un rejet peut tuer,
Une trahison peut tuer,
Une maladie peut tuer,
Une perte d'emploi peut tuer,
La perte d'un être cher peut tuer, etc.
Alors que d'autres résiteront à plusieurs de ces épreuves."
Maintenant que j'ai réalisé le mal que peuvent faire ces façons de penser et agir, cette espèce de "terrorisme émotionnel" me semble monstrueux.
Nous ne sommes hélas pas égaux quant à la gestion de la souffrance, notamment de celle qui a pris racine dans la petite enfance, et qui n'a donc pas pu être mesurée, comprise, soulagée, soignée.
Qui peut se permettre de penser avoir la connaissance suffisante pour décréter que telle ou telle épreuve a le droit d'imposer le silence à d'autres ?
On cherche vainement l'Amour, le respect et l'humilité dans ces façons de faire et de penser.
Il y a aussi des informations très intéressantes, dans le chapitre
"Mémoires et psychométrie", sur la mémoire dont se chargent les objets, mais aussi celles que chacun d'entre nous laissera, même après son décès.
J'y reviendrai bientôt.
Bonne journée !