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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 11:57

 

Hello !


D'abord, grosse pensée pour les victimes d'inondations et surtout pour la petite ville de Lamalou les Bains, dans l'Hérault.


Pardon pour mon silence, ces derniers temps.


Non, je n'ai pas rendu mon tablier en catimini. Simplement, j'essaie de prendre le temps du repos et de la "déconnexion". Le signe que j'avais eu début Mai, que je vous ai raconté en son temps, donné par l'alarme incendie était très parlant et j'aurais dû écouter.


Rappel: elle s'était déclenchée de manière bizarre, mais si elle ne signalait pas un incendie, elle signalait bien que les batteries de l'appareil étaient à plat... alors que nous les avions mises neuves peu de temps auparavant.


Cela signifiait que, contrairement à ce que je pensais, mes "batteries" étaient à plat ! Pourtant il me semblait m'être assez reposée, à cette époque là, et comme toujours, je ne sentais pas réellement à quel point j'étais fatiguée.


La meilleure façon de recharger ses batteries, c'est de se reposer... Ce que je n'ai pas su faire.


Je pense avoir un "mini burn-out" car, pour en avoir déjà eu un quand j'étais ambulancière, j'en reconnais bien les symptômes... Et la difficulté à remonter la pente.


J'ai toujours les séances d'orthoptie, 2 fois par semaine, car il y a encore une petite résistance du côté de la récupération des yeux (non pas de la vision mais du muscle qui s'est paralysé). Ces séances font travailler les yeux à l'aide de prismes grossissants, vision de près et de loin. Ceci aussi pour réhabituer les 2 yeux à travailler ensemble (et à voir sur une plus grande échelle ???).


Symbolique et significatif, non ?


Mais bon, inutile de rouméguer, j'ai été assez prévenue que l'important n'était pas de s'éreinter au travail, mais de faire ce que j'étais venue faire. Alors je prends mon mal en patience et j'essaie d'accorder autant de temps au repos, à la détente et l'amusement, au soin de ma santé... qu'au travail !


La leçon fut mémorable ! 


Mais difficile de ne pas faire passer les autres avant soi, quand on est sollicité.
Je suppose que cela va pourtant être une nécessité pour la suite...


"Qui veut voyager loin ménage sa monture".


Et ces chers Anges sont très attentifs à cela.


Cela frise un peu l'obsession, à mon avis, mais bon...


Mais il semble que ce soit particulièrement justifié par rapport à la suite: ce dernier mois a été riche en changements et perspectives de changements. Nous sommes bien sur une ligne de départ, comme le laissait supposer mon rêve, et il fallait bien ce temps de repos...


J'en reparlerai quand tout sera effectif.


Pour terminer, et pour revenir sur le billet précédent, il paraît important de bien prendre conscience de nos blessures et surtout de s'assurer qu'elles ont été suffisamment soignées, ceci afin d'éviter de glisser sur les "peaux de banane".


Je m'explique: ne pas oublier que même si nous avons 60 ans, l'enfant qui vit en nous et qui n'a pas été guéri, cherchera toujours à réécrire l'histoire de son passé... afin de combler ses attentes.


Voilà pourquoi il est important de bien prendre en compte tous les paramètres de l'histoire en question, et de bien intégrer que pour que les choses changent, il faut que les 2 protagonistes soient en état de le faire, aient les capacités psychiques pour le faire...


Dans le cas contraire, il faut faire le chemin du "deuil blanc", qui permet de renoncer à notre vision (!) du parent, et accepter qu'il y a maladie, mais aussi apprendre à se préserver.


Nous en avions pourtant parlé avec mon frère avant son "départ". Il avait réalisé ce qu'il avait vécu et était bien décidé à enfin vivre pour lui et sa chère épouse...


Trop tard, la vie ne lui en a pas laissé le temps.


Et moi, après son "départ", malgré cela pourtant, j'ai glissé sur la "peau de banane" de la "pieuvre" (le sentiment de culpabilité), bien que prévenue aussi sur tous les tons pourtant par ces chers Anges. Le sentiment de culpabilité donc m'a amenée à penser plus ou moins consciemment que si mon frère y avait laissé la vie, je me devais de me dévouer à prendre la suite... et insensiblement je suis retombée dans l'ornière.


Voilà, pas facile ; d'où la nécessité de ne pas avoir la tête dans le guidon et de bien prendre le temps de revenir en soi pour faire le point, régulièrement.


Bonne journée !

Le jardin au couchant

Le jardin au couchant

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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 16:02

 

Hello !


Voici un message que j'ai reçu le 08 08 14:


"Le déni, c'est la Résistance au processus de guérison.
Le déni est mis en place par notre part d'ombre (ou mauvais ego), qui sait fort bien que la conscience des faits toxiques va amener à travailler sur l'impact que ces faits ont eu sur nous. La conscience va nous amener à "désamorcer" la bombe.
Le déni est induit par l'étendard de l'Amour que notre part d'ombre agite devant nos yeux.


"Voir les choses telles qu'elles sont, c'est manquer d'Amour, c'est juger", nous susurre-t-elle.


Or, cet étendard là, c'est un leurre, ce n'est pas le vrai sens de l'Amour, c'est la cape rouge qu'agite le torero pour mieux terrasser le taureau !
L'Amour, le vrai, celui qui n'est pas le résultat de manipulations et/ou idées fausses, c'est celui qui est "pleine conscience".


On ne peut pas soigner, et encore moins guérir une maladie si on n'a pas établi le bon diagnostic.
Bien au contraire. Pour établir le bon diagnostic, il faut tenir compte de tous les symptômes, de tous les faits, y compris les témoignages extérieurs."

 

Suite reçue aujourd'hui:


"Le déni, il s'apparente à un ersatz d'absolution, car absolution accordée sans demande de pardon !
Le déni ne conduit pas au pardon, comme on pourrait être tenté de le croire. C'est l'antithèse du pardon.. C'est un pardon qui reposerait sur du sable, car basé sur une réalité faussée, donc qui va voler en éclats tôt ou tard, et parfois avec fracas.


Pardonner, c'est important, bien évidemment. C'est effectivement le chemin vers la guérison, mais ce chemin vers la guérison, pour ne pas reposer sur du sable, il doit s'effectuer sur un "terrain" restauré, réparé soigneusement, sans plaies à vif, au risque de camoufler des souffrances qui vont s'infecter.


Donc, le bon ordre pour aller vers la guérison, c'est D'ABORD et AVANT TOUT SOIGNER LES BLESSURES, mais les soigner VRAIMENT, en prenant le temps qu'il faut pour cela. Ensuite, le pardon pourra intervenir plus aisément, mais surtout définitivement."

 

Je reviens sur le billet précédent, et sur l'importance de bien repérer les similitudes et signes permettant de comprendre d'où vient le problème, face à un événement douloureux.


Parmi la multitude de signaux significatifs que j'ai pu repérer,(mais sans prendre le temps d'y travailler dessus !), dans l'analyse de mon horrible mésaventure de 2010, en voici un particulièrement parlant:


Le prénom de la personne par l'intermédiaire de qui je suis tombée sur cette funeste association, est exactement le même que celui de ma copine d'enfance avec qui nous nous disputions la première place à l'école. Ce prénom là comprend presque toutes les lettres du prénom de ma mère... sauf 2.


Et ces 2 lettres manquantes, dans l'ordre, sont:


J et E, soit JE !!!!


Autre "coïncidence", le prénom de la grande soeur de cette copine, dont le regard méchant posé sur moi s'est gravé dans mon inconscient, à mon insu (rappel: je devais avoir une quinzaine d'années et avais eu le "permis de conduire" délivré par la Prévention Routière, alors que sa soeur non), ce prénom là contient phonétiquement une partie de celui de ma mère et la fin du mien !!!


"Parlant" et significatif non ? 


La suite bientôt, bonne fin de journée !!

 

 

Image du site Mamietitine

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20 août 2014 3 20 /08 /août /2014 18:11

Hello !


Aujourd'hui, 20 août, cela fait 34 ans que Joe est "parti" de l'autre côté.


Cela me donne l'élan pour continuer mes explications.


Pourquoi se trouve-t-on parfois régulièrement confronté à des personnages ayant des comportements (toujours les mêmes d'ailleurs) particulièrement "toxiques" ?


Pourquoi a-t-on du mal à voir ces mêmes personnages tels qu'ils sont, et non comme l'on voudrait qu'ils soient ?


Pourtant, notre intuition nous l'a soufflé maintes et maintes fois, en vain ; on a eu des signes pour nous alerter, mais on n'a pas voulu les comprendre, on les a même ignorés. 


L'excuse ???


Ne pas juger, on n'a pas le droit de juger ces comportements, il faut faire avec...


L'explication ?


C'est à la fois très simple et très compliqué: cela correspond au fait que cela fait écho à des comportements et souffrances liés à une, voire des personnes de notre parenté...
Qu'on pense, qu'on croit, qu'on nous a appris à ne pas avoir le droit de juger !!!!


Et pour ne pas être amené à juger ces comportements là sur notre ou nos parents, (et prendre conscience des souffrances générées en nous), alors on s'interdit donc de les voir...


Enfin, c'est plus exactement la part en nous qui est restée un enfant qui dépend de son ou ses parents, et qui "gère" notre vie à notre insu, qui nous l'interdit et qui, si on n'y prend garde, nous interdit l'accès à cette re-connaissance de faits et comportements "toxiques", voire "mortifères", qu'il serait pourtant urgent de reconnaître pour pouvoir les soigner et s'en préserver pour devenir enfin soi-même, et non le prolongement de ce ou ces parents.


"Coïncidence", hier, tandis que j'attendais mon tour dans la salle d'attente de l'orthoptiste, j'ai pris machinalement une revue: c'était un "Femme Actuelle" un peu ancien, je n'ai pas eu le temps de regarder la date... mais juste celui de lire un article qui donnait la parole à des femmes exposant leurs souffrances liées à des comportements abusifs de leur mère, alors qu'elles avaient 30, voire 40 ans, et étaient elles-mêmes mères de famille.


La psychologue spécialiste du sujet expliquait de façon très pertinente les raisons souvent "obscures" de tels comportements maternels, et conseillait la prise de conscience et la prise de distance, soit, d'une certaine façon, "l'émancipation", seule façon de se sortir du problème en ne cédant pas au sentiment de culpabilité et aux manipulations, en deux mots, devenir adulte, s'accorder ce droit là !


Autre "coïncidence", en ce moment j'apprends "L'Hypnose Humaniste", et suis en train de lire:


"L'Hypnose Humaniste pour les nuls" d'Olivier Lockert et Patricia d'Angeli (Hypnothérapeutes et formateurs, fondateurs d' l'IFHE), chez First Editions. 


On y apprend les dernières découvertes sur le fonctionnement de notre "Inconscient", dont l'âge mental serait de 6 ans, ce qui éclaire bien des modes de comportement et réactions !


Comment savoir sur qui les événements difficiles à vivre cherchent à attirer notre attention ?


J'en ai souvent parlé. Il convient de mettre chaque élément de la situation à plat, un peu comme si on la disséquait, et essayer de voir les similitudes qui vont nous éclairer sur le problème (problème récurrent -ex: manipulation-, circonstances, etc.), y compris en décortiquant les "synchronicités" qui donnent une vision exacte de la situation.


Quand donc on se trouve confronté à plusieurs reprises à des gourous et/ou sectes, cela a à voir avec notre histoire familiale et plus particulièrement l'emprise qu'elle a sur nous, puisque la secte se veut une famille, qui prétend protéger de dangers plus ou moins imaginaires, quitte à nous empêcher de nous exprimer, à nous imposer le silence, et ne surtout pas nous permettre d'exprimer notre différence, à nous isoler et nous détourner de tout autre personne ou centre d'intérêt.


Après, il convient d'examiner la situation et les protagonistes (femme, homme, couple, enfant, mode de fonctionnement, traits de caractère, noms, prénoms), avec une attention particulière pour tout ce qui provoque chez nous écoeurement, colère, peine. 


Il est important de voir les choses clairement, afin de prendre les mesures qui s'imposent pour s'en préserver DEFINITIVEMENT, CAR NUL N'EST VENU SUR CETTE TERRE POUR SE SACRIFIER ET ENCORE MOINS ETRE SACRIFIE SUR L'AUTEL DU MALHEUR DE QUELQU'UN, FUT-IL UN PARENT.


"Ce n'est pas dans l'ordre des choses qu'un enfant parte avant son ou ses parents" entend-t-on souvent dire. 


CE N'EST DONC PAS NON PLUS DANS L'ORDRE DES CHOSES QU'UN ENFANT PERDE SA VIE POUR PANSER LES PLAIES D'UN PARENT.


L'Amour, le vrai, ce n'est pas celui qui demande de se sacrifier. Il est certes plutôt du côté de celui qui sacrifie sa vie à autrui, mais il s'agit dans ce cas là de l'amour de l'autre, non de celui, pourtant essentiel, dû à soi-même, indispensable pour arriver à vivre heureux et en bonne santé. 


Certes, il peut être tentant de mal juger quelqu'un qui change de comportement et prend le large vis-à-vis d'un proche (surtout quand il a pu y avoir un sentiment de rivalité !), mais le moindre respect dû à la personne (donc un tant soit peu d'Amour, ce mot que l'on brandit tous sans trop en connaître l'essence), ce moindre respect donc, il voudrait qu'on cherche à comprendre, avant de juger et de critiquer, qu'on écoute, car souvent celui qui s'éloigne, il répugne à se confier, il souffre et culpabilise de ce qu'il a subi et ne veut pas risquer de gêner ou de faire du mal en parlant. 


Il est important de prendre conscience que, dans une famille, tous les membres ne sont pas traités de la même manière, et que, en se focalisant sur sa propre souffrance, on peut ne pas voir celle d'un autre, ou bien, qu'en se focalisant sur la souffrance de quelqu'un d'autre, on peut écraser la sienne propre, avec tous les risques que cela fait courir, car le "Maître Intérieur", il le fera comprendre... d'une façon ou d'une autre.


La maltraîtance physique et la maltraîtance à caractère sexuel sont reconnues. La première peut se voir plus aisément par les traces extérieures. 


Mais les blessures psychologiques, elles sont bien plus difficiles à voir, à reconnaître, et engendrent, de surcroît, un sentiment de honte et de culpabilité, chez les enfants (y compris devenus "grands" !).

ls ne comprennent pas pourquoi ils se retrouvent des "cibles", alors ils croient être mauvais, perdent confiance en eux. Cela amène des tendances à l'auto-destruction, via les addictions et les comportements dits "à risques". Et plus les enfants sont dits "précoces", plus ils ont la capacité à intégrer tous ces sentiments auto-destructeurs.


Pour couronner le tout, ils peuvent être jugés et critiqués par les ignorants et les non conscients, qui ne veulent pas chercher la ou les raisons... ce qui aggrave encore le problème !


Voilà, plus d'explications et de développements dans un prochain billet.
Bonne fin de journée !

 

Joe, par sa soeur Richelle

Joe, par sa soeur Richelle

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 18:18

 

Hello !


Effectivement, comme le laissait supposer le rêve dont je parlais dans le billet précédent, j'étais bien sur la ligne de départ, avec une vue "panoramique", et une situation ne tenait qu'à un fil.


Le regard plein d'amour laissait supposer que cela n'allait pas être facile à vivre...


Et ce fut douloureux, effectivement, et comme d'habitude ces chers Anges ont eu droit à quelques débordements... disons... imagés. 


Mais ils ont l'habitude, et pas rancuniers pour 2 sous, bien au contraire, car eux savent bien ce qui avait été la cause, m'ont aidée à en comprendre le sens, afin de m'aider à me libérer enfin DEFINITIVEMENT cette fois-ci, de 60 ans de conditionnement...


dans le rôle de "L'ENFANT PANSEMENT".


Depuis fin 2009, quand ma mère est tombée, alors que la santé de mon frère était déjà précaire, insensiblement (dans le sens de progressivement, et sans s'en rendre compte), prise par la compassion mais aussi le sentiment de culpabilité qui a été ma "nourriture" depuis l'enfance, oubliant la prudence dont j'avais appris à faire preuve, afin de me protéger et éviter de me laisser manipuler, je suis retombée dans le rôle de "L'ENFANT PANSEMENT", rôle de la majeure partie de ma vie, mais dont les maladies (burn out, dépression, anorexie), qui en étaient les conséquences, en avaient été aussi pour moi les révélateurs et paradoxalement les guérisseurs.


J'essaierai de trouver les mots pour vous expliquer, bien que ce soit difficile.


Peut-être le dernier sens et le fin mot de l'horrible mésaventure dans cette association, en 2010, qui m'a tant fait de mal, par l'écho dévastateur que cela a trouvé en moi, mais qui préfigurait une mise en garde contre "la peau de banane" liée à "la mère en deuil" et à ses dérives psychiatriques, que la vie tentait de me faire, en essayant de mettre sous mes yeux tout ce que je refusais de voir. Et sur quoi j'ai continué à mettre le déni après les découvertes de mes 2 dernières constellations familiales, dont j'aurais dû tenir compte, pourtant.


Mais c'était sans compter avec le lien de "loyauté familiale" invisible mais pourtant "monstrueusement solide".


C'était donc la partie la plus dure à accepter de voir... pour régler mes problèmes de vue !!!
Mission accomplie, apparemment, au moins en partie, car lors de la séance d'orthoptie (rééducation des yeux) qui a suivi ma prise de conscience, le thérapeute m'a indiqué qu'un point avait bien progressé...


Et ce point PORTE LE NOM DE CETTE ASSOCIATION !


Impressionnant !


En attendant plus de détails, plus léger, voici un signe important, qui est lié à ma prise de conscience, car le rôle de "l'enfant pansement" est en lien avec ce qui m'empêchait de reprendre l'écriture, puisque directement en rapport avec ma mésaventure de 2010.
Nous étions le 23 juin, j'avais déjà mes troubles de la vision (qui ont commencé le 20 juin, jour symbolique, car anniversaire de ma 2ème petite fille, prénommée Victoria (!!), et au moment même où je faisais changer mon opérateur téléphonique, à La Poste, je le rappelle, par une préposée prénommée...


Marie-Jo !!!


Ce lundi 23 juin, je revenais des courses en voiture, et déversais ma peine sur ces chers Anges:


"C'est mon frère que j'aurais voulu aider à guérir, ici, sur terre !"


Quand soudain, sa chanson fétiche est passée sur CHERIE FM (!!!) - (rappel: FM sont les initiales de mon demi-frère mort à 4 ans et demi), chanson avec laquelle j'ai souvent eu des signes, et que j'ai toujours beaucoup aimée aussi, car elle trouvait en moi le même écho qu'en mon frère, c'est:


"WORDS" d'FR DAVID, qui dit à peu près, notamment:


"Les mots ne me viennent pas facilement,
Comment puis-je trouver un moyen 
Pour te faire voir que je t'aime..."


Et juste après ce fut:


"HEY BROTHER - HEY SISTER" (Hé frère, hé soeur).


J'ai écouté les paroles en anglais, et me suis mise à pleurer:


Voici la traduction d'un passage, trouvée sur les sites "parolesmania.com" et "musictory.fr":

"-Hé ma soeur !
Crois-tu toujours en l'amour? ça m'étonnerait!
Oh si le ciel venait à s'effondrer, pour toi,
Il n'y a rien dans ce monde que je ne voudrais pas faire...

-Et si je me trouvais loin de la maison?
-Oh mon frère, j'entendrais ton appel.
-Et si j'ai tout perdu ?
-Oh ma sœur, je te viendrais en aide.
Oh si le ciel venait à s'effondrer, pour toi
Il n'y a rien dans ce monde que je ne voudrais pas faire."

 

 Voilà, c'est ainsi, je ne pouvais rien faire de plus pour lui sur cette terre, il avait choisi de partir, (cela m'a été dit le jour de son départ), entre autres pour me permettre de me libérer du sentiment de culpabilité lié à notre enfance, vis à vis de lui, injuste et injustifié, car c'était l'histoire de nos parents qui était cause de nos maux respectifs, les siens... et les miens qu'il écouvrait de "Là-Haut", et que je n'avais pu exprimer. 


Mais lui et d'autres ont besoin de moi, MAINTENANT, pour apporter une aide d'Amour à ceux qui souffrent des suites de manipulation.


Voilà, bonne fin de week-end !

 

 

Le lien dit de "loyauté familiale invisible"
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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 10:36

 

 

Hello !


J'ai pris un peu de retard pour vous raconter les derniers signes, que je vais essayer de rattraper, mais on va commencer par le rêve de la nuit du 29 au 30 juillet. 
J'étais en voiture, me semble-t-il, et sur une ligne de départ. La voiture semblait décapotable, car je voyais parfaitement autour de moi. Quelqu'un a tendu un fil devant moi, contre ma voiture, en me couvant d'un regard plein d'amour.

 

Il était beau !

 

Le Monsieur, pas le fil (hi ! Hi !)


Et c'était ? 


Qui  vous savez !


J'ai rarement rêvé de lui. Jamais avant les premiers messages de 2002, et juste une fois après. Dans mon rêve, je me disais:


"J'ai de la chance d'être jeune, ainsi il peut s'intéresser à moi."


Etrange rêve. La jeunesse, elle est un passée (hi ! Hi !). Peut-être la confirmation que "là-haut" ils nous voient toujours beaux ?


En attendant, il semble que je sois sur la ligne de départ, et que la situation ne tienne qu'à un fil. 


On va bien voir... Dans tous les sens du terme, j'espère.


Revenons en arrière. Le 30 juin.

Une copine du blog de Femme Actuelle dont je n'avais plus de nouvelles depuis pas mal de temps m'avait envoyé une paire de jours avant, juste autour de ma sortie de l'hôpital et de ma recherche des causes de mes soucis de santé, une vidéo d'internet conseillant...


De croire en ses dons et capacités !


Ce qui m'avait conforté dans ma décision de faire ce qui m'était demandé et d'écrire à l'artiste qui avait des problèmes d'yeux. Ce 30 juin, j'avais préparé le brouillon du courrier, la veille au soir, encouragée par un autre signe...


J'avais pris un des derniers exemplaires de mon livre ("Pluie de poussières d'Etoiles") pour le prêter à quelqu'un. Machinalement, je l'ai ouvert...


Pour tomber sur la page 207, où il m'était demandé, déjà, face à ma réticence à délivrer un message de ces chers Anges...


De ne pas faire de rétention d'information !!!


Vers 8h20, le 30 juin donc, j'ai démarré ma voiture pour aller faire des courses. Le présentateur de la radio Nostalgie a annoncé la chanson suivante:


"Viens je t'emmène" de France Gall.


N'ayant pas envie d'écouter cette mélodie là, j'ai voulu zapper...


Quand l'animateur a recommandé de bien écouter le message contenu dans la chanson, en insistant d'ailleurs sur le fait qu'on n'écoutait pas assez les messages contenus dans la chanson !


J'ai donc écouté, et effectivement, il semblait bien y en avoir un de message:


"Je te donne tout ce que j'ai à moi,
La clé d'un monde qui n'existe pas...
Viens, je t'emmène
Où les étoiles retrouvent la lune en secret..."


Mais aussi, plus loin:


"Viens je t'emmène
Derrière le miroir, de l'autre côté
Viens je t'emmène
Au pays du vent, pays des fées
J'ai tellement fermé les yeux
J'ai tellement rêvé
Que j'y suis arrivée..."


Le message était probablement de continuer à méditer et à me connecter, de lâcher prise et de ne pas avoir peur...


Ce même jour, j'ai entrepris de ramasser de la lavande dans mon jardin. Soudain, j'ai aperçu quelque chose de noirâtre qui affleurait au pied d'un plant de lavande...


C'était une truffe ! 


J'ai gratté pour la sortir de terre. Elle était presque vide, vu la saison. 


Etrange découverte, une truffe réduite à sa plus simple expression, dans la lavande ! Ce n'est vraiment pas l'endroit où on s'attend à en trouver, même dans une ancienne truffière, vu qu'il n'y avait pas de chêne proche.


Mais comme je ne crois pas aux "coïncidences" au sens où on l'entend communément, j'ai médité sur le sujet, et il me semble que le signe cherchait à bien me faire comprendre que je ne cherchais pas suffisamment encore mon chemin dans ma propre vie (le pied de lavande est contre le chemin qui mène à la maison), mais toujours influencée par celle de ma mère (originaire de Provence), et que cela ne me menait que vers une coquille vide. 


En effet, est-ce une "coïncidence" si ce jour là l'état mental de ma mère m'avait beaucoup déstabilisée. Il est expressément recommandé aux "aidants" de malades, surtout mentaux, de s'accorder le droit d'être égoïstes, afin de se préserver.


Mais pour cela, il faut être totalement libéré du sentiment de culpabilité.
Pas facile quand on le traîne depuis sa plus tendre enfance...

 

J'ai aussi, dans la foulée, appelé une amie de longue date dont je n'avais pas de nouvelles depuis plusieurs années, car, comme nous, très prise par le travail et ses activités, pour lui délivrer un message de ces chers Anges susceptible de l'aider face à des soucis qu'elle avait par rapport à la santé d'un proche, une amie commune m'en ayant informée. 


Là encore, j'avais refusé, au départ, arguant du fait que cette amie, de par ses contacts avec le domaine médical, n'avait pas besoin de mes conseils, et qu'elle n'y croirait peut-être pas.

Mais ces chers Anges avaient bien raison, comme toujours, dommage que mes mésaventures avec des ignorants m'aient inspiré tant de peurs, car non seulement mon amie a été ravie, intéressée et touchée, mais encore, le "hasard" de ses activités professionnelles l'amenait, pour la première fois m'a-t-elle confié, à passer le dimanche 6 juillet, à moins de 10 km de chez nous (elle ignorait que nous habitions là, vu nos déménagements successifs) et ne nous aurait pas contactés sans mon appel.


Et nous avons eu la grande joie de nous revoir à 2 reprises, autour de son  voyage ! Nous avions l'impression de ne jamais avoir perdu le contact.
Ce fut un beau cadeau de la part de ces chers Anges qui a sûrement contribué à l'amélioration de ma santé !!

La suite bientôt !


Bonne journée et bonnes vacances à ceux qui partent !

 

 

Carte postale achetée au Rocher des Aigles, à Rocamadour

Carte postale achetée au Rocher des Aigles, à Rocamadour

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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 17:57

Hello !


J'ai oublié de vous préciser dans le billet précédent, que le chien est sorti tout seul. Probablement parce que la Lumière du jour lui a montré l'issue, lui a donc permis de la VOIR.


N'est-ce pas symbolique de mon souci de vision ? En me tournant vers la Lumière, au lieu de courir, j'ai pu entrevoir l'issue.


Autre point qui me semble aller dans le sens de la thèse du virus, c'est cette conversation fortuite sur laquelle je suis tombée, le lendemain de ma sortie de l'hôpital, entre 2 dames inconnues, au niveau de La Poste (où avaient commmencé mes symptômes), qui était très exactement, je m'en souviens bien et l'ai réalisé pleinement par la suite:


"Il y a 15 jours d'incubation, on va voir."


Une incubation de 15 jours, c'est quand il y a une attaque de virus, ou de bactérie, mais pas d'AVC, diabète, myasthénie...


"On va voir". En fait, c'est bien ce qu'il se passe.


Mais le but est quand même atteint, toutes les hypothèses envisagées, avec les risques encourus m'ont quand même fait prendre conscience qu'il était plus que temps de prendre soin de ma santé physique, et pas seulement morale, même si les 2 sont liées.


Autre sujet, j'ai acheté dernièrement en kiosque le n° 23 de la revue de l'INREES (juillet/août/septembre).


Si j'avais été très déçue la première année par l'INREES, je reconnais bien volontiers que cette association s'est énormément améliorée (à mon goût).


Beaucoup de sujets intéressants dans ce numéro, que mon compagnon a lu presque de bout en bout, vous voyez, tout arrive !


On peut y lire, entre autres:


- un important dossier sur les "Etats modifiés de conscience"


- thérapie: blessures de nos vies antérieures,

etc.


J'ai surtout apprécié "l'entretien psy" passionnant et émouvant avec le psychiatre Jean Sandretto (p. 42 à 47), qui a écrit un livre en collaboration avec une voyante: 


"Guérir de ses traumas".

Il y donne son opinion sur les médicaments que l'on fait avaler généreusement aux malades dits "psychotiques", que je partage largement, pour avoir abusé pendant ma période de dépression (qui ressemblait plutôt à un "burnout" d'ailleurs), somnifères et autres antidépresseurs, dans l'espoir de ne plus penser, et surtout de moins souffrir, auxquels venaient s'ajouter d'autres médicaments pour "arranger" leurs effets secondaires !


Remarque: à cette période, je refusais mes capacités dîtes "médiumniques". Ceci explique peut-être cela.


Toujours dans cet entretien avec le psychiatre Jean Sandretto, dans la revue Inexploré, j'ai relevé ces phrases, p. 46:


"Je pense que les rêves ont cette fonction de nous reconstruire".


"Beaucoup de ces médicaments cassent les rêves par exemple. Or je pense - enfin, c'est mon expérience- que les rêves, (...) servent très profondément à guérir."


"Coïncidence", le 16 juillet (jour de fête de Notre-Dame du Mont Carmel !), je me suis réveillée en sursaut.

Je venais de rêver que je circulais sur une route étroite, qui montait, et que je me sentais poussée par un gros bus rouge, derrière moi. J'avais peur et avais des troubles visuels très forts, qui faisaient que je n'y voyais rien. Or, un autre gros bus rouge descendait cette même route étroite, et j'avais peur de le heurter.


En réfléchissant au sens à donner à ce rêve, j'ai réalisé qu'en fait, une des raisons à mon manque de motivation à reprendre l'écriture, c'est la peur de ne plus m'appartenir. 


C'est vrai que durant la période très riche en messages, du temps du blog sur Femme Actuelle, ma vie a été très agréable, gaie, je me sentais utile. Mais le revers de la médaille, c'est que je me suis un peu "perdue" en contacts superficiels avec beaucoup de personnes qui n'ont fait que passer dans ma vie. 


Je mettais un point d'honneur à répondre à tout le monde, à écouter aussi, essayer d'aider à trouver des solutions, pas toujours appréciées d'ailleurs. Beaucoup de personnes voudraient qu'on leur donne leurs solutions vite, mais surtout qu'elles soient agréables, faciles, et selon leurs voeux, et quelquefois même cela semble un dû, certains ont l'air de trouver normal que d'autres se sacrifient.


Certes, mon besoin d'être aimée y a trouvé son compte, enfin a voulu y croire, mais j'ai pu mesurer, avec le départ de mon frère, à quel point c'était un leurre, un piège. J'en étais pourtant consciente et pensais l'avoir limité. Mais j'ai réalisé, en prenant à ce moment là dans la figure toutes les souffrances sur lesquelles mes chers inspirateurs célestes m'avaient pourtant demandé avec insistance de travailler, que je les avais négligées, trop occupée à écouter et panser celles des autres.


Alors, je dois avouer que mon petit blog, maintenant, il me va bien. Ceux qui le lisent n'y tombent pas dessus par "hasard", ils y sont guidés probablement, quelle qu'en soit la raison. Je me sens en sécurité, ne risquant pas de me retrouver prise dans un tourbillon.


Alors, le sens de mon rêve m'a "sauté aux yeux". 


Avoir peur ne sert à rien, tout au contraire, cela risque de me précipiter dans un danger similaire (le bus derrière, et le bus en face: passé et futur).

Je dois "simplement" continuer à apprende à savoir dire "NON !", comme j'y suis amenée avec mon souci de santé et la fatigue, mais aussi à savoir prendre du recul, jour après jour, afin d'être bien sûre de faire ce que je ressens, et non ce que d'autres veulent me pousser à faire.


En clair, je dois être consciente des risques de la "dynamique de groupe", et ne pas hésiter à m'arrêter quand le besoin s'en fera sentir, pour mieux reprendre ma route tranquillement.

Essayer d'esquiver le piège est déjà tomber dans le piège !


Mes chers inspirateurs célestes m'ont fait remarquer que je me trouve dans la situation que j'ai cherché à éviter à tout prix:


Ils m'avaient déconseillé d'acheter cette maison, à cause des travaux trop importants, du risque de fatigue, d'énervement, de soucis, etc.
J'ai donc dit non au départ, à mon compagnon, puis peu à peu, comme d'habitude, j'ai fini par céder.


Mais pour être honnête, je dois bien reconnaître que tout ce travail était aussi un bon prétexte pour remettre la réception de messages aux calendes grecques...


Sauf que je me suis retrouvée dans la situation exacte que je cherchais à fuir: ne plus s'appartenir, avoir la tête dans le guidon, ne plus avoir de temps pour soi et les siens, et pour couronner le tout, finalement, ne pas faire ce que je suis venue faire !!!!

Voilà, bonne fin de journée, sans trop d'orages pour vous, j'espère !

 

Chercher à esquiver le piège, c'est déjà y tomber !
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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 19:25

Hello !

Pour te répondre, Jackette, tu trouveras sûrement des pistes au sujet de ton problème de santé récurrent dans les ouvrages du Dr Michel Odoul: 


"Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi" et
"Un corps pour me soigner, une âme pour ma guérir".


Personnellement, cela m'a souvent aidée.


Mais il y a aussi les signes et surtout l'intuition et les ressentis. Pour ce dernier point, de plus en plus de praticiens en tiennent compte, heureusement. Autrefois, il arrivait parfois, suivant le médecin, qu'on ait l'impression d'être soigné par un "dur de la feuille" (pas de soin mais de l'oreille!). D'où les erreurs fréquentes.


Mais il y a aussi les signes et les rêves, qui peuvent aider à comprendre ce qui "cloche". 


C'est ainsi qu'en revenant dans mon agenda, j'ai remarqué que la nuit qui a précédé l'apparition de mes problèmes d'yeux, il s'est passé un truc étrange, et qui m'a bien semblé prévenir d'un danger potentiel.


Vers 2 heures du matin, nous avons entendu un chien aboyer sous nos fenêtres. J'ai ouvert les volets et ai distingué une silhouette de chien. J'ai cru qu'il était à l'extérieur de la clôture de l'enclos. Comme le terrain est grand et n'était pas clôturé, nous avons fait un enclos autour d'une partie de la maison, dans lequel je peux laisser mes chats en sécurité, le matin et le soir, et quand nous partons.


Enfin, jusqu'à cette nuit du 25 au 26 juin, à part un chat de voisin, aucun animal n'avait réussi à rentrer dans l'enclos.


Cette nuit là donc, l'animal a aboyé souvent. A 5 heures, mon compagnon m'a dit que le chien était dans l'enclos, ce qui expliquait pourquoi il aboyait, mais qui m'a mise en transe: 


Et si mes chats avaient été dehors ?
Et si ça devenait une habitude, que ce chien saute le grillage ?


Ne pouvant dormir plus, nous nous sommes levés. Le chien était au fond de l'enclos, visiblement plus effrayé que méchant. Apparemment, il n'arrivait pas à sortir. Mes chats, pour une fois, ne manifestaient pas d'intention de sortir, ayant bien compris qu'il y avait un souci... Cracotte grognait.


Puis on n'a plus entendu aboyer. Le jour s'était levé, et j'ai distingué que le grillage avait cédé à l'endroit où nous avons ménagé une ouverture (j'y voyais bien encore !). Sans doute n'était-il pas bien fermé. Le chien, s'il courait, n'avait peut-être pas vu la clôture et l'avait enfoncée à l'endroit "fragilisé". 


Mais j'étais soulagée ! Plus de peur que de mal.


Comme pour le moment aucune cause n'a été trouvée pour expliquer mon souci de vue, et en attendant de faire l'IRM, je pense qu'il doit s'agir d'un virus. Quelqu'un de l'entourage de mon compagnon a eu les mêmes symptômes, une hospitalisation aussi, et un virus a été détecté.


Je suppose qu'à trop courir (comme le chien probablement), et avoir la tête dans le guidon, j'ai eu une baisse dans mes défenses immunitaires (clôture forcée), favorisée par la tension trop basse (clôture peut-être mal fermée).


Je précise qu'il m'est arrivé plusieurs fois, devant la perplexité du corps médical quand j'ai eu des soucis de santé, de ressentir le bon diagnostic. Mon médecin, quand j'habitais l'Hérault, me disait que j'avais toujours des "trucs bizarres". Il tenait toujours compte de mes ressentis.


Mais revenons à cette même nuit, j'ai noté avoir fait un rêve: ma mère m'appelait. Elle pleurait. Inquiète, je lui demandai ce qu'elle avait, et bizarrement, elle retrouva imédiatement son état normal et me parla tranquillement d'autre chose, sans répondre à ma question qu'elle ne paraissait pas avoir entendu d'ailleurs.


Voilà, la suite nous dira peut-être si c'est la bonne piste... Celle suivie par le chien ??

 

Pour ceux et celles qui s'intéressent à leur santé et ont envie d'en être partie prenante, il y a un livre écrit par le Docteur Michel LALLEMENT, cancérologue, aux éditions Mosaïque Santé, Collection Vérités, qui est une mine d'enseignements, d'ouverture, de pertinence, et qui surtout, donne des tas de conseils. Son titre:


"Les 3 clés de la Santé- Alimentation, environnement, Mental et émotions"


Une sommité qui prend en compte de façon ouverte et équilibrée l'impact du mental et des émotions sur notre santé.

J'y ai retrouvé beaucoup des conseils de ces chers Anges (sur le volet Mental et Emotions notamment).


Mais en plus, il donne des exercices et explications pour arriver à neutraliser 2 fléaux: le sentiment de culpabilité et la rancoeur. Lui aussi pense qu'il faut neutraliser les mauvais souvenirs, et pas en les ignorant mais en les affrontant. 


Remarque importante: on y apprend qu'il existe des "Centre Ressource" dans les Alpes Maritimes et à Aix. Ces centres apportent aide, information et soutien aux malades. Cela permet à des personnes fragilisées et leurs proches, d'être épaulés, écoutés, conseillés en toute sécurité, en confiance et dans le respect, c'est essentiel, mais aussi surtout sans se faire "plumer".
On y trouve aussi une importante bibliographie et des liens internet.


Voilà, bon week-end et à bientôt !

Image du site Mamietitine

Image du site Mamietitine

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 18:58

Hello !


J'espère que le beau temps est revenu pour tout le monde, en cette journée de fête Nationale. Bon signe, ce beau temps aujourd'hui, où l'on commémore la prise de La Bastille, qui, rappellons le, était une prison.


Revenons sur les explications à mes soucis de santé.


Une des pistes évoquées fut donc "une maladie rare des yeux", et ce, notamment par la 1ère orthoptiste consultée.


Elle m'a expliqué que j'avais un muscle, sur le nez, côté oeil gauche, qui était paralysé. De ce fait donc, a-t-elle ajouté, l'oeil droit se fatigue à envoyer des signaux qui ne sont pas relayés par le gauche.


Parallèlement aux examens médicaux, j'ai essayé d'analyser le sens de tout cela, en prenant en compte tous les signes que j'avais eus (voir billets précédents).


Il se trouve que j'avais refusé obstinément, et à plusieurs reprises, de délivrer un (entre autres !) message que ces chers Anges m'avaient inspiré. Je les connais pourtant bien, mais ça ne m'a pas empêchée de penser que nous étions tombés d'accord: non, c'était non !


Sauf que ce n'était pas le cas.


Ce message était une piste de réflexion à adresser à quelqu'un de médiatique qui a des problèmes de maladie des yeux, pour l'aider, peut-être... en tous cas c'était le but. 
Je suppose que vous voyez de qui il s'agit, puisque c'est aussi en rapport avec Joe.


Bon... je sais bien...


Que je ne sais rien, mais que ces chers Anges si...


Mais ça ne m'a pas empêchée de leur dire que ce n'était pas la peine, que c'était du temps perdu, que la personne en question ne prendrait même pas la peine de lire le message, et que dans le cas contraire, elle n'y croirait pas. Il doit y avoir tant d'hurluberlus qui lui écrivent des âneries...


Mais voilà, quand j'ai ressenti personnellement les effets de problèmes de vue sur la qualité de vie, j'ai n'ai pu qu'éprouver de la compassion et l'envie d'aider, même en pure perte: sans la vue, on ne peut pas faire grand chose !


D'ailleurs j'avais surtout des difficultés à voir correctement en arrière, ma vue se dédoublant: impossible, au plus gros du problème, de reculer sans danger, et encore moins de faire un créneau ou de me garer entre 2 voitures. 


J'ai donc bien compris que je ne pouvais plus faire marche arrière, ni me planquer dans mon petit trou !
Et j'ai du même coup réalisé à quel point, même si on se trouve insignifiant, il est important de bien remplir son rôle.


La preuve: un tout petit muscle de rien du tout, PARALYSE, prive un être tout entier de son autonomie !!! Le corps est une merveilleuse "machine" hyper sophistiquée, mais dont tous les "acteurs" ont leur utilité, certains étant même indispensables.


Par "hasard", je suis aussi tombée sur un article daté du 15 
Avril, sur internet. La personne destinataire du mesage y annonçait l'annulation de sa prestation. 


Cela nous amène à "l'effet papillon".


Mes chers inspirateurs célestes m'ont démontré ceci:


"Imagine que tu aies transmis le message, qu'il ait été lu et qu'il ait aidé à améliorer la santé de l'artiste. Alors, outre le soulagement de la personne malade, dont tu peux mesurer l'importance, le spectacle aurait peut-être eu lieu. Il aurait apporté aussi du bonheur à beaucoup de spectateurs venus applaudir l'artiste et la prestation. Mais n'oublie pas que cette manifestation permet aussi à tout un tas de corps de métiers de gagner leur vie. Ce que cette annulation a empêché. 
Tu vois qu'une paralysie peut avoir d'énormes conséquences, bien plus que tu ne peux l'imaginer !"


Je me suis donc exécutée...


Enfin, je l'ai promis, bien décidée à tenir parole, dès le lendemain de ma sortie de l'hôpital, soit le samedi. Ce jour là, je suis allée faire mes courses au marché, conduite par mon compagnon. Arrivée au niveau de la Poste (rappel, c'est à La Poste que j'ai ressenti les premiers signes des troubles), j'ai croisé 2 dames inconnues qui discutaient. 


L'une disait à l'autre:
"Il y a 15 jours d'incubation. On va voir..."


Un peu plus loin, tandis que je faisais la queue pour acheter des fruits, une dame et son enfant me précédaient. Soudain, la dame, s'adressant apparemment à sa fille, qui était contre elle, a dit ceci:


"Marylou, tu es bien coquine en ce moment !"


CE FAISANT, ELLE ME REGARDAIT au lieu de baisser la tête vers sa fille ! Et elle a répété sa phrase, toujours avec un regard vers moi !
Pas de "hasard", bien sûr. Mais j'étais étonnée et me suis bien demandé:


"Pourquoi ?"


J'avais pourtant bien l'intention de faire ce qui m'était demandé...
Mais j'ai compris un peu plus tard, en réalisant qu'en fait, j'essayais juste de "refiler" la patate chaude à une amie qui me semblait bien placée, peut-être, pour m'aider à faire parvenir à l'artiste en question mon message.


C'était bien essayé... mais ça n'a pas marché, l'amie en question ne savait pas comment faire pour joindre cette artiste. J'ai donc dû me débrouiller seule, et...
ai trouvé une adresse. "Mission" accomplie et postée le lundi, en me rendant à mon rendez-vous chez l'ophtalmo, après avoir eu le week-end pour écrire le message et les explications.


Mais il y avait autre chose encore, car l'ophtalmo et l'orthoptiste qui a pris la suite de la première, n'étaient pas d'accord avec le premier dignostic. La 2ème orthoptiste était d'ailleurs en colère contre sa collègue, et m'a expliqué que cette dernière partait pour travailler ailleurs, et que depuis qu'elle l'avait décidé, elle n'était plus motivée !


Je suppose que c'était une pierre dans mon jardin, moi qui avais du mal à vraiment me motiver à faire ce qui m'était demandé, ayant trop d'activités annexes: sans motivation, on peut faire des erreurs d'interprétation.


C'est ce que m'a expliqué la 2ème orthoptiste:


"Elle n'avait qu'à lire les résultats du bilan, ce n'était pas compliqué !"


Le résultat de mon "obéissance" ne s'est pas fait attendre: ma vue s'est améliorée !!
Et bonne nouvelle: je n'ai pas une maladie rare des yeux, d'après les résultats !


"Coïncidence", en regardant dans mon agenda, j'ai constaté que le 15 Avril, c'est le jour où le chat de mon frère est revenu pour la 3ème fois chez ma belle-soeur, miaulant à la porte-fenêtre, tandis que nous discutions des soucis de santé de ma mère, craignant qu'elle ne puisse rester chez elle.


Il y avait aussi un rapport avec le fait que je ne voulais pas voir en face les problèmes de ma mère. Plus précisément, je ne voulais pas parler à son Docteur de ses périodes de crise, craignant qu'elle n'apprenne de quoi elle souffre. 


Le problème, c'est que cela nous amenait à trop prendre sur nous, ma belle-soeur et moi, et ce n'est bien sûr pas bon pour la santé. J'ai donc informé le médecin, et ma vue s'est encore améliorée. 
De plus, ma mère ne saura pas pour autant ce qu'elle a, je n'avais pas à avoir peur !


Bonne fin de journée et à bientôt pour la suite des explications.

 

Ne sous-estimer l'importance de rien
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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 19:42

 

 


Hello !


J'essaie de prendre le temps de me reposer et surtout de me mettre à jour avec ces chers Anges. Et de fait, au fur et à mesure que je m'exécute dans ce qui m'était demandé, et essaie de comprendre le sens de mes symptômes, ma vue s'améliore. 


J'avais un problème avec mes capacités de "double vue", ayant refusé obstinément, ces derniers temps, de délivrer certains messages. J'y reviendrai.


La fatigue s'améliore doucement. La tension est montée à 8 (j'avais 7 parfois), donc pas le choix, repos !


Inutile de tenter de repartir, "l'oeil de Moscou" veille jalousement. ** Tiens, tandis que j'écris cette phrase, un bruit retentit dans la pièce. Confirmation ??


Chassez le naturel, il revient au galop, Mardi, pourtant pas trop en forme, je me suis visualisée continuant à repeindre les volets. A peine le temps d'y penser, qu'un:


"Aïe ! Aïe ! Aïe !" a retenti dans ma tête, et vu le ton, j'ai aussitôt pensé que ce n'était peut-être pas une bonne idée.


Confirmation, car aussitôt, à la radio ou peut-être la télé, je ne me souviens plus, a retenti, sur le même ton un:


"Aïe ! Aïe ! Aïe !"


Bon, on va continuer à se calmer.


Ce d'autant plus que grâce à la Tante de mon compagnon, j'ai mis le doigt sur une autre des significations de ce besoin de travailler. Elle m'a un peu grondée, me disant que je n'aurais jamais dû faire les travaux que j'ai faits dans la maison, "c'est un travail d'homme" a-t-elle ajouté.


J'ai été étonnée de la remarque, vu que j'ai toujours vu ma mère travailler comme un homme.


Et du coup, j'ai réalisé qu'une fois de plus, je ne suis pas totalement dans ma vie, mais toujours influencée par celle de ma mère. C'est probablement pour cela que le problème vient de mon oeil droit (le côté féminin, selon le Docteur Michel Odoul, dans son livre: "Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi").


La différence, c'est que ma mère a une constitution particulièrement robuste. Ce qui n'est pas mon cas, hélas.


Remarque: il y a eu une erreur d'interprétation lors du bilan que m'a fait une orthoptiste, qui, la semaine dernière m'a indiqué que c'était mon oeil gauche qui avait un souci, contrairement à ce que je pensais. Or, l'ophtalmo et sa collègue qu'elle remplaçait et qui a pris la suite, étaient de mon avis. 


Et les résultats du 2ème bilan l'ont confirmé vendredi: c'est bien l'oeil droit. Mais cela avait un sens, je l'expliquerai en détails plus tard. 


Aujourd'hui, mon compagnon est parti manger chez sa Tante et le cousin avec qui je me suis "fritée" il y a quelque temps. J'ai décliné l'invitation, bien sûr. Mon compagnon a prétexté mon état de santé pour expliquer ma défection. C'était du pain béni pour lui, qui se demandait comment il allait faire pour leur dire.


Je n'ai pas trop eu le temps de glander toute la matinée, mais j'expliquais à ces chers Anges que je me rattraperais l'après-midi. A 12h30 environ, je me suis installée devant la télé avec mon plateau repas, devant France 5. Le programme étant terminé, j'ai zappé machinalement sur Canal + (!!! Canal ou channel ??), que je ne regarde pourtant jamais...


Pour tomber sur une émission qui commençait juste, dont le titre était:


"LA VIE AU RALENTI" !!!


Je riais franchement, car le présentateur vantait les mérites des vacances, encourageant à ne rien faire. On voyait défiler des images au ralenti.


Au bout d'un moment, cette lenteur m'a semblé insupportable, et, tant pis pour ces chers Anges, j'ai attrapé la zapette et ai tenté de changer de chaîne. N'y arrivant pas, je me suis levée pour bien viser...


Et pour entendre A CE MOMENT MEME le présentateur dire:
"Surtout n'éteignez pas !" !!!


N.B.: le channeling ou communication avec "l'au-delà" demande beaucoup d'énergie, et comme je suppose que ces chers Anges vont avoir besoin de mon "canal", ceci explique probablement cela.


Je vais donc écouter les conseils unanimes, ainsi que ceux de Jackette, Mounette et Guylaine, que je remercie aussi pour son com, et me tenir à carreau !


Bonne soirée !

Ils surveillent, et ça ne rigole pas !
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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 16:22

 

 

 

Hello !


J'espère que vous allez bien !


Petite rectification par rapport au billet précédent, et sauf leur respect, ces chers Anges ne sont pas passés jardiniers mais...


GARDES-CHIOURMES !


Gardes-chiourmes pris dans le 1er sens: surveillants de galères (à moins que ce ne soit pour empêcher des galères !) !!


J'aurais dû voir venir les choses, vu le gif coeur malicieux qui fait un clin d'oeil, que j'ai ressenti de mettre, mais aussi le papillon-bâton (pour "l'effet papillon" ou bâton pour faire avancer l'âne ?), vu que j'ai pris cette photo il y a bien un an.


Vous savez "comme moi" (ces chers Anges tiennent à ce que je rajoute ces 2 mots !) qu'il fallait que je me repose, les "batteries étaient à plat", le signe avec le détecteur de fumée était clair.


Honnêtement, j'ai vraiment eu l'impression de lever le pied ces derniers temps.


Oui, bon, récemment nous avons voulu continuer à poncer et peindre nos portes et volets, avec mon compagnon, et avons donné un petit coup de collier, nous congratulant mutuellement sur le fait que nous avions bien travaillé.


Est-ce que ça a "agacé", en "haut-lieu" ?


En même temps, on n'a fait qu'une porte et 2 volets sur une paire de jours, ce n'était pas non plus la mort du petit cheval.


Ou alors, était-ce le fait que je conseillais consciencieusement autour de moi...


De surtout prendre le temps de vivre et se reposer !! ??


Alors, ces chers Anges ont probablement décidé de prendre les choses en mains et de me forcer au repos !!


Connaissant leur Amour immense et leur délicatesse légendaire, vous vous dîtes déjà avec attendrissement qu'ils ont dû s'arranger pour me faire gagner un séjour dans un hôtel de rêve, avec bains bouillonnants et massages aux huiles parfumées !! 


????


Oui...


Eh bien non, raté ! 


Je me suis retrouvée jeudi expédiée...


AUX URGENCES DE L'HOPITAL, et dans la foulée hospitalisée EN SOINS INTENSIFS POUR LA NUIT, avec cathéter au bras gauche, puis ensuite perf au bras droit, le torse tapissé d'électrodes, sous la surveillance d'un appareil qui couinait !!


Et pour couronner le tout, toutes les 4 heures, j'avais droit à un chek-up complet: lumière dans chaque paupière (sympa la nuit !), prise de température, pic au bout du doigt pour la glycémie, prise de tension qui m'étouffait le bras...


Je ne me suis pas gênée pour reprocher "là-haut" leur manque d'imagination flagrant, même sachant qu'ils adorent que je me laisse "coucouner".


Réponse ?


"Pour gagner un séjour de rêve, encore faudrait-il que tu joues. Et en cas de gain, tu aurais bien été capable de le remettre aux Calendes grecques, ou d'en faire cadeau à quelqu'un d'autre... Au moins ça, tu l'as bien gagné."


Voilà, en même temps, ce n'est pas faux.

Au cas où je n'aurais pas compris, ils avaient pris les devants. J'avais emporté avec moi un livre (et un seul !), de Paolo Coelho qui m'avait été conseillé par un ami:

"L'alchimiste".

L'ayant trouvé dans les jours uivant sur un vide-greniers, je l'avais donc acheté et n'avais pas pris le temps de le lire.

Pour passer le temps, je l'ai ouvert. Voici la page d'accueil:

"(...) Cette femme avait une soeur, nommée Marie, qui s'assit aux pieds du Seigneur et écouta ses enseignements.

Marthe allait de tous côtés, occupée à divers travaux. Alors elle s'approcha de Jésus et dit:

Seigneur, ne considère-tu point que ma soeur me laisse servir toute seule ? Dis-lui qu'elle vienne m'aider.

Et le Seigneur lui répondit:

Marthe, Marthe, tu te mets en peine et tu t'embarrasses de plusieurs choses. Marie, quant à elle, a choisi la meilleure part, qui ne lui sera point ôtée.

Luc X, 38-42"


Revenons aux raisons de ce séjour.


Le jour où je suis allée changer mon forfait téléphonique grâce à une charmante préposée dont j'ai entendu le prénom, car elle s'est présentée au téléphone à une collègue pour se renseigner au sujet de mon changement:


"L'autre Marie-Jo" a-t-elle dit..


Sur le moment, si le prénom m'a bien fait "tilt", je n'ai pas trop fait attention au fait qu'elle a dit: "l'autre".


Cela avait pourtant un sens que je vous expliquerai dans un autre billet, avec les symboliques de mes soucis de santé.


Mais c'est durant ces opérations que j'ai commencé à avoir des ressentis bizarres: comme si j'étais dédoublée, ou en tous cas en retrait, dans le flou.


Je ne me suis pas inquiétée, le mettant sur le compte de la fatigue et d'une tension trop basse, probablement, mais aussi parce que j'avais déjà eu cette impression quand il m'est arrivé, à 3 reprises, de voir des tas de personnages auréolés de lumière, mais  comme d'une autre dimension, ils étaient extérieurs à notre "niveau" ; et dans le même temps, je percevais des lumières autour de personnes qui étaient elles bien vivantes autour de moi. Sauf que c'était quelques minutes avant et cela passait.


Je me suis donc dit que cela allait recommencer et ai attendu...


Mais rien ne s'est passé, et les symptômes et troubles visuels ont persisté, j'avais même du mal à conduire, à me garer surtout, voyant parfois double, notamment quand je regardais en arrière ou sur le côté. Dans mon entourage cela inquiétait, ce qui est normal, je sais bien que voir double, même par moments, c'est une urgence qu'il ne faut pas négliger. Je suis donc allée voir ma doctoresse jeudi, au cas où je me tromperais sur les raisons de mes soucis. Elle s'est inquiétée et m'a envoyée aux urgences illico, demandant à ce que mon compagnon me conduise, surtout par rapport au risque d'AVC, ce d'autant plus que ma mère en a eu 2.


J'avais les boules, passez-moi l'expression. Il était aux alentours de 13h30 quand nous avons démarré. J'ai allumé la radio (Nostalgie) en disant à mon compagnon:


"Un petit coup de Joe, ça remonterait le moral" !


C'était une voix féminine que j'ai reconnue rapidement, car qui vous savez a pris le relais. 
Il s'agissait de:


"Salut les amoureux", duo virtuel d'Hélène Ségara ave Joe !!


Cela prend tout son sens quand on sait qu'Hélène a une maladie rare des yeux.


Là, l'envie de tordre des cous, même Saints, le disputait à l'envie de rire. Mais bon, j'ai fait profil bas, on ne pouvait pas dire que je n'avais pas été prévenue de devoir faire attention à ma santé.


Durant mon séjour (pas désagréable, car j'ai eu affaire à un personnel gentil, compétent, respectueux, bref parfait), plusieurs pistes ont été évoquées par les médecins: AVC, diabète, sclérose en plaques, Dieu merci toutes écartées par les examens...


Mais aussi...


Myasthénie, maladie auto-immune rare des yeux !!!


Cela semble ne pas être le cas non plus, je vous raconte la suite bientôt !


Bonne fin de journée !

Le papillon, le bâton et le clin d'oeil !!
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