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Hello !
Enfin je peux trouver un moment pour écrire. Ces chers Anges doivent être contents, car j'ai eu quelques mignons petits signes pour m'inviter à le prendre, ce temps.
D'abord, comme d'hab', chaque fois que j'entendais Joe à la radio, c'était:
"La femme qu'on attendait" !
Ensuite, un contact (et un seul), que nous avons eu, à la suite d'une annonce passée sur le site "Le bon coin" (nom significatif, non ???), ce contact se prénommait:
"Jo" !
Puis, il y a quelques jours, j'ai reçu un courrier de ma mère. Elle avait signé, comme d'habitude: "Mamie", mais cette fois-ci, elle a ajouté en dessous "J.D." !
Qui sont les initiales du diminutif de son prénom, et de son nom. Ce qui m'a permis du même coup de remarquer la similitude avec celles de Joe !!
Et puis hier matin, en allant faire les courses, avec ma fille et ma petite-fille, nous avons parlé de Grégoire, que j'aime beaucoup, ainsi que ma fille d’ailleurs, et dont les chansons m'ont souvent donné des signes...
Nous avons notamment évoqué:
"Toi + moi"...
Et dans les minutes qui ont suivi, cette même chanson a été diffusée à la radio...
Et une deuxième fois un peu plus tard !!!
Venons-en donc au sujet, relatif aux signes qui donnent des indications destinées à nous guider, notamment à nous alerter s'il s'avère qu'il y ait un problème. Ces signes peuvent sembler subtils au départ, puis si on ne se donne pas la peine de chercher à les interpréter, ils deviennent de plus en plus pressants et insistants...
Pour finir par être franchement désagréables, si la situation l'exige, j'en ai quelques souvenirs cuisants !
Parmi les très nombreux signes destinés à me faire comprendre que l'association dans laquelle j'avais mis les pieds n'était pas du tout ce que je croyais, quand j'ai analysé, avec le recul, il y en a eu de très évidents.
Par exemple, dès ma première conférence. J'ai sympathisé avec une dame charmante, qui avait "perdu" quelqu'un de cher. J'ai eu une "vision" de dessin à lui donner, qu'elle accepté avec simplicité et gentillesse.
Sur ce dessin, il y avait le portrait de son cher "disparu", côtoyant un beau cygne.
J'ai demandé à la dame à qui était destiné le dessin si elle voyait pourquoi j'avais ressenti de mettre un beau cygne à côté du visage aimé. Elle m'a dit qu'elle pensait que c'était parce que toute sa vie il avait eu l'impression de ne pas être reconnu à sa juste valeur.
A la suite de cela, mes chers inspirateurs célestes m'ont donné des explications, (les personnes qui me suivent depuis le début s'en souviennent), afin d'arriver à se débarrasser de l'image du "vilain petit canard", pour devenir enfin le beau cygne.
Mais le signe (et non cygne... quoi que...) dont je parle, c'est que cette dame et son proche ont quitté durant cette même période l'association en question dans des conditions difficiles pour ces êtres réellement lumineux, pour cause de désaccord profond.
J'avais refusé, à l'époque, de prendre parti ou m'en mêler, et je trouvais la façon dont ils étaient traités bien peu élégante, mais me suis dit, comme d’habitude, que ce n’étaient pas mes oignons.
Pour le coup, pourtant, la symbolique tentait de me dire que le beau cygne, il était du côté de ceux qui partaient parce que les façons de faire ne leur convenaient pas.
Et pour enfoncer le clou... ce que je n'ai pas su décrypter, ce fut quand quelque jours plus tard j'ai reçu, envoyé par une intervenante habituelle de l'association, un livre qu’elle avait écrit, et dont elle avait fait la promo. Aucune explication n'accompagnant le bouquin, j'ai cru naïvement que c'était l'intervenante en question qui me l'offrait, pensant bêtement que c'était une pratique habituelle de ladite association.
J'ai donc envoyé en retour et en remerciement, un exemplaire de mon livre à l'auteure de celui que j'avais reçu...
Quelques jours plus tard, j'ai été appelée par la gentille dame à qui j'avais offert le dessin, qui voulait savoir si j'avais bien reçu l'ouvrage de l'intervenante, qu'elle m'avait fait envoyer pour me remercier du dessin !
J'avais "les boules", passez-moi l'expression, en réalisant l’erreur. Et la gentille dame était aussi chagrinée de la méprise.
L'auteure du livre m'a appelée quelques jours plus tard (à son retour de vacances), pour me demander que faire de mon ouvrage. Elle m'a expliqué avoir oublié de m'indiquer que ce livre était un cadeau et surtout qui me l’adressait. Je lui ai dit de lire le bouquin, si elle le désirait, puisqu'elle l'avait, puis de le remettre à celle qui m'avait fait le présent.
Voilà, tout cela n'était pas dû au "hasard", mais bien destiné à me faire comprendre que l'association en question était loin d'avoir la générosité gratuite que je lui prêtais.
La suite bientôt, bonne fin de journée !
Photo prise à Rocamadour, il y a 8 jours. Nous nous étions arrêtés un peu avant d'arriver, pour faire admirer le site à la Tante de mon compagnon, qui ne connaissait pas, quand 7 aigles du Rocher des Aigles sont venus tout près de nous. Mon compagnon a réussi à en prendre un en photo:
Hello !
J'espère que vous allez bien, avec l'été enfin là.
Non, je ne suis pas partie en vacances. Beaucoup d'occupations, et surtout pour une excellente raison: dimanche, nous baptisons Victoria, (en région parisienne) !
D'abord, merci à tous ceux qui ont pris des nouvelles de ma mère... Et de moi !
Elle va bien, elle a pu rester chez elle, et a retrouvé son autonomie ! Nous sommes loin des prévisions alarmistes du mois dernier, qui la voyaient enfermée, ne pas retrouver ses esprits... même s'il convient d'être prudent, vu son âge.
Mais l'essentiel est qu'elle puisse terminer ses jours du mieux possible.
Tout cela me semble confirmer ce que ces chers Anges disent, et que j'ai pu si souvent vérifier:
Dès qu'on comprend ce que la vie cherche à nous faire comprendre, la situation s'améliore, voire se règle.
Pour ce qui est de ma mère, elle m'a avoué à plusieurs reprises, que lorsqu'elle s'est sentie dépassée par certaines situations difficiles, dernièrement, elle a appelé l'aide du "Ciel", et elle l'a ressentie !
Notamment, quand elle a eu son épisode de désorientation et de perte de ses moyens, elle avait tout égaré: cartes de sécu et de mutuelle, carte bancaire, papiers divers... jusqu'à ses clés de maison.
Qu'à cela ne tienne, ma belle-soeur et moi-même, lui avons dit d'appeler Saint Antoine à la rescousse, et nous avons joint nos prières à nos paroles...
Et nous avons pu tout retrouver très vite, y compris les papiers dont nous avions besoin pour ses démarches. Ma mère a reconnu bien volontiers l'efficacité de ce "brave" Saint, et elle a même ajouté que maintenant, elle y croyait et que cela ne la faisait plus rire.
A-t-elle trouvé sa raison d'être ???
Je suppose que c'était ce qu'elle avait à comprendre: prendre conscience du pouvoir extraordinaire de la foi.
Et pour ce qui me concerne, je suppose aussi que de faire confiance à mes ressentis et ne pas me laisser influencer par les discours et peurs des autres, fut aussi ma solution.
Petits signes clins d'oeil, pour finir.
Dimanche, nous nous sommes retrouvés chez ma mère. Je suis partie seule le matin, car mon compagnon avait une invitation familiale lui aussi.
Dans les dernières encâblures avant le village de ma mère, la nouvelle chanson de Maxime Le Forestier a commencé ("Le p'tit air"), avec laquelle j'ai souvent eu des signes, pour se terminer...
Juste comme j'arrivais devant chez ma mère !
Je l'ai mieux écoutée, et ai été frappée par ces mots:
"C'est sûr qu'avoir été vivant
C'est moins amusant que de l'être
On se dissout, on s'évapore
On se répand dans le grand flou
Que peut-il bien rester de nous
Quel fil de nous s'agite encore..."
Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/le-ptit-air-maxime-le-forestier.html
Et tandis que nous approchions (j'ai ramené avec moi mon plus jeune fils et ma petite-fille Sophie, qui voyageront avec nous), au retour, Nostalgie a diffusé Joe:
"Souviens-toi", suivie immédiatement d'une autre chanson qu'aimait beaucoup mon frère, et avec laquelle j'ai eu souvent des signes, je vous en ai parlé:
"Words"
Je suppose que j'ai encore une étape à franchir: arriver à dire vraiment ce que je ressens, à ne plus me censurer.
Bonne fin de journée, et bonnes vacances à ceux qui partent.
Hello !
Suite du récit des signes liés aux problèmes de santé de ma mère.
Le lendemain de son retour chez elle, "branle-bas de combat", avec l'appel de son infirmière m'informant que tout recommençait ! Elle pensait que ma mère ne pouvait plus rester chez elle, qu'il lui fallait quelqu'un 24 heures sur 24, etc., m'énumérant les comportements qui lui semblaient justifier sa position.
Quant à moi, je ne pouvais me faire d'opinion par moi-même, vu les 250 km de distance, et vu aussi le fait que ma mère avait mal raccroché son téléphone, et que la ligne était donc occupée en permanence.
Gagnée par la peur, j'ai joint son médecin traitant, par téléphone. Il a déploré aussi le fait que l'hôpital l'ait laissée sortir trop tôt, mais m'a conseillé, malgré ce que je lui expliquais, d'attendre 24 à 48 heures, pour voir l'évolution de la situation. Le moins qu’on puisse dire, c’est que lui ne s’affolait pas, et c’était sûrement un signe.
J'ai pris acte, il était le mieux placé pour décider, de toute façon. Je devais l'appeler le lendemain pour le tenir au courant. En attendant, j'ai commencé à chercher une maison médicalisée, au cas où.
Déjà, la plupart ont un numéro commençant par 08, ce qui veut dire que dès la connexion, vous en prenez pour 1.30 € environ à chaque appel ! Et comme il était plus de 18 heures, vous tombez sur un répondeur de...
Kinésithérapeutes (0.34 €/mn) vous informant que le cabinet est fermé !
Je suppose que cela faisait aussi partie des signes destinés à me mettre sur la voie de la bonne décision.
J'ai fini par trouver un établissement avec un numéro local, et une dame au bout du fil qui m'a gentiment répondu...
Que j'allais avoir un mal fou à trouver une place aussi rapidement. Elle m'a conseillé un établissement hospitalier des environs, auprès duquel, du fait du nombre de lits, j'avais un peu plus de chances.
Le lendemain matin, à 7 heures, re-coup de fil de l'infirmière, dont l’affolement était monté d’un cran, m'informant que la situation était catastrophique, que ma mère risquait de tomber dans ses escaliers, voire pire encore, que c’était de la non-assistance à personne en danger... Ce que m'ont confirmé d'autres personnes de l'entourage.
Le conseil général était d'enfermer ma mère !
Oui, mais l'enfermer, ai-je fait remarquer, c'est la mettre en prison, et la condamner à mort, vu son caractère. On me demandait donc de choisir pour elle, entre une mort peut-être rapide, mais CHEZ ELLE, et une mort lente, à pleurer les larmes de son corps, enfermée dans un mouroir… avec préférence appuyée pour la 2ème option !
Et toujours pas moyen de joindre ma mère, afin de me faire mon opinion !
J'ai rappelé le toubib pour le tenir informé...
Mais c'était son jour de repos ! Et "l'aimable" secrétaire ne semblait rien en avoir à faire de l'apparente urgence de la situation !
L'infirmière, avertie, ma même suggéré de prendre ma mère chez moi en attendant… donc à 250 km, loin de ses repères, sans son dossier médical (elle a un traitement journalier), en pleins travaux, avec le risque au moins aussi grand qu'elle se perde dans les bois, ou tombe. Et de toute façon, elle n'aurait pas voulu rester quand même, elle n'est bien que chez elle...
Ce que je peux comprendre, vu que je réagis comme elle !
Heureusement, l'association (l’aide mise sur ma route ???) envoyée par la mutuelle est intervenue au domicile de ma mère, et m'a rassurée. L’état de ma mère ne leur semblait pas justifier de telles mesures. Les personnes avaient bien pris le temps de parler avec ma mère, de l’écouter, et notamment son souhait : rester chez elle !
Devant tous ces faits, comment trouver la solution juste, sinon grâce à mes chers inspirateurs célestes, bien mieux placés que quiconque pour savoir ?
J'ai donc pris du temps pour me retrouver intérieurement, me "reconnecter" à la Lumière et à mes chers Anges, et chasser les « épouvantails » qui tournaient en boucle dans ma tête...
Et la réponse n'a pas tardé à venir, dès les premières heures du jour suivant (le samedi)...
On ne peut plus claire:
NON ! PAS D'ENFERMEMENT entendais-je marteler à mes oreilles, tandis que j'arpentais la maison en long et en large... à 3 heures 30 du matin !
JE NE VOULAIS PAS FAIRE N'IMPORTE QUOI, MA MERE N'ETANT PAS UN POIREAU !
La colère, la révolte, la peine m'ont submergée. J'ai réalisé qu'une fois encore, je laissais les avis et ressentis des autres primer sur les miens, je me laissais dicter des volontés qui n'étaient ni les miennes, NI SURTOUT CELLES DE MA MERE.
Moi qui, toute ma vie (et mon frère était logé à la même enseigne), ai eu un mal fou à me sortir de l'enfermement et des limitations dus à la surprotection... pour mon bien (et je ne suis pas sûre d'y être parvenue complètement), je n'allais pas faire subir la même chose, en retour, à ma mère !
Mes enfants ont totalement approuvé ma décision.
L'Amour, il respecte les volontés de l'autre, c'est un minimum, non ?
Puisque ma mère avait les moyens, j'allais mettre en place une assistance pour son maintien à domicile, et tant pis si cela ne durait qu'un jour, ou huit, ou quinze. C'était toujours cela de gagné. Et on serait toujours à temps de voir.
C'était donc le sens de la chanson "Le pénitencier" entendue plusieurs fois en quelques jours : une mise en garde. Si les portes se refermaient sur ma mère, elle allait y finir sa vie misérablement (dans le sens moral).
Et pour ce qui concerne les paroles de la chanson de Joe "Salut les amoureux":
"On s'est aimés comme on se quitte,
TOUT SIMPLEMENT SANS PENSER A DEMAIN,
A demain qui vient toujours un peu trop vite,
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien..."
Dès l'hospitalisation, j'avais résolu de vivre au jour le jour, de décider en fonction des événements, et j'allais continuer et m'y tenir ("sans penser à demain").
Mon ressenti n'est pas que ma mère va finir dans un mouroir (à rapprocher de « aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien » ???). Ce n'est peut-être que le reflet de ce que je veux pour elle, mais tant pis. On verra au moment.
Le samedi de la semaine suivante, alors qu'à nouveau je m’interrogeais sur l’opportunité de quand même faire les démarches en vue d'obtenir une place en maison médicalisée, à tout "hasard", vu que les délais sont longs, et au cas où ma mère aurait besoin de soins, plus tard...
Je suis partie tôt en voiture amener mon chat Cracotte chez le véto pour sa visite de contrôle de l’ulcère. Dès le départ, la radio "Virgin" a diffusé:
"Sur ma peau" de Louis Delort, extrait de : "Les Amants de La Bastille" (note : c’était une prison), chanson que je ne connaissais pas. J'ai zappé sur NRJ, car rien ailleurs ne me plaisait, espérant entendre un air aimé...
Pour tomber exactement sur la même chanson ! Alors j'ai écouté attentivement les paroles. Celles-ci notamment m'ont semblé en adéquation avec ma décision de respecter la promesse faite à ma mère:
"Sur ma peau
J'ai signé mes promesses,
Gravées à fleur de mots
Mes serments de jeunesse…
Sur ma peau
Rien ne s'efface…
Et même si tout passe,
Je jure d'embrasser mes promesses
Ou d'y laisser ma peau.
Le regard vers la terre,
Je veux vivre à l'horizon qui s'éclaire,
Je vais suivre enfin
Le courant des idées neuves
Que les vanités condamnent..."
J'ai ramené Cracotte, puis suis repartie faire le marché. Au moment où j'ai démarré, la radio sur ChérieFM, diffusait aussi la même chanson !
3 fois en l'espace de 2 heures, inutile de chercher une autre réponse. Et au cas où j’aurais le « cerveau lent », j’ai eu droit en prime à un hommage à Johnny Halliday, ponctué par :
« Le pénitencier » ! !
J'ai donc décidé de poursuivre en continuant à tourner mon regard vers la Lumière ("vivre à l'horizon qui s'éclaire"), de "suivre le courant des idées neuves", celles issues de la Sagesse infinie de mes Guides intérieurs.
Et tant pis si "les vanités condamnent" (ceux qui pensent avoir la solution des autres, alors que bien souvent ils ne sont même pas capables de trouver la leur !).
Et pour le moment, nous n’avons qu’à nous en féliciter. Ma mère semble avoir repris son équilibre.
Et afin de me tranquilliser, je suppose, mon frère est entré en contact avec ma belle-sœur, pour dire :
« Pas d’hôpital », et pour lui conseiller :
« Laisse faire ma sœur ».
Voilà, à bientôt, et bonne soirée !