Hello !
Je vous souhaite une excellente année 2013…
A l’écoute de vous-même et de vos ressentis…
Bon, ces chers Anges ne résistent pas à rajouter :
« Souhaite-toi le à toi-même aussi, ce n’est pas du luxe ! »
Nous avons eu quelques « démêlés » sur le sujet, ces derniers temps !
Notre déménagement s’est fait sur plusieurs jours, autour de la période des « fêtes », et nous avons emménagé définitivement il y a 8 jours. Comme il s’agit du 4ème déménagement en 3 ans et demi, inutile de dire que les occupations ne manquaient pas, comme je vous le disais dans le dernier billet (du 21 décembre), et du même coup, la fatigue.
D’ailleurs, après avoir écrit le billet en question (qui « coïncidence » était jour de Saint Pierre !), je suis partie faire des courses en voiture. Juste en arrivant sur le parking de la grande surface, une chanson de Joe a commencé, à la radio nostalgique. C'était…
« Le dernier slow »
J’ai bien ressenti la signification, car « slow » se traduit par « lent » :
« Ralentir le rythme, dernier rappel »
Bon, mais il m’a semblé faire preuve d’une bonne volonté évidente, car je suis restée dans la voiture, à écouter jusqu’à la fin de la chanson. Et j’ai assuré ces chers Anges, que je me reposerais…
« Après le déménagement ! »
Je ressentais bien que ce n’était pas ce que ces chers Anges attendaient, mais bon, je le répétais sur le mode du « disque rayé », histoire d’essayer d’en convaincre ces chers Anges.
Les «fêtes » de Noël se sont très bien passées, la famille était réunie chez moi, et nous avons fait le premier Noël de Victoria, moment de grâce qui nous a beaucoup aidés à surmonter ce premier Noël sans mon frère.
Dès le 26, cartons, nettoyage, et premier voyage, le soir, de mon compagnon et notre fils, pour déménager les objets les plus lourds avec le fourgon de location…
Mon compagnon, au retour, s’est affalé dans le fauteuil terrassé par une gastro !
Moi, je me sentais en pleine forme et ironisais un tantinet sur le moment choisi pour une gastro…
Sauf que le lendemain matin (27), aux aurores, c’était mon tour !
Sympa le déménagement !
Et inutile de gémir dans le giron de ces chers Anges, au risque d’entendre du tac au tac :
« Tu te reposeras après le déménagement, c’est bien ce que tu disais, non ? »
Alors, on a fait comme on a pu. Heureusement notre fils est passé à travers la gastro. Lui ne lésine pas à se reposer et s’amuser, en règle générale.
« C.Q.F.D. » disent ces chers Anges.
Le lendemain (28), fini la gastro, le mal de tête et surtout la grosse fatigue qui l’a accompagnée, mais d’énormes abcès aux gencives ont pris le relais. Heureusement cela n’a duré que la journée. Le lendemain, je me sentais à nouveau en pleine forme.
Allez, ce n’était rien, je pouvais continuer à m’activer.
Nous devions terminer le déménagement et intégrer notre location le 3 janvier, avec l’aide de la fille de mon compagnon et son mari.
Le 29 décembre, mon compagnon et notre fils ont pris l’après-midi pour aller promener avec les petits-enfants de mon compagnon. Je suis restée à la maison, car trop fatiguée, pas envie de trainer, et puis trop de boulot.
Je sentais bien encore que ces chers Anges espéraient que j’allais me reposer, que j’aurais dû me reposer, mais au lieu de cela, j’ai décidé de vous écrire un petit billet, expliquant à ces chers Anges que je sentais « un peu » agacés, qu’écrire, ce n’est pas travailler.
Voilà, j’ai écrit près d’une heure, un billet intitulé :
« Prendre le temps », dans lequel je vous confiais prendre vraiment conscience qu’il fallait que je travaille sérieusement sur ma dépendance au travail, combinée à la résistance à la fatigue et à la douleur, héritages de schémas familiaux.
Je concluais l’article en assurant, non sans une pointe d’humour, me semblait-il, que je le ferais…
« Après le déménagement »
Instantanément, j’ai ressenti un « vent mauvais » laissant présager…
Que je ne perdais rien pour attendre !
Et je n’ai d’ailleurs pas attendu !
Il semble que ces chers Anges avaient perdu le leur de sens de l’humour…
Quoi que, à bien y réfléchir, ce n'était pas mal calculé...
Car j’ai sélectionné mon texte, en vue de le copier sur le blog…
Mais au lieu de faire « copier », j’ai fait…
« Coller »…
Et me suis retrouvée face à…
Une recette de pain d’épices copiée juste avant, sur le blog de Jackette (Tatiana) !!!!!
Et le texte de mon billet a disparu corps et biens, et pas moyen, bien évidemment, de le retrouver !
Même si je savais ne pas l’avoir volé, je n’ai pu m’empêcher de gémir sur le travail pour rien.
Réponse de ces chers Anges :
« Mais écrire, ce n’est pas travailler, c’est bien ce que tu nous a dit, non ? »
Voilà, la réponse des bergers à la tête de mule, qui n’a pas encore totalement intégré qu’on ne leur fait pas avaler des couleuvres.
Bon, j’ai ravalé ma rogne, et suis allée méditer… quelques minutes, ce que je zappais depuis pas mal de temps.
La suite bientôt !
Bonne soirée !