Photo de mon potager
Hello !
Vendredi, 14 septembre, était jour de « Sainte Croix ». Le « hasard » a voulu que ce soir-là, je décide de prendre plus de temps pour « travailler » vraiment sur
mes capacités.
J’avais acheté un livre, à cette fin, que je ressentais devoir lire depuis pas mal de temps, même si j’hésitais. Le « hasard » encore a fait que j’ai eu en cadeau
un bon d’achat, je l’avais donc acheté, ce d’autant plus qu’un des auteurs porte le prénom du 1er mari de ma mère (fusillé pendant la dernière guerre).
J’attends d’être plus avancée dans l’expérience pour vous parler de ce livre, j’ai appris à mes dépens qu’il est important de faire très
attention à ce qu’on donne l’impression de cautionner. Cela participe aussi du respect dû à chacun.
Et de toute façon, cela n'amène que des ennuis, même fait en toute bonne foi, puisqu'aider, d'une façon ou d'une autre, des gens qui font
du tort, c'est faire du tort soi-même.
Mes chers inspirateurs célestes m’ont recommandé ceci, dès le début, soit dès 2002 (début de notre « correspondance ») :
« Avant de vouloir conduire les autres, encore faut-il être sûr d’être soi-même dans la bonne direction ! »
Et comme j’estime, avec l’expérience, qu’on n’est jamais sûr de rien…
De plus, je n’aime pas conduire !
Le contenu de l’ouvrage conforte en tous points le discours de mes chers inspirateurs célestes. Mais j’ai appris, là encore, que cela ne veut pas pour autant dire
qu’il faut foncer tête baissée.
J’ai donc demandé à ces chers Anges, avant de m’endormir, s’il était bon pour moi de suivre les conseils préconisés dans le livre pour lever les dernières
résistances à accepter et développer mes capacités médiumniques.
Le lendemain matin, levée très tôt, en « fanfare », « grâce » à mes chats, je ne me sentais pas plus avancée. J’ai donc réitéré ma
question…
Peu après, nous avons entendu, du salon où nous nous tenions, mon compagnon et moi-même…
Un réveil sonner !
Problème : nous n’en avions pas mis à sonner.
Je me suis rendue dans la direction du bruit, pour constater…
Que c’était mon petit réveil bleu, sur ma table de nuit, qui ne marche que quand il veut, c’est-à-dire très rarement (hi ! Hi !), qui s’était « réveillé » enfin et
sonnait à tue-tête !
Sauf qu’il était 6h30 environ, et que l’heure de l’alarme indiquait…
5h45 !
Le sens m’a semblé favorable, sur le moment : il est plus que temps de se réveiller.
Oui, mais un peu plus tard, je me suis rappelé que la dernière fois que « l’engin » s’était « réveillé » et avait sonné, de façon totalement inattendue aussi cette
fois-là, car il ne sonnait déjà plus depuis longtemps, c’était…
Au moment où j’ai décidé de m’inscrire à ces conférences de sinistre mémoire, il y a plus de 2 ans (rappel : jusque-là, mon intuition me l’avait fortement
déconseillé !).
« Bon, alors ? Je fais quoi ??? C'est bon ? Ce n'est pas bon ? »
J’en étais là de mon questionnement quand…
La réponse est venue dans la foulée, de la radio encore, (RMC), qui donnait un résultat sportif :
Un club avait eu la Victoire…
Et ce club-là portait dans son nom, outre le nom de la ville représentée (très symbolique)…
Une partie du nom de l’auteur de « l’enseignement » !
Bon, rassurée, je me suis mise à l’œuvre le jour même.
Il semble que « là-haut » « on » soit content, car la nuit suivante, j’ai rêvé, pour la première fois depuis bientôt 3 mois qu’il est « parti »…
De mon frère !
Le rêve a été très rapide, mais il m’est apparu rayonnant de bonheur. Sa physionomie respirait une joie, un bonheur éclatants, et il m’a
regardée les yeux débordants d’Amour.
J’en ai encore les larmes aux yeux de joie et de gratitude en me remémorant ce rêve.
Non, il ne faut pas abandonner, bien sûr que non. Lui a réalisé bien trop tard (les quelques mois qui ont précédé son départ) l’effet létal de ce « formatage »
familial lié aux malheurs, qui, en croyant nous protéger de dangers plus ou moins réels, nous a enfermés, contribuant à nous précipiter dans d’autres, mille fois plus graves…
Il m’arrive encore d’avoir une velléité de sentiment de culpabilité en pensant que si j’avais parlé, expliqué, alerté, peut-être aurait-il compris
plus tôt, et peut-être que les choses auraient pu être différentes…
Mais bon, c’étaient nos choix de vie, et ce qui a été devait être. A moi de faire entendre nos voix, de ne plus penser et laisser penser qu’il y a des douleurs qui
ont le droit d’être reconnues et entendues, et d’autres pas.
Peut-être ces témoignages pourront-ils apporter un petit éclairage à ceux qui voudront bien lire ce blog, y compris par « hasard ».
Notamment ceux qui sont conscients qu’une douleur, un malheur, pour terrifiants qu’ils soient quand on les vit, ne doivent en aucun cas conduire à sous-estimer et
encore moins nier ceux de l’entourage, des autres, même si on les estime mineurs, non plus d'ailleurs qu'à vouloir racheter, rattraper des fautes imaginaires via la vie des autres.
« L’enfer est pavé de bonnes intentions » dit la sagesse populaire.
Et la protection peut devenir prison, dans quelque sens qu’elle soit, il est bon de le répéter.
« Les Anges Gardiens » c’est nous, ce n’est pas vous », m’ont expliqué ces chers Anges dès 2002.
Et l’Amour, le vrai, il informe, alerte, éclaire… mais écoute et laisse libre, car écouter et laisser libre, c’est respecter la Lumière de
chacun.
C’est le sens de toutes ces toiles d’araignées mises en évidence par la Lumière du soleil, sur la photo du billet précédent :
Lorsque chacun trouvera sa propre Lumière en lui -sa force donc- et s’autorisera à la faire rejaillir humblement… mais librement, en
respectant de la même manière celle des autres (donc leur droit à la différence de pensée, de croyance, de mode de vie et d’expression), les manipulateurs, sectes et groupes à dérives sectaires
(et j’inclus là-dedans aussi certains groupes se prétendant « antisectes ») se trouveront du même coup mis en évidence et marginalisés (comme les toiles d’araignées).
Le savoir, la connaissance, l’information, alliés à l’écoute, à la réflexion, au respect, au bon sens, sont les meilleurs alliés pour la préservation.
Revenons à "nôtre" Petit duc: autre petite « coïncidence », c’est que c’est une espèce qui aime la chaleur et le soleil, d’après mes recherches sur Internet, et
qu’en septembre, ces oiseaux partent en migration vers des pays plus chauds, dont…
Le Sénégal, pays où nous sommes nés mon frère et moi !
Si les fauconniers jugent que la santé du « nôtre » le permet, il sera relâché au bon moment, dans les meilleures conditions et au bon endroit. Toute une chaine se
met ainsi en place pour sauvegarder ces espèces protégées… En ne les gardant pas enfermés dès qu’ils vont bien, justement, mais en leur permettant de retourner à leur vraie vie, en leur rendant
leur liberté donc.
A bientôt et bonne fin de journée !