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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 09:22

 

Marché de Noël 2011

Photo prise l'an dernier

 

Hello !


Petites nouvelles pour vous prouver que je ne vous oublie pas. Vous vous doutez que le temps est une denrée rare en ce moment, entre les recherches (location et achat), car on n’a pas encore trouvé, je suppose que comme d’hab, ce sera dans les 15 derniers jours…

Il faut aussi emballer, faire les bricoles prévues pour les acheteurs…


Puis il y a la période de Noël à préparer, et d’abord notre voyage aux marchés de Noël de Colmar et Strasbourg, entre filles (ma fille, ma petite-fille, ma belle-sœur et moi), pour nous changer les idées, face à la période de Noël qui, la plupart d’entre vous comprennent de quoi je parle, est un peu difficile.


Mais nous ne nous laissons pas abattre, grâce aussi à ces chers Anges, qui nous ont donné un petit coup de pouce opportun pour notre voyage.

En octobre, j’ai ressenti devoir ne pas traîner pour mettre notre séjour au point, et surtout retenir l’hôtel (notamment grâce à la chanson de Joe

« Souviens-toi », mise en fond sonore « à fond », par « erreur », au travail de ma fille).


Des hôtels, j’en avais cherché, surtout celui dans lequel nous étions descendues avec ma copine, l’an dernier, (qui porte un nom très symbolique) et qui est d’un rapport qualité/prix imbattable… mais c’était déjà complet pour la période.

Ma fille a cherché le soir en rentrant du boulot, et, à tout hasard, a cliqué sur l’hôtel en question, dans une des villes où nous nous rendons, car il apparaissait à l’écran… et elle appelé… et…


Il s’est trouvé qu’un groupe venait juste de se désister pour la période !

Ce qui fait que notre séjour nous coûtera moitié prix !


Important coup de pouce bienvenu, signe que ces chers Anges sont ravis de nous voir nous changer les idées et ne pas nous laisser aller à la tristesse.

Je vous fais un autre billet rapidement.

En attendant, bonne journée !

 

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 17:35

 Guy-Corneau-La-guerison-du-coeur.jpg

Hello !


J’espère que vous allez bien et que le moral est bon.

Dans le billet précédent, je vous disais chercher les mots pour tenter d’expliquer …

Et le « hasard » (ou ces chers Anges ?) m’a tendu la perche, par le biais du livre de Guy Corneau (psychanalyste dont les ouvrages m’ont toujours apporté une aide efficace, ce d’autant plus que sa philosophie rejoint en tous points celle de mes chers Anges) :

« La guérison du cœur »- « Au bout de nos épreuves, le bonheur ? », éditions « J’ai Lu » Bien-être.

que j’avais entrepris de lire après avoir terminé

 

« Revivre ! », du même auteur, livres achetés pour tenter d’apporter une petite aide à mon frère, même indirecte.

La couverture de « La guérison du cœur » avait attiré mon attention, car elle représente un gros cœur rouge composé d’un puzzle, dont un morceau est détaché.

S’agit-il d’un cœur brisé ou d’un cœur qui se répare ?

Plus probablement d’un cœur qu’une brisure va permettre de réparer.

J’avais beaucoup avancé dans ma lecture, marquant de post-it beaucoup de pages qui me « parlaient ». Puis le « départ » de mon frère avait fait que j’avais laissé l’ouvrage de côté.

A quoi bon soigner nos plaies réciproques ? Les siennes ne le faisaient plus souffrir, là où il était.

Alors, comme d’habitude, j’ai « zappé » les miennes, et ai mis la tête dans le guidon.

Jusqu’à il y a quelques jours, où j’ai ressenti urgent de reprendre ma lecture, et voici le passage, qui fait suite à quelques annonces que l’auteur a concoctées, sur un mode un rien sardonique, pour faire toucher du doigt à quel point, en ne s’aimant pas, on peut devenir violent avec soi-même, sans s’en rendre compte, relayant ainsi parfois le vécu issu de la violence psychologique dans laquelle on a pu baigner au début de sa vie (et bien plus encore parfois), parce qu’on ne l’a pas mise totalement et clairement en évidence (même si on peut le croire) :

« Je désire également mettre l’accent sur un autre point, car il présente souvent un obstacle majeur pour la compréhension. Je l’ai constaté lors de mes ateliers sur la relation amoureuse. Tout le monde semble se perdre dans le brouillard aussitôt que nous abordons cette dimension. Le miroir que l’autre nous offre de nous-même ne concerne pas nécessairement notre attitude romantique. Bien souvent, comme c’était le cas pour Hélène, il nous renvoie à une attitude que nous avons envers nous-même et qui est la plupart du temps inconsciente. Cette attitude relève du champ de l’amour. Non plus de l’amour de l’autre, mais de l’amour de soi. » P. 246, « La guérison du cœur », Guy Corneau.

Remontons à la page 240, toujours dans « La guérison du cœur » de Guy Corneau :

« En fait, tout ce qui a été rejeté par la conscience, possède le pouvoir, par l’intermédiaire des complexes, de faire retour dans notre vie. Les complexes font que nous transformons des situations favorables à notre évolution en situations défavorables.

A cet égard, Freud affirmait que tout ce qui est inconscient se répète. Jung ajoutait que tout ce qui a été rejeté par la conscience a le pouvoir de se manifester de manière autonome dans notre vie, sous la forme d’un accident ou d’un destin extérieur dans lequel nous ne reconnaissons pas, de prime abord, la trace de nos refoulements. Notez bien dans ce passage que c’est ce qui demeure inconscient qui a le pouvoir de se répéter. Ce qui a été intégré à la conscience perd ce pouvoir. »

Explications qui rejoignent celles que mes chers inspirateurs célestes ont souvent données, et dans ce but, ils ont souvent tenté d’attirer mon attention sur les dénis.

Mes chers inspirateurs célestes ont insisté sur l’importance de s’accorder le droit de soigner les plaies issues de blessures psychologiques, car si la violence psychologique (et la culpabilisation érigée en mode d’expression en fait partie) ne se voit pas de prime abord, contrairement à la violence physique, les dégâts peuvent être d’une extrême gravité, car cette violence, à l’image d’un cancer, va ronger peu à peu de l’intérieur.

Et rappelez-vous, les signes que j’ai eus avec la chanson :

« Ca ira mon amour »

Je me suis arrêtée sur le mot « Ira », car c’est le 2ème prénom de qui vous savez. Mais il fallait tenir compte aussi, m’ont expliqué ces chers Anges, des mots « mon amour »,

Ca ira, oui mais à condition de retrouver l’amour pour soi-même, qui fait qu’on prend soin de soi, qu’on respecte ce que l’on est, ce que l’on ressent, ce que l’on pense, plutôt que de se dire :

« C’est rien, ça va passer »

Cela risque de passer dans la non conscience, mais tôt ou tard, cela ressortira sous forme d’épreuve ou de maladie, à l’image d’une mine enfouie sur laquelle on mettra le pied.

A bientôt pour la suite.

Bonne soirée.

 

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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 11:27

P1010311

 

Hello !

Non, je n’ai pas disparu corps et biens, mais la période est « agitée ».

Comme le laissait entrevoir la « glissade » de ma voiture dans le rond-point, due à une déformation d’un de mes pneus arrières (consécutive à un choc, probablement !!!!), j’ai glissé un « tantinet » sur la peau de banane, revers de la médaille des cadeaux de l’épreuve du décès de mon frère, et suis retombée à pieds joints dans le rôle de l’enfant/pansement/objet de remplacement.


J’essaierai d’y revenir un peu plus, si je trouve les mots, mais commençons par le commencement :


Le pardon et ses conséquences.

 

Pardonner, m’ont dit ces chers Anges, cela ne veut pas dire absoudre sans réserve et considérer que les choses qui se sont produites sont nulles (enfin, dans le sens de « pas ») et non avenues, donc qu’il faut en accepter les effets et conséquences, ce qui revient une fois encore à se nier.

Absoudre, nous dit le Larousse, c’est notamment « exempter d’une peine ».


Exempter de ressentiment, de faire payer à l’autre ses actes, oui…

Mais cela ne signifie nullement ( !) de « s’asseoir » sur les effets dévastateurs que les actes en question ont déclenché en nous, et accepter de retomber dans le jeu de « l’offenseur » parfois toxique, pour ne pas dire plus, et retomber dans le pli… sûrement pas !


Impossible alors de sortir du piège de la fidélité inconsciente à ce qui est attendu de nous, consciemment ou pas, et qui n’a absolument pas lieu d’être, et cela même si l’on en a compris le fonctionnement.


La solution pour arriver à s’en extirper et à s’accorder le droit de la liberté d’être, de la liberté de vivre, de la liberté de faire, du droit d’être un être « souverain » à part entière, en se dégageant du terrifiant sentiment de culpabilité que l’on peut ressentir à s’accorder ces droits-là ?

La solution, elle m’avait été donnée il y a quelque temps, quand, dans un récent numéro de la revue « Pleine Vie » (!!), mon compagnon avait découvert la photo de Joe, que j’avais « zappée » en tournant les pages, car elle s’était collée à la précédente.


En vis-à-vis de cette page, il y avait un article :

« Comment ça va l’amour ? »

« Un rendez-vous sans tabou pour mieux vous aider dans votre vie amoureuse. Une seule règle, ne pas avoir peur des mots ».


Voilà la solution. Face à des comportements vécus dans l’enfance et plus encore jusqu’à un âge... disons… « avancé », l’enfant qui est en nous peut ne pas se sentir le droit de porter un jugement, et, même s’il n’en voit et comprend que trop bien, hélas, les effets toxiques, et tente de s’en affranchir, cet enfant qui subsiste en nous, peut éprouver énormément de mal à transgresser les vetos, les interdits, s’en interdisant inconsciemment le droit, et de ce fait, risque de passer à côté de sa vie, toute sa vie, avec tout le mal être et les souffrances que cela suppose.

La « seule règle » donc, c’est de bousculer ces tabous-là, d’analyser la situation, et de s’accorder le droit, tranquillement, sans haine, mais fermement, droit de mettre les mots exacts sur les comportements, y compris et surtout s’ils relèvent de la pathologie.


Cela ne veut pas dire condamner, cela n’empêche pas d’essayer de comprendre le pourquoi, mais cela remet les choses à leur vraie place, afin de permettre de s’autoriser à s’affranchir, à ne plus être donc esclave de comportements, asservissements et directives qui outrepassent des droits, ne se justifient donc pas, et surtout pas en leur collant le mot « amour ».


L’Amour, on ne le répètera jamais assez, il ne phagocyte pas, il RESPECTE, il laisse l’autre libre d’être, de penser, de décider et de s’exprimer, y compris dans sa différence.

Bonne journée !

 

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 11:58

 

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Mémère a trouvé sa place, elle

 

Hello !

Quand je suis « tombée » sur ce T-shirt publicitaire, en fouinant au marché, lundi, je n’ai pas fait attention à ce surnom : « Coco », même si mon intuition m’y ramenait.

Et hier matin, cela m’est revenu, car le souvenir était très lointain : j’étais pratiquement sûre que c’était le surnom que ma mère donnait à mon frère quand nous étions petits.

Alors hier, je lui ai posé la question :


« Tu n’appelais pas Gérald Coco quand il était petit ? »


Elle a mal saisi, car elle m’a répondu :

« Popo non, mais Coco oui ! »


Je suppose que ce gentil signe est aussi à l’intention de ma belle-sœur, qui va faire arranger l’intérieur de leur maison, car il l’avait construite lui-même, y laissant beaucoup de sa santé, et n’avait pas eu la force, les dernières années, de faire les finitions.


Significatif, là encore, puisqu’il m’a été expliqué, peu après son « départ », que, de « là-haut », il va l’aider à trouver sa force en elle.


Quelques petits signes que nous avons eus :

Tout début octobre, ma mère et ma belle-sœur sont venues nous voir. Je me suis donc mise aux fourneaux. En pelant une tomate que j’avais depuis quelque temps, et qui était dans un état de conservation parfaite, j’ai eu la surprise d’y trouver 7 ou 8 graines germées à l’intérieur, certaines atteignant 2 ou 3 centimètres, avec de toutes petites feuilles. J’en ai déjà parlé, les tomates me font penser à mon frère, car il avait la main verte, surtout avec les tomates.

Je les ai mises de côté pour les photographier, mais ai oublié, et elles ont séché : trop la tête dans le guidon, oui, je sais.


Puis je suis partie les chercher en voiture à la gare…

Un panneau publicitaire d’un marchand de pneus a attiré mon attention, m’amenant un sourire :

« Evite de déraper » (allusion à ma « glissade » dans le rond-point, le jour où j’étais allée chercher la peinture du séjour).

J’avais cru qu’il y avait une plaque d’huile, mais en fait, le contrôle technique a révélé dernièrement qu’un de mes pneus arrière a une déformation due probablement à un choc.

Significatif là encore, non ?

La suite dès que possible car la « corrida » (recherche de maison !) a commencé.

Bonne journée !

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 12:16

001

 

Hello !

J’ai pris beaucoup de retard pour vous raconter les signes et messages, pas trop de temps pour vous écrire, car la période est… disons pudiquement…

Agitée !


Nous avons vendu notre maison, et nous devons en chercher une, à acheter, au mieux, ou alors à louer, d’ici…

Le 31 décembre, car les acheteurs sont pressés !


Mon compagnon, au fur et à mesure des connaissances qu’il a du moyen de lutter contre ses soucis d’allergie aux ondes, voulait chercher un coin qui lui convienne mieux, et une maison construite suivant des normes adaptées. Je me suis fait tirer l’oreille, n’étant pas sûre que ce soit la solution, car des ondes, il y en a partout.

Mais bon, nous l’avons mise en vente sur un coup de tête…

Et elle s’est vendue en moins d’un mois, malgré quelques travaux de ravalement à faire !


Déjà, en Mai, l’avant-veille de l’Ascension… nous nous étions posé la question de vendre ou pas, enfin moi surtout. Rappelez-vous, le lendemain, j’ai trouvé mes plants de tomates « cuits » par une méchante gelée traîtresse et tardive.

Quand le pépiniériste où j’avais couru ventre à terre en chercher d’autres avait su que nous avions été gelés, il avait ouvert des yeux ronds et, en riant, il m’avait dit :


« Ce n’est pas normal ! »

Et il avait rajouté :

« Déménagez ! »

La réponse semblait claire, mais bon…

Je n’avais pas trop envie... Puis le « départ » de mon frère ne m’a pas incitée à trop m'y pencher.

Et hier, je réfléchissais à la situation.


Trouver une maison à acheter ou louer, en 2 mois et demi.

Fastoche ??

Oui, mais une maison qui nous plaise à tous les 2, ainsi que l’environnement !

Fastoche, quand on sait que les trois quarts du temps, nos goûts divergent totalement ???

Il faudra aussi qu’elle soit située dans un coin où mes chats ne soient pas en danger, cela va de soi (pas de route proche donc).

Alors, toujours fastoche ???

Et le pompon, la timbale, c’est quand même ce problème d’ondes, qui fait qu’il ne doit pas y avoir de transformateur, d’antennes-relais, de ligne moyenne et haute tension dans les parages, non plus que trop de fils électriques, à proximité, etc.

Allez, un autre pour la route : le moyen de chauffage devra être adapté, car janvier/février sont des mois très froids, sachant que nous ne pouvons nous chauffer à l’électricité, du fait de l’allergie de mon compagnon !


Voilà le challenge !

Il n’y a guère que ces chers Anges qui peuvent nous prêter main forte, je le crains.


J’en étais arrivée à la conclusion qu’au mieux nous étions kamikazes, et qu’au pire nous étions fous !


Mais ces chers Anges veillent au grain pour entretenir l’élan et le courage !

Hier après-midi, nous sommes allés, avec la tante de mon compagnon, faire un loto dans un village proche de son domicile, les alentours de Caussade.


Et vous savez quoi ?

Mon compagnon a gagné…

Un bon d’achat de 40 €…

dans un magasin de vins renommé !

L’intuition m’est venue que c’est peut-être le signe que nous aurons quelque chose à fêter, car mon compagnon, qui ne boit pas en général, aime bien, de temps en temps, ouvrir une bouteille pour fêter quelque chose.


Pour le coup, ou pas, le petit réveil remarche normalement, et sonne à l’heure à laquelle il est programmé, ce matin compris...

Car je suis partie tôt à Caussade.


Dès que j’ai allumé le moteur de ma voiture, Guillaume Grand chantait, sur Chérie (un peu après 7 heures)…

« On serait juste toi et moi,

Près d’ici ou là-bas,

Sans règle digne et sans foi ni loi,

Quand tu veux on y va

Toutes les couleurs du Ciel,

UN PLEIN DE BOUTEILLES, DU RHUM, DU VIN, DU MIEL

QUAND TU VEUX ON Y VA ! »


Et à la fin de la chanson, malgré le bruit de la ventilation, j’ai entendu le présentateur dire :

« Oui, quand vous voulez, dès votre réveil si vous voulez ! »


Peu après, la chanson diffusée ne me plaisant pas, j’ai « zappé » sur Nostalgie…

Pour tomber, vers 7h20, sur…

Joe…

Qui chantait ceci (fin de "A toi") :

« A nous,

A nos espoirs et à nos illusions

A notre prochain premier rendez-vous

A la santé de ces millions d’amoureux

Qui sont comme nous

A la vie, à l’Amour… »


A la fin de la mélodie, le présentateur de Nostalgie a ajouté :

« Ca c’est une déclaration d’Amour ! Joe Dassin »


Et il a enchainé immédiatement sur l’horoscope :

« Bélier, la nouvelle lune met l’accent sur vos relations. En amour, tendre rapprochement… »

On va bien voir tout ça.


Après avoir joué des coudes pour y arriver, espérons qu’on lèvera le coude à la santé de « ces millions d’amoureux qui sont comme nous ».

 

J’étais rassurée, quoi qu’un tantinet dubitative, quand même, alors tandis que je fouinais sur le marché, mon regard est tombé sur un t-shirt blanc, portant ces inscriptions :


« La plus belle maison au monde », et en dessous :

« Coco, adjoint en chef » (du constructeur).

Je suppose que si je travaille suffisamment sur mon intérieur, donc à me réapproprier toutes mes capacités, alors le challenge de trouver l’intérieur qui nous correspond pourra être gagné.

Coco, y'a du boulot !

A bientôt pour la suite !

Bonne journée !

 

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 08:30

 

Hello !


Merci pour vos com. et messages.

Non, je n’ai pas rendu mon tablier, mais j’ai eu pas mal d’occupations. Je vous raconterai les signes et les événements dès que possible.


Tu as parfaitement raison, Rose, à partir du moment où l’on a aimé quelqu’un, ces chers Anges l’ont souvent expliqué, on garde le contact, y compris par-delà la mort physique, car, ont-ils dit :

« L’Amour est comme une tête chercheuse, et est donc de ce fait capable de nous retrouver où que l’on soit, même caché dans un petit trou de souris » !

« Et l’Amour dont nous parlons, poursuivent-ils, il n’a pas d’a priori, non plus que de considérations qui laisseraient donc entendre qu’un être ne vaut pas la peine, n’est pas assez « bien », tendant de ce fait donc à mépriser, à laisser croire, nous le rappelons, qu’une « Etoile » ne saurait rendre son Amour à un « ver de terre », comme on en véhicule l’idée trop souvent, sur cette Terre ».

 

En attendant le prochain billet, voici quelques conseils qu’ils m’ont donnés afin de travailler à me réapproprier mes capacités.


D’abord, ce rappel :


« Accepte ce qui t’est octroyé et ce qu’on t’ouvre dans l’évidence des choses. »

Conseil qui m’avait été délivré en Mai 1997, par l’intermédiaire d’une médium, un mois après le décès de mon amie médium, et auquel je n’avais pas compris grand-chose, à l’époque.


Et, autre rappel d’un conseil donné il y a plusieurs années de cela :

« Imagine et visualise que, tel un ordinateur, tu télécharges des Etres de Lumière, et que tu les remercies de te guider et de protéger ton chemin. »

 

Voilà, à bientôt et bonne journée !

 

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 18:16

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Pastel exécuté en 2009 (si je me souviens bien). Son titre: "Joe à la fenêtre"

 

Hello !

J’espère que vous allez bien et que le moral est bon.

Ce matin, j’étais en train de sortir du sommeil quand mon petit réveil bleu a sonné…

1 fois… mais pour la première fois, il a sonné à la bonne heure : 5h45, c’est-à-dire celle sur laquelle il est réglé.


Avant de revenir sur l’émission

« Un jour un destin » consacrée à Joe,

je vais vous raconter quelque chose qui sur le moment m’a interpellée, que j’ai ressenti comme un signe…

Mais que j’ai « zappé » totalement ensuite, car ce jour-là je devais recevoir de la famille de mon compagnon, donc cuisiner… ce qui, vous le savez, n’est pas ce que je fais de plus volontiers, même si je me suis quand même bien améliorée, à force de travail.


C’était samedi 8 septembre, jour de « Nativité Notre Dame ».

En vue de ce repas, j’ai fait un tour au marché d’un village des environs pour quelques emplettes, là encore, la tête dans le guidon, car quand je dois cuisiner, j’ai toujours l’angoisse de rater mon repas.


Malgré cela, mon regard a été attiré par un petit garçon, qui marchait juste face à moi, semblant venir vers moi.

Le soleil l’illuminait, et il riait en me regardant.

L’atmosphère m’a semblé étrange, car ce petit enfant qui avait environ 3 ans…

Il ressemblait de façon impressionnante à l’enfant qu’était…

Joe ! (j’ai quelques photos de lui petit, dans un livre, notamment).

Un peu plus tard, toujours sur le marché, je me suis trouvée par "hasard", à le suivre !

J’en ai ressenti, sur le moment, une impression d’irréalité…


Vite oubliée, d’ailleurs, au point que j’avais même omis de noter ce fait dans mon agenda (comme tout ce qui m’arrive de particulier) ! Mon repas à préparer était au centre de mes préoccupations. Le souvenir m’en est revenu quand je me suis aperçue avoir raté le rendez-vous de l’émission sur France2.


Revenons donc à cette émission.

Richelle Dassin, sa sœur, a raconté les souffrances de Joe, face à l’absence de son père, auquel il écrivait des lettres déchirantes, lui disant à quel point il lui manquait. Difficile, en l’écoutant, de ne pas avoir les larmes aux yeux… Non plus qu’en l’écrivant, d’ailleurs.

Difficile aussi de ne pas faire le lien avec mon histoire familiale et celle de mon frère, même si la situation était différente.


Comme la plupart des enfants qui ont vécu ce genre de situation, il a appris à étouffer et cacher ses sentiments et émotions. Ainsi ce 12 septembre 1973, où, en direct dans l’émission de Danielle Gilbert, il n’a rien laissé paraître du drame qu’il était en train de vivre au moment même : la perte de l’enfant que Maryse attendait.


Jusqu’au bout, il a été lui aussi, comme mon frère, un « héros de la résistance physique »...

pour ne pas décevoir…


Quelques « coïncidences » "inédites" relevées :

Richelle a confié que Joe n’avait qu’une envie, étant enfant :

« Aller faire du baseball avec son père ».

Mon fils aîné est un passionné de baseball depuis l’âge de 12 ou 13 ans, environ. Son prénom, je le rappelle, est une des formes du prénom de Joe, et comporte les 3 premières lettres du prénom de l’enfant de Joe qui n’a pas vécu, et ils sont nés tous les 2 cette même année 1973.

Mon prénom a le même début que celui de sa 1ère épouse : Mary, et la même fin que celui de la 2ème : ine. Il comporte simplement Un L (aile ?) en plus, au centre.

Son pianiste a le même nom de famille que…

Le premier mari de ma mère ! C’est la première fois que je l’entends porté (mis à part ses proches, bien sûr).

Le lien du site sur lequel j’ai visionné la vidéo comportait : « …tele-loisirs_medium.png »


Il a été évoqué, par Richelle, si je me souviens bien, « la compétition d’un fils à son père »…

Moteur forgé par les blessures… avec, hélas, tous les risques que cela comporte.


La phrase qui conclura ce billet, même si elle a été dite dès le début, je crois par Claude Lemesle, parlant de Joe :

« Il a laissé le gôut des autres faire des choix… Cela ne l’a pas rendu heureux. »

A méditer ???

Bonne fin de journée !

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 18:02

Hello !

 

Ravie de vous retrouver. J’ai été très occupée ces jours-ci, notamment par la peinture.

Non, je n’ai pas retrouvé le goût de peindre et dessiner, malgré les nombreuses « visions » de tableaux et dessins, mais…

J’ai entrepris de repeindre le séjour !

Apparemment, ces chers Anges attendaient autre chose, car ce matin, 26 septembre, cela fait 4 mois que mon frère est « parti ».

J’attendais donc mon petit signe sympa…

Et je l’ai eu…


Enfin, le signe.


Comme il me manquait de la peinture, je suis partie tôt en voiture faire la tournée des magasins de bricolage. Certes, j’ai « un peu » zappé la méditation, mais avais assuré mes chers inspirateurs célestes que ce n’était que partie remise.


Mais il semblerait qu’ils préfèrent les tortues aux lièvres.


Ayant enfin trouvé ce que je cherchais, je suis repartie sous la pluie, roulant à une vitesse qui me semblait vraiment raisonnable. Or, dans le rond-point, ma voiture a un peu glissé. Heureusement qu’il n’y avait que moi, et que cela a été limité.

Il y avait peut-être une tache d’huile, mais bon, je ne crois pas au « hasard », et ai supposé qu’il y avait un sens. On allait méditer pour chercher… même si je me doutais de la raison, j’en parlerai plus loin.

Arrivée chez moi, je me suis attelée...

A la méditation ???

Que nenni, il fallait finir de peindre ce que j’avais entrepris, on verrait plus tard.

Et plus tard, je n’ai pas eu le temps, alors encore plus tard, quand mon téléphone a sonné, j’ai couru répondre…

Et ai manqué m’étaler, glissant sur le sol.

Bon, confirmation, sans recours à la méditation :

Arrêter la course !

Parce que, le jour où mon frère est « parti », j’ai perdu un peu de temps juste avant d’arriver, car dans le dernier village traversé, il y avait…

 Deux courses !

D'abord une à vélo, et j’ai dû me garer pour laisser passer les coureurs...

Je n'ai pas fait attention s'ils avaient la tête dans le guidon, mais je suppose que oui !


Et une autre à pied, un peu plus loin.

Enfin, plutôt, la COMPETITION était terminée, mais tous les coureurs se dispersaient, tandis que j’essayais de me frayer un chemin au milieu d’eux, hésitant entre l’impatience et la compréhension..

 

Et ces chers Anges m’avaient expliqué que la course était finie pour mon frère. Car toute sa vie il a été en compétition pour essayer de prouver sa valeur, mais aussi inconsciemment de le prouver à notre père, même plus de 20 ans après sa mort.


Et il y a laissé la vie.


Alors, mes chers inspirateurs célestes voudraient bien que j’arrête de faire pareil, que cela me serve de leçon.

Je l’entends, mais ai du mal à y arriver. Ce qui, dernièrement, leur a donné l’occasion de faire un bon mot, comme à leur habitude :


« Autrefois, il y avait les héros de la Résistance, et maintenant, il y a les héros de la résistance… physique ! Cela n’a pas vraiment réussi à ton frère !!!! »


Alors, revenons au petit réveil bleu:

 

Il sonnait pour au moins 2 raisons. L’une des deux, c’est que j’ai complètement « zappé » le rendez-vous avec mon chanteur préféré !!!!


Le 20 septembre au matin, il était presque 6h30. J’étais sur le point de me réveiller, quand le réveil a émis un petit « bip » bref, juste assez pour me réveiller complètement.


Sauf qu’il était toujours réglé sur 5h45.


Mais peu après, j’ai eu la solution, quand ma belle-sœur m’a envoyé un mail me disant qu’elle avait bien aimé l’émission sur Joe, la veille au soir (19 septembre, sur France2, émission : « Un jour un destin »), même si elle s’était endormie avant la fin.


Arrgghh ! J’ai oublié !

 

Pourtant, le 19, mon intuition me disait bien qu’il y avait quelque chose de prévu. Oui, mais je n'ai pas cherché à savoir et ai complètement « zappé ».

J’ai essayé de voir la vidéo sur le site de l’émission, mais ça n’a pas marché…


Alors, aux grands maux les grands remèdes…


J’ai pris du temps pour méditer, et…

J’ai enfin réussi à la visionner le 21 !


C’était particulièrement émouvant, j’en reparlerai, car il y a beaucoup de « coïncidences » encore qui me sont apparues.


Une, quand même :

Un des intervenants a déclaré à peu près ceci :


« La vie de Joe Dassin ressemble à une course, avec ses réussites… ses pièges, ses failles… »


J’y reviendrai bientôt !

Bonne fin de journée !

 

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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 10:36

 

Hello !

 

 

Hier, juste après avoir posté mon billet, j’ai téléphoné à ma mère, comme chaque jour depuis le « départ » de mon frère, pour prendre des nouvelles.

Elle m’a raconté avoir à nouveau rêvé de mon frère, la nuit suivant celle de mon rêve. Il était sur le pas de sa porte et lui disait n’avoir jamais été aussi bien.

 

 

Cela semble donc bien confirmer que quelles qu’aient été les erreurs, tout s’est passé selon les plans divins, qu'il n'y a donc pas lieu d'en vouloir à quiconque, et que cela lui a permis de réaliser ce qu’il était venu apprendre.

 

« Seul petit regret, ont rajouté mes chers inspirateurs célestes, c’est de ne pas avoir pu prendre possession de la totalité de ses capacités dites « médiumniques » (il avait un « don » de sourcier, entre autres). Penses-y ! ».

 

Bien compris !

 

Forte de cette motivation supplémentaire, et bien décidée à ne pas faire pareil, j’ai donc entrepris de…

 

Repeindre un petit meuble, et dans la foulée, d’aller faire l’inventaire du placard de notre chambre !

 

Tâches dont le rapport (dans le sens de lien, de relation) avec ma décision, ainsi que l’urgence et l’importance, ne semblaient apparemment pas sauter aux yeux de ces chers Anges.

 

« Cherchez l’erreur » susurrent-ils d’ailleurs !

 

Bon, mais tandis que je m’affairais à mon rangement, un bruit s’est fait entendre, venant de ma table de nuit.

 

J’ai souri en l’identifiant…

 

Il s’agissait à nouveau de mon petit réveil bleu qui se « réveillait » !**

 

Mais, prise par l’occupation, il m’a semblé superflu de m’interrompre, ne serait-ce que pour regarder l’heure.

 

La sonnerie s’est interrompue, pour reprendre quelques secondes plus tard. Je me suis décidée à lever le nez, pour constater qu’il était cette fois encore presque 6h30… mais de l’après-midi, non du matin comme le samedi précédent…

 

 

Je me suis à nouveau concentrée sur ma tâche, écoutant distraitement. Etrangement, il émettait quelques « bip », s’arrêtait quelques secondes, puis recommençait, ce qui n’est pas sa façon de faire habituelle : la sonnerie est ininterrompue.

 

Bon, intriguée, j’ai enfin daigné cesser mon rangement, pour aller observer de quoi il retournait, et peut-être compter les « bip ».

 

Dès que j’ai été face à lui, constatant l’heure de la sonnerie…

 

Il a cessé et n’a pas repris depuis !

 

Message reçu, j’ai promis illico d’arrêter de me disperser, et dès le soir, puis ce matin, ai entrepris de me consacrer à mon « apprentissage ».

 

Ce d’autant plus que, j’ai oublié de vous le raconter, samedi matin, après la 1ère sonnerie et le message de la radio sur la victoire du club sportif, je suis partie au marché.

 

Quand j’ai allumé le moteur, la radio « Chérie » diffusait ce passage de chanson de Jean-Jacques Goldman :

 

« C’est ta chance,

Le cadeau de ta naissance… »

 

Et à la réflexion, 6h30, c’est une heure où les 2 aiguilles (la grande et la petite) se rejoignent.

 

Allez, on va bien voir !

 

**Ces chers Anges rajoutent qu’au moins lui, il se réveille !

 

Bonne journée !

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 16:27

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 Photo de mon potager

 

 

Hello !

 

Vendredi, 14 septembre, était jour de « Sainte Croix ». Le « hasard » a voulu que ce soir-là, je décide de prendre plus de temps pour « travailler » vraiment sur mes capacités.

 

J’avais acheté un livre, à cette fin, que je ressentais devoir lire depuis pas mal de temps, même si j’hésitais. Le « hasard » encore a fait que j’ai eu en cadeau un bon d’achat, je l’avais donc acheté, ce d’autant plus qu’un des auteurs porte le prénom du 1er mari de ma mère (fusillé pendant la dernière guerre).

 

J’attends d’être plus avancée dans l’expérience pour vous parler de ce livre, j’ai appris à mes dépens qu’il est important de faire très attention à ce qu’on donne l’impression de cautionner. Cela participe aussi du respect dû à chacun.

Et de toute façon, cela n'amène que des ennuis, même fait en toute bonne foi, puisqu'aider, d'une façon ou d'une autre, des gens qui font du tort, c'est faire du tort soi-même.

 

Mes chers inspirateurs célestes m’ont recommandé ceci, dès le début, soit dès 2002 (début de notre « correspondance ») :

 

« Avant de vouloir conduire les autres, encore faut-il être sûr d’être soi-même dans la bonne direction ! »

 

Et comme j’estime, avec l’expérience, qu’on n’est jamais sûr de rien…

De plus, je n’aime pas conduire !

 

Le contenu de l’ouvrage conforte en tous points le discours de mes chers inspirateurs célestes. Mais j’ai appris, là encore, que cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut foncer tête baissée.

 

J’ai donc demandé à ces chers Anges, avant de m’endormir, s’il était bon pour moi de suivre les conseils préconisés dans le livre pour lever les dernières résistances à accepter et développer mes capacités médiumniques.

 

Le lendemain matin, levée très tôt, en « fanfare », « grâce » à mes chats, je ne me sentais pas plus avancée. J’ai donc réitéré ma question…

 

Peu après, nous avons entendu, du salon où nous nous tenions, mon compagnon et moi-même…

 

Un réveil sonner !

 

Problème : nous n’en avions pas mis à sonner.

 

Je me suis rendue dans la direction du bruit, pour constater…

 

Que c’était mon petit réveil bleu, sur ma table de nuit, qui ne marche que quand il veut, c’est-à-dire très rarement (hi ! Hi !), qui s’était « réveillé » enfin et sonnait à tue-tête !

 

Sauf qu’il était 6h30 environ, et que l’heure de l’alarme indiquait…

5h45 !

 

Le sens m’a semblé favorable, sur le moment : il est plus que temps de se réveiller.

 

Oui, mais un peu plus tard, je me suis rappelé que la dernière fois que « l’engin » s’était « réveillé » et avait sonné, de façon totalement inattendue aussi cette fois-là, car il ne sonnait déjà plus depuis longtemps, c’était…

 

Au moment où j’ai décidé de m’inscrire à ces conférences de sinistre mémoire, il y a plus de 2 ans (rappel : jusque-là, mon intuition me l’avait fortement déconseillé !).

 

« Bon, alors ? Je fais quoi ??? C'est bon ? Ce n'est pas bon ? »

 

J’en étais là de mon questionnement quand…

La réponse est venue dans la foulée, de la radio encore, (RMC), qui donnait un résultat sportif :

 

Un club avait eu la Victoire…

Et ce club-là portait dans son nom, outre le nom de la ville représentée (très symbolique)…

Une partie du nom de l’auteur de « l’enseignement » !

 

Bon, rassurée, je me suis mise à l’œuvre le jour même.

Il semble que « là-haut » « on » soit content, car la nuit suivante, j’ai rêvé, pour la première fois depuis bientôt 3 mois qu’il est « parti »…

 

De mon frère !

 

Le rêve a été très rapide, mais il m’est apparu rayonnant de bonheur. Sa physionomie respirait une joie, un bonheur éclatants, et il m’a regardée les yeux débordants d’Amour.

 

J’en ai encore les larmes aux yeux de joie et de gratitude en me remémorant ce rêve.

 

Non, il ne faut pas abandonner, bien sûr que non. Lui a réalisé bien trop tard (les quelques mois qui ont précédé son départ) l’effet létal de ce « formatage » familial lié aux malheurs, qui, en croyant nous protéger de dangers plus ou moins réels, nous a enfermés, contribuant à nous précipiter dans d’autres, mille fois plus graves…

 

Il m’arrive encore d’avoir une velléité de sentiment de culpabilité en pensant que si j’avais parlé, expliqué, alerté, peut-être aurait-il compris plus tôt, et peut-être que les choses auraient pu être différentes…

 

Mais bon, c’étaient nos choix de vie, et ce qui a été devait être. A moi de faire entendre nos voix, de ne plus penser et laisser penser qu’il y a des douleurs qui ont le droit d’être reconnues et entendues, et d’autres pas.

 

Peut-être ces témoignages pourront-ils apporter un petit éclairage à ceux qui voudront bien lire ce blog, y compris par « hasard ».

 

Notamment ceux qui sont conscients qu’une douleur, un malheur, pour terrifiants qu’ils soient quand on les vit, ne doivent en aucun cas conduire à sous-estimer et encore moins nier ceux de l’entourage, des autres, même si on les estime mineurs, non plus d'ailleurs qu'à vouloir racheter, rattraper des fautes imaginaires via la vie des autres.

 

« L’enfer est pavé de bonnes intentions » dit la sagesse populaire.

 

Et la protection peut devenir prison, dans quelque sens qu’elle soit, il est bon de le répéter.

 

« Les Anges Gardiens » c’est nous, ce n’est pas vous », m’ont expliqué ces chers Anges dès 2002.

 

Et l’Amour, le vrai, il informe, alerte, éclaire… mais écoute et laisse libre, car écouter et laisser libre, c’est respecter la Lumière de chacun.

 

C’est le sens de toutes ces toiles d’araignées mises en évidence par la Lumière du soleil, sur la photo du billet précédent :

 

Lorsque chacun trouvera sa propre Lumière en lui -sa force donc- et s’autorisera à la faire rejaillir humblement… mais librement, en respectant de la même manière celle des autres (donc leur droit à la différence de pensée, de croyance, de mode de vie et d’expression), les manipulateurs, sectes et groupes à dérives sectaires (et j’inclus là-dedans aussi certains groupes se prétendant « antisectes ») se trouveront du même coup mis en évidence et marginalisés (comme les toiles d’araignées).

 

Le savoir, la connaissance, l’information, alliés à l’écoute, à la réflexion, au respect, au bon sens, sont les meilleurs alliés pour la préservation.

 

Revenons à "nôtre" Petit duc: autre petite « coïncidence », c’est que c’est une espèce qui aime la chaleur et le soleil, d’après mes recherches sur Internet, et qu’en septembre, ces oiseaux partent en migration vers des pays plus chauds, dont…

Le Sénégal, pays où nous sommes nés mon frère et moi !

 

Si les fauconniers jugent que la santé du « nôtre » le permet, il sera relâché au bon moment, dans les meilleures conditions et au bon endroit. Toute une chaine se met ainsi en place pour sauvegarder ces espèces protégées… En ne les gardant pas enfermés dès qu’ils vont bien, justement, mais en leur permettant de retourner à leur vraie vie, en leur rendant leur liberté donc.

 

A bientôt et bonne fin de journée !

 

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