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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 11:13

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Le pied de tomate qui a poussé dans le pot du plumbago. On voit les petites feuilles qui repartent.

 



Hello !

 

Rectification : « Si j’aurais su j’aurais pas v’nu » est une citation tirée de

 

« La guerre des boutons », prononcée par « P’tit Gibus », et non du Grand Meaulnes.

 

Confusion sur les classiques APPRIS DANS L'ENFANCE, ou confusion d’histoire significative ?

 

Rappelez-vous, le 8 avril dernier, jour de Pâques, où nous avons visité le « GOUFFRE DE PADIRAC », visite qui s’est avérée très intéressante, très agréable. Certes, il avait fallu attendre notre tour, faire la queue, ce que je déteste, mais cette attente avait été récompensée. Cela valait vraiment la peine d’attendre, tant le spectacle du TRAVAIL INTERIEUR qui s’était fait dans ces profondeurs était magnifique.

 

Rappelez-vous encore, le guide qui nous avait fait traverser l’eau dans une espèce de gondole, pour nous conduire vers la partie…

 

LA PLUS DIFFICILE, CAR ELLE DOIT SE FAIRE PAR SES PROPRES MOYENS, à pied donc, et qu’il y a beaucoup de marches à monter, mais qui est aussi, nous a dit le guide (et nous avons pu le vérifier)…

 

LA PLUS BELLE !

 

Et ce guide, qui portait le prénom de…

 

MON DEMI-FRERE « décédé », maniait un humour décalé que n’auraient pas renié ces chers Anges.

 

La visite la plus dure mais la plus belle a eu aussi son guide, lui aussi maniant le même style d’humour, mais je n’ai pas fait attention à son prénom…


Je me doutais que quelque chose de difficile m'attendait encore.

 

Cela préfigurait-il mon demi-frère et mon frère, qui réunis maintenant me guident dans les méandres de notre histoire familiale afin de découvrir enfin les belles choses des épreuves, et du travail que cela m’a amenée à faire sur moi, du fin fond du gouffre sans fond dans lequel j’ai eu l’impression de tomber parfois ?????

 

Probablement, car ces chers Anges m’avaient dit, après cette visite :

 

« Bonne nouvelle, le GOUFFRE N’ETAIT PAS SANS FOND ! Le trou de souris dans lequel tu te réfugiais s’avère magnifique. Et tu vas enfin pouvoir profiter des belles choses que cela t’a amenée à développer, à l’insu des non conscients qui ont semblé te fouler aux pieds, ignorants qu’ils étaient du mal ainsi fait. Et non seulement profiter toi-même, mais aussi en faire profiter ceux que la visite intéressera, MEME SI LE CHEMIN, ILS DEVRONT EUX AUSSI LE FAIRE PAR EUX-MEMES, avec l’aide de leurs guides, s’ils le souhaitent, personne ne pourra le faire à leur place.

Point de sauveur extérieur à soi-même. Le seul sur lequel on peut vraiment compter, car il ne nous fera jamais défaut et nous accompagnera jusqu’au bout… C’EST SOI-MEME. »

 

Dans ce parcours de compréhension, ces chers Anges, comme toujours (certains diront le « hasard »), ont mis sur mon chemin toutes les aides nécessaires, au meilleur prix, grâce à des livres qui m’ont beaucoup éclairée, confortée, réconfortée, trouvés sur des vide-greniers, dans la foulée, et payés entre 0.50 cts et 2 euros. Qui dit mieux ??

 

Les titres :

 

« Le sentiment d’abandon – Se libérer du passé pour exister par soi-même » de Saverio Tomasella, éditions Eyrolles, collection « Les chemins de l’inconscient »,

 

« Savoir s’affirmer » de Charly Cungi,

 

et surtout :

 

« Les fantômes du passé – Comment les deuils familiaux influencent notre vie » d’Elisabeth Horowitz.

 

Une pensée pleine de reconnaissance pour Marie Fugain qui, en osant s’affirmer, faire valoir elle aussi ses droits à exprimer ses ressentis, ses peines, le sentiment d’injustice vécu, m’a beaucoup motivée à me sentir ce même droit. Je n’ai pas lu encore son livre, je ne m’y sens pas prête, mais en lisant ou écoutant des interviews qu’elle a donnés, cela m’a motivée, notamment parce qu’elle a décidé d’écrire son vécu, guidée surtout par la peur JUSTIFIEE, je peux l'affirmer, de faire retomber tout cela sur ses enfants.

 

Le titre de son livre :

« Moi on ne ma jamais demandé comment j’allais » Editions Robert Lafon.

 

Oh combien elle a eu raison de faire partager son vécu douloureux. Et les témoignages qu’elle reçoit prouvent bien que nombreux sont les, non pas cette fois-ci…

 

« Sacrifiés des ONDES », mais…

 

« SACRIFIES DES ON/DEmande »

 

On demande de se taire et de payer pour les autres, demande suggérée par ceux qui n’ont pas compris le sens des choses, le sens des mots.

 

Significatif de ma douloureuse mésaventure d’il y a 2 ans non ?

 

Voilà un des liens entre les soucis d’hypersensibilité aux ondes de mon compagnon et la mienne, d’hypersensibilité. Je reviendrai sur tout cela dès que possible.

 

Bonne journée !

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 16:52

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Photo personnelle prise tôt le lendemain matin du "départ" de mon frère. Le soleil qu i perce les nuages.

 

 

Hello !

 

Merci pour vos souhaits de bienvenue à Victoria !

 

Signe encourageant, j’avais un plumbago qui semblait mort, bien que certains rameaux soient un tout petit peu verts au niveau du tronc. Je l’avais sorti un peu trop tôt, et la gelée de la veille du jour de l’ascension a eu raison des timides pics verts.

 

Par contre, un beau plant de tomate y a poussé. Comment la graine a-t-elle atterri là ?

Mystère !

 

Eh bien, depuis la naissance de Victoria, il est reparti et semble même vouloir rattraper le temps perdu !

 

Et bienvenue aussi à angevip qui vient de créer un blog sur les Anges, sur le site de Femme Actuelle (blog du même nom).

 

 

Faire les choses tant qu’il en est temps, ne pas remettre à plus tard en pensant avoir le temps. C’est une des leçons que m’a appris le « départ » de mon frère, pourtant…

 

Ce matin, pendant que l’ordi se mettait en marche, j’ai noté sur mon agenda le numéro de téléphone d’un ami d’autrefois, perdu de vue depuis longtemps, que m’avait donné notre amie commune, il y a une semaine environ. J’avais promis de l’appeler, car il avait lui aussi un cancer qui s’était généralisé, et il s’était, m’avait appris mon amie, tourné vers Dieu.

 

Je devais lui donner du même coup les coordonnées de mon blog, car mon amie m’avait confié qu’il passait son temps sur Internet à la recherche de ce genre de lecture.

 

Mais j’avais hésité un peu, du fait que j’y parlais du « départ » de mon frère, craignant que cela ne lui sape le moral, vu son cas et son état…

Dès que l’ordinateur a été prêt, je suis allée sur ma messagerie, pour trouver…

 

L’avis de décès de cet ami, que m’avait envoyé ma fille.

 

Voilà, alors du coup, je prends mon courage à 2 mains pour vous parler des éclaircissements supplémentaires que mont apportés mes chers inspirateurs célestes, concernant l’influence du passé, et plus particulièrement des DENIS DE SENTIMENT DE CULPABILITE qui, non mis au jour, non évacués, se transmettent, comme un relais à l’entourage et à la, voire aux générations suivantes.

 

Mon grand-père maternel était disons « particulier » (probablement du fait lui aussi de son vécu de l’enfance et de la jeunesse, donc de son bagage émotionnel). Il avait la main lourde, comme on dit, et maltraitait sa femme et ses enfants (il reproduisait peut-être ce qu’il avait vécu, qui sait ?), un surtout.

 

Ma mère, sans en être consciente, en a conçu, outre des sentiments négatifs vis-à-vis de son père et des hommes en général, un SENTIMENT DE CULPABILITE dont elle n’a pas eu conscience, semble-t-il. Tout comme un enfant peut se croire responsable du divorce ou de la mésentente de ses parents, elle s’est reproché inconsciemment de ne pas avoir protégé son petit frère.

 

Ce sentiment là, non mis au jour, s’est perpétué et aggravé lors du décès de son fils (mon demi-frère), alors qu’elle l’avait confié à sa belle-famille, pensant faire au mieux pour lui, notamment par rapport à son activité professionnelle. Le problème, je vous en avais parlé l’an dernier, c’est qu’elle avait promis à son mari, la dernière fois qu’elle l’a vu vivant, juste avant qu’il ne soit fait prisonnier et fusillé, en tant que Résistant…

 

DE NE JAMAIS S’EN SEPARER.

 

Mes chers inspirateurs célestes m’ont expliqué que la Maman se sent responsable de la vie de son enfant : elle la lui donne, et de ce fait pense inconsciemment qu’elle doit la lui conserver. D’où un sentiment de culpabilité en cas de décès de son enfant, décuplé évidemment dans de telles conditions.

 

Bien évidemment, ce sentiment de culpabilité n’a pas lieu d’être, puisque personne ne détient de pouvoir sur la vie de quiconque, et il est capital de pouvoir évacuer ce sentiment destructeur pour tout le monde, entourage et descendants compris.

 

Seulement voilà, à l’époque, point de cellule psychologique, point de psy, on faisait comme on pouvait avec le malheur et ses conséquences dramatiques. Le plus souvent d’ailleurs, on n’en parlait pas, tout cela se trouvait étouffé dans l’œuf.

 

Alors, face à un drame tellement insupportable, le DENI s’installe…

 

Et le sentiment de culpabilité non mis au jour, donc non exorcisé, non soigné, non évacué…

 

RISQUE DE  SE TRANSMETTRE, Y COMPRIS A LA GENERATION SUIVANTE.

 

Car, m’ont-ils dit depuis longtemps déjà, je vous en ai fait part en son temps :

 

« Il y a 2 façons tout aussi négatives l’une que l’autre de  vivre la culpabilité et le sentiment de culpabilité, c’est, soit de les retourner uniquement contre soi, en prenant à son compte la responsabilité totale, sans faire la part des choses et des autres, et sans s’accorder le droit aux circonstances dites « atténuantes », notamment celles de l’ignorance, soit au contraire, de lui opposer le DENI, afin de s’en protéger personnellement, et de s’en « débarrasser » totalement sur les autres. Ces 2 façons sont aussi dangereuses l’une que l’autre, parce que totalement injustes.

 

Alors, le sentiment de culpabilité va contaminer et détruire tout ce qu’il approche, (à l’image du fonctionnement du cancer), qu’on le prenne entièrement à son compte, ou qu’on le rejette sur les autres. 

 

La seule façon de soigner ce « mal » là, c’est de bien faire la part de toutes les forces en présence ainsi que de la part de responsabilité de tous les êtres concernés, y compris de la force du destin, qui ne pouvait pas être contourné. »

 

Et c’est hélas ce qu’il s’est produit. J’ai « hérité » de ce sentiment de culpabilité, mais surtout du sentiment que j’étais responsable des peines de mon frère, et que je devais me « punir » pour cela, étouffer en quelque sorte ma vie, m’ont expliqué mes chers inspirateurs célestes. C’est le choix de vie que j’avais fait en venant sur cette terre, afin de pouvoir en témoigner.

 

Comme dirait le Grand Meaulnes :

« Si j’aurais su, j’aurais pas v’nu ! »

 

Je reviendrai ( !) là-dessus bientôt.

Bonne fin de journée !

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 11:29

 

 

Hello !

 

Petit billet rapide pour vous annoncer notre grand bonheur :

La naissance de…

 

VICTORIA, hier soir !

 

C’est ma 2ème petite-fille, et le premier enfant du foyer de mon fils aîné et de sa compagne.

 

Ce prénom avait été choisi depuis longtemps par ma belle-fille, qui y tenait vraiment.

 

N’est-ce pas d’une excellente symbolique le choix de ce prénom ?

 

J’ai eu, sur le moment, un pincement au cœur en pensant que mon frère n’est pas là pour participer à notre joie, mais immédiatement mes chers inspirateurs célestes ont rectifié :

 

« Tu sais bien qu’il est on ne peut plus présent, au contraire, car de plus, il a eu la possibilité d’être auprès d’eux durant le « travail » et la délivrance ; alors pas une once de tristesse, et au contraire, savourez cette…

 

VICTOIRE (hi ! hi ! ou hé ! hé ??) et sa symbolique, sur la vie !!! ».

 

Je veux y croire, à cette symbolique de la fin des mauvais effets du passé et des drames sur notre famille.

J’ai beaucoup à vous raconter sur le sujet, dès que possible.

 

Etrangement, la veille de la naissance (le 19), quand j’ai allumé l’ordi, il s’est bloqué au démarrage sur…

 

« BIENVENUE » !!!

 

C’est la première fois que ça arrive. J’ai dû l’éteindre et le remettre en marche, et tout s’est bien passé ensuite. J’ai pensé que la naissance serait pour ce jour là. Comme ce ne fut pas le cas, j’ai ressenti que cela s’adressait aussi à moi :

 

« Bienvenue chez toi, dans ta vraie vie, enfin. »

 

Et le travail a commencé dans la nuit suivante, même si la naissance n’a été qu’en fin de journée.

 

Voilà, une nouvelle vie qui démarre !

 

Bonne journée à tous et toutes, et merci de votre présence.

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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 16:58

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 Biscotte surveille le potager

 


Hello !

 

Je vous mets une photo de mon potager. C’est mon petit grain de folie dans le jardin « propret ». Il n'est pas académique, si mon frère voit ça, de "là-haut", lui le "pro", il doit rigoler ; tout est mélangé, les rangs ne sont pas droits, des fleurs poussent spontanément, et c’est bien ainsi. Il est à l’abri de la tondeuse et de la cisaille (mon compagnon a un rapport « pathologique » avec ces 2 « instruments » !).

 

En revenant sur les nombreux signes autour du « départ » de mon frère, j’ai fait des recherches et réalisé que le chat (noir et blanc) de voisins : « Rominou », avait commencé à venir chercher à manger à la période précise où les problèmes de santé de mon frère l’ont amené à faire enfin des examens médicaux.

 

En revenant dans mon agenda, j’ai vu (puisque je note tout ce qui est un peu inhabituel) que c’était pendant la période « vigilance grands froids ».

 

En fait, j’ai noté l’avoir nourri pour la première fois le…

Samedi 11 février, fête de Notre Dame de Lourdes.

 

La veille, il y avait eu une émission sur…

 

« La communication avec l’au-delà, dans « Toute une Histoire », sur France2.

 

La température, cette nuit là, était descendue à – 12° (- 14° la veille encore).

 

Le lendemain, dimanche 12, on apprenait la mort de Witney Houston, décès qui m’avait peinée (j’en avais parlé dans le billet du moment), car je ne devinais que trop bien les souffrances qui avaient pu mener cette belle personne dans cette voie d’autodestruction, que tant d’ignorants ont pourtant piétinée… Pour pleurer des larmes de crocodile après.

 

Depuis l’incinération de mon frère, on n’a plus revu « Rominou », il n’est plus venu manger, il semble avoir disparu, on ne le rencontre plus nulle part.

 

Etrangement, il était venu chercher sa pitance tous les jours (parfois plusieurs fois par jour !) jusqu’au 8 Mai (commémoration de la fin de la 2ème guerre mondiale).

 

Encore plus étrange, du 9 au 13 Mai (fête de Jeanne d’Arc !), il n’est pas venu, nous ne l’avons pas vu. Le soir du 13, il a reparu, et a continué à venir se restaurer un peu moins souvent, jusqu’à la fin Mai (mon frère a été incinéré le 30).

 

Y a-t-il un parallèle à faire avec l’attitude de mon frère qui, quand les symptômes de sa maladie sont devenus trop évidents, trop difficiles, s’est tourné vers la spiritualité, donc m’a rejointe dans mes croyances, même s’il n’utilisait pas les mêmes appellations ?

 

Et cette absence du chat, du 9 au 13 Mai, correspond-t-elle à la période où il a appris qu’il n’y avait pas que son cancer du poumon, ce qui lui a fait un peu baisser les bras, malgré tout ???

 

Le dimanche 3 Juin, jour un peu triste de la fête des mères (4 jours après l’incinération), mon agitateur de lait s’est bloqué et ne voulait plus s’arrêter (j’aime bien faire mousser le lait dans mon café du matin). J’étais obligée d’enlever la pile pour le faire cesser, pas moyen de faire autrement.  Cela n’était jamais arrivé auparavant et ne l’a pas refait depuis. Mon fils, lui, a réussi à le débloquer.

 

Il faut dire qu’à ce moment là, JE M’AGITAIS BEAUCOUP TROP, prise par tous les soucis par rapport à ma mère et ma belle-sœur.

 

Le mercredi 6 juin, très tôt, en allant garnir la mangeoire des oiseaux, j’ai entendu, venant du champ sur l’arrière, ce qui m’a semblé une sorte d’aboiements inhabituels.

 

J’ai pensé à un sanglier, sur le moment, mais ici, près de la maison, je n’en avais jamais vu. J’ai longé la clôture pour trouver un coin dégagé et essayer de voir…

 

Et je me suis trouvée face à…

 

Un chevreuil, à une vingtaine de mètres de moi, qui était tourné vers moi, immobile. Il a semblé me fixer, tout en continuant à pousser des braiements qui me semblaient plus des aboiements, me donnant un peu l’impression de converser.

 

Puis il y a eu un bruit au loin, et il a tourné les sabots tranquillement, en continuant à pousser ses cris. C’était la première fois que je voyais et entendais un chevreuil crier.

 

Ce n’est que plus tard, en racontant la scène à mon compagnon, et en lui parlant d’aboiements, que j’ai réalisé la similitude avec la blague de mon frère, pour faire fuir les 2 membres d’une secte venus frapper à sa porte : grogner et aboyer, en faisant le chien pour les faire fuir.

 

Voilà, mais je pense ne plus avoir à me heurter à des gourous ou des sectes, car j’ai compris les symboliques de la survenance de ces faits si déstabilisants : le formatage de mon enfance.

 

J’y reviendrai bientôt.

Bonne fin de journée !

 

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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 20:52

 

Hello !

 

Quand j’aurai plus de temps, je vous parlerai de ce qui m’a été expliqué par mes chers inspirateurs célestes sur la façon de survivre et les conséquences des vécus dramatiques dont on n’a pu se libérer.

 

En attendant, voici quelques uns des nombreux signes autour du « départ » de mon frère.

 

Je suis arrivée trop tard, le samedi soir. Il avait été amené. Nous nous sommes rendus le lendemain au village où il avait été déposé. C’est un village qui porte le nom d’un Saint, que je ne connaissais pas. Je n’aime pas trop la région de Carcassonne, mais cette petite route qui menait à ce village traversait un paysage magnifique, que mon frère aimait beaucoup, et où ils aimaient aller promener avec ma belle-sœur.


Ce qui m’a frappée, c’étaient les étendues de petites fleurs qui couvraient les talus, à perte de vue, semant des taches de toutes les couleurs : rose, rouge, bleu, violet… C’était enchanteur, et j’ai ressenti que cela devait préfigurer les jardins du Paradis qu’il foulait maintenant.

 

Nous y sommes revenues dans l’après-midi avec ma fille, ma petite-fille, ma mère et ma belle-sœur. Dès que ma fille a démarré, du CD qu’elle avait écouté auparavant, David Halliday chantait…

 

« Tu ne m’as pas laissé le temps,

De te dire tout ce que je t’aime

Et tout ce que tu me manques… »

 

Exactement ce que j’ai déploré en apprenant son départ !

De plus, cette chanson avait été aussi un signe, peu après qu’on ait su qu’il avait un cancer. J’essaierai de retrouver le billet en question.

 

En attendant le jour de l’incinération, je suis revenue chez moi le lendemain soir (27 Mai), jour de Pentecôte, ma fille ayant pris le relais pour rester auprès de ma mère et de ma belle-sœur.

 

Le 28 au matin (lundi de Pentecôte), comme d’habitude, j’ai préparé la nourriture pour les oiseaux, avec quand même toujours ce petit doute :

 

« Ai-je tort ou raison de leur donner encore, même si j’ai diminué. »

 

Avant de sortir avec mon escabeau, j’ai regardé par la porte-fenêtre pour vérifier que le pic épeiche ne soit pas en train de manger (c’est un oiseau craintif), de peur de le faire fuir. Ne voyant rien de particulier, je suis sortie (il devait être 6h30 à 7 heures environ).

 

J’étais perchée sur mon escabeau, prête à accrocher une boule neuve, quand un bruit venant du champ, sur ma droite, a attiré mon attention…

 

Et là, j’ai vu… 1 biche et un chevreuil courir de l’autre côté de la clôture du fond du jardin.


Sur le moment, je m’en suis voulu, pensant qu’ils étaient là et que je les avais fait fuir. Or non, ils ne m’avaient apparemment pas vue et sont restés à gambader tandis que statufiée sur mon escabeau, le bras levé, je retenais ma respiration, priant le ciel de me laisser ce spectacle féérique le plus longtemps possible…

Et cela a duré, jusqu’à ce qu’un bruit de voiture, au loin, les fasse fuir.

 

Etrangement, la veille, justement, nous avions déploré, avec mon compagnon, de ne pas en avoir vu cette année, nous pensions qu’ils avaient tous été décimés par les chasseurs.

 

Un peu plus tard, je suis partie faire des courses, pensant que mon supermarché habituel était ouvert… Mais le rideau était fermé. J’ai poussé un peu plus loin et en ai trouvé un autre où je n’ai pas l’habitude d’aller. Sur un côté, se tenaient 2 jeunes hommes à l’aspect « punk », qui semblaient faire la manche.

 

J’ai fait mes courses urgentes puis en sortant, je suis repassée devant les 2 jeunes. Je me posais la question de leur donner une petite pièce ou pas, pensant à mon frère et à ses excès. Ce n’était peut-être pas une bonne chose, là encore, suivant l’usage qu’ils en feraient. Pendant que je laissais mon caddy, j’ai vu qu’un des 2 jeunes s’éloignait.

 

Mue par une impulsion, j’ai décidé de quand même donner une pièce à celui qui restait, de toute façon, ça ne changerait pas grand-chose. En la lui tendant, je me suis entendue lui dire ces mot, dans un sanglot :

 

« Je viens de perdre mon frère. Il a brûlé la chandelle par les 2 bouts… Alors s’il vous plaît, prenez soin de vous. »

 

J’ai répété cette dernière phrase 2 fois. Le jeune homme m’a regardée. Il m’a semblé voir quelque chose dans son regard bleu, tandis qu’il me disait merci.

 

Qui sait, peut-être ai-je semé ainsi, grâce à mon frère, une petite graine qui poussera peut-être et l’aidera à prendre conscience ?

 

Le mardi, ce furent des signes avec des chansons, à la radio, en rapport avec ce qui m’était expliqué, sur le « formatage » de mon enfance.

 

La suite bientôt !

 

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 18:29
Hello !
 
Merci pour vos messages.
 
Pour vous répondre, Claire et Jackette, j’ai bien aimé cette émission sur les NDE.
 
Mais bon, c’est déjà bien de voir traiter le sujet avec sérieux et respect, on ne va pas chipoter.
 
J’ai eu la chance d’assister, il y a quelques années, à une conférence donnée par Nicole Dron (qui témoignait dans l‘émission), une des premières qui a osé parler en France, et ce fut très instructif et très émouvant.
 
Elle a raconté ce qu’elle avait vécu, en dehors de la Lumière, du « tunnel », de la sensation d’Amour. Elle a eu des révélations sur sa vie future, sur le devenir de la terre, etc., qui lui ont été délivrées par des « êtres de Lumière ».
 
J’apprécie beaucoup l’authenticité et la sincérité de cette dame, qui me fait penser à Anne-Marie.
 
 
Ce soir, nouvelle émission sur la 10 (TMC):
 
« Zone Paranormale », à 20h45, présentée par Laurence Boccolini.
 
 
Autre sujet très important pour moi, par rapport à mon compagnon et à toutes les personnes dans le même cas (certaines très handicapées par ces perceptions), que nous avons été amenés à connaître depuis 3 ans maintenant qu’il a ce souci d’électrosensibilité (même si c‘est venu progressivement), et avec la permission de la Modération de Femme Actuelle, (à qui je réitère mes remerciements de permettre d’informer, voire de prévenir), voici le lien vers une vidéo de la bande annonce d’un film enquêtant sur le sujet. Mon compagnon y a participé et y témoigne aussi.
 
 
> Voici le lien Youtube de la Bande annonce du film les sacrifiés des ondes
>
> http://www.youtube.com/watch?v=sHh7kjqPgtA&feature=youtu.be
 
 
 
Ce film: « Les sacrifiés des ondes » sera projeté à Paris, à 20h00, le 25 juin, et à Agen, le 28 juin, à 20h30.
 
J'ai aussi mis la vidéo (enfin, essayé !), cliquez dessus.
Combien de personnes ayant des sensations et des maux inexpliqués sont peut-être électrosensibles sans le savoir ? Car parfois, il peut se passer beaucoup de temps avant que le diagnostic soit posé.
 
Quand j’ai assisté à la conférence de Chantal Laffont, le 10 avril si je me souviens bien, une dame de l’assistance a évoqué le cas d’une de ses amies qui présentait des symptômes d’une maladie « inconnue », qui m’ont semblé très caractéristiques de ce problème.
Et vous savez quoi ?
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=sHh7kjqPgtA
 
Je n’ai pas osé l’aborder ni lui parler, car j’étais encore trop marquée par ma mauvaise expérience dans le « gourbi ».
 
Je m’en suis beaucoup voulu, de m’être laissée encore arrêter par l’ignorance, l’irresponsabilité et la bêtise. Dieu merci, maintenant j’ai compris, et dépassé (enfin, j’espère !), les raisons pour lesquelles j’ai tant été marquée par cet incident.
 
Merci encore à Femme Actuelle de me permettre de « réparer » un peu en informant sur le sujet.
J’espère que cela va marcher, l’informatique n’est pas mon fort.
 
Bonne fin de journée !

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 16:03

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 Photo personnelle prise lors d'une promenade, il y a quelque temps

 

 


Hello !

 

D’abord, je voudrais signaler qu’il y a ce soir, sur Direct8, à, 20h45, une émission sur les NDE :

 

« Ils sont revenus de l’au-delà »

« Révélations et témoignages sur la vie après la mort »

 

Petit billet pour vous raconter ce qu’il s’est produit hier, dans l’après-midi, peu après avoir écrit mon billet dans lequel je vous parlais du Tarin des Aulnes qui m’a suivie sur une vingtaine de mètres, tourné vers moi en pépiant.

 

 

Avec mon compagnon, nous sommes allés contempler mon potager (sous la mangeoire), ce que nous faisons 2 ou 3 fois par jour.

 

La conversation est venue sur les oiseaux et mon compagnon m’a réitéré les conseils des « spécialistes » qui préconisent de ne plus rien donner aux oiseaux à partir de Mars.

 

Je lui ai répondu, une fois encore, que je fais ce que j’estime bon, et c’est tout !

 

Dans les secondes qui ont suivi, j’ai senti quelque chose me toucher, avec l’impression que cela cherchait même à se poser sur mon épaule. J’ai sursauté, craignant un gros insecte, et me suis tournée pour voir…

UN OISILLON QUI S’ECARTAIT DE MOI ET SE POSAIT…

 

SUR LE GRILLAGE, un peu maladroitement ! Il semblait me tourner le dos, mais sa tête était tournée vers moi. Il semblait aussi surpris que moi.


Cela a duré quelques secondes, puis il est parti en voletant.

 

Apparemment, il avait tenté de se poser sur moi, mais mon sursaut l'en a dissuadé.

 

Il s’agissait semble-t-il d’un bébé rouge-queue, qui est symbolique, je l’ai lu sur un site internet dont j’ai oublié les coordonnées…

 

DE LA FIN DE LA GUERRE ! Car ces oiseaux là ont trouvé dans les pierres des éboulis, un lieu de choix pour la nidification, et se sont ainsi reproduits.

 

Autre « hasard », ce matin, sur RMC, nous avons écouté l’émission dominicale sur les animaux.

L’intervenant était me semble-t-il un médecin ou un vétérinaire, et il a plaidé pour les droits des animaux. Il semble que la cause progresse quant au respect de leurs droits, et surtout de notre devoir à nous, êtres « humains », de partager la terre avec eux, donc de respecter leurs vies, notamment par un statut intermédiaire entre humains et objets.

 

Il a du même coup rappelé que Descartes (entre autres, d’ailleurs), prétendait que les animaux ETAIENT DES OBJETS ET QUE DE CE FAIT ILS NE RESSENTAIENT RIEN (douleur comprise) !

 

Chaque fois que j’entends dire cela, j’ai envie de taper.

 

A méditer par ceux qui se glorifient d’être « cartésiens » ???

 

Sans d’ailleurs vraiment connaître, souvent, le sens de ce mot, que je rappelle une fois de plus, (Larousse encyclopédique en couleurs), quand il s’agit de qualifier un…

 

« Esprit cartésien : méthodique et rationnel ».

 

La méthode et la raison ne nécessitent-elles pas qu’on tienne compte de tout, et non pas que de ce pour quoi on a une explication ?

 

Explication qui d’ailleurs, toute faite ou pas, peut se trouver démentie dans le futur, de toute façon.

 

Bonne fin de journée !

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 15:48

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Phot personnelle d'une mini toile: "C'est ça l'amour"

 

 

Hello !

 

Aujourd’hui, je vais vous raconter un signe que j’ai eu avec un oiseau, qui me semble peut-être inspiré par mon frère, même si c’était aussi apparemment pour me conforter dans ma vision d’aide à la Nature.

 

Ici, je l’ai déjà dit, si les journées peuvent être très chaudes, les nuits sont froides. La preuve ? La veille de l’ascension, il a gelé. Alors il n’y a pas encore de fruits dans les arbres et buissons.

 

Il est de bon ton de prétendre, y compris de la bouche d’organismes de protection de la Nature, qu’à partir de Mars, il faut arrêter de nourrir les oiseaux, comme si toutes les régions étaient à la même enseigne.

 

« Il faut laisser faire la Nature ».

 

Un brave homme du Tarn et Garonne, département proche de celui où nous habitons, a recueilli et élevé un marcassin blessé, auquel il s’et attaché bien sûr, et nos « chers technocrates » s’en sont émus et veulent le lui enlever, au nom de la loi, et de la protection.

 

Pensez, une bête « fauve », c’est dangereux pour l’homme, un peu comme les rapaces !

 

En lisant l’histoire, j’ai été ulcérée d’apprendre que la loi interdit à quiconque de venir au secours de ces « bêtes ». Il faut les laisser finir dans l’estomac d’autres animaux, c’est le cycle de la Nature, et chacun répète cela comme un perroquet. Prendre la peine de réfléchir, c’est apparemment en option dans l’esprit de certains.

 

Grrrr !!! Je rêverais d’être toubib, et de me trouver face à une de ces chères (dans le sens d’onéreux, pas dans l’autre) têtes pensantes, malade comme un chien (oui, c’est une expression consacrée), et de lui dire :

 

« Je ne peux rien pour vous, je n’en ai pas le droit, on va laisser faire la Nature. Si vous ne vous remettez pas tout seul, bonne nouvelle, vous allez servir à nourrir tout un tas de bestioles. N’ayez crainte, ça ne fait pas mal. ».

 

Encore que, je suis tellement « bête », que je ne pense pas en être capable.

 

Sur le sujet de laisser faire la Nature, justement, dans le programme télé de cette semaine (Télé Star – L2523), pages 24 et 25, il y a un article édifiant sur l’accumulation de déchets plastiques dans le Pacifique, qui porte ce titre :

 

« Un continent de plastique ! » - « Une vraie catastrophe écologique »

 

En voici quelques extraits :

« Dans 20 ans, si l’on ne fait rien, il sera aussi grand que l’Europe »

 

« Des chiffres alarmants :

3.43 Millions de km2 : c’est la surface totale de ce nouveau continent

La concentration de détritus a été multipliée par 100 ces 40 dernières années.

La plaque de détritus peut atteindre jusqu’à 30 mètres d’épaisseur (…)

Un Million d’oiseaux périssent chaque année en ingérant des déchets plastiques

80 espèces différentes de baleines et 6 espèces de tortues piégées dans le plastique ont été dénombrées ».

Signé : Emile Lopez

 

C’est ce qu’il se passe quand on se décharge de ses responsabilités sur d’autres, et notamment sur cette pauvre planète terre qui n’en peut plus de toutes nos inconséquences.

 

On compte qu’elle va tout recycler elle-même pour qu’on persiste à être irresponsables ?

Un jour le boomerang nous reviendra, si on continue à avoir ce discours là.

 

Les oiseaux de nos campagnes sont logés à la même enseigne : pesticides, filets pour protéger les récoltes, raréfaction de leur nourriture, de leur espace vital.

Même chose pour les sangliers qui prolifèrerait. Evidemment, on rogne chaque jour un peu plus sur leur lieu de vie, leur nourriture et leur habitat. Alors, ils sont les uns sur les autres, avec tous les effets pervers que cela entraine.

 

Et je ne parle pas des abeilles. Un homme a été « attaqué » et piqué, ce qui est rarissime.

Mais sait-on, par exemple, que le téléphone portable peut provoquer des réactions incontrôlées chez ces insectes ?

Alors, on va tuer tout ce qui peut présenter un risque ?

 

« Hasard » encore hier, dans l’émission du matin : « C’est au programme », que j’ai regardée par « hasard », un invité, Patrice Franceschi a dit cette phrase :

 

« Etre propriétaire de sa vie, c’est accepter l’insécurité ».

 

Est-ce un « hasard » encore si hier, un autre reportage à la télé, dont je n’ai entendu que peu de choses, parlait du sauvetage d’une race d’animal sauvage, peut-être le rhinocéros blanc, je ne me souviens plus, qui a pratiquement disparu, et que certains tentent de sauver.

 

Cela m’a agacée, vraiment, qu’on attende l’extinction des espèces pour faire quelque chose, alors que si on avait à cœur de réparer, au jour le jour, le risque serait moins grand, et la tâche plus aisée.

 

Je suis atterrée de voir le peu de moineaux qu’il reste. Du temps de mon enfance, je les observais avec bonheur, il y en avait une multitude.

 

Alors, je me suis posé la question, et je l’ai posée à mes chers Anges :

 

« Dois-je mettre encore de la nourriture aux oiseaux ? ou dois-je écouter les recommandations ?»

 

J’ai diminué, puisque les conditions climatiques sont meilleures, mais je me posais la question, vu le nombre d’oiseaux qui fréquentent mon jardin et encore la mangeoire, et notamment en ce moment, avec les nichées (est-ce une « coïncidence » si nous avons beaucoup de nids dans les parages, notamment un de « rouge-queue » sous une tuile du toit de la maison ?).

 

Le signe et la réponse, ce fut le vendredi 1er juin, où, mon escabeau sous le bras (la mangeoire est haute) je suis allée garnir la mangeoire, en me posant cette question. Comment être sûre de bien faire, et de ne surtout pas nuire ?

 

J’en ai profité pour jeter un œil à mon potager. Quelques oiseaux n’ont pas peur de moi : les mésanges, les verdiers, par exemple. Je les entendais grignoter dans mon dos (à un mètre ou 2), tandis que j’étais accroupie à observer les progrès de mes légumes. Mais habituellement, dès que je bouge, ils s’en vont, bien sûr.

 

Or là, un joli petit oiseau jaune, que j’avais déjà remarqué parfois comme n’étant pas farouche, mais sans pouvoir l’identifier, ce petit oiseau jaune là, quand je me suis relevée pour partir, il a décidé de m’accompagner au lieu de fuir ou de revenir à la mangeoire.

 

Il se posait sur le grillage de la clôture, et pépiait, tourné vers moi. Je restais quelques secondes aussi à le regarder, enchantée du spectacle, puis avançais. Il me dépassait en voletant, se posait à nouveau, et m’attendait, toujours tourné vers moi, en continuant de pépier. On aurait pu penser qu’il me parlait ou me remerciait.

 

Il m’a ainsi accompagnée jusque sur le devant de la maison (soit sur environ 20 mètres), qui m’a éloignée de la clôture. Je suis encore restée immobile quelques secondes à l’admirer et à l’écouter, toujours tourné vers moi à me gratifier de son chant. Puis il y a eu un bruit au loin, et il s’est envolé.

 

C’était la première fois que cela se produisait, depuis 1 an et demi que nous sommes ici.

 

J’ai ressenti un signe. Alors, je suis allée sur internet essayer de trouver le nom de « mon » beau petit oiseau. Il s’agit d’un TARIN DES AULNES.

 

Alors il ma semblé que le signe était peut-être double, car « tarin », c’était la façon dont mon frère appelait… le NEZ !

 

Et avoir du nez, cela veut dire pressentir, deviner, voir juste.

 

J’en ai conclu, et d’autres signes que je vous raconterai l’ont confirmé, que je devais écouter mon cœur et mon intuition, lesquels me disent de continuer à apporter mon obole aux animaux jusqu’à la saison des fruits.

 

Arrêtons de prendre les animaux pour des « bêtes », ils ne vont pas se goinfrer de graines s’ils ont le choix. Et ils sont tellement nombreux à venir dans mon jardin, que je ne pense pas que pour le moment, ils l’aient trop le choix. Car le problème, c’est que certaines espèces (pies, pics épeiche, rapaces, etc.), peuvent se rabattre sur des oisillons pour nourrir leur nichée.

Alors j’assume !

 

Bonne journée !

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 18:04

 

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Photo personnelle: iris de mon jardin

 

 

Hello !


Pour illustrer le témoignage émouvant d’Agapante (que je remercie encore), et pour confirmer que nos proches « disparus » ne veulent absolument pas nous voir malheureux, et encore moins nous détruire par rapport à leur « départ », voici le signe qu’a eu ma belle-sœur avant-hier matin (5 juin):

 

Elle ne dormait pas depuis 2 heures du matin, pensant à toutes les paperasses à faire, qui n’arrangent pas le moral, il faut bien le reconnaître…


Elle a alors entendu mon frère l’appeler par son petit surnom affectueux et lui dire de continuer à manger. Il est vrai qu’elle n’est déjà pas épaisse et a du mal à cuisiner pour elle seule, et à manger, maintenant.

Par contre, il semble que ses capacités médiumniques se soient développées depuis ce « départ ».

Dans le même moment, à la télé, qu’elle avait allumée pour passer le temps, l’émission diffusée était…

 

Une redif de « Toute une histoire » (France2), qui donnait la parole à…

 

Des personnes qui se sont laissées mourir de chagrin à la suite de la perte d’un être cher !!


Evidemment, elle a bien compris qu’il faut qu’elle continue à se battre, que ce n’est pas la solution.

 

Lundi matin (le 4), je n’avais vraiment pas le moral moi-même, l’épreuve m’ayant replongée dans le bain de l’enfance, et tout le mal être ressenti à l’époque. Et je ruminais, je dois bien l’avouer.

 

Je suis partie vers 7h30 à Caussade en voiture. Quand je suis remontée à bord, après avoir refermé le portail du jardin…

 

Joe a commencé à chanter, sur Nostalgie :

« Ca va pas changer le monde » !

 

Très émue, je me suis écroulée en pleurant sur le volant, tout en remerciant du cadeau, tandis que ces chers Anges m’assuraient que :

 

« Ce n’était pas fait pour pleurer, ce cadeau ! »

 

Oui, je sais bien, mais bon…

 

J’ai pris la route, et peu après la sortie de mon village, j’ai remarqué vaguement dans le rétro qu’une voiture me suivait. Je n’y ai prêté attention que quand elle s’est arrêtée derrière moi, au niveau d’un stop…

 

C’était exactement la même voiture que mon frère (même modèle, même couleur, qui est d’ailleurs la même que la mienne, et même marque) !!!

 

A ce stop, donc, nos chemins se sont séparés. Elle a continué, tandis que je tournais à droite, en direction de Caussade.

Mais très rapidement…

 

Une autre voiture, pareille, celle là encore, m’a rattrapée et suivie jusqu’à l’entrée de Caussade !

 

Au retour, peu avant mon village, Maxime Le Forestier a chanté, à la radio…

 

« Toi le frère que je n’ai jamais eu… »

 

Ma belle-sœur, quand je lui en ai parlé, m’a dit qu’il aimait beaucoup cette chanson, qui dit notamment :

 

« Mais tu n’es pas là, à qui la faute,

Pas à mon père, pas à ma mère,

Tu aurais pu chanter cela… »

 

Invitation à ne plus ruminer, je suppose. Je sais de toute façon que tout avait été choisi ainsi.

 

Francis Cabrel a pris la suite, avec « Encore et encore », notamment :

 

« Faudrait que t’arrives à en parler au passé,

Faudrait que t’arrives à ne plus penser à ça,

Faudrait que tu l’oublies à longueur de journée… »

 

C’est effectivement ce qu’il faut arriver à faire, travailler à se débarrasser de tous les effets de l’enfance, parce que c’est le but, le challenge à relever.

 

Et pour terminer, en traversant mon village (vers 10h30), j’ai constaté que, devant l’église où trône aussi la statue de Jeanne d’Arc, était stationnée…

 

Encore une voiture exactement comme celle de mon frère !

 

Et d’autres signes encore que je vous raconterai bientôt.

Bonne fin de journée !

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:16

Photo personnelle prise le même jour que la précédente, il y a 2 ou 3 ans

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Hello !

 

Merci encore à tous et toutes, et plus particulièrement à toi Claire, de tes encouragements. Je reviendrai plus longuement sur tout ce qui m’est appris par rapport au départ de mon frère quand j’aurai un peu plus de temps et que je serai un peu plus apaisée.


Mais il me semble urgent, sur le point de la vérité de ce qu’on vit, ressent et témoigne, que tu abordes, de vous parler quand même de cette nécessité de vérité. Non pas bien sûr LA Vérité, mais celle que l’on ressent au fond de soi, sa Vérité propre, à laquelle chacun a droit, n’en déplaise à certains. Prétendre le contraire, c’est n’être rien d’autre qu’un gourou, c’est ronger l’autre de l’intérieur pour lui donner sa propre vision des choses, avec tous les risques que cela comporte, hélas. Et il ne sert à rien de le faire avec de grandes déclarations d’Amour, car si cela peut faire illusion un certain temps, LE FOR INTERIEUR DE L’UN, COMME DE L’AUTRE NE S’Y TROMPE PAS, LUI !

 

C’est d’ailleurs pour cela que c’est non seulement un droit, le droit d’être soi, mais c’est surtout une nécessité vitale.

 

Face à tout ce que j’ai pu constater et comprendre depuis le « départ » de mon frère, j’ai en effet eu la confirmation TOTALE de ce qui est ressorti lors de ma dernière « constellation familiale » : il est vital de se permettre d’être soi, de respecter tous ses ressentis, de ne plus vivre en fonction de ce que pensent les uns et les autres, de leurs réactions surtout, car j’ai enfin pu intégrer, il me semble définitivement, que cela n’a rien à voir avec nous. Car si on est obsédé par l’idée de ne rien dire ou faire qui puisse être mal interprété voire faire du mal, ON S’INTERDIT D’ETRE ET DE VIVRE, et on va attirer immanquablement ce reflet là dans notre vie, sous la forme d’expériences dévastatrices…


Mais le pire, c’est qu’on réalise parfois un peu trop tard que si on s’était permis de dire tout ce qu’on ressentait (dicté bien sûr par l’Amour désintéressé), de prévenir donc, de mettre en garde, les choses auraient pu peut-être prendre une autre tournure…

Même en sachant qu’il n’arrive que ce qui doit arriver, cela fait quand même un peu mal au cœur de le réaliser après.

 

« Grâce » à tout ce qui m’a été ainsi appris sur l’origine de cette mauvaise croyance, de cette idée faussée, je me sens affranchie, et libre de dire, faire et écrire, en mon âme et conscience, en priant, comme je le fais depuis toujours, pour que cela soit dans la droite ligne de la Lumière.

 

Ce vécu là m’a au moins permis d’être particulièrement réceptive et attentive aux autres et à leur bien être. Tout le monde ne peut pas en dire autant… Mais ça peut aussi s’apprendre différemment, il suffit juste d’un peu de cœur.

Si, si, tout le monde en a un.

 

Je crois qu’enfin je ne me laisserai plus culpabiliser ni atteindre au-delà du raisonnable par quiconque, qui, sous l’influence de son formatage personnel, m’accuserait de ce que je ne suis pas, maintenant que j’ai pu débusquer d’où me venait cette « faille » qui me mettait dans un tel état.

 

Si autrefois je vivais très mal que quelqu’un me tourne le dos ou se mette à me faire la gueule, voire pire, sans que j’en comprenne la raison, à plus forte raison pour cause de mauvaise interprétation de mes paroles ou attitudes, voire même de pensée différente,

 

MAINTENANT QUE JE SAIS POURQUOI CELA ME BLESSAIT TANT, ALORS…

 

JE M’EN FOUS, seules comptent pour moi désormais les relations VRAIES, et pour y parvenir, il faut savoir élaguer. Parce que de telles attitudes n’ont rien à voir avec l’Amour, quoi qu’on veuille faire croire, inutile donc de perdre son temps dans des regrets stériles.

 

Je sais maintenant ce que je suis au fond de moi, et plus personne ne me fera rougir à la place de celle ou celui qui projetterait son intérieur sur moi, même et surtout d’ailleurs si c’est sous prétexte de PROTECTION DE L’AUTRE !

 

Et sur le chapitre de la PROTECTION, justement, le mieux étant l’ennemi du bien, et vu que le pendant (j’avais écrit pensant !) du « bien », c’est ce qu’on nomme le « mal », il y a des prétendues protections qui deviennent des geôles et qui malheureusement peuvent s’avérer amener à faire creuser sa tombe à « l’heureux bénéficiaire » de cette protection, et à ses collatéraux, par ricochet…

 

Tout comme l’occupant, pendant la guerre, a exigé de certains pauvres RESISTANTS faits prisonnier, qu’ils creusent la leur, avant de les EXECUTER froidement, sans autre forme de procès.

 

Allez, vive l’Amour… Celui qui respecte l’autre et le laisse libre !

 

Et pour ce faire,

QUE CHACUN COMMENCE PAR S’OCCUPER DE SES AFFAIRES, ET DE SES BLESSURES, AVANT DE SE VOULOIR SAUVEUR OU GUERISSEUR DE L’AUTRE, QUE CHACUN SE CONTENTE DE FAIRE SON PROPRE EXAMEN DE CONSCIENCE (si, si, nous en avons tous une, c’est une des 2 « Petites voix » que nous entendons tous, IL SUFFIT JUSTE DE PRENDRE LE TEMPS DE CHERCHER LA BONNE).

 

Bonne journée et bonne voix !

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