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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 16:03

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 Photo personnelle prise lors d'une promenade, il y a quelque temps

 

 


Hello !

 

D’abord, je voudrais signaler qu’il y a ce soir, sur Direct8, à, 20h45, une émission sur les NDE :

 

« Ils sont revenus de l’au-delà »

« Révélations et témoignages sur la vie après la mort »

 

Petit billet pour vous raconter ce qu’il s’est produit hier, dans l’après-midi, peu après avoir écrit mon billet dans lequel je vous parlais du Tarin des Aulnes qui m’a suivie sur une vingtaine de mètres, tourné vers moi en pépiant.

 

 

Avec mon compagnon, nous sommes allés contempler mon potager (sous la mangeoire), ce que nous faisons 2 ou 3 fois par jour.

 

La conversation est venue sur les oiseaux et mon compagnon m’a réitéré les conseils des « spécialistes » qui préconisent de ne plus rien donner aux oiseaux à partir de Mars.

 

Je lui ai répondu, une fois encore, que je fais ce que j’estime bon, et c’est tout !

 

Dans les secondes qui ont suivi, j’ai senti quelque chose me toucher, avec l’impression que cela cherchait même à se poser sur mon épaule. J’ai sursauté, craignant un gros insecte, et me suis tournée pour voir…

UN OISILLON QUI S’ECARTAIT DE MOI ET SE POSAIT…

 

SUR LE GRILLAGE, un peu maladroitement ! Il semblait me tourner le dos, mais sa tête était tournée vers moi. Il semblait aussi surpris que moi.


Cela a duré quelques secondes, puis il est parti en voletant.

 

Apparemment, il avait tenté de se poser sur moi, mais mon sursaut l'en a dissuadé.

 

Il s’agissait semble-t-il d’un bébé rouge-queue, qui est symbolique, je l’ai lu sur un site internet dont j’ai oublié les coordonnées…

 

DE LA FIN DE LA GUERRE ! Car ces oiseaux là ont trouvé dans les pierres des éboulis, un lieu de choix pour la nidification, et se sont ainsi reproduits.

 

Autre « hasard », ce matin, sur RMC, nous avons écouté l’émission dominicale sur les animaux.

L’intervenant était me semble-t-il un médecin ou un vétérinaire, et il a plaidé pour les droits des animaux. Il semble que la cause progresse quant au respect de leurs droits, et surtout de notre devoir à nous, êtres « humains », de partager la terre avec eux, donc de respecter leurs vies, notamment par un statut intermédiaire entre humains et objets.

 

Il a du même coup rappelé que Descartes (entre autres, d’ailleurs), prétendait que les animaux ETAIENT DES OBJETS ET QUE DE CE FAIT ILS NE RESSENTAIENT RIEN (douleur comprise) !

 

Chaque fois que j’entends dire cela, j’ai envie de taper.

 

A méditer par ceux qui se glorifient d’être « cartésiens » ???

 

Sans d’ailleurs vraiment connaître, souvent, le sens de ce mot, que je rappelle une fois de plus, (Larousse encyclopédique en couleurs), quand il s’agit de qualifier un…

 

« Esprit cartésien : méthodique et rationnel ».

 

La méthode et la raison ne nécessitent-elles pas qu’on tienne compte de tout, et non pas que de ce pour quoi on a une explication ?

 

Explication qui d’ailleurs, toute faite ou pas, peut se trouver démentie dans le futur, de toute façon.

 

Bonne fin de journée !

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 15:48

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Phot personnelle d'une mini toile: "C'est ça l'amour"

 

 

Hello !

 

Aujourd’hui, je vais vous raconter un signe que j’ai eu avec un oiseau, qui me semble peut-être inspiré par mon frère, même si c’était aussi apparemment pour me conforter dans ma vision d’aide à la Nature.

 

Ici, je l’ai déjà dit, si les journées peuvent être très chaudes, les nuits sont froides. La preuve ? La veille de l’ascension, il a gelé. Alors il n’y a pas encore de fruits dans les arbres et buissons.

 

Il est de bon ton de prétendre, y compris de la bouche d’organismes de protection de la Nature, qu’à partir de Mars, il faut arrêter de nourrir les oiseaux, comme si toutes les régions étaient à la même enseigne.

 

« Il faut laisser faire la Nature ».

 

Un brave homme du Tarn et Garonne, département proche de celui où nous habitons, a recueilli et élevé un marcassin blessé, auquel il s’et attaché bien sûr, et nos « chers technocrates » s’en sont émus et veulent le lui enlever, au nom de la loi, et de la protection.

 

Pensez, une bête « fauve », c’est dangereux pour l’homme, un peu comme les rapaces !

 

En lisant l’histoire, j’ai été ulcérée d’apprendre que la loi interdit à quiconque de venir au secours de ces « bêtes ». Il faut les laisser finir dans l’estomac d’autres animaux, c’est le cycle de la Nature, et chacun répète cela comme un perroquet. Prendre la peine de réfléchir, c’est apparemment en option dans l’esprit de certains.

 

Grrrr !!! Je rêverais d’être toubib, et de me trouver face à une de ces chères (dans le sens d’onéreux, pas dans l’autre) têtes pensantes, malade comme un chien (oui, c’est une expression consacrée), et de lui dire :

 

« Je ne peux rien pour vous, je n’en ai pas le droit, on va laisser faire la Nature. Si vous ne vous remettez pas tout seul, bonne nouvelle, vous allez servir à nourrir tout un tas de bestioles. N’ayez crainte, ça ne fait pas mal. ».

 

Encore que, je suis tellement « bête », que je ne pense pas en être capable.

 

Sur le sujet de laisser faire la Nature, justement, dans le programme télé de cette semaine (Télé Star – L2523), pages 24 et 25, il y a un article édifiant sur l’accumulation de déchets plastiques dans le Pacifique, qui porte ce titre :

 

« Un continent de plastique ! » - « Une vraie catastrophe écologique »

 

En voici quelques extraits :

« Dans 20 ans, si l’on ne fait rien, il sera aussi grand que l’Europe »

 

« Des chiffres alarmants :

3.43 Millions de km2 : c’est la surface totale de ce nouveau continent

La concentration de détritus a été multipliée par 100 ces 40 dernières années.

La plaque de détritus peut atteindre jusqu’à 30 mètres d’épaisseur (…)

Un Million d’oiseaux périssent chaque année en ingérant des déchets plastiques

80 espèces différentes de baleines et 6 espèces de tortues piégées dans le plastique ont été dénombrées ».

Signé : Emile Lopez

 

C’est ce qu’il se passe quand on se décharge de ses responsabilités sur d’autres, et notamment sur cette pauvre planète terre qui n’en peut plus de toutes nos inconséquences.

 

On compte qu’elle va tout recycler elle-même pour qu’on persiste à être irresponsables ?

Un jour le boomerang nous reviendra, si on continue à avoir ce discours là.

 

Les oiseaux de nos campagnes sont logés à la même enseigne : pesticides, filets pour protéger les récoltes, raréfaction de leur nourriture, de leur espace vital.

Même chose pour les sangliers qui prolifèrerait. Evidemment, on rogne chaque jour un peu plus sur leur lieu de vie, leur nourriture et leur habitat. Alors, ils sont les uns sur les autres, avec tous les effets pervers que cela entraine.

 

Et je ne parle pas des abeilles. Un homme a été « attaqué » et piqué, ce qui est rarissime.

Mais sait-on, par exemple, que le téléphone portable peut provoquer des réactions incontrôlées chez ces insectes ?

Alors, on va tuer tout ce qui peut présenter un risque ?

 

« Hasard » encore hier, dans l’émission du matin : « C’est au programme », que j’ai regardée par « hasard », un invité, Patrice Franceschi a dit cette phrase :

 

« Etre propriétaire de sa vie, c’est accepter l’insécurité ».

 

Est-ce un « hasard » encore si hier, un autre reportage à la télé, dont je n’ai entendu que peu de choses, parlait du sauvetage d’une race d’animal sauvage, peut-être le rhinocéros blanc, je ne me souviens plus, qui a pratiquement disparu, et que certains tentent de sauver.

 

Cela m’a agacée, vraiment, qu’on attende l’extinction des espèces pour faire quelque chose, alors que si on avait à cœur de réparer, au jour le jour, le risque serait moins grand, et la tâche plus aisée.

 

Je suis atterrée de voir le peu de moineaux qu’il reste. Du temps de mon enfance, je les observais avec bonheur, il y en avait une multitude.

 

Alors, je me suis posé la question, et je l’ai posée à mes chers Anges :

 

« Dois-je mettre encore de la nourriture aux oiseaux ? ou dois-je écouter les recommandations ?»

 

J’ai diminué, puisque les conditions climatiques sont meilleures, mais je me posais la question, vu le nombre d’oiseaux qui fréquentent mon jardin et encore la mangeoire, et notamment en ce moment, avec les nichées (est-ce une « coïncidence » si nous avons beaucoup de nids dans les parages, notamment un de « rouge-queue » sous une tuile du toit de la maison ?).

 

Le signe et la réponse, ce fut le vendredi 1er juin, où, mon escabeau sous le bras (la mangeoire est haute) je suis allée garnir la mangeoire, en me posant cette question. Comment être sûre de bien faire, et de ne surtout pas nuire ?

 

J’en ai profité pour jeter un œil à mon potager. Quelques oiseaux n’ont pas peur de moi : les mésanges, les verdiers, par exemple. Je les entendais grignoter dans mon dos (à un mètre ou 2), tandis que j’étais accroupie à observer les progrès de mes légumes. Mais habituellement, dès que je bouge, ils s’en vont, bien sûr.

 

Or là, un joli petit oiseau jaune, que j’avais déjà remarqué parfois comme n’étant pas farouche, mais sans pouvoir l’identifier, ce petit oiseau jaune là, quand je me suis relevée pour partir, il a décidé de m’accompagner au lieu de fuir ou de revenir à la mangeoire.

 

Il se posait sur le grillage de la clôture, et pépiait, tourné vers moi. Je restais quelques secondes aussi à le regarder, enchantée du spectacle, puis avançais. Il me dépassait en voletant, se posait à nouveau, et m’attendait, toujours tourné vers moi, en continuant de pépier. On aurait pu penser qu’il me parlait ou me remerciait.

 

Il m’a ainsi accompagnée jusque sur le devant de la maison (soit sur environ 20 mètres), qui m’a éloignée de la clôture. Je suis encore restée immobile quelques secondes à l’admirer et à l’écouter, toujours tourné vers moi à me gratifier de son chant. Puis il y a eu un bruit au loin, et il s’est envolé.

 

C’était la première fois que cela se produisait, depuis 1 an et demi que nous sommes ici.

 

J’ai ressenti un signe. Alors, je suis allée sur internet essayer de trouver le nom de « mon » beau petit oiseau. Il s’agit d’un TARIN DES AULNES.

 

Alors il ma semblé que le signe était peut-être double, car « tarin », c’était la façon dont mon frère appelait… le NEZ !

 

Et avoir du nez, cela veut dire pressentir, deviner, voir juste.

 

J’en ai conclu, et d’autres signes que je vous raconterai l’ont confirmé, que je devais écouter mon cœur et mon intuition, lesquels me disent de continuer à apporter mon obole aux animaux jusqu’à la saison des fruits.

 

Arrêtons de prendre les animaux pour des « bêtes », ils ne vont pas se goinfrer de graines s’ils ont le choix. Et ils sont tellement nombreux à venir dans mon jardin, que je ne pense pas que pour le moment, ils l’aient trop le choix. Car le problème, c’est que certaines espèces (pies, pics épeiche, rapaces, etc.), peuvent se rabattre sur des oisillons pour nourrir leur nichée.

Alors j’assume !

 

Bonne journée !

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 18:04

 

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Photo personnelle: iris de mon jardin

 

 

Hello !


Pour illustrer le témoignage émouvant d’Agapante (que je remercie encore), et pour confirmer que nos proches « disparus » ne veulent absolument pas nous voir malheureux, et encore moins nous détruire par rapport à leur « départ », voici le signe qu’a eu ma belle-sœur avant-hier matin (5 juin):

 

Elle ne dormait pas depuis 2 heures du matin, pensant à toutes les paperasses à faire, qui n’arrangent pas le moral, il faut bien le reconnaître…


Elle a alors entendu mon frère l’appeler par son petit surnom affectueux et lui dire de continuer à manger. Il est vrai qu’elle n’est déjà pas épaisse et a du mal à cuisiner pour elle seule, et à manger, maintenant.

Par contre, il semble que ses capacités médiumniques se soient développées depuis ce « départ ».

Dans le même moment, à la télé, qu’elle avait allumée pour passer le temps, l’émission diffusée était…

 

Une redif de « Toute une histoire » (France2), qui donnait la parole à…

 

Des personnes qui se sont laissées mourir de chagrin à la suite de la perte d’un être cher !!


Evidemment, elle a bien compris qu’il faut qu’elle continue à se battre, que ce n’est pas la solution.

 

Lundi matin (le 4), je n’avais vraiment pas le moral moi-même, l’épreuve m’ayant replongée dans le bain de l’enfance, et tout le mal être ressenti à l’époque. Et je ruminais, je dois bien l’avouer.

 

Je suis partie vers 7h30 à Caussade en voiture. Quand je suis remontée à bord, après avoir refermé le portail du jardin…

 

Joe a commencé à chanter, sur Nostalgie :

« Ca va pas changer le monde » !

 

Très émue, je me suis écroulée en pleurant sur le volant, tout en remerciant du cadeau, tandis que ces chers Anges m’assuraient que :

 

« Ce n’était pas fait pour pleurer, ce cadeau ! »

 

Oui, je sais bien, mais bon…

 

J’ai pris la route, et peu après la sortie de mon village, j’ai remarqué vaguement dans le rétro qu’une voiture me suivait. Je n’y ai prêté attention que quand elle s’est arrêtée derrière moi, au niveau d’un stop…

 

C’était exactement la même voiture que mon frère (même modèle, même couleur, qui est d’ailleurs la même que la mienne, et même marque) !!!

 

A ce stop, donc, nos chemins se sont séparés. Elle a continué, tandis que je tournais à droite, en direction de Caussade.

Mais très rapidement…

 

Une autre voiture, pareille, celle là encore, m’a rattrapée et suivie jusqu’à l’entrée de Caussade !

 

Au retour, peu avant mon village, Maxime Le Forestier a chanté, à la radio…

 

« Toi le frère que je n’ai jamais eu… »

 

Ma belle-sœur, quand je lui en ai parlé, m’a dit qu’il aimait beaucoup cette chanson, qui dit notamment :

 

« Mais tu n’es pas là, à qui la faute,

Pas à mon père, pas à ma mère,

Tu aurais pu chanter cela… »

 

Invitation à ne plus ruminer, je suppose. Je sais de toute façon que tout avait été choisi ainsi.

 

Francis Cabrel a pris la suite, avec « Encore et encore », notamment :

 

« Faudrait que t’arrives à en parler au passé,

Faudrait que t’arrives à ne plus penser à ça,

Faudrait que tu l’oublies à longueur de journée… »

 

C’est effectivement ce qu’il faut arriver à faire, travailler à se débarrasser de tous les effets de l’enfance, parce que c’est le but, le challenge à relever.

 

Et pour terminer, en traversant mon village (vers 10h30), j’ai constaté que, devant l’église où trône aussi la statue de Jeanne d’Arc, était stationnée…

 

Encore une voiture exactement comme celle de mon frère !

 

Et d’autres signes encore que je vous raconterai bientôt.

Bonne fin de journée !

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:16

Photo personnelle prise le même jour que la précédente, il y a 2 ou 3 ans

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Hello !

 

Merci encore à tous et toutes, et plus particulièrement à toi Claire, de tes encouragements. Je reviendrai plus longuement sur tout ce qui m’est appris par rapport au départ de mon frère quand j’aurai un peu plus de temps et que je serai un peu plus apaisée.


Mais il me semble urgent, sur le point de la vérité de ce qu’on vit, ressent et témoigne, que tu abordes, de vous parler quand même de cette nécessité de vérité. Non pas bien sûr LA Vérité, mais celle que l’on ressent au fond de soi, sa Vérité propre, à laquelle chacun a droit, n’en déplaise à certains. Prétendre le contraire, c’est n’être rien d’autre qu’un gourou, c’est ronger l’autre de l’intérieur pour lui donner sa propre vision des choses, avec tous les risques que cela comporte, hélas. Et il ne sert à rien de le faire avec de grandes déclarations d’Amour, car si cela peut faire illusion un certain temps, LE FOR INTERIEUR DE L’UN, COMME DE L’AUTRE NE S’Y TROMPE PAS, LUI !

 

C’est d’ailleurs pour cela que c’est non seulement un droit, le droit d’être soi, mais c’est surtout une nécessité vitale.

 

Face à tout ce que j’ai pu constater et comprendre depuis le « départ » de mon frère, j’ai en effet eu la confirmation TOTALE de ce qui est ressorti lors de ma dernière « constellation familiale » : il est vital de se permettre d’être soi, de respecter tous ses ressentis, de ne plus vivre en fonction de ce que pensent les uns et les autres, de leurs réactions surtout, car j’ai enfin pu intégrer, il me semble définitivement, que cela n’a rien à voir avec nous. Car si on est obsédé par l’idée de ne rien dire ou faire qui puisse être mal interprété voire faire du mal, ON S’INTERDIT D’ETRE ET DE VIVRE, et on va attirer immanquablement ce reflet là dans notre vie, sous la forme d’expériences dévastatrices…


Mais le pire, c’est qu’on réalise parfois un peu trop tard que si on s’était permis de dire tout ce qu’on ressentait (dicté bien sûr par l’Amour désintéressé), de prévenir donc, de mettre en garde, les choses auraient pu peut-être prendre une autre tournure…

Même en sachant qu’il n’arrive que ce qui doit arriver, cela fait quand même un peu mal au cœur de le réaliser après.

 

« Grâce » à tout ce qui m’a été ainsi appris sur l’origine de cette mauvaise croyance, de cette idée faussée, je me sens affranchie, et libre de dire, faire et écrire, en mon âme et conscience, en priant, comme je le fais depuis toujours, pour que cela soit dans la droite ligne de la Lumière.

 

Ce vécu là m’a au moins permis d’être particulièrement réceptive et attentive aux autres et à leur bien être. Tout le monde ne peut pas en dire autant… Mais ça peut aussi s’apprendre différemment, il suffit juste d’un peu de cœur.

Si, si, tout le monde en a un.

 

Je crois qu’enfin je ne me laisserai plus culpabiliser ni atteindre au-delà du raisonnable par quiconque, qui, sous l’influence de son formatage personnel, m’accuserait de ce que je ne suis pas, maintenant que j’ai pu débusquer d’où me venait cette « faille » qui me mettait dans un tel état.

 

Si autrefois je vivais très mal que quelqu’un me tourne le dos ou se mette à me faire la gueule, voire pire, sans que j’en comprenne la raison, à plus forte raison pour cause de mauvaise interprétation de mes paroles ou attitudes, voire même de pensée différente,

 

MAINTENANT QUE JE SAIS POURQUOI CELA ME BLESSAIT TANT, ALORS…

 

JE M’EN FOUS, seules comptent pour moi désormais les relations VRAIES, et pour y parvenir, il faut savoir élaguer. Parce que de telles attitudes n’ont rien à voir avec l’Amour, quoi qu’on veuille faire croire, inutile donc de perdre son temps dans des regrets stériles.

 

Je sais maintenant ce que je suis au fond de moi, et plus personne ne me fera rougir à la place de celle ou celui qui projetterait son intérieur sur moi, même et surtout d’ailleurs si c’est sous prétexte de PROTECTION DE L’AUTRE !

 

Et sur le chapitre de la PROTECTION, justement, le mieux étant l’ennemi du bien, et vu que le pendant (j’avais écrit pensant !) du « bien », c’est ce qu’on nomme le « mal », il y a des prétendues protections qui deviennent des geôles et qui malheureusement peuvent s’avérer amener à faire creuser sa tombe à « l’heureux bénéficiaire » de cette protection, et à ses collatéraux, par ricochet…

 

Tout comme l’occupant, pendant la guerre, a exigé de certains pauvres RESISTANTS faits prisonnier, qu’ils creusent la leur, avant de les EXECUTER froidement, sans autre forme de procès.

 

Allez, vive l’Amour… Celui qui respecte l’autre et le laisse libre !

 

Et pour ce faire,

QUE CHACUN COMMENCE PAR S’OCCUPER DE SES AFFAIRES, ET DE SES BLESSURES, AVANT DE SE VOULOIR SAUVEUR OU GUERISSEUR DE L’AUTRE, QUE CHACUN SE CONTENTE DE FAIRE SON PROPRE EXAMEN DE CONSCIENCE (si, si, nous en avons tous une, c’est une des 2 « Petites voix » que nous entendons tous, IL SUFFIT JUSTE DE PRENDRE LE TEMPS DE CHERCHER LA BONNE).

 

Bonne journée et bonne voix !

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 18:30

 

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Photo personnelle d'une de mes pivoines

 

 

Hello !

 

Un peu de légèreté aujourd’hui, je vais vous raconter les signes qu’a eus ma belle-sœur.

 

Dans la nuit du dimanche au lundi de Pentecôte (soit 36 heures après), elle n’arrivait bien sûr pas à dormir. Dans le noir, elle a soudain remarqué comme des éclairs, dans le couloir. Elle s’est levée pour aller voir, pensant qu’un orage arrivait…

 

Mais c’était la lumière du perron (extérieur) qui clignotait d’une telle façon, qu’elle a cru à du morse. Ce n’était jamais arrivé auparavant, et ne l’a pas refait depuis.

Ma belle-sœur m’a confié :

 

« Tu ne peux pas savoir comme je me sens apaisée depuis » !

 

Note : le soir même du « départ » de mon amie médium, la lampe de chevet de ma chambre a fait exactement pareil, et sur un rythme qui n’était visiblement pas naturel ni habituel (de toute façon, elle ne clignotait pas auparavant).

Quelques jours plus tard, un matin très tôt, alors que j’étais avachie dans le fauteuil à ruminer sur ce décès, c’est la lumière du salon qui avait fait pareil, plongeant par moments la pièce dans le noir… au moment même où passait à la télé un reportage sur lequel « on » cherchait à attirer mon attention pour m’indiquer une piste face à un autre problème qui me préoccupait, et qui concernait une autre de mes amies.

 

 

Les 2 jours suivants, ma belle-sœur m’a dit avoir entendu mon frère l’appeler par son surnom affectueux. La première fois, elle a craint d’être devenue folle, mais il a poursuivi en lui demandant de ne pas pleurer.

 

Mais le signe qui me semble le plus impressionnant, fut celui d’avant-hier matin :

 

Le chat préféré de mon frère, Titou (il l’aimait au point d’avoir sa photo dans son portefeuille ou son téléphone, je ne sais plus), Titou donc qui avait disparu depuis 2 ou 3 ans…

 

Est venu dans leur cour !

 

Elle l’a appelé par son nom, et il a miaulé comme s’il voulait lui répondre, m’a-t-elle dit, même si elle se demandait si ce n’était pas son imagination. Puis il est reparti.

 

A l’époque où il a disparu, ils ont pensé que peut-être, comme ils avaient recueilli d’autres chats, il était parti, leur laissant la place (« hasard » si c’est ce qui m’a été dit sur le « départ » de mon frère ???).

 

En tous cas la symbolique nous semble claire : celui qu’on croit « disparu » n’est pas ce qu’on appelle « mort », et n’est pas loin.

 

Le 31 mai, (jour de la Visitation), nous discutions au téléphone elle et moi. Incidemment, elle m’a dit être dehors, et marcher, précisant qu’elle aimait marcher quand elle est au téléphone.

Je lui ai expliqué que le téléphone sans fil émet des ondes qui sont au moins aussi dangereuses que celles du portable, et que le fait de marcher avec l’appareil à l’oreille n’est pas bon.

 

Elle m’a répondu à 3 reprises :

 

« Je m’en fous »

 

J’hésitais à rouspéter, quand soudain, le son s’est mis à être haché, entrecoupé. On n’arrivait plus à entendre ni à comprendre !

Cela ne l’avait pas fait auparavant, donc je lui ai fait remarquer qu’apparemment, il ne l’entendait pas de cette oreille, et qu’il le lui faisait savoir !

 

Elle en a convenu.

 

Sur le sujet, ces chers Anges m’ont dit de lui expliquer que si elle pensait qu’en se détruisant la santé elle le rejoindrait plus tôt, ce n’était pas du tout un bon calcul, elle se trompait lourdement.

 

Le jour du « départ » est programmé, et ne se fera pas plus tôt que ce qu’elle voudrait. Tout au contraire, elle a un chemin de compréhension à faire avant de le rejoindre, et cela seul permettra qu’ils se retrouvent quand ce sera le moment.

Donc, si elle veut s’éviter les souffrances de la maladie qui ne lui apporteront rien de plus par rapport à leurs retrouvailles, elle doit veiller sur elle. Ainsi, son « départ », le moment venu, se fera dans les meilleures conditions.

 

Et d’autre part, pour pouvoir continuer à communiquer avec lui, elle se doit d’être équilibrée et en bonne santé.

 

Voilà ! Depuis 10 ans maintenant (à quelques jours près), c’est un grand bonheur et un grand honneur pour moi d’apporter gratuitement une petite contribution à ceux qui souffrent du « départ » d’un être cher (quand ces chers Anges me le demandent).

 

Alors, aujourd’hui, qu’en plus ces chers Anges me récompensent par tant et tant de signes, de marques de soutien et d’amour, y compris et c’est important pour moi, à ma belle-sœur et à ma mère, je dois dire que j’en suis assez émerveillée. Et si parfois (rarement, Dieu merci), ce fut un peu difficile à vivre face à une paire de personnages, j’en suis « payée » largement au-delà.

 

Bonne fin de journée !

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 11:07

 

Je remets cette photo, mise il y a peu, qui me semble très symbolique:

 

P1020744

 

 

 

Hello !

 

 

 

J’ai oublié de vous préciser, dans le billet précédent, que souvent, notamment quand je chipotais dans mon assiette, mon père me disait, quand j’étais petite :

 

 

 

« On voit que tu n’as pas fait la guerre ! » (en rapport avec :

 

« Elle a dû faire toutes les guerres, pour être si forte aujourd’hui ».

 

 

 

Merci encore infiniment à tous et toutes.

 

Je n’aurais jamais pensé devoir livrer ainsi mes blessures secrètes, et auparavant, d’ailleurs, je ne voulais pas le faire, mais je ne regrette pas, au regard de ce dont plusieurs d’entre vous m’ont confié que cela a contribué à leur faire prendre conscience.

 

J’en éprouve beaucoup de réconfort, surtout pour celles que cela a décidées à se faire aider par un « psy » (professionnel, je vous en supplie !), afin d’évacuer enfin les sentiments de culpabilité dont elles n’arrivaient pas à se débarrasser.

 

 

 

C’est la raison du « sauve qui peut », dont j’ai parlé, ressenti en lisant le livre de Guy Corneau : sa « sœur d’âme », comme il appelle la femme qu’il aimait, est « partie » d’un cancer, dans de grandes souffrances (il l’a accompagnée dans son combat). Elle n’avait pas eu le courage de travailler sur le sentiment de culpabilité qu’elle traînait depuis le jour où sa petite sœur a été écrasée par un véhicule, en sa présence.

 

Cette dame avait aussi refusé les traitements allopathiques, pensant que les médecines douces suffiraient.

 

 

 

J’espère que tout cela fera réfléchir les non conscients de leur immense ignorance quant au fonctionnement de l’être, donc de leur dangerosité à se vouloir "sauveurs" sans la moindre formation (et d'ailleurs, solide, c'est encore mieux !), ainsi que tous ceux qui se rendent complices, qu’ils le veuillent ou non, en les soutenant.

 

 

 

Cela nous ramène au sujet des sectes et gourous.

 

Étant donné que mes chers inspirateurs célestes m’avaient dit qu’ils avaient un fonctionnement similaire au cancer, en déprogrammant leurs proie de la vérité de leur âme, pour les rendre à leur image, je me suis inquiétée, face à la mort de mon frère :

 

 

 

« Est-ce à dire que les sectes auront le dessus, que le « mal » est trop avancé ? » ai-je demandé, même si je n’y croyais pas vraiment, tant il y a une chose dont je suis sûre, c’est que quelles que soient les apparences, tout est dans « l’ordre divin ».

 

 

 

Mais ces chers Anges m’ont rassurée. Ils ont toujours défini les gourous et manipulateurs par :

 

« Voleurs d’âme », voire même parfois : « violeurs d’âme ».

 

 

 

Et « sur le sujet de son âme, la guérison a été rapide, spectaculaire et parfaite ».

 

Il avait fait un tel bond en avant !

 

 

 

Je ne peux m’empêcher de faire le lien avec ce que mes recherches en psychogénéalogie et plus précisément les 3 « constellations familiales », sur un an, ont permis de mettre à jour, même si tout le mérite de cette guérison de son âme en revient bien sûr à mon frère, sous l’influence de sa maladie.

 

 

 

Mais peut-être cela a-t-il donné un coup de pouce, car après tout, face à la maladie, il aurait au contraire pu encore plus se fermer.

 

 

 

Rappel : ces chers Anges ont répondu, quand je leur ai demandé de ne pas s’occuper de mes vieilles blessures, mais de celles de mon frère, qu’on « pouvait aussi faire d’une pierre 2 coups ».

 

 

 

Et quant au choix d’incarnation qu’il avait fait: que son corps n’arrive pas à remonter ces 4 décennies d’excès, voici les explications données :

 

 

 

« Cette chère âme, a choisi ce « départ » là, refusant tout « miracle » qui aurait guéri son corps (même s'il y croyait dur comme fer de son "vivant"), car cela aurait pu donner à penser qu’il n’était pas grave de ne pas respecter son corps, sa santé, pendant tant et tant d’années, parce qu’un « miracle » pouvait toujours survenir et sauver, comme un coup de baguette magique.

 

Cela aurait même pu contribuer à pousser certains, n’ayant pas conscience que le « sauveur » est en eux (en association avec les méthodes de soin), à s’adresser à des « faiseurs de miracles ».

 

 

 

Au contraire, cette belle âme a voulu démontrer sans qu’il puisse y avoir le moindre doute, qu’il est de toute première importance de prendre soin de soi, de penser AUSSI A SOI, de se ménager, de ne pas sacrifier sa santé et sa vie par rapport à des considérations qui ne peuvent absolument pas être plus importantes que le respect de soi DANS LE PRESENT.

 

C’est ce qui peut faire toute la différence entre la guérison de l’esprit, du « cœur », de l’âme et celle du corps".

 

 

 

La suite bientôt !

 

Bonne journée !

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 18:21

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Hello !

 

Photo personnelle du dernier tableau que j'ai exécuté, en peinture, en 2009. Je n'ai pu peindre depuis. "Hasard" ? Une amie qui se reconnaîtra l'avait chois pour inspirer un concours de poésie.

 

Après vérification, c’est dans le billet du 17 mai que j’avais ressenti devoir mettre la photo des 2 ânes (l’un derrière l’autre). C’était le jour de l’Ascension.

C’est aussi dans ce billet que j’évoquais un sinistre jour d’octobre, où le choc subi ma donné l’impression que mon esprit se séparait de mon corps.

 

Ce 26 mai à 15h12, quand ma belle-sœur m’a appelée pour me prévenir, j’ai cru, l’espace d’une seconde, que ça allait recommencer. Mais non, j’ai réussi à garder mon intégrité.

 

De ce funeste jour d’octobre, j’ai pu en parler avec mon frère, (à qui je ne m’étais jamais confiée sur ce jour là), lors de notre dernière communication téléphonique, le 11 mai. Nous avions déjà éclairci des points sur lesquels j’avais voulu garder le secret, préférant porter le chapeau (!!!) et passer pour la méchante. Et j’ai eu la joie d’apprendre qu’il avait enfin compris de lui-même, et me donnait parfaitement raison.

Ce fut déjà un début de guérison pour moi.

 

Mais il m’a fait encore un inestimable cadeau de guérison ce 26 mai, quand j’ai démarré ma voiture pour me rendre chez eux, dans l’Aude. J’espérais entendre à la radio qui vous savez. Comme ce n’était pas le cas, je n’ai plus fait attention à la musique, et suis partie.

Je conduisais depuis peu, quand des paroles de la chanson diffusée ont frappé mon oreille :

 

« Maintenant, comme avant,

Doucement, sans pâlir, sans souffrir…

Aujourd’hui, je te dis :

Souffrir par toi n’est pas souffrir,

C’est comme mourir ou bien faire rire

C’est s’éloigner du monde des vivants

Dans la forêt voir l’arbre mort seulement… »

 

Chanson interprétée par Isabelle Boulay : « Souffrir par toi n’est pas souffrir ».

 

Voilà le premier cadeau de guérison pour moi…

 

Un des drames de ma vie, c’est que l’enfant que j’étais s’est crue responsable des souffrances d’enfant de son frère, liées à notre père. Dans mon esprit d’enfant, s’est ancrée l’idée que si je n’avais pas existé, la relation entre notre père et mon frère aurait été normale.

Ma mère était hélas enfermée dans ses tragédies familiales (pendant l’enfance, son père avait martyrisé son plus jeune frère qu’elle aimait beaucoup) et, enkystée dans ses souffrances, ne s’est pas rendu compte qu’elle reproduisait des schémas perpétuellement. Et mon père n’avait pas, apparemment, la force de s’imposer, car tout cela devait le dépasser.

 

J’ai cru, dans mon petit cœur d’enfant, que je n’avais de ce fait pas le droit d’aimer, ni d’être aimée, et que je n’avais pas le droit de briller ni de réussir pour ne pas faire d’ombre à mon frère…

 

Mes « petits » Anges m’avaient permis de le comprendre, il y a pas mal de temps déjà, mais le sentiment de culpabilité était semble-t-il trop ancré en moi. Alors, m’ont-ils expliqué ces jours-ci, puisque sur cette terre je n’avais pas droit à l’Amour, mon esprit les a rejoints, car « Là-Haut », point « d’humains » ( !) pour interdire à quiconque d’aimer (pour son bien !), tout au contraire.

 

Et grâce à cette chanson, il m’a été expliqué que mon frère avait fait ces choix de vie et de départ (puisque chaque âme choisit la vie qu’elle veut vivre, les expériences qu’elle veut venir faire), par Amour pour moi, pour me permettre de me délivrer plus vite de ce sentiment dont je n’arrivais pas à me défaire.

 

Ce fut pour moi un moment intense de gratitude et de reconnaissance, même si je n’ai pu m’empêcher de faire remarquer que j’aurais préféré qu’il guérisse.

 

Et ce matin, j’ai reçu un message, de « là-haut », de mon frère, me confirmant cela, et ajoutant que c’était aussi son choix de « départ » fait par Amour pour sa petite femme adorée, pour lui permettre, avec son aide, bien sûr, elle qui le considère comme son sauveur, de trouver un « sauveur » encore plus efficace… Si, si, c’est possible, m’a-t-il dit en riant : hé ! Hé ! Hé !

Et ce sauveur si efficace, c’est celui qui est en elle (qu’elle appelle Dieu), car elle est très « croyante »).

 

Parmi les innombrables signes que j’ai reçus depuis son départ, hier vers midi, tandis que nous attendions, à la gare, le train qui devait ramener mon fils aîné en région parisienne, mon attention a été attirée par le fond sonore. C’était la chanson de Vanessa Paradis :

 

« Marilyn et John », puis j’ai un peu « décroché », quand rapidement, à nouveau, une chanson a attiré mon attention. Il s’agissait de Francis Cabrel (rappel : Francis était le prénom de notre demi-frère) :

 

« Elle a dû faire toutes les guerres

Pour être si forte aujourd’hui,

Elle a dû faire toutes les guerres de la vie,

Et l’amour aussi… »

Et la dernière phrase :

 

« Je l’aime à mourir », qui est aussi le titre.

 

Ce fut très émouvant pour moi, qui ne me suis pas trop senti le droit non plus, comme mon frère, d’exprimer mes souffrances, vu celles des autres. Et puis mon père me disait souvent affectueusement que j’étais une « petite Nature ».

 

Peu après, vers 14h35 environ, après avoir longuement discuté de tout cela avec une amie chère qui se reconnaîtra, je suis allée au salon. La télé, allumée par mon plus jeune fils sur…

DIRECT STAR (Direct Etoile ?), diffusait un clip de Chimène Badi :

 

« Ma liberté », chanson avec laquelle j’ai eu des signes aussi, après la découverte, à la suite de ma dernière « constellation familiale », de l’origine du veto.

 

J’aime beaucoup Chimène, donc je suis restée à l’écouter. L’air suivant fut…

 

« Je l’aime à mourir », interprété cette fois-ci par Shakira !!!

Elle portait le n° 11 (l’Aude !)

 

Ensuite, Louisy Joseph interpréta une mélodie dont j’ai relevé quelques paroles :

 

« On a tous au fond du cœur

Quelque chose qui nous fait du mal,

Qui nous enchaîne… ».

 

Ce matin, je suis allée faire quelques courses. Quand je me suis garée devant le centre commercial, Johnny Halliday chantait :

« J’ai oublié de vivre ».

 

Je suis entrée dans le magasin et me suis dirigée vers le fond (rayon animaux), qui se trouve juste dans le prolongement des téléviseurs…


Pour voir et entendre Shakira terminer une chanson avec seulement ces 2 phrases :

 

« Je l’aime à mourir…

Je l’aime à mourir… »

 

A bientôt pour les autres signes.

Bonne fin de journée !

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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 20:19

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Hello !

 

 

 

Je remets cette photo personnelle, qui date de plusieurs années pourtant, mais que j'ai ressenti de mettre dans un récent billet. C'est en cherchant une photo pour illustrer ce billet que j'ai réalisé le "Hasard", et la symbolique !!!!

 

 

 

 

En premier lieu encore, merci à tous et toutes, qui vous êtes associés à notre peine. Un monde « fou » l’a accompagné hier, et je dois dire que toutes ces, et vos manifestations de soutien et de sympathie furent et sont encore source d’émerveillement et de gratitude pour nous.

 

 

 

J’avais pensé vous raconter dans l’ordre tous les signes et toutes les explications et guérisons, bref, tous les beaux cadeaux de l’épreuve, (probablement annoncée par le billet du même titre, peu avant), mais j’ai opté pour les derniers, ceux d’hier, autour de la crémation (son choix), parce que depuis je me sens tellement mieux, et ma belle-sœur, ainsi que ma mère, et mes enfants, aussi, que j’éprouve un sentiment immense de reconnaissance pour lui et tous ces chers Anges qui nous entourent, que je voudrais vous faire partager.

 

 

 

D’abord, je voudrais vous décrire mon frère (plus jeune que moi de 10 mois et demi). C’était un boute en train, qui ne ratait pas une occasion de faire rire… Y compris, et d’ailleurs de préférence, dans les situations qui ne prêtaient pas à rire, voire sérieuses. Et quand les éclats de rire fusaient autour de lui, il était heureux, et il s’esclaffait : « Hé ! hé ! hé ! hé ! Il maniait aussi bien l'humour potache, que décalé, lui aussi. »

 

 

 

C’est bien simple, il me faisait un peu penser à Carlos, compère de qui vous savez, bien qu’un peu moins corpulent et plutôt blond.

 

 

 

Hier, jour anniversaire de mon fils aîné, (« coïncidence », mon amie « voyante » a été aussi enterrée le jour de mon anniversaire), nous l’avons tous accompagné. Entre notre arrivée, la cérémonie et la crémation, nous étions sur le site depuis une bonne heure et demie. Puis, AU MOMENT MÊME où le fourgon contenant l’urne et les fleurs a commencé à partir…

 

 

 

UNE SERIE DE « HI HAN ! » sonores a soudain résonné dans le calme et le silence, venant du jardin à côté, (dans lequel certains avaient vu un âne), faisant sursauter tout le monde.

 

 

 

C’était tellement incongru, inattendu, décalé, mais surtout insistant et très bruyant, qu’alors que mon premier mouvement a été de sursauter sans y prêter attention, j’ai fini par ressentir très nettement qu’il y avait là un signe. Ce d’autant plus que dès que j’ai eu cette intuition et que j’ai fini par dire à mes proches :

 

 

 

« Bizarre cet âne qui se met à braire juste au moment où le fourgon démarre. Ça, je ne serais pas étonnée que ce soit un coup de Gérald, pour détendre l’atmosphère et dire : Ça suffit de pleurer, maintenant on rigole »…

 

 

 

Les cris se sont arrêtés rapidement après mes paroles !

 

 

 

La famille a convenu que c’était tout à fait lui, cette façon de faire, mais sans sembler vraiment convaincue qu’il s’agisse réellement d’un signe.

 

 

 

Moi je n’arrivais pas à arrêter de rire, le cœur soudain bien plus léger. Cela rejoignait d’ailleurs un signe que ma belle-sœur avait eu de lui les 2 jours précédents, je le raconterai.

 

 

 

Et juste avant cela ou juste après, je ne me souviens plus très bien, mon plus jeune fils a reçu un appel pour lui annoncer qu’il était reçu à son année... Alors qu’il pensait devoir passer le repêchage, nous en avions parlé dans la voiture, justement.

 

 

 

Nous sommes restés une bonne demie heure de plus, puis sommes partis manger rapidement, et avons pris la route pour rentrer chez nous, avec mon fils aîné et notre fils. Sur le chemin, je repensais à cet âne, que nous n’avons pas réentendu le temps que nous sommes encore restés.

 

Qu’est-ce qui pourrait indiquer qu’il s’agissait vraiment d’un signe de « Tonton » ????

 

 

 

Et soudain, l’intuition m’est venue par cette expression…

 

 

 

« FAIRE L’ANE » !!

 

 

 

C’est exactement ce que j’ai entendu ma mère dire de son fils, toute notre enfance, avec tendresse et amusement, quand il faisait ses pitreries pour amuser la galerie :

 

 

 

« Il faut toujours qu’il fasse l’âne » ou « Gérald ! Arrête de faire l’âne » !!!

 

 

 

Arrivée à la maison, j’ai appelé chez ma belle-sœur (ma mère est restée avec elle, car elles habitent le même village), pour leur en parler. Cela les a convaincues. D’ailleurs ma belle-sœur m’a rappelé la fois où, il y a quelques années…

 

 

 

IL AVAIT FAIT LE CHIEN (avec force aboiements et grognements qu’il nous a mimés pour nous les raconter), depuis son garage…

 

Et vous savez pourquoi ????

 

 

 

« Hasard » ou « coïncidence » ???

 

 

 

POUR FAIRE FUIR DEUX ADEPTES D’UNE SECTE QUI SONNAIENT A SA PORTE !!!!

 

Et il avait dû être convainquant car ils avaient détalé !

 

 

 

Bonne symbolique, non ??? Je reviendrai sur ce sujet, justement, dans un prochain billet.

 

 

 

En attendant, avec un tel joyeux drille, la « fine équipe » de ces chers Anges a une recrue de choix et n’a pas fini de manier l’humour…

 

 

 

Justement, j’avais la nostalgie, après ces quelques années un peu difficiles moralement, qu’ils m’ont aidée à passer, des messages humoristiques des premières années, qui me faisaient beaucoup rire !

 

 

 

Dès que possible, je vous raconte les cadeaux de guérison.

 

Bonne fin de journée !

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 16:51

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Hello !

 

 

 

Comme je l’ai évoqué dans mon avant-dernier billet, mes chers inspirateurs célestes m’ont expliqué tout dernièrement que nos êtres chers peuvent parfois, par leur manière de « partir », nous donner, comme un ultime cadeau d’Amour, une indication sur un aspect de notre vie qu’il pourrait y avoir avantage pour nous à « travailler ».

 

 

 

Sans doute, avec d’autres signes que j’essaierai de prendre le temps de vous raconter, me préparaient-ils...

 

 

 

Lors de la découverte du cancer du poumon de mon frère, j’avais bien ressenti que son combat, et par ricochet le mien, allaient permettre, peut-être, d’aider ceux qui traversent de telles situations.

 

 

 

Je voulais à toute force croire que ce serait de son vivant. Ses prises de conscience et le bond en avant dans la spiritualité qu’il a faits en quelques mois me laissaient espérer qu’il allait pouvoir renverser la fatalité de ce que je savais pourtant depuis tant d’années…

 

 

 

Mais voilà, il ne m’avait pas tout dit. S’il m’avait parlé des bons résultats, il avait omis de me dire qu’il n’y avait pas que ce cancer là. Même s’il savait à quoi s’en tenir, il pensait qu’il allait réussir à renverser la vapeur.

 

 

 

Il avait une opération prévue, pour une nécrose des os au niveau des hanches. Elle n’a pu se faire à cause de la découverte de son cancer. Les médecins ont paré au plus pressé. Mais ça l’a condamné à l’immobilité, qui malheureusement, couplée à d’autres facteurs (dont le cancer), a probablement provoqué une embolie pulmonaire qui l’a emporté avant-hier, veille de Pentecôte, en quelques minutes, dans les bras de sa femme adorée qui n’a rien pu faire…

 

 

 

Il est parti dans des circonstances similaires à celles de la mort de notre père… Vers qui il avait enfin un chemin de retrouvailles et de réconciliation « posthumes », ces derniers mois, car il avait compris, grâce à des lectures, le pourquoi de ses dépendances et de son autodestruction.

 

 

 

Mais comment remonter un organisme atteint à ce point par 4 décennies d'excès, et dans un tel état de « délabrement » en si peu de temps ?

 

Guy Corneau, qui a réussi à s’en sortir, avait une alimentation saine depuis très longtemps. Et il a bien raison de dire que la guérison est due à un ensemble de facteurs.

 

 

 

Mon frère, s’il a toujours aimé la vie, c’était avec tous ses excès.

 

 

 

Je vais essayer de prendre les choses dans l’ordre.

 

 

 

Tu me conseillais, Jackette, dans ton dernier com, que j’ai lu un peu avant d’apprendre la nouvelle, de profiter de la vie tant qu’il en était temps. Cette phrase a résonné dans ma tête, un peu comme une sonnette d’alarme.

 

 

 

Mais voilà, la glace a gagné… provisoirement. Je dis provisoirement car, hélas, je n’ai pas réussi à la briser et à dire à mon frère que je l’aimais, tant qu’il était en vie. J’ai pourtant failli y arriver, lors d’un des 2 ou 3 échanges que la vie nous a permis d’avoir sur la spiritualité, ces dernières semaines, mais le veto était encore trop pesant, trop pressant, même si j’y travaillais. J’ai remis à plus tard, pensant que le temps m’en donnerait l’occasion…

 

 

 

Maintenant il sait, d’où il est, je n’ai plus besoin de donner des preuves, pour remplacer les mots. Certes les mots nous auraient réchauffé le cœur. Mais je n’ai pas à culpabiliser de ne pas y être arrivée, les preuves d’amour sont quand même plus efficaces que des mots, comme me l’ont fait entendre ces chers Anges.

 

 

 

De « là-haut », ils ont la capacité de voir ce qu’il y a vraiment derrière les mots, lesquels peuvent souvent être un écran de fumée destiné à masquer les véritables sentiments et intentions, qui sont parfois fort éloignés de ce qui est prétendu.

 

 

 

« On va faire danser les étoiles » ai-je entendu à mon réveil 2 matins de suite.

 

 

 

J’ai cherché le sens de Pentecôte. A cette période, les peuples divisés se réunifient avec la manifestation de l’Esprit Saint. Alors, nul doute pour moi que mon père est venu avec joie accueillir son fils, lui qui, « grâce » à la compréhension liée à la maladie, ne le rejetait plus, et ne rejetait plus la Lumière et l’Amour divins.

 

 

 

Je dois avouer que j’avais, autrefois, parfois, envisagé avec crainte le décès de mon frère, à cause de son rejet de ce que je nomme Dieu, mais que chacun est libre d’appeler comme il l’entend. Non que j’aie peur d’une quelconque « punition », bien évidemment, mais du fait que son âme refuse d’aller dans la Lumière et ne trouve pas la paix.

 

 

 

Voilà, plein de beaux « enseignements », des guérisons pour moi aussi, arrivent de l’épreuve, (car nos blessures et nos souffrances, exprimées différemment, parce que nous étions aussi différents qu’il est possible de l’être, ont la même origine)…

 

 

 

Comme l’annonçaient les magnifiques palmes ciselées par le vent sur nos voitures, à même le givre, cet hiver ; mais aussi cette multitude de coquelicots qui ont poussé à la place des gravats… Fragiles, certes, mais rouges comme le sang pur de la vie !

 

 

 

La suite bientôt.

Bonne fin de Pentecôte !

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 18:13

Photo personnelle

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Hello !

 

 

Après réflexion, j’ai réalisé avoir commandé le livre « Revivre ! » le vendredi 18 mai, et c’est le matin suivant (samedi 19), ainsi que le dimanche matin, que je me suis réveillée avec dans la tête l’air de « Mozart L’Opéra Rock », mais paroles « version Anges Gardiens » :

 

« Ce soir c’est le grand soir,

On va faire danser les étoiles… »


 

Etrange « coïncidence », cela ne m’a pas marquée sur le moment, alors je n’ai pas relevé la page, mais l’auteur a fait état, dans le livre, d’un surnom qui lui était donné, si je me souviens bien, avec ce même mot : « Rock ».

 

Mais il y a aussi un autre fait bizarre (voir la photo). Sur le côté droit du jardin (vu de l’extérieur), ou gauche (vu de l’intérieur), une profusion impressionnante de coquelicots ont poussé spontanément.

Ce qui rend la chose un peu étrange, c’est qu’à cet endroit là, il y avait, quand nous avons pris possession des lieux, des cailloux entassés, tout le long (à l’endroit même où poussent les coquelicots).

 

Moi ça m’allait bien, ces cailloux. J’adore les cailloux du Quercy Blanc. Et puis ça faisait sauvage, naturel.

Mais mon compagnon est du genre maniaque, alors il a enlevé les cailloux un à un, les a amenés à la déchèterie par seaux entier, puis il a tamisé TOUTE LA TERRE, pour qu’elle soit fine… Oui, avec un tamis, il y a passé des jours !

 

Je n’ai rien dit parce que ça lui fait plaisir de nettoyer. Il aime que ça soit « propret », alors même si ça me serre le cœur, de voir le jardin « domestiqué », je ne dis rien. Pendant ce temps, il oublie qu’il a mal. Et je ne le regrette pas, cette profusion de leurs est magnifique.

 

Mais comment expliquer que toutes ces fleurs aient poussé spontanément ?

Mon compagnon pensait même que je les avais semées dans son dos.

Certes, il y en a en ce moment, même dans d’autres endroits du jardin, c’est la saison, mais seulement un plant ou 2 par ci par là.

 

Alors je me suis rappelée avoir déjà eu un signe lié aux coquelicots, et j’ai fait des recherches sur Internet, pour retrouver la symbolique (j’en avais parlé dans un billet aussi, à l’époque):

 

Sur « musee.somme », il est dit :

 

« Le coquelicot est un symbole international à la mémoire de ceux qui sont morts à la guerre. Son origine est aussi internationale. »

 

D‘après http://plantaromes.canalblog.com/archives/2005/12/19/1128056.html

Symbolique du coquelicot : « mais sa symbolique la plus remarquable est celle qu'on lui attribue dans la Légion royale Canadienne.Le coquelicot est le symbole internationnal à la mémoire de ceux qui sont morts à la guerre, et chaque année, le 11 novembre, pour des millions de canadiens, le coquelicot devient " la fleur du souvenir".


« Hasard » ou « coïncidence » ? L’auteur du livre « Revivre » est Canadien (Québec).


Et j’ai retrouvé aussi un blog dans le Gard (département où habitaient mes grands-parents maternels jusqu’à la mort de ma grand-mère), où l’auteur raconte :

« 08.05.2011

Le coquelicot symbole du souvenir

Le matin du 8 mai à l'entrée du cimetière un petit coquelicot fleurissait presque au pied du monument aux morts. »

(http://ledignan.blogs.midilibre.com/archive/2011/05/08/le-coquelicot-symbole-du-souvenir.html).


Rappel : c’est le 8 mai 2011 que j’ai fait ma première « constellation familiale » en rapport avec la guerre 39/45 et les drames de ma famille maternelle.

 

Oui, on peut bien sûr penser qu’il s’agit de « hasards », de « coïncidences », mais pour mes chers inspirateurs célestes qui ont attiré mon attention sur tout cela, c’est un signe encourageant, symbolisant les résultats positifs de mes recherches.


 

Mais le coquelicot a aussi une autre symbolique, il fête les 8 années de mariage.

 

« Coïncidence » encore ? C’est en 2004 (pour l’anniversaire de son « départ »), il y a donc presque 8 ans, que j’ai commencé à avoir des signes avec mon chanteur préféré, et que j’ai fait les 2 premiers portraits de lui (offerts, sur « conseil » de ces chers Anges, et avec leur aide, la même année, à ses enfants pour le premier, et à une jeune femme qui a fait un site en son hommage pour le 2ème).

 

Bonne fin de journée !

 

 

 

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