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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 16:09

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Photo personnelle

 

 

 

Hello !

 

Avant de continuer le billet précédent, revenons sur la symbolique de ce jour…

 

« L’ascension », 40 jours après Pâques et son symbole de Résurrection, qui rappelle « la montée au Ciel du Christ ressuscité ».

 

Excellente symbolique donc.

 

Pour en revenir au contenu des messages qui nous sont transmis par nos chers Anges Gardiens, par un intermédiaire ou par intuitions, inspirations, il peut aussi être important, quand une date se répète, d’essayer de remonter dans nos souvenirs marquants.

 

Pour exemple, souvent mes chers inspirateurs célestes m’ont donné des signes liés au mois d’octobre.

 

Nous avons trouvé cette maison, avec mon compagnon, en octobre 2010, comme le laissait présager un signe que j’avais eu avec une tourterelle qui m’avait coupé la route, il y a plusieurs années (quand nous avons commencé à chercher notre toit). Elle portait dans son bec un rameau. J’ai dû ralentir pour ne pas la heurter, juste au moment où le CD de Joe chantait :

 

« Comme les oiseaux d’octobre,

Nous vous laissons notre nid dans la maison,

Et nous n’emportons,

Que 4 chansons,

Plus on est léger pour voler, plus loin on vole… »

 

A cet instant, j’avais très bien ressenti qu’il y avait là un signe. C’était un jour de Juin, mais avec un temps froid digne d’un mois d’octobre.

 

Mais cette date avait aussi un retentissement bien plus important.

Mon dernier stage de « constellations familiales », m’a permis, par déductions, de remonter à un horrible jour d’octobre, il y a pas mal d’années, et de comprendre que, par ce qu’il m’est arrivé ce jour là, quelque chose s’était éteint, et cela explique aussi la difficulté que j’ai à voir les gens tels qu’ils sont et non pas tels que je voudrais qu’ils soient.

 

Ce jour là, le choc de ce que je voyais et entendais a été si fort, que pendant quelques secondes, j’ai eu une impression bizarre d’irréalité, comme de revoir ou revivre une scène que j’aurais déjà vue, très très longtemps auparavant.

 

Alors il m’a semblé que mon corps et mon esprit se dissociaient, et que mon esprit « partait », laissant mon enveloppe au sol.

 

Cela n’a duré que quelques secondes. Quand je me suis reprise, je ne savais plus où j’étais, je n’arrivais plus à trouver mon chemin, ne reconnaissant rien autour de moi. Ce fut terrifiant.

 

En avançant dans mes déductions et compréhensions, j’ai compris le sens d’un passage du premier message de mon amie « décédée », juste un mois après son « départ », qui m’a été délivré par une medium que je ne connaissais pas, notamment ce passage, qui me conseillait :

 

« Elle doit exulter quelque chose de profond, elle doit le faire ressortir, et la Lumière reviendra (…) »

 

Je supposais que ce mot désignait la joie de vivre, puisqu’il est souvent employé dans ce sens là.

 

Mais il correspondait aussi à une attitude, face à une situation qui n’aurait jamais dû faire exulter, ce « fameux » jour d’octobre.

 

Mes chers inspirateurs célestes m’ont expliqué que face à une douleur par trop insupportable, on peut développer un réflexe « d’anesthésie », (un peu comme la huppe de mon jardin), afin de pouvoir continuer à vivre, qui va servir « d’armure » illusoire…

 

Sauf que cela peut aussi, à la longue, si on n’y prend garde, EMPECHER DE VIVRE VRAIMENT !

 

« Une armure, cela ne peut s’ouvrir que de l’intérieur » nous a répété plusieurs fois le professionnel de santé, lors de cette dernière constellation.

 

J’espère avoir enfin trouvé la clé.

 

Bonne fin de journée de l’Ascension.

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 11:56

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Photo personnelle

 

 

Hello !

 

Je voudrais reparler d’un sujet important : les messages qui nous sont transmis par nos Anges Gardiens. Les mots ne sont jamais choisis à la légère.

 

Contrairement à nous, ils savent dire ou plus souvent suggérer en peu de mots un maximum de choses, qui peuvent porter sur plusieurs années, sachant que tout ne peut nous être dit, dévoilé, car nous avons un chemin de compréhension à faire. Cependant, le choix des mots est là pour nous aiguiller, nous aider dans nos recherches.

 

Pour cela, le dictionnaire peut nous être fort utile, car trop souvent, notre attention peut être focalisée sur le premier sens d’un mot, celui qui éveille en nous quelque chose sur le moment, mais on ne pense pas à chercher du côté des autres sens possibles.

 

Exemple : Résistance, qui évoquait pour moi, sur le moment, associé à Jean Moulin, (dont un dessin m’avait été inspiré et dont le nom émaillait ma vie : rues, lycée, bâtiments, etc.), le fait d’être trahi, torturé, fusillé, et la guerre.

 

Or, il y avait aussi l’autre sens : celui de résister, de ne pas lâcher prise, de ramer à contre courant, mais aussi celui de ne pas se laisser impressionner, ne pas se laisser écraser, etc.

 

Autre exemple dont j’ai compris le sens plus récemment, c’était le fameux « Don Quichotte », que ces chers Anges me donnaient en exemple du piège dans lequel il faut éviter de tomber : se tromper de cible, perdre son temps et son énergie à guerroyer contre des ennemis imaginaires, qui ne sont que des épouvantails.

 

Mais le nom de ce personnage de Don Quichotte évoquait aussi pour moi quelqu’un de bien précis, de mon histoire familiale, à l’origine d’un piège pour moi, là aussi. Mais cela, si j’en avais conscience, j’avais du mal à le mettre à plat pour chercher de ce côté-là les blocages.

D’autant plus que je me suis trouvée parfois confrontée (douloureusement) à des personnes qui me semblaient en être des « clones », les répliques parfaites, mais quelque chose en moi refusait de faire le lien.

 

Pourtant, cela expliquait beaucoup de mes soucis.

 

Même chose, parfois, s’il nous vient à l’esprit un mot ou une expression qu’il n’est pas dans nos habitudes de dire. Cela peut être pour essayer de nous mettre sur la voie d’un problème, ou d’une solution.

 

Un des exemples : quand une de mes copines est tombée, il y a plusieurs années, dans un groupe que la suite (et le présent !) a démontré dangereux, et qu’elle m’a enregistré des cassettes de leur prétendu « enseignement », cassettes que je n’ai pu écouter avant 2 bons mois (accident de mon chat suivi d’une grave otite qui m’ont empêchée d’aller les chercher), ce qui m’a laissé le temps de voir les « dégâts » s’opérer chez cette copine et sa famille…


Dès que j’ai compris qu’il y avait un gros problème de ce côté-là, mon otite a cessé, et j’ai pu aller chercher les cassettes sans risques (puisque j’en avais vu les effets), et ainsi avoir la confirmation, de visu, face au comportement complètement « fou » de ma copine et des siens.

 

Comme j’essayais, à ce moment là, de comprendre ce qui me bloquait ainsi, des intuitions me venaient, pour me mettre sur la voie : son prénom, expressions utilisées par cette copine, etc.

Mais à cette époque là, je ne savais pas et n’ai compris qu’un peu tard.

 

Il y a eu aussi un fait un peu trop long à raconter, mais qui, en résumé, me démontrait que suivre ses conseils (en l’occurrence écouter et suivre cet « enseignement »), pouvait s’avérer dangereux pour moi-même, et plus généralement pour d’autres. Là aussi, je ne l’ai compris que plus tard, en faisant des rapprochements.

 

Il y a aussi les « coïncidences », les faits étranges et désagréables qui se produisent juste avant, pendant, ou juste après ce qui pose souci.

Sans surtout tomber dans la paranoïa (ce qui n’arrangerait rien, bien au contraire), il est bon de chercher à faire des recoupements, de façon pragmatique, sans conclusions hâtives, en prenant le temps de voir venir, car parfois on peut penser à une raison qui nous semble la seule possible, et ne pas avoir tenu compte d’un autre fait concomitant, qui s’avèrerait pourtant le « bon ».

 

C'est pourquoi il est bon de bien prendre le temps d'écouter, de noter, d'analyser, de comprendre, de lire et relire, même des années après, les messages qui nous sont transmis.

 

A bientôt et bonne journée !

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 17:51

Photo d'une carte du jeu "Messages de vie" de Mario Duguay

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Hello !

 

J’espère que vous allez tous bien et que vous profitez du soleil, en souhaitant qu’il revienne vite pour les Bretons, qui se reconnaîtront.

 

Joli signe, dernièrement, que je vais vous raconter.

Le 8 Mai (fête de la Victoire de 1945, donc fin de la 2ème guerre mondiale), nous étions invités chez la Tante de mon compagnon.

Elle est abonnée à une revue mensuelle que j’aime beaucoup, et me la passe quand elle l’a lue. Enfin, disons plutôt que j’y saute dessus dès que je la vois.

 

Je pensais l’avoir lue en totalité, au moment de repartir, ce Mardi 8 Mai, et l’avais posée sur la table. Mon compagnon l’a prise en mains et l’a ouverte au « hasard », pile sur une photo pleine page qui m’a sauté aux yeux…

Devinez…

 

C’était bien sûr qui vous savez, une pub pour la station Nostalgique, avec en sous titre :

La Légende.

 

J’ai retrouvé instantanément mon petit cœur de midinette. J’adore son gentil sourire un peu triste.

 

Je ne l’avais pas vu quand j’ai feuilleté la revue, probablement parce que j’ai tourné 2 pages à la fois.

 

Alors j’ai mieux observé.

Titre de la revue :

 

« Pleine Vie » de Juin.

 

La photo est sur la page de droite.

Sur la gauche, rubrique…

 

« Bien-être Câlinothérapie »

 

Titre :

« Comment ça va l’amour ? »

 

Sous-titre :

« Un rendez-vous sans tabou pour mieux vous aider dans votre vie amoureuse.

Une seule règle, ne pas avoir peur des mots. »

 

Excellent programme, non ?

 

*** Comme je termine d'écrire ces mots, j'entends un cri d'oiseau, comme un appel...

C'est le pic épeiche, perché sur la mangeoire (un couple nous rend visite tous les jours).

Bonne symbolique d'ascension !

 

Bonne fin de journée !

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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 16:06

 

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Photo personnelle, prise depuis l'arrière de notre maison, hier (fête de la Victoire !), sous la pluie, en soirée, comme l'an dernier, mais cet arc-en-ciel là est encore plus beau. La maison est celle de nos voisins sur l'arrière.

 

 

Hello !

 

D’abord, petite précision que j’ai oubliée dans mon récit précédent, c’est que l’artisan devant lequel la chanson de Francis Cabrel a commencé porte lui aussi ce même prénom, écrit sur la pancarte : Francis.

 

Pus particulièrement à l’attention de Claire, je pense qu’il faut accepter, outre de ressentir pleinement les choses, de lâcher prise sur le fait qu’on ne maîtrise pas tout, dans cette vie, notamment, je suppose, le fait que si la vie a un début, elle peut aussi finir. Parfois les mauvais pressentiments peuvent venir de peurs, ou de souvenirs enfouis.

 

Agir sur ce qu’on peut, comme l’on peut, dans le respect de soi et des autres, et savoir qu’il y a toujours un mal pour un bien, quoi qu’il arrive.

 

Merci aussi pour ton com sur mon dessin.

 

Accepter de recevoir les cadeaux de la vie, c‘est, je crois, notre gros problème : d’éducation, d’idées fausses et limitations inconscientes, de sentiment d’indignité, etc., qui nous ont trop souvent laissé l’impression qu’on n’avait pas ce droit là.

 

Cela nous amène au sujet d’aujourd’hui : les « séquelles » d’épreuves, et les souffrances qui en résultent, pour soi-même, mais aussi, extrêmement important, pour les proches, et de ce fait, pour les générations futures.

 

Comme à chaque recherche en psychogénéalogie, on se rend compte, au vu et à l’écoute, des souffrances de chacun, le plus souvent cachées derrière un « masque » souriant, jovial, mais parfois d’une apparente froideur, d’un apparent détachement, masques qui pourraient pousser les indigents ignorants à se croire autorisés à les « casser », (ces images là ?).

 

Casser, dans le sens de faire du mal, porter des jugements négatifs et à l’emporte-pièce, jugements que ces ignorants refusent de s’appliquer à eux-mêmes, c’est tellement plus simple de s’en décharger sur les autres.

 

Mais au-delà de ces « pantins » grimaçants, il est important de voir ce sur quoi l’attention est attirée : le miroir sans tain qu’il faut casser, derrière lequel on s’est retranché pour ne pas (plus) souffrir. Tout a son utilité, ici bas, y compris les pantins grimaçants.

 

Je ne sais pas et ne crois pas qu’on puisse éviter la perte d’être chers, mais j’ai acquis la certitude (qui n’est que mon opinion) que parler, se confier, évacuer, s’avèrent être des radeaux de survie.

 

Parler à des proches, des amis sûrs, bien sûr, mais cela ne me paraît pas toujours suffisant.

Je n’ai pas d’actions chez les professionnels de la psychologie (les vrais), aucun intérêt donc à pousser à remplir leurs cabinets, mais il me semble, au fil de mon vécu et de mes expériences, qu’ils ont une utilité extrême pour aider à se sortir de situations dans lesquelles on a pu s’enfermer, se laisser enfermer parfois.

Encore que, il me semble important de faire attention aux « marchands du temple », tant le remède peut être pire que le mal, quand ils n’ont aucune connaissance en psychologie, en déontologie, et je ne parle pas de leurs qualités morales au moins aussi importantes.

Mieux vaut donc bien s’informer, avant, sachant que certains vont même jusqu’à s’inventer des deuils pour justifier une action commerciale.

 

Il convient, me semble-t-il, de bien prendre conscience que la souffrance peut s’avérer dévastatrice, pour soi-même, mais aussi pour l’entourage, ceux qu’on aime, notamment.

 

Une trop grande souffrance, par le choc qu’elle va occasionner, peut induire un réflexe « d’anesthésie » (un réflexe de retrait de la situation », un peu comme si on devenait un « mort-vivant »), elle peut faire perdre la raison, durablement ou pas, elle peut amener à se détruire soi-même, à détruire ou laisser détruire d’autres personnes, hélas, parfois, volontairement ou inconsciemment.

 

Il y a peu, Marie Fugain a sorti un livre en rapport avec le « départ » de sa sœur Laurette, et du sentiment d’abandon qu’elle a ressenti, à ce moment là, face à la non prise en compte de ses ressentis et de l’impact du deuil sur elle AUSSI.

 

Le problème de la souffrance, c’est qu’elle peut avoir des effets pervers si on n’y prend garde.

 

Elle enferme souvent, elle isole, elle peut rendre aveugle et sourd à celle des autres, de tous les autres.

 

Pire encore, elle peut s’avérer un moyen de pression (conscient ou pas) sur l’entourage, en refusant à certains le droit d’exprimer ce qui pourrait déranger, à aliéner leur liberté (comme des esclaves ?), à laisser croire qu’eux aussi doivent arrêter de vivre, elle peut pousser à excuser ce qui n’est pas excusable, à focaliser l’attention sur soi ou sur des souffrances similaires, minimisant, voire même méprisant les différentes.

 

J’acquiers la certitude, de plus en plus, qu’il est vital pour soi-même et pour son entourage, de se faire soigner (dans le sens d’apaiser, d’amener à dépasser pour vivre mieux), car par ricochet, cela profitera à l’entourage, donc aux gens qu’on dit aimer, et permettra de peut-être de leur éviter de sinistres « formatages » et des épreuves similaires.

 

Mes chers inspirateurs célestes disent souvent que chacun, ici bas, a, pour eux, et notre Créateur, LA MEME IMPORTANCE, ni plus, ni moins.

 

Personne n’a à s’autoriser à sacrifier quiconque. Nous naissons tous, comme le dit la « Déclaration des droits de l’homme » : « libres et égaux en droits ».

 

Il me semble bon de ne jamais l’oublier.

Plus d’explications dans le prochain billet, bonne fin de journée !

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 16:34

 

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Photo de mon dernier pastel "inspiré", que j'ai offert récemment. La fleur rouge symbolise la vie.

 

 

 

Hello !

 

Finalement, notre promenade « mouillée » d’hier après-midi était chargée de symboles, que m’ont expliqués mes chers inspirateurs célestes, en rapport avec le « balayage » des souvenirs, mais surtout de l’influence, du vécu de l’enfance.

 

Je pensais avoir depuis longtemps « évacué » tout cela, compris, pardonné, mais je n’avais pas pris la mesure exacte du conditionnement que cela avait laissé, non plus que de quelques points importants, dont j’ai réalisé la portée, et qui vont m’aider à me libérer de ce conditionnement.

 

Cette personne, qui est passée devant moi, tandis que nous étions dans le train, symbolisait vraiment la racine du problème.

 

Ce matin, je rentrais en voiture de mes courses, en réfléchissant au fait que je m’étais abritée sous un dolmen, hier, qui, selon mon compagnon, servait de tombeau, autrefois.

 

Etait-ce en rapport avec ce vécu familial, et notamment avec ce petit demi-frère que je n’ai pas connu, auquel je ne m’étais jamais autorisée à m’intéresser, pour des raisons que je comprends enfin ?

 

Parallèlement, j’arrivais au niveau du panneau d’un artisan, peu avant le chemin vers mon domicile, quand AU MEME MOMENT, a débuté la chanson (sur Nostalgie « Vos plus belles émotions » si je ne me trompe, vers 10 heures):

 

« Petite Marie » de Francis Cabrel. « Coïncidence » ? Même prénom que mon demi-frère !

 

J’ai bien sûr prêté l’oreille aux paroles, notamment :

 

« Petite furie je me bats pour toi

Pour que dans 10 000 ans de ça,

On se retrouve A L’ABRI sous un ciel aussi joli

Que des milliers de roses (…)

 

Je viens du ciel et les étoiles entre elles

Ne parlent que de toi et d’un musicien qui fait jouer ses mains

Sur un morceau de bois

De leur amour plus bleu que le ciel autour…

Petite Marie, je t’attends transi SOUS UNE TUILE DE TON TOIT (…) »

 

Arrivée à destination, j’ai attendu que la chanson se termine avant d’arrêter le moteur, mais j’ai quand même pris le temps d’écouter l’annonce de la chanson suivante :

« SUPERTRAMP, en version originale »

 

Pointe d’humour de ces chers Anges, pour la saucée d’hier ? Super trempés, en version originale, style Anges Gardiens ???

 

Cela nous ramène naturellement aux signes d’hier.

D’abord ce joli lézard, avec sa bonne bouille et son regard bienveillant, qui ne me faisait plus peur, couramment employé pour symboliser la recherche de Lumière et la sagesse.

La tête dans le Ciel (le bleu), et le reste vert, comme la couleur de la vie, « rassurante, rafraîchissante, humaine » nous dit le Dictionnaire des symboles de Chevalier et Gheerbrant.

 

Ensuite, le fait que je me sois réfugiée, recroquevillée sous ce dolmen, où étaient enterrés les morts, qui reflète ma vie : la petite place que je me suis trouvée pour me mettre à l’abri des éléments, entre ce jeune frère mort, et mon frère cadet malade, à sa naissance (asthme)…

 

Mais, bon signe, m’ont expliqué ces chers Anges :

 

« Tu n’es pas restée dans cette position inconfortable, et illusoirement protectrice, tu as pris la décision de tenter ta chance. Oui, comme tu l’as fait remarquer, vous avez tout connu :

 

la chaleur, la douceur, le soleil, puis la pluie qui trempe et donne froid. Mais vous n’avez pas vraiment souffert ni vu le temps passer, tant vous vous êtes amusés, comme des gamins, car le soleil, la douceur et le beau temps sont revenus et vous ont réchauffés.

 

Et que dire de ce chêne immense, que tu as remarqué et devant lequel tu as posé, dont beaucoup de branches avaient été sciées, mais qui repartait de plus belle, pourtant, avec sa multitude de jolies feuilles d’un vert tendre.

 

Enfin, tu as fait provision d’orties pour ton jardin. Si elles piquent quand on les cueille sans précautions (ce qui ne fut pas le cas), cela ne les empêche pas d’être une bénédiction pour traiter et nourrir le jardin.

 

Alors, est-ce que ça ne vaut pas la peine de s’autoriser à vivre vraiment TOUT, de s’autoriser à TOUT RESSENTIR ?

Parce que c’est cela être vivant, tout ressentir ! »

 

Bonne fin de journée !

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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 20:49

 

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Hello !

 

Dans un prochain billet, je continuerai à vous parler des découvertes liées à la psychogénéalogie. Le puzzle se dévoile peu à peu.

 

C'est un peu lourd, parfois, alors quand mon compagnon a parlé d'aller faire une balade à pied dans ce magnifique Quercy Blanc où nous résidons, plutôt que de jardiner comme nous l'avions prévu, j'ai accepté.

 

Bon, il ne m'avait pas prévenue que ce serait le grand tour (3 heures !), alors je suis partie sans imperméable, simplement munie d'un sachet et de gants pour ramasser des orties pour mon potager.

 

Très rapidement, j'ai entendu un bruissement dans les taillis, près de moi:

 

C'était un beau lézard vert à tête bleue qui s'est éloigné un peu, puis est resté à nous observer, à 1.50 m environ de nous. Mon compagnon l'a pris en photo plusieurs fois (voir ci-dessus), et nous l'avons admiré longuement, puis nous nous sommes éloignés sans qu'il ne bouge.

Habituellement, j’ai peur de tous ces animaux rampants, mais lui ne m’a pas inspiré d’inquiétude, au contraire, il avait l’air bienveillant, comme sa symbolique !

 

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Nous marchions depuis plus d'une heure quand il a commencé à pleuvoir...

Nous arrivions au niveau d'un dolmen. Mon compagnon avait son imper, lui, alors je me suis glissée sous les pierres, pour me mettre à l'abri. Vu mes dimensions, ce ne fut pas trop dur (hi ! Hi !).

 

Nous n'avions croisé personne depuis notre départ...

Mais juste à cet instant, évidemment, des gens sont passés en voiture !

 

 

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La pluie persistant, nous avons continué notre chemin, nous partageant l'imper de mon compagnon. Nous étions trempés mais avons bien rigolé, ce qui m'a permis de retrouver ma bonne humeur.

 

La pluie a cessé et un chaud soleil lui a à nouveau succédé. Sur notre route, il y avait cet immense chêne, dont on voit le tronc. Je ne crois pas en avoir vu de si grand auparavant. Il avait été taillé, et plein de rameaux repoussaient.

 

Toutes ces photos sont personnelles, je profite que ce soir elles passent bien.

Bonne soirée et à bientôt !

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 21:10

Photo personnelle de la sonnette de la Tante de mon compagnon.

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Hello !

Merci Claire, pour ton témoignage.

 

Etrangement, le 8 Avril, jour de Pâques et de notre visite du Gouffre de Padirac, dont le guide qui nous a fait visiter en barque se prénommait comme mon ½ frère « décédé », je l’ai noté sur mon agenda (comme tout ce qu’il se passe d’un peu inhabituel), tandis que nous roulions en voiture, un joli écureuil a traversé la route, à une certaine distance, devant nous, et est resté, étrangement, sur la route, nous donnant l’impression de ne pas avoir peur, un peu comme s’il manifestait de la curiosité envers nous, ou comme s’il voulait nous laisser le temps d’admirer sa beauté. Il a fallu ralentir, d’ailleurs, pour ne pas le heurter.

 

Ce même jour de Pâques, je ne l’ai vu que ces jours-ci, allez savoir pourquoi, sur le site d’une boutique virtuelle, une de mes créations a été choisie dans une collection sur la danse. Il s’agit d’un petit bijou orné d’une mini-paire de ballerines ou de chaussons.

La collection est accompagnée d’une courte citation :

 

« Elle me dit c’est ta vie, fais ce que tu veux, tant pis… alors vas-y danse ! Danse, danse, danse ! (Signé Boucles d’or).

« Coïncidence », mon pseudo est : « La souris danse » !

 

En attendant de danser, et afin de m’aider à progresser sur le chemin, le « hasard » a fait que le dimanche 29, « jour des Déportés » (« hasard » ?), mon regard a été attiré par un livre, dans un vide-greniers, que j’ai ressenti devoir acheter (2 €, merci mes chers « petits » Anges !). Son titre ?

 

« Le sentiment d’abandon – Se libérer du passé pour exister par soi-même » de Saverio Tomasella, éditions Eyrolles – Collection Les chemins de l’inconscient ».

 

Je l’ai lu en quelques jours, tant il m’a apporté. J’y ai noté souvent le mot « gouffre » (pas de Padirac, hélas !), pour décrire certains ressentis.

Difficile de choisir des passages à vous citer, tant tout me « parlait ». En voici un :

 

« Il existe un abandon insidieux (…), c’est l’abandon par l’oubli, par l’absence. Rien n’est pire que d’être en présence de quelqu’un de cher et de voir qu’on n’existe pas pour cette personne ». C’est le cas lors de la naissance d’un enfant de « remplacement », après le décès d’un autre enfant. » Chapitre 9, p. 88.

 

Un peu plus loin, toujours dans le même chapitre :

 

« La personne en allégeance devient « sourde » et « muette ». Elle n’a plus la possibilité de remettre en cause son emprisonnement et son empoisonnement. Le questionnement sur l’ordre établi dans la famille ou le clan est impensable : il est remplacé par un vide désaffecté, une « zone morte », un no man’s land. Toute remise en question est empêchée par un « trou de conscience », un «blanc » dans la capacité de penser. » p. 94 et 95.


La suite bientôt.

Bonne soirée !

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 17:51

Hello !

 

Avant de continuer, je voudrais citer cette phrase, envoyée, avec d’autres, une amie, ce matin :

 

« Le cœur le plus sensible à la beauté des fleurs est toujours le premier blessé par les épines » (Signé Thomas Moore).

 

Si le déroulement du week-end de « constellations familiales » apporte à chaque fois beaucoup d’éclaircissements, beaucoup de baume sur les plaies, grâce à la compétence du professionnel qui la conduit, les jours suivants en amènent encore, un peu comme si une vanne s’était ouverte… balayant les phrases « assassines » entendues dans l’enfance, qui, comme celles d’un gourou, dictaient leur loi depuis des décennies, à mon insu.

 

Grâce à tout cela, j’espère avoir enfin complètement cerné le problème lié au fait de me retrouver confrontée parfois à la trahison, à la manipulation mentale (qui confine à la folie), visant, pour hypnotiser, à faire croire à une « bonne œuvre », ces 3 « ingrédients » étant toujours mêlés.

 

D’autres raisons ont donc été mises en lumière, les plus difficiles à accepter et à extirper. Même si au fond de soi on sait à quoi s’en tenir, il y a toujours cette main invisible qui semble empêcher de voir vraiment.

 

C’est donc aussi l’explication de ma tendance à faire « l’autruche ».

Reculer le plus possible la prise de conscience avec la réalité, même si on l’entrevoit en filigrane, même si on n’est pas totalement dupe, tant pis, c’est toujours cela de gagné sur le « tsunami » que cela va provoquer, « réplique » de celui qui a tant marqué.

 

Cela paraît tellement plus simple de les enterrer, ces souvenirs. Cruelle erreur, car ils ne font que livrer bataille à l’intérieur de soi, et tôt ou tard, le « pus » devra sortir… Et le « tsunami » déferlera de toute façon.

 

Evidemment, cela fait écho à des vécus de l’enfance, et c’est pour cela qu’à chaque fois c’est si difficile à vivre et à dépasser.

Pourtant, la seule façon de briser le cercle vicieux, c’est de retrouver la blessure de départ.

 

Alors, enfin, sur le chemin du retour, quand, comme souvent devant de tels spectacles… significatifs… les larmes me sont montées aux yeux devant un petit veau ou un tout petit agneau tétant leur mère, dans les champs, je ne me suis plus traitée de « madeleine ».

 

Et mes chers « petits » Anges m’ont montré qu’ils étaient heureux, par les signes qu’ils m’ont donnés.

Rappel : c’était le jour de la fête de mon père.

 

J’écoutais le CD de qui vous savez, en roulant, la tête dans les nuages… c’était un tel bonheur de se sentir enfin le droit d’être soi…

 

Quand je me suis rendu compte que je n’étais pas sur la route habituelle.

 

Comme je passe toujours par le même itinéraire, par peur de me perdre, je n’ai pas fait attention et ai raté l’embranchement.

 

Sur l’instant, l’angoisse est montée : où allais-je bien atterrir, avec mon sens de l’orientation particulier ?

 

Mais comme la chanson qui passait à ce moment là était :

« Ma bonne étoile », rassurée, je me suis dit que j’étais en bonne compagnie, alors, je ne risquais rien…

ET JUSTE A L’INSTANT, JOE CHANTAIT :

 

« Et me voilà roi mage,

Au début d’un voyage,

Qui ne finira qu’à la fin des temps…

Oh ! Oh ! Ma bonne étoile… »

 

Effectivement, tout s’est bien passé, et cette route que je ne prenais jamais de peur de me perdre (très significatif là aussi), elle m’a ramenée chez moi plus tôt que si j’avais emprunté celle que je connais, et elle a été plus agréable, car j’ai traversé 2 sites touristiques très beaux.

 

« Hasard » ? Peu de temps après mon arrivée à la maison, je me suis aperçue qu’une belle huppe bien vivante arpentait le jardin, malgré la pluie, picorant avidement.

Nous l’observions, avec mon compagnon, quand j’ai remarqué qu’il y en avait une autre, un peu plus petite, non loin d’elle.

Pour la première fois, un couple de huppes venait picorer dans le gazon. Elles sont restées une bonne dizaine de minutes, mais nous n’avons pu les photographier ensemble, elles bougeaient trop.

Quelle différence avec celle qui paraissait sans vie, quelques jours avant, et qui ne s’est envolée que quand je suis sortie dans le jardin (secret ?) !

 

Un peu plus tard, ce fut un couple de tourterelles qui nous a rendu visite. L’une des 2 s’est même posée sur le toit de la mangeoire.

 

Signe ou « coïncidence », depuis cette constellation, j’ai plus d’appétit, et cela dure.

 

Bonne fin de journée !

 

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 21:10

 

Hello !

Merci à toi, Guylaine (site over), ainsi qu’à toi Casi (site Femme actuelle), de votre com. sur votre hypersensibilité.

Cela fait partie de ce que vous êtes, et il ne me viendrait pas à l’idée de vous persuader de changer, ce à quoi ces chers Anges répliquent :

 

« Alors pourquoi voulais-tu étouffer la tienne ? »

 

Pour moins souffrir, être moins vulnérable.

 

« Comme pour ton pare-brise, c’est l’impact, et lui seul qu’il faut réparer, notamment par la connaissance de l’origine du « mal », et puisqu’il est pris en charge par l’assurance, prends simplement… de l’assurance (confiance en toi, maintenant). »

 

Maintenant que j’ai compris l’origine de cette forme de « veto » que je me suis laissé imposer toute ma vie, cela devrait pouvoir se faire.

 

Revenons à la suite du récit du week-end dernier.

Je rappelle que mon amie et moi ne connaissions pas les autres personnes du groupe (hormis celles chargées du déroulement du stage).

 

Dès la première constellation, j’ai été choisie pour incarner le rôle…

D’une personne ayant des capacités médiumniques, mais qui n’arrive pas à faire ce qu’elle sait devoir faire, car… ELLE SE DISPERSE !

 

Dès l’énoncé de la problématique, j’ai compris que j’allais être choisie pour incarner ce personnage… Et ce fut le cas.

 

Ce rôle là, m’a conduite, entre autres à…

EXPRIMER MES PEURS !

 

A la fin de cette constellation là, plusieurs personnes m’ont remerciée pour les émotions qu’elles ont ressenties à l’écoute de l’expression de mes peurs. Cela leur parlait beaucoup.

J’en ai été très émue, bien qu’étonnée, et ai fait la constatation, à haute voix :

 

« Ce n’est donc pas toujours négatif, les émotions »

 

Ce qui a fait rire gentiment, et l’accompagnant « constellateur » a proposé, du coup, de faire de cette phrase là, la phrase du jour.

 

J’ai été choisie pour d’autres rôles, qui, tous, m’ont apporté quelques compréhensions supplémentaires, surtout de par les fortes « coïncidences ». Une notamment, où j’ai été amenée à incarner une dame du prénom de ma mère.

 

Mon tour est venu le dimanche après-midi. Pour la circonstance (bien que ne sachant pas à l’avance si je passerais et quand), j’avais ressenti de mettre le tee-shirt offert par ma fille, représentant le lapin montrant le réveil à Alice au pays des Merveilles :

 

« Alice, it’s time to wake up ».

 

*** Tiens, bizarrerie ! Ou signe encourageant ? Sans que je n’aie rien touché, une fenêtre s’est ouverte, juste comme je venais de terminer la phrase précédente, signalant

« PREPARATION A L’INSTALLATION » !!!

 

Quand est arrivé mon tour donc, pour ma propre constellation, j’ai exposé, puisque le sujet des peurs avait été traité, l’autre point important pour lequel j’étais là…

 

ME DEBARRASSER DE CETTE « FICHUE » HYPERSENSIBILITE » !

 

Le professionnel m’a regardée comme si j’avais dit une énormité. Je revois encore son regard. Il n’était pas d’accord avec ce que je cherchais à m’infliger.

Et les participants, invités par lui à donner leur ressenti, ont fait état que le problème ne leur semblait pas là !

 

Et la suite leur a donné raison. J’ai enfin compris, avec un immense soulagement, d’ailleurs, qu’en agissant ainsi, je ne faisais rien d’autre que continuer à me nier, à écraser mes ressentis.

Je vous raconte bientôt la suite.

Bonne soirée !

 

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 11:41

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Hello !

 

Merci pour vos com. et messages. Difficile d’en dire plus sur l’identité de la personne entraperçue dans le train, disons qu’elle symbolisait une injustice faite à une enfant, à qui on nie un droit fondamental. Cela préfigurait la situation.

 

Avant d’aller plus loin, je voudrais expliquer le but de ma recherche :

L’hypersensibilité.

 

Ceux qui me lisaient déjà à cette époque se souviennent sûrement qu’après ma douloureuse mésaventure dans ce « fameux » groupe prétendument de « spiritualité », il y a près de 2 ans, j’avais écrit :

 

« Fichue hypersensibilité »,

 

Pourquoi ?


Parce que j’avais été tellement blessée, qu’il me semblait que si j’avais été moins sensible, je ne me serais pas laissée atteindre par leur attitude, qui n’était que le reflet de leur intérieur, et l’aurais prise pour ce qu’elle était.

Pourtant, en avais-je eu de très beaux et très forts signes et du soutien venant de mes chers « petits » Anges, mais avec le temps, cela n’avait pas suffi.

 

Cette hypersensibilité, mon compagnon, la pointe souvent du doigt, lui qui, probablement du fait de son enfance, s’est forgé une carapace.

 

Est-ce donc une « coïncidence » s’il souffre…

 

D’HYPERSENSIBILITE AUX ONDES ELECTROMAGNETIQUES ???

Donc aux « émissions » HUMAINES : appareils, TV, téléphones, etc. (par opposition au divin ??).

 

En faisant un parallèle, la responsable toute trouvée de mes souffrances m’a paru, de toute évidence, être…

 

Cette « satanée » (selon moi, bien sûr) hypersensibilité, qui ne me permet pas de supporter des images, des récits, voire même lectures relatant des souffrances, surtout celles d’êtres sans défenses, comme les enfants ou les animaux, au point que je ne peux pas regarder un programme interdit aux moins de 10 ans, et que dire des infos.

 

Je trouvais qu’elle me rendait trop vulnérable, et tant pis si c’est la composante indispensable de la « médiumnité ».

 

Et le vendredi de la première partie de mon voyage, sur le chemin, j’y repensais, en me disant que le point important sur lequel j’allais devoir travailler pendant cette « constellation », c’était mon hypersensibilité. Si je pouvais m’en débarrasser, de ce BOULET, ce serait bien !

 

JUSTE COMME JE PENSAIS CELA, il y a eu un claquement sur mon pare-brise, dû probablement à un gravillon. J’ai craint d’avoir vu un éclat, mais à mieux y regarder, j’ai cru que la trace venait des gouttes de pluie (ou des larmes ??).

 

J’ai bien ressenti que ce sujet était important, et ai cru, sur le moment, que c’était bien ce que je devais faire…

M’EN DEBARRASSER !

 

Or, à mon retour ici, j’ai constaté, une fois les gouttes (larmes ?) séchées qu’il y avait bien…

 

UN IMPACT !

 

Qu’il faudra réparer, mais pris en charge par MON ASSURANCE !

 

Tout cela était bien significatif, on le verra.

 

En attendant, quand nous sommes entrés, (tous les participants), et tandis que le professionnel de santé nous conviait tous à la plus grande bienveillance les uns pour les autres, sans jugements, et nous expliquant l’importance pour tous, de dire nos ressentis respectifs, mon regard s’est porté sur…

 

UN OISEAU EN BOIS BLANC, AILES DEPLOYEES, QUI PENDAIT AU BOUT D’UN FIL, dans la salle, près de nous !

 

C’est particulièrement important, on ne le dira jamais assez, (aussi je réitère), de s’adresser à quelqu’un d’une extrême compétence professionnelle, en psychologie notamment, les « pieds nickelés », même avec de bonnes intentions peuvent faire tant de mal !

 

La suite bientôt, mais je voudrais rappeler cette pensée de Jean de La Fontaine, dans le Fable « L’ours et l’amateur de jardins » :

 

« Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; mieux vaudrait un sage ennemi. »

 

A l’époque où j’étais tombée par « hasard » sur cette citation, j’aurais dû en approfondir le pourquoi, cela m’aurait peut-être évité des soucis, surtout que mes chers inspirateurs célestes avaient rajouté aussi sec (et c’était pourtant très significatif) :

 

« Un sage ne se voit pas d’ennemi et ne s’en cherche surtout pas. »

 

Bonne journée et à bientôt !

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