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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 18:51

Hello !

 

Me voilà de retour de mon stage de « constellations familiales », tout aussi profitable que les 2 précédents. J’espère que vous allez tous et toutes très bien, et que le moral est bon.

 

Beaucoup de choses à raconter, cette fois encore, mais je vais faire dans l’ordre, en commençant par les jours qui ont précédé.

 

D’abord, le 18 Avril, jour de la Saint Parfait.

Il était environ 9h30 quand je suis sortie de la salle de bains (symbolique d’un « nettoyage »), pour me diriger vers le salon.

Mon regard est tombé par « hasard » sur l’espace entre les 2 rideaux de la porte-fenêtre, sur l’avant du jardin, et j’ai remarqué un oiseau assez gros posé sur la droite, dans l’herbe, MAIS QUI SEMBLAIT DIRIGER SON REGARD VERS MOI.

 

Je me suis approchée doucement de la fenêtre, pour mieux voir, sans le faire fuir.

 

Il s’agissait d’une huppe. Elle ne bougeait pas, mais semblait toujours fixer ma direction. Cela a duré plusieurs minutes.

 

C’était très étrange, car cet oiseau est toujours très actif. Nous en avions eu une, le 15 (3 jours avant), qui avait passé une bonne ½ heure dans le jardin, sur l’arrière. Mon compagnon l’avait photographiée à plusieurs reprises, même de très près (de l’intérieur bien sûr), sans qu’elle s’en préoccupe, picorant sans cesse, d’un côté à l’autre. (Voir la photo).

 

Au bout d’un moment, j’ai vaqué à mes occupations, mais suis revenue fréquemment à la fenêtre pour voir si elle y était toujours. Elle n’a pas bougé, toujours dans la même position, bien que levant un peu la tête par moments.

 

Je ressentais une impression étrange… comme si elle m’attendait.

 

Mais comme cela durait depuis trop longtemps, j’ai eu peur qu’elle ne soit blessée ou malade, et que de ce fait, elle ne se fasse « bouffer » par « Rominou » ou un autre chat de passage. J’ai décidé de mettre mon manteau et d’aller voir.

 

Quand je suis sortie sur le perron (de mes limites ?), et ai fait mine d’aller vers elle, ELLE S’EST ENFIN ENVOLEE POUR ALLER SE POSER HAUT, DANS UN DES CHENES DU JARDIN.

 

Vu la proximité de mon départ et l’impression étrange et un peu irréelle, j’ai ressenti que cela était un signe…

 

Et cela en était un, les jours suivants m’en ont donné la preuve.

 

La huppe est de très bonne symbolique, selon le Dictionnaire des symboles de Chevalier et Gheerbrant, en voici un extrait :

 

« (…) le poète raconte que tous les oiseaux du monde partent en voyage à la recherche d’un roi. C’est la huppe qui va leur servir de guide. Elle se présente comme la messagère du monde invisible et est décrite comme portant sur la tête la couronne de la vérité. Ce voyage des oiseaux symbolise l’itinéraire mystique de l’âme à la recherche du divin. (…) ».


La veille du jour de mon départ était la Sainte Emma, qui était le premier prénom de ma grand-mère maternelle (celle qui a eu son fils Résistant fusillé), mais elle se faisait appeler par son 2ème prénom (qui est aussi, je le rappelle, mon 2ème prénom).

 

« Hasard » ? Ce jour là, un couple de tourterelles a commencé à venir manger au « réfectoire » du jardin, et continue depuis.

 

Autre « coïncidence », le jour de mon retour, était la fête de mon père.

 

Je suis partie vendredi en début d’après-midi. Les chansons à la radio ne me convenant pas, et afin de me mettre en joie, j’ai écouté un CD de Joe un moment, puis ai ressenti de remettre la radio.

 

Quelques minutes plus tard, le présentateur a annoncé… Joe ! Il n’est passé qu’au bout de plusieurs autres chanteurs, mais ce fut, cette fois encore :

 

« Souviens-toi » !

 

J’ai eu la pluie une bonne partie du chemin. Comme sur cette route ma radio ne capte pas trop bien « Nostalgie » ni « Chérie FM », j’ai décidé de faire quelques infidélités à Joe (hi ! Hi !), pour écouter un CD de Claude Barzotti.

 

Aux alentours de Courniou les Grottes (rapport avec le Gouffre de Padirac ?), la pluie avait cessé, et j’ai distingué un arc-en-ciel qui, bizarrement, était positionné de telle façon au-dessus d’une colline, qu’il donnait l’impression de lui faire un halo, une aura…


Et juste à ce moment là, Barzotti chantait :

 

« Je me souviens d’un 1er Mai,

Des fleurs que cueillait ISABELLE

Quand elle m’a donné un bouquet,

Je suis tombé amoureux d’elle… »

 

J’ai prêté l’oreille. Plus loin, il chantait :

 

« Dans les juke-box en ce temps là,

Un jeune chanteur Hollandais

Disait à une Vanina

Qu’il mourrait si elle le quittait… »

 

(Titre de la chanson : « En ce temps là »)

Rapport avec le passé ??

 

« Hasard » ? Le chanteur en question était Dave, compère de Joe, à l’époque.

 

Quand j’ai à nouveau regardé vers l’arc-en-ciel, il n’était plus au-dessus de la colline, mais faisait un pont la reliant à une autre colline !

 

La chanson disait aussi :

« Rien ne pouvait nous faire peur et rien ne nous paraissait dur »

 

Ainsi que :

 

« On regardait par la fenêtre pendant que les profs nous parlaient » (à relier à un de mes billets, en réponse à un com, où je disais passer une bonne partie des cours de Maths et Physique à regarder par la fenêtre, comme s’en plaignaient les profs sur mes bulletins ??).

 

La suite bientôt !

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Bonne fin de journée, et merci infiniment de votre fidélité à mon blog, en cette Saint Fidèle !!!

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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 10:20

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Hello !

 

Dernièrement, mes chers inspirateurs célestes sont revenus sur ce que l’on nomme « l’ego ».

 

Trop souvent, l’ignorance fait que certains le pointent du doigt (enfin celui ou celle qu’ils accusent d’être sous son emprise), culpabilisant, voire humiliant, de ce fait. Il faudrait même aller jusqu’à « tuer l’ego ».

 

Mes chers « petits » Anges ont un avis bien plus nuancé sur le sujet, eux qui connaissent « le dessous des choses cachées, et notamment la partie immergée de l’iceberg.

 

Face à une souffrance, l’attitude citée n’est pas toujours justifiée, car elle rajoute de la honte, du sentiment de culpabilité, voire de l’impuissance qui n’ont pas lieu d’être, au lieu d’aller au cœur du problème :

 

« Pourquoi une telle réaction ?

Pourquoi une telle souffrance ?

Pourquoi n’arrive-ton pas à dépasser ?

Même si l’ego peut s’avérer notre ennemi, comme déjà vu, il fait aussi partie des forces d’évolution de l’être.

Comme déjà dit encore, ce qu’on nomme le « Bien » et ce qu’on nomme le « Mal », avancent en synergie, pour nous amener à plus de compréhension... des autres… et de nous-même.

 

Ce que l’on nomme donc « l’ego » va alors s’avérer être un « révélateur » d’une blessure enfouie (« oubliée » ou pas), mais toujours « active », ou en tous cas prête à se réactiver, et l’on aboutit alors à une potentialisation avec les blessures présentes et suivantes.

 

Cette impossibilité de dépasser tente alors d’attirer notre attention sur cette « bombe à retardement » qu’il convient de retrouver, d’analyser, et de désamorcer, afin de ne plus avoir à vivre d’épreuve du même acabit, mais aussi et surtout afin de guérir de la ou les blessures originelles. »

 

Bien plus compliqué que ce que l’on pourrait penser à première vue, donc. Et qui devrait amener à plus d’égards et de réflexion.

 

Bonne journée à tous et toutes !

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 10:12

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Photo personnelle, je ne me souviens pas (!) si c'était un matin ou un soir !

 

 

Hello !

 

Désolée de vous abandonner un peu ces jours-ci, mais pas trop le temps d’écrire. Je suis dans les préparatifs pour ma recherche en psychogénalogie.

 

Il y a apparemment encore des souvenirs à « dépasser ».

 

Le 14 avril, pour la 2ème fois en quelques jours (j’ai oublié de noter la première fois), alors que je pensais à cette recherche, et au même endroit exactement (en arrivant au rond-point qui mène à notre village), Joe chantait, sur la radio Nostalgique (vers midi) :

 

« Souviens-toi » (« Il était une fois nous deux »).

 

Et la 2ème fois (le 14), une chanson de Daniel Balavoine a suivi immédiatement :

 

« Dieu que c’est beau »

 

Et notamment :

 

« La muraille

Tremble et se fend

Comme un cœur qui éclate en deux…»

 

Est-ce encore à relier aux faits de la guerre ?

 

Peut-être, car il y a quelques jours, nous sommes allés promener dans un vide-greniers non loin de chez nous.

C’était le village d’origine du grand-père paternel de mon compagnon. Le « hasard » a fait que nous sommes passés devant le monument aux morts, et que nous avons regardé les noms.

Une des victimes portait le nom de ma famille maternelle (même orthographe), avec le prénom du 1er mari de ma mère.

 

« Coïncidence », dans la famille de mon compagnon, il y a aussi ce nom de famille, mais avec une orthographe différente, même si c’est la même phonétique.

 

Autre « coïncidence », mon compagnon a travaillé dans une ville du même nom que ce village (1er mot).

 

Voilà, la suite bientôt.

 

Je vous souhaite, en ce jour de Saint Parfait, une journée parfaite !

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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 11:39

Hello !

 

Je voudrais commencer ce billet en citant une phrase de Raymond Aubrac, Résistant, disparu mardi soir, qui, selon le journal « Aujourd’hui en France » « expliquait en 2012 que RESISTER c’était »:

« Réagir à l’injustice », « pas seulement pour la constater mais essayer de faire quelque chose ».

 

(article de Marion Kremp p. 08 « Actu – politique » du jeudi 12/04/12).

 

**** « Coïncidence » ?? JUSTE comme je reviens à l’ordi, après être allée au salon vérifier le titre du journal, je tombe en arrêt devant UN PIC VERT, face à la porte-fenêtre du bureau !!!! Il est toujours là, à picorer, car le rideau l’empêche de me voir !

Je n’en avais pas revu dans mon jardin pourtant fréquenté par beaucoup d’oiseaux, depuis près d’un mois.

 

Bon, je comptais faire un billet sur l’explication des signes que j’ai eus depuis ma précédente « constellation » en psychogénéalogie, mais je n’aurai pas le temps.

 

Je venais de terminer le paragraphe précédent quand l’amie avec qui je dois me rendre pour cette recherche m’a appelée. Je lui ai raconté ce que je vous ai écrit, et elle-même m’a parlé de signes qu’elle a eus récemment avec des animaux.

 

Le pic vert me semblait parti, car mon chat Biscotte regardait par la fenêtre et avait soulevé le rideau.

Tandis que mon amie me parlait, je regardais sans le voir un « rouge-queue », joli passereau brun à queue rouge, qui sautillait sur le rond en ciment au milieu du jardin.

 

Nous venions d’évoquer la « Résistance » (dans le sens des peurs qui empêchent d’être), quand le « rouge-queue » a pris son envol, et a semblé venir directement sur la porte-fenêtre derrière laquelle je me tenais. J’ai cru qu’il allait heurter le carreau, mais au dernier moment, il est monté à la verticale, et s’est posé sur le toit, juste au-dessus de la fenêtre.

 

J’avais lu, il y a quelque temps, que la symbolique du « rouge-queue », ou « rossignol des murailles » était liée à la Résistance, mais c’est aussi un symbole d’abondance.

 

Du coup, j’ai prêté un peu plus attention aux oiseaux du jardin. Il y en avait beaucoup, comme toujours, même si le rideau m’empêchait de bien les distinguer, et j’ai retrouvé « mon » pic vert au fond du jardin.

Comme mon amie me confiait qu’elle sentait être tout près de se débarrasser de ses peurs, le pic vert a pris son envol, suivi D’UN AUTRE… Il y en avait 2 !

 

Avant de terminer mon billet, j’ai recherché sur Internet des infos sur le « rouge-queue », et suis tombée sur un article vantant l’utilité de certains oiseaux, pour la vigne notamment, car ils débarrassent les cultures de tout un tas d’insectes nuisibles, remplaçant fort avantageusement et sans danger surtout… les pesticides !

 

Parmi eux, beaucoup sont venus se nourrir au « réfectoire » dans mon jardin, cet hiver : le pic épeiche, les mésanges, et le rouge-queue, même si ce dernier n’est revenu que récemment… quand j’ai décidé de refaire une recherche psychogénéalogique !

 

Preuve supplémentaire qu’en prenant soi de la nature, on prend aussi, par ricochet, soin de nous-mêmes, ainsi que des générations futures ?

 

C’est en tous cas le sens de ce que m’ont expliqué mes chers inspirateurs célestes, quand je leur ai demandé, lors de ma prochaine recherche sur les influences familiales, de ne pas s’occuper de mes « vieilles souffrances », mais de celles de mon frère, afin de l’aider à guérir :

 

« On peut aussi faire d’une pierre (prénom du 1er mari de ma mère, fusillé en tant que Résistant) 2 coups, tout comme lorsque tu donnes à manger au chat affamé, tu contribues à préserver des vies d’oiseaux. »

 

Bonne journée et à bientôt !

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 12:53

 

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Photo personnelle du Gouffre de Padirac (Lot), 1er site du monde souterrain en France.

 

 

Hello !

 

Une fois n’est pas coutume, mais l’actualité me tendant la perche, je voudrais rendre hommage à un corps de métier chargé d’assurer notre sécurité à tous, souvent dans des conditions dangereuses, certains parfois y laissant leur vie, comme ce jeune policier, cette nuit, père d’un jeune enfant, et qui ne connaîtra jamais celui que sa jeune femme attend.

 

Ce jeune homme a été tué exactement dans les mêmes conditions qu’un autre, lui aussi dans l’exercice de ses fonctions, plus jeune encore (il avait 24 ans), le 20 janvier 2001. Il était collègue et ami d’un de mes proches, qui aurait pu d’ailleurs être à sa place. Il s’appelait OLIVIER, prénom pourtant symbole de paix, pour celui qui exerçait enfin sa vocation d’être, gardien de la paix.

Il laissait des parents inconsolables.

 

Il était le 5ème, depuis le début de cette année là à donner sa vie ; 2 autres notamment, 12 jours plus tôt (le 8 janvier 2001) s’étaient fait « trouer la peau » par un forcené, dans la même région.

 

Comme pour toutes les corporations, il y a les bons éléments et ceux qui le sont moins, et malheureusement, comme trop souvent, les bons payent pour les autres.

 

Si j’en parle aujourd’hui c’est qu’il me semble important de prendre garde à ne pas faire d’amalgames, à ne pas montrer du doigt des corporations, à ne pas mettre tout le monde dans le même panier.

 

Quand j’ai voulu déposer plainte, en Novembre, par rapport à mes plaques d’immatriculation, je suis tombée sur deux sortes d’agents: ceux qui ont pris l’affaire au sérieux, même si, proportionnellement à d’autres faits cela pouvait leur paraître peu important, qui m’ont particulièrement bien conseillée et ont fait tout ce qu’ils devaient faire, et d’autres, qui n’ont pas pris conscience des risques potentiels des faits (peut-être par non conscience, peut-être parce qu’ils avaient des tâches plus valorisantes à effectuer, plus susceptibles de servir leur avancement, leur carrière, ou qui suivant leur ressenti, leur paraissaient plus dignes d’intérêt).

 

J’aurais pu me laisser arrêter par ceux qui ont traité le problème par-dessus la jambe, cela aurait été la facilité de baisser les bras, mais j’ai écouté mon intuition et les avis des professionnels consciencieux et ai j’ai frappé à d’autres portes… où j’ai été écoutée, entendue, et mon souci a été réglé.

 

*** « Hasard » ? Juste comme j’en suis à ce passage, le présentateur BFM évoque Jean Moulin, suite au décès de Raymond Aubrac, grand Résistant (il est environ 12h35).

 

J’ai retenu de cette « aventure » qu’il appartient à chacun d’assumer ses responsabilités, celles qui lui sont dictées par ses ressentis, sans se laisser décourager par les portes fermées.

A chacun de RESISTER AUX PRESSIONS, justement, et de faire, une fois encore, CE QUI SEMBLE JUSTE.

 

Et ceci pour ne pas avoir à déplorer un jour de ne pas être allé au bout de ce que l’on ressentait devoir faire, et éviter de rejeter ainsi la faute sur les autres.

 

Et j'ai retenu aussi qu'il est important de ne jamais traiter par le mépris les mises en garde, et les peurs d'autrui.

 

Bonne journée !

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 14:20

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Hello !

 

Merci encore à tous et toutes pour vos com et messages.

Je n’ai pas beaucoup de connaissances en mathématiques et physique (invariablement, sur mes bulletins de notes du lycée, les profs de ces matières déploraient :

 

« regarde toujours par la fenêtre au lieu d’écouter le cours », ou « rêve » !).

 

Ca ne m’intéressait pas, et mes notes dans ces matières étaient de vraies guignes qui m’obligeaient à travailler un peu plus les autres matières pour m’assurer au moins la moyenne, histoire de ne pas redoubler !

 

Les explications liées aux sens à donner aux situations que j’ai vécues m’ont été données par mes chers inspirateurs célestes, le plus souvent a posteriori, depuis 10 ans. Avant cela, je ne cherchais pas vraiment à comprendre, et bien évidemment, les choses ne s’arrangeaient pas, et même souvent empiraient.

 

Parce qu’essayer de comprendre ce que cherche à nous montrer une situation, cela va permettre, au moins de « limiter les dégâts », voire de mieux déterminer ce qu’il convient de faire pour se sortir d’un blocage.

 

MAIS JE REPETE QUE C’EST MON EXPERIENCE, A CHACUN DE VOIR, DE L’ADAPTER OU PAS.

 

On a tout à fait le droit de préférer faire compliqué en préférant penser… simple ( ?!) « hasard », « malchance », « coïncidence », voire même C’EST LA FAUTE DES AUTRES.

 

Certes, cela demande du temps et de l’humilité, mais la remise en question me semble personnellement payante et au final amener à moins perdre de temps et d’énergie (physique mais parfois aussi matérielle), en faisant cesser le problème.

 

Cela reprécisé, j’espère que vous avez tous et toutes passé de bonnes fêtes de Pâques et que le moral est bon.

 

Beaucoup de choses bougent en ce moment, je le ressens, notamment par rapport aux signes.

 

Sous peu, je vais refaire une « constellation familiale » (recherche en psychogénéalogie). Ce sera la 3ème, et j’espère dernière pour arriver à mettre un terme aux peurs qui m’empêchent d’accepter totalement toutes mes « capacités ».

 

Capacités que nous avons tous plus ou moins en nous, je tiens encore à le répéter, à des degrés divers, selon le chemin de chacun, car plus ou moins « endormies », oubliées, interdites d’accès même par la « société », et qui ne déterminent en aucun cas de supériorité sur quiconque.

 

Un des signes qui me laissent penser que des choses vont bouger pour du mieux, bien évidemment, c’est un fait un peu étrange qui s’est passé il y a une paire de semaines.

 

Il faisait très beau et assez chaud, il n’y avait pas un brin de vent (ici il y en a peu d’ailleurs). Je ponçais un petit meuble, quand j’ai entendu un bruit assez fort de feuilles foulées aux pieds, venant d’un coin du jardin, sur l’avant, à droite.

 

J’ai arrêté de poncer, et ai tendu l’oreille, me demandant quelle « bête » pouvait bien faire ce bruit, dans le jardin. Pas un de mes chats, en tous cas, c’était l’heure de la sieste (enfin une parmi tant d’autres hi ! hi !), elles étaient dedans.

 

Ne voyant rien susceptible d’être à l’origine de ce bruit, j’ai levé machinalement la tête, pour découvrir, dans le ciel d’un bleu très pur, un « nuage » de feuilles mortes qui voltigeaient haut, au-dessus de moi.

 

Apparemment, une bourrasque aussi rapide que limitée et subite, a secoué à la verticale un ou des chênes du bosquet devant la maison, faisant voltiger les feuilles mortes encore accrochées, qui, dans la lumière du soleil, prenaient des éclats dorés.

 

Très bonne symbolique que tout cela, car ces chênes sont d’une variété qui garde son feuillage séché tout l’hiver, contrairement à d’autres espèces. Cela rend l’hiver moins triste, car les arbres ne sont pas décharnés. Habituellement, ces feuilles mortes tombent quand les bourgeons prennent la suite.

 

La symbolique du chêne, c’est la force. Et cet épisode rapide, survenant par très beau temps me laisse présager une aide « providentielle » qui va me permettre de faire peau neuve, et d’aller vers un renouveau.

 

Peut-être mes démarches à la recherche des influences familiales ? Qui sait ?

 

Car Dimanche de Pâques, comme nous avions ma fille et sa famille, nous sommes allés visiter le Gouffre de Padirac que seul mon compagnon connaissait. J’essaierai de vous en parler davantage, de cette merveille, dans un prochain billet.

Mais quelque chose a attiré mon attention, qui me laisse penser que cela viendra de la recherche familiale.

 

Le gouffre a 103 mètres de profondeur, et afin d’admirer au mieux et au plus proche les magnifiques œuvres du temps, de l’eau et du calcaire, nous avons emprunté une barque conduite par un GUIDE très sympa, maniant un humour décalé que n’auraient pas renié ces chers Anges.

 

A la fin du trajet aller, il nous a informés qu’il viendrait nous récupérer pour le retour, à l’issue de la suite du reste de la visite, qui se faisait à pied, pour admirer LE PLUS BEAU (même si c’était, a-t-il dit, le plus dur, car composé de beaucoup de marches !), pour laquelle un autre GUIDE allait prendre la relève.

 

Pour que nous le retrouvions plus facilement, il nous a donné son prénom (car toute l’EXPLORATION se faisait dans la pénombre, puisque nous étions à 103 mètres sous terre).

Sur le moment, je n’ai pas fait attention au prénom qu’il nous a dit, mais quelque chose m’a poussée à le lui redemander.

 

En plaisantant sur le fait que j’avais déjà oublié, il l’a répété…

 

C’ETAIT LE PRENOM DE MON DEMI FRERE « DECEDE » EN BAS AGE !

 

Vu la beauté et la rareté de ce que nous avons pu admirer, combinées au fait que nous nous sommes bien régalés, et n’avons vraiment pas regretté notre visite (même s’il a fallu faire « la queue » ½ heure, tant il y avait du monde), nul doute que je vais découvrir enfin les belles choses que les millénaires qui composent le passé ont permis de créer.

 

Les autres signes dès que possible !

Bonne journée, même si le temps n’y est pas !

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 18:40

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Hello !

 

Pâques étant synonyme d’espoir, de renouveau et de résurrection, je vous copie un message que j’ai reçu le 1er Mars 2012. Il fait suite à l’oiseau doré aux belles couleurs que j’ai dessiné et offert il y a quelques mois, je vous l’ai mis dans un billet, il y a peu.

 

« Quel bonheur d’accepter enfin de se lover dans cette main qui nous faisait si peur, et de constater que non seulement elle ne nous veut pas de mal, mais que tout au contraire, c’est une source de bonheur réciproque, autant pour l’oiseau que pour la main, émerveillés.

Elles sont magnifiques, ces ailes qui se déploient enfin en confiance, et qui acceptent enfin le rôle de leur vie : celui de permettre de prendre son envol vers le firmament, dans toute sa magnificence. »

 

Chaque fois que je relis ce message, les larmes me montent aux yeux.

 

Et plus encore ces jours ci, car ce message m’a été délivré pour moi-même, mais une fois que je l’ai bien « savouré », ces chers Anges, fidèles à leur but : m’amener à sortir de mon trou, ces chers Anges donc m’ont demandé de le transmettre aussi à quelqu’un de bien précis, si cette personne voulait bien l’accepter, cela va de soi.

 

La respiration m’en a manqué ! Non, je ne suis pas guérie de la mésaventure que j’ai vécue dans le « gourbi », hélas.

J’ai bien essayé de tergiverser, angoissée à l’idée de revivre une réaction désagréable : cette personne n’a pas besoin de mes messages, elle peut avoir bien plus, directement. A quoi ça va servir ?

 

Silence radio éloquent.

 

Bon, j’ai fini, après quelques jours, moult « ras le bol », et au vu de quelques retards embêtants dans ma vie quotidienne, par m’exécuter…

 

Enfin, je veux dire que j’ai envoyé un mail à une personne qui m’intimide bien moins, et en qui j’ai confiance, pour qu’elle lui demande son acceptation.

 

Voilà, satisfaite de « passer un peu à travers », j’ai attendu la réponse…

Qui n’est pas venue ! Apparemment, le message n’est pas arrivé…

Non plus qu’un courrier important que j’attendais en vain…

 

Car IL N’AVAIT PAS ETE ENVOYE A LA BONNE ADRESSE !!!!

 

Voilà, les réponses des bergers à la bergère qui les a sous estimés, une fois encore !

 

Bon, pas le choix, je me suis attelée à mon clavier, et ai fait ce qu’il m’était demandé… Ne serait-ce que pour recevoir le courrier que j’attendais… Qui est arrivé le lendemain !

 

Par contre, j’avais sûrement un peu trop attendu, la personne destinataire du message était absente pour quelque temps.

Mais du coup, j’étais soulagée et n’y ai plus trop pensé…

Jusqu’au jour de mon anniversaire (avant-hier), où j’ai reçu une gentille réponse me demandant de ne pas hésiter à transmettre « ce qui me semble juste » !

 

J’en ai eu les larmes aux yeux de gratitude. Mon Dieu, là aussi, le jour et la nuit. C’était un beau cadeau d’anniversaire !

 

Bon sang, il n’est pas facile ce chemin pour arriver enfin à prendre son envol, pas facile, non…

Mais heureusement, ces chers Anges veillent, afin, comme le disait je crois Isabelle Lionnet, dans un des messages dictés à Anne-Marie (peut-être « La rencontre des Anges », avec Jean-Paul Sermonte ?), de permettre, une fois « qu’on a entendu les fausses notes, de pouvoir faire la différentes avec les justes. »

 

Bonne fin de journée et bon week-end à tous et toutes, et merci de votre fidélité à mon blog.

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 10:35

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Hello !

 

Merci pour vos com. et messages. Pour te répondre, Claire, je pense que tu avais raison, il semblerait que cela symbolise Pâques et la Résurrection, car peu de temps après, j’ai vu à la télé un reportage sur les cérémonies des Rameaux, et effectivement, certains avaient des branches de palmiers, à la place des rameaux d’olivier ou de laurier.

 

Bonne symbolique tout cela, avec Pâques qui approche, et sachant que nos voitures recouvertes de palmes par le givre, portent le même nom (même si classification différente) !

 

Il y a quelques jours, j’ai été amenée à discuter avec une amie de longue date, sur le sujet des sectes, et surtout sur les conséquences que l’emprise morale peut avoir sur le psychisme, qu’on est souvent loin de soupçonner.

 

Elle-même est tombée sur un groupe dit de « spiritualité », il y a très longtemps, bien avant que nous ne fassions connaissance.

Elle m’en avait un peu parlé auparavant, mais elle est revenu sur un soir où, au vu des « expériences » pratiquées dans ce groupe, elle a soudain ressenti un gros malaise, une sensation d’étouffement, et s’est sentie poussée à fuir.

Ce qu’elle a fait, pour ne plus revenir.

 

Mais, et c’est ce qui confirme qu’il ne faut pas prendre à la légère ces faits et agissements, lors de cette dernière conversation, elle m’a avoué que cet épisode l’avait tellement bouleversée et écœurée, qu’elle est restée DES ANNEES sans pouvoir prier, rejetant de ce fait, pratiquement tout ce qui touchait à la spiritualité, tant elle avait peur de retomber sur quelque chose de similaire, et parce qu’elle n’y croyait plus.

 

Cela ne m’a pas étonnée, vu l’effet que mes expériences ont eu sur moi : envie de tout arrêter, écœurement par rapport à ce « milieu », impression que tout cela est trop dangereux.

Or, ce sont certaines personnes qui sont dangereuses, et il faut les faire contrôler, ce n’est pas la recherche spirituelle qui est dangereuse, tout au contraire.

 

Et c’est là le risque, m’ont expliqué mes chers inspirateurs célestes, et contre lequel ils m’avaient pourtant souvent mise en garde, et ce dès 2002 :

 

« Ne pas se laisser abuser par toute personne voulant nous soumettre à son jeu dans la société ».

 

C’est le piège, quand on veut trop en faire, trop bien faire, quand on ne se donne pas le droit à soi-même d’exister individuellement, c’est de tomber sur des individus, isolés ou en groupe, qui, derrière des entreprises commerciales maquillées en association caritative (rien de tel pour attirer les dons, bonnes volontés et endormir la méfiance), vont utiliser à leur seul profit cette « manne ».

 

Pour éviter ce piège là, toujours bien se poser la question si l’on fait ce que l’on ressent vraiment devoir faire, en toute liberté, sans contrainte, parce qu’on le ressent ainsi, et non pour essayer d’étouffer un sentiment de culpabilité d’être et d’avoir, alors que d’autres n’ont pas, ou bien de devoir racheter une prétendue erreur, filons (dans le sens de gisement, non dans celui de « partons ! », quoi que !), filons dont vont se gorger ces individus.

 

S’assurer que l’on n’est pas « téléguidé » par une ou des volontés terrestres masquées, qui n’ont souvent pour seul but que le pouvoir et le profit.

 

Mes chers Anges m’ont précisé dès 2002, et souvent répété :

« Il ne s’agit pas de faire beaucoup, mais de faire bien ! »

 

Et pour être sûr de faire bien, il ne faut pas hésiter à vérifier, et ne pas se contenter de discours et le cas échéant, à signaler les dysfonctionnements et abus.

 

Et c’est aussi le sens de l’épilogue de la tentative d’usurpation de mes plaques minéralogiques (voir en fin d’année pour ceux qui me lisent depuis peu), qui m’a valu un courrier d’une assurance, au nom d’une assurée COUVERTE par cet organisme, prétendant que mon véhicule aurait occasionné des dégâts au véhicule de cette personne, mais aussi à son fils, dans une ville de région parisienne (à plus de 600 km de chez moi !), qui n’a pas une très bonne réputation, et où je n’ai jamais mis une roue, ni un pied, d’ailleurs.

 

Mes proches ont toujours trouvé cette histoire pas très claire, et moi de même, d’où mon dépôt de plainte.

 

Mais je ne crois pas le moins du monde au hasard, il y avait peu de chances qu’une telle histoire tombe sur ma voiture (même si c’était particulièrement symbolique, du fait du nom de ce type de véhicule).

 

Cela m’a permis, en analysant les faits, les « coïncidences », de comprendre qu’il fallait que je fasse moi aussi un constat de ce que j’avais vécu et dont j’avais été témoin, depuis toutes ces années, auprès d’une autorité dont c’est le rôle, de protéger les individus des manipulations et dérives à caractère sectaire.

 

Quelques uns des autres faits significatifs de la situation, c’est le nom du prétendu conducteur, qui faisait irrésistiblement penser à ROBOT (un robot, c’est « téléguidé », cela agit suivant une autre volonté que la sienne, la volonté de celui qui le « manipule » !), et le nom de la prétendue victime, qui évoque assez le verbe ROULER (rouler pour) voire ROLE.

 

Plus d’un mois après le retour de l’accusé de réception de mon courrier en réponse à cette assurance, (expliquant qu’il ne pouvait s’agir de mon véhicule), j’ai reçu de leur part un courrier de relance, me signifiant que ma compagnie ne les avait pas contactés !

 

Alors là, la rogne m’a prise, et je les ai rappelés, les renvoyant à la plainte déposée (que je n’avais pas mentionnée dans le courrier), laquelle avait été transmise au parquet de leur région.

 

Quand j’ai évoqué la maréchaussée et la justice, mon interlocutrice a bredouillé qu’elle ne savait pas, que dans ce cas je ne devais pas tenir compte de leur lettre, qu’elle n’avait pas eu le temps de lire mon courrier…

 

- « En plus d’un mois » ? ai-je persiflé.

 

Sa façon de me répondre, les incohérences du prétendu constat non signé (donc qui n’a pas de valeur juridique, et dont on peut facilement prétendre, en cas de contrôle, qu’il ait été contrefait !), tout cela donc m’a amenée à me poser encore plus de questions et à avoir des doutes sur la prétendue « victime » couverte par l’assurance ( !!!), parlant au nom de son fils (très symbolique tout cela aussi !).

 

La suite des informations nous a convaincus qu’il y avait probablement eu une tentative d’escroquerie à l’assurance, peut-être même couverte par une employée de cet organisme.

 

Bien m’en a pris de porter plainte, pour leur couper l’herbe sous les pieds.

 

Ni « hasard », ni « coïncidence », donc, je retiens de cet épisode qu’il ne faut pas hésiter à se défendre, et à faire intervenir les personnes compétentes pour juger les faits concernés, tant pour soi-même que pour éviter à d’autres de payer des pots cassés qu’ils n’ont pas à payer.

 

Une fois de plus, j’ai pu constater que tout ce qui arrive a sa raison d’être (surtout quand c’est bizarre, désagréable…) et son enseignement, si on veut bien prendre le temps d’essayer de décrypter le message.

 

Cet épilogue avait fait taire mes scrupules, liés au fait qu’il me semble important de laisser chacun penser et faire ce qu’il veut, en me démontrant qu’en laissant faire des faits graves sans les signaler, on LES COUVRE et en même temps, on fait courir le risque que les « dysfonctionnements » s’étendent, fassent boule de neige, faisant du mal et du tort à des êtres qui n’y sont pour rien, innocents donc, les coupant de leur foi, de leur vérité, de leur intégrité, de leur rôle, bref, les détournant de leur chemin originel d’épanouissement.

 

Non, le risque n’est pas que matériel (encore que ces chers Anges recommandent de ne pas mépriser l’argent, meilleure façon de tomber sur des aigrefins qui eux le convoitent pour eux-mêmes, et sont tout à fait disposés à nous en délester).

 

« C’est une excellente chose de vouloir aider son prochain, nous applaudissons à cela, mais « charité bien ordonnée commence par soi-même », n’oublions pas notre propre chemin d’évolution et de compréhension, et ne nous en laissons pas détourner par quiconque se prétendant tellement évolué qu’il n’a pas à travailler sur lui dans cette vie là.

Répétons encore et encore : bien malheureux il est celui qui prétend avoir trouvé la Vérité, cela signifie qu’il ne peut plus progresser, donc qu’inévitablement il régresse. »

 

Mais malgré tous ces éclaircissements là, je n’arrivais pas à surmonter mon dégoût, ma démotivation…

Jusqu’à l’annonce de la maladie de mon frère !

 

Nul doute que beaucoup de bonnes et belles choses se préparent, qui vont perpétuer cet élan !

 

Bonne journée !

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 17:08

Mémère a trouvé sa place !

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Hello !

 

Bonne fête aux Sandrine !

 

Comment savoir si c’est un signe ou pas ? Difficile parfois de faire la différence, même s’il n’y a pas de « hasard » ni de « coïncidence » (selon l’avis de mes chers inspirateurs célestes, et… le mien, au vu des circonstances).

 

Il y a les signes qui surviennent les jours remarquables (fêtes, anniversaires, etc.). Quand on note, un de ces jours là, des choses qui se produisent pour la première fois (au moins depuis un certain temps), et à plus forte raison s’il y en a plusieurs le même jour, c’est probablement un petit clin d’œil qui nous est envoyé.

 

Le 28 Mars aurait été l’anniversaire de la naissance de mon amie « décédée ». En général, j’ai toujours mon « petit » signe.

 

Et le matin de ce jour là, alors que j’étais au téléphone avec une amie, j’ai remarqué, tandis que mon regard tombait machinalement sur le jardin… un chardonneret.

C’est la première fois cette année que j’en voyais un, et comme c’est un passereau que j’aime beaucoup, je guettais depuis quelques semaines son retour.

Je l’ai signalé à mon amie, mais sans y prêter attention plus que cela. Cela me semblait « léger » pour un signe.

 

Mon amie m’a rappelée dans l’après-midi, et tandis que nous parlions, j’ai remarqué dans le jardin, un couple de tourterelles qui mangeaient au « réfectoire ». Elles y sont restées longtemps. Seule l’arrivée de mon compagnon, avec la voiture, les a chassées.

 

C’était la première fois que des tourterelles venaient se restaurer dans notre jardin. Je n’en avais pas vu avant… et n’en ai pas revu depuis ce jour là.

 

Comme de surcroît mon amie m’avait parlé d’un signe qu’elle avait ressenti avec le chant d’une mésange, nul doute, apparemment, d’un petit clin d’œil de mon amie, de « là-haut ».

 

Autre « coïncidence », le soir même, il y avait une réunion de l’association qui a réussi à empêcher qu’une antenne très puissante soit construite dans notre secteur.

 

A bientôt !

Bonne fin de journée !

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 19:20

Hello !

 

Pardon de vous avoir abandonnés, mais beaucoup d’occupations en ce moment.

 

Oser dire ce que l’on ressent, oser donner son avis, ces chers Anges persistent et l’ont signé le 14 Mars.

 

La veille, le 13, j’avais écrit le billet :

« Les Anges, l’intuition et les actes », qui se terminait sur la réflexion « bête », qu’on entend fréquemment :

 

« Il vaut mieux avoir des remords que des regrets »

 

Le 14 au matin, j’ai lu mes messages sur Internet. Il y avait une gentille vidéo sur l’amitié, envoyée par une excellente amie qui se reconnaîtra (et qui d’ailleurs, est-ce une « coïncidence » ? faisait partie des personnes qui m’accompagnaient dans le « gourbi », le jour où ces « braves » gens me sont tombés sur le paletot).

 

Dès sa lecture, j’ai ressenti de l’envoyer à Anne-Marie, pour lui faire un petit clin d’œil. Mais j’ai hésité, sachant qu’elle reçoit beaucoup de courrier, de crainte de lui prendre de son temps.

J’ai finalement envoyé la gentille vidéo, poussée par mon intuition, puis me suis attelée à la préparation de mon billet du jour, qui racontait la première partie de la conférence de Chantal Laffont.

 

Avant de le publier sur les blogs, je suis revenue à ma messagerie pour je ne sais plus quoi, et ai eu la surprise de constater qu’Anne-Marie m’avait déjà répondu…

 

En m’adressant le message qu’elle venait juste de recevoir, d’Isabelle (14 Mars 2012).

 

A sa lecture, je suis restée bouche bée en lisant qu’Isabelle rappelait le danger des REMORDS, mais surtout, parce qu’elle a utilisé les mots exacts que j’ai dits, le jour où les « braves gens » m’ont montrée du doigt, dans une phrase mise entre guillemets :

 

« POISON DE L’ESPRIT »

 

Sauf que moi, j’ai dit, ce jour là, pour tenter d’expliquer pourquoi je posais cette question :

 

« La culpabilité est un poison de l’esprit, qui détruit intérieurement »

 

Mais la « dame » a tellement hurlé, que je n’ai pu m’expliquer, car évidemment, ça n’arrangeait personne que cela soit expliqué.

 

Ce message d’Isabelle a mis encore du baume sur mes plaies, aussi parce que dans ce billet du 14, je parlais de Joe (dont j’avais entendu une chanson juste en arrivant), qui était le chanteur favori du Papa de Chantal, qui donc a été « nourrie » de ses chansons toute sa jeunesse.

Et je me posais un peu malicieusement la question :

 

« Qui sait, peut-être que la simplicité, le respect, le sens de l’humour, et surtout le bon sens de Joe sont contagieux ? »

 

Isabelle semble y répondre, ce 14 Mars, car voici une partie de la petite phrase qui suit sa signature :

 

« car si le mal est « contagieux » ! le bien l’est aussi et… sans doute… plus fortement… plus puissamment encore. »

 

Note : elle a mis le mot CONTAGIEUX entre guillemets, suivi, d’un point d’exclamation !

 

Pas de crainte donc, en cette période qui semble bien noire. Suivons nos intuitions, essayons de vivre du mieux possible, en « ligne directe » avec nos chers Anges, et tout cela fera place au beau ciel bleu.

 

Je vous raconte dès que possible les autres signes.

Bonne soirée !

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