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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 18:02

 

Hello !

 

Pas trop de temps en ce moment, c’est la course, car nous avons décidé, avec une amie, et même si nous n’avons pas regagné au grattage (Hi ! Hi !), de faire une virée (rapide) à Strasbourg, au marché de Noël. Après tout, on ne vit qu’une fois ! On va suivre la « Voie Royale », et au diable la « voie Réale » (galère du roi). Hi ! Hi !

 

Je suppose que ces chers Anges sont ravis et seront du voyage, car « hasard », l’hôtel où nous passerons la nuit, sur place, comporte dans son nom les mots suivants: « Soleil » et « Roi ».

 

Et aussi parce que la résidence où nous faisons escale, lundi soir, commence par les initiales de qui vous savez: JD !

 

Pour rester dans les signes, il est bon de rappeler que lorsqu’on a compris ce qui nous est montré, les signes ne sont pas répétés. Dans le cas contraire, c’est qu’il y a autre chose, ou que l’on a mal compris.

 

Et autre difficulté, dans ce qui nous est dit ou inspiré, il y a souvent un double sens, voire plus.

 

Ainsi, face aux blocages qui se présentaient à nous, dans notre recherche de maison, quand ces chers Anges conseillaient de « chercher en Provence », ce n’était pas à prendre au premier degré, mais dans le sens de:

 

Chercher la clé du côté de la Provence… qui est la région d’origine de ma famille maternelle (d’ailleurs la plus grande partie y demeure encore), source du bagage émotionnel important que je me « trimballais » depuis des décennies.

 

Justement, je voudrais remonter à la période où je cherchais à aller habiter en Provence, parce que je me sentais attirée irrésistiblement par cette région, et que j’avais peur de venir vivre ici.

 

Mes chers inspirateurs célestes, me voyant rêver dans le vague, et afin, je suppose, de me faire toucher du doigt la problème que je refusais de voir, m’ont conseillé, certains s’en souviennent probablement, de définir où exactement, je voulais aller vivre.

 

Mon choix s’était porté sans hésitation sur la région de Salon de Provence/Saint Rémy de Provence (même si je pensais que c‘était trop beau pour moi). C’est le coin où a vécu ma mère (et toute sa famille), dans son enfance, et sa jeunesse.

Je ne savais pas que son premier mariage avait été célébré à Salon, ni que mon jeune oncle (fusillé parce que Résistant), y était né. Je ne l’ai appris que récemment, quand j’ai voulu faire une « Constellation familiale », poussée par tous les signes m’amenant dans cette direction (voir début mai 2011).

 

Chaque fois que nous allions là bas pour chercher, les choses ne se passaient pas du tout comme je le prévoyais. Mais je ne voulais pas en tenir compte, tant j‘étais obnubilée par ce coin, et l‘envie viscérale (c‘est le mot) d‘aller vivre là bas.

 

Il y a eu, un jour où j’ai pris la résolution de « mettre le paquet » pour chercher là bas, dans l’heure qui a suivi, un appel d’un agent immobilier, (contacté quelque temps plus tôt, à la suite d’une annonce vue dans une brochure), qui m’avait annoncé avoir 4 annonces susceptibles de nous intéresser. Le nom de mon interlocuteur ???

 

M. PAQUET !

 

Je vous l’avais raconté à l’époque. Quand nous y sommes allés, juste avant de sortir de l’autoroute, pour nous rendre à nos visites, nous avons doublé un camion de déménagement immatriculé dans le département 13 (région de salon et Saint Rémy), alors que nous étions dans le 04.

 

Le nom inscrit sur le camion ?

« Déménagements La Cigogne » (à cette époque là, bien que demeurant dans l’Aude, nous voyions très souvent des cigognes, et je ressentais bien qu‘il s‘agissait d‘un signe).

 

Les cigognes représentaient dans mon esprit une renaissance. Mais c’était aussi pour me conduire à faire le rapprochement avec mon histoire familiale, (donc liée à ma naissance), dans le département 13. Parce que les cigognes sont souvent représentées portant un bébé dans un linge.

 

Ni le coin, ni les 4 biens que le Monsieur avait sélectionnés (dans nos prix) ne nous ont convenu.

Deux surtout, m’ont mis la chair de poule, car j’ai ressenti qu’il y avait des scorpions (ma phobie), ce que m’a confirmé le vendeur.

 

Or, si j’ai la phobie des scorpions, c’est parce que ma mère s’est fait piquer quand j’étais petite, et qu’elle a eu très très mal pendant 3 jours, avec un œdème important. Je savais tout cela, bien sûr, mais n’ai pas mis le doigt sur la symbolique.

 

Mais il y a aussi une « coïncidence » étrange, c’est que ma mère s’est fait piquer chez mes grands-parents paternels, à qui nous avions rendu visite. C’étaient donc les parents de mon père, son 2ème mari. Et le département où cela s’est produit, et où vivaient mes grands-parents:

 

L’Hérault (homonyme de HEROS)

Rappel: son 1er mari, fut fusillé lui aussi, comme son jeune frère, en tant que Résistant (« mari » et  « héros » de la Résistance).

 

Mais j’étais loin de penser, à l’époque, que tout ce vécu là pesait sur mes épaules et mon destin, puisque je suis née 10 ans après. Alors je n’ai pas fait le rapprochement, même si j’avais bien l’intuition qu’on cherchait à me ramener à ma mère.

 

Peut-être est-ce pour cela que, tandis que notre vendeur nous amenait visiter le premier bien, une tourterelle gambadait au milieu de la route, et ne voulait pas s’envoler ; il a dû rouler au pas derrière elle un petit moment. Ce qui a amené le Monsieur à dire:

 

« Elles ne sont pas réactives aujourd’hui ».

 

Moi non plus je ne l’ai pas été, à cette époque là, c‘est le moins qu‘on puisse dire.

 

J’essaierai de revenir sur tous les signes qui ne m’ont pas fait « tilt ».

 

Cela dit, convenons qu’ils ne sont pas simples à déchiffrer et nécessitent de bien prendre le temps d’analyser.

Je ne désespère pas d’arriver à bien les interpréter avant, et non pas après, avec le recul.

 

« Pour cela, précisent ces chers Anges, encore faut-il prendre le temps ! »

 

Oui, bon, en ce moment on a un « léger » différent quand à cette expression: « prendre le temps »…

Mais la partie est assez inégale… alors j’ai dû me résoudre à le prendre, le temps (grrrr !).

 

A bientôt !

Bonne fin de journée !

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 17:19

 

 

Hello !

 

Je vous ai un peu abandonnés, pas mal de choses à faire en ce moment.

 

Aujourd’hui est encore un jour de suite de chiffres: 13 12 11.

 

Justement, je voudrais reparler des signes.

Nos chers Anges Gardiens sont toujours à nos côtés pour nous guider, mais tout ne peut pas nous être dit (bon, des fois on aimerait bien), nous avons un effort de compréhension à faire.

 

Pour cela, nous avons la possibilité de nous « connecter » à notre source de sagesse, de méditer, de prier, réfléchir dans le calme et le silence, etc., à chacun de faire comme il le ressent le mieux.

 

Mais il y surtout les signes, qui sont là pour nous guider…

 

Ils sont un peu difficiles à « décrypter », parfois, alors on peut faire (cela m’arrive souvent, et dernièrement encore) la sourde oreille, en se disant:

 

« On verra plus tard »

 

Notamment quand mon chat Biscotte a eu mal à un œil (l’œil, cela permet de voir). J’ai cru à une allergie et ai essayé de la soigner. Mais cela s’est aggravé et j’ai dû la faire opérer (nécessité de faire intervenir un spécialiste).

 

Rappel: mes chers inspirateurs célestes m’ont dit, dès les premiers messages, que nos chers animaux sont comme de petits Anges, envoyés à nous pour nous aider et nous protéger, notamment par les signes qu’ils nous donnent.

 

N.B.: la recherche médicale a déjà prouvé que posséder un animal aide à être en meilleure santé.

 

L’opération s’est bien passée, mais comme cela m’a beaucoup stressée, j’ai médité pour savoir quel signe m’était donné, et, en analysant (entre autres parce que c’est Biscotte qui, par son accident, m’a empêchée providentiellement d’aller chercher les cassettes chez ma camarade, en 2005), j’ai donc ressenti devoir faire une démarche auprès d’un spécialiste, pour témoigner de mes mauvaises expériences.

 

Mais ça me « gonflait », alors j’ai voulu biaiser et ai préparé un courrier à une personne qui me semblait ad hoc, même si ce n’était pas une spécialiste du sujet…

 

Oui, mais je ne l’ai pas envoyé…

 

Mon père aurait dit (et a peut-être pensé, de « là-haut »)…

 

« Tu attends que ça dégèle ? »

 

Remarque1: l’œil malade de Biscotte, est celui qui a le canal lacrymal bouché (canal/Channel ?).

 

Remarque2: elle avait les 2 bouchés, mais de façon étrange, un des 2 s’est débouché après son accident… qui m’a permis de comprendre beaucoup de choses, et m’a décidée à témoigner de mon vécu, en écrivant mon livre.

 

Les jours suivants, l’oeil de ma « poulette », qui semblait en bonne voie, a paru empirer. J’ai dû la ramener chez le vétérinaire.

 

J’ai envoyé aussi sec le courrier préparé…

Et l’état de l’œil s’est à nouveau amélioré.

 

La réponse est arrivée quelques jours plus tard. La dame me disait que ce n’était pas dans ses possibilités d’intervenir, et elle me donnait la marche à suivre.

 

Comme je n’avais pas envie, j’ai décidé que cela ne me concernait plus, après tout, on ne va pas être plus royaliste que le roi. J’avais prévenu, point. S’il y avait un problème un jour, elle aurait à y faire face.

 

Mais ce fut le tour de mon ordinateur, long, très long à démarrer (comme moi ?).

Première réparation: (un logiciel s’était mal installé)…

 

Qui n’a pas réglé totalement les problèmes

Bon, mais ça commençait à beaucoup m’énerver, je n’avais pas le temps, Noël approchant, alors j’ai râlé après ces chers Anges:

 

« Ras le bol, vous voulez me ruiner ou quoi ? Je peux travailler, moi, à ce train là. »

 

Et j’ai négligé, la tête dans le guidon, de prendre le temps de chercher en moi la solution, en méditant sur le sujet, par exemple…

 

« On verra après les fêtes, je bosse, moi ! Ras le bol à la fin (répété à l’envi) ».

 

J’ai dû ramener mon ordi chez le réparateur, alors ça m’a calmée, et j’ai décidé, en laissant l’engin, de prendre le temps de méditer sur le sujet…

 

Sauf que ça avait dû trop traîner, la fameuse lettre de l’assurance m’attendait sur la table à mon retour…

Lettre postée le lendemain de la réception de la réponse à mon courrier, auquel j’avais décidé le jour même de ne pas donner suite.

 

Autre signe parlant: les 2 personnes à qui je me suis adressée (2 femmes, pourtant payées pour faire ce travail), pour signaler le vol de mes plaques minéralogiques, n’ont pas voulu prendre ma plainte… Ce n’était pas grave pour l‘une, ce n’était pas son affaire pour l’autre, et je me faisais du souci pour rien !

 

Un collègue de la première a même refusé d’aller constater que mon véhicule n’était pas accidenté, au prétexte que j’avais pu le faire repeindre…

 

C’est exactement ce que j’avais fait, de mon côté, en ne signalant pas les faits auxquels j’avais assisté et vécus, au prétexte que l’enregistrement avait pu être « arrangé ».

 

Sauf que toute fraude peut se prouver, il y a des spécialistes en la matière. Cela n’aurait pas dû m’arrêter.

 

Voilà, si on veut bien y faire attention, on peut être « éclairé » sur ce qu’il est bon de faire, ou de ne pas faire…

 

A condition de prendre le temps d’en chercher le sens, car les signes sont souvent un peu difficiles à « décrypter ». Il est important, comme souvent dit, de bien mettre en évidence toutes les similitudes…

 

Avec un peu d’humilité, sans peur, sans culpabilité surtout, on cherche, parce que la vie n’est pas simple et qu’on ne sait pas tout… Même si on fait ce qu’on peut, comme on peut.

 

Et ainsi, on permet à la situation de s’améliorer, et parfois même de se régler, si on a bien compris, car il ne sert à rien de se leurrer et de refuser de se remettre en question.

 

Si des signes persistent, c’est que peut-être on a compris une partie, ou fait une partie, mais pas tout.

 

Bon courage !

Bonne fin de soirée !

 

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 15:46

 

 

 Voici le copié/collé du billet dont je vous ai parlé, du 26/10/09 (j'ai tapé 28 en l'enregistrant sous, et c'était la date de l'émission d'Anne-Marie !). Son titre: "S'accorder le droit de s'exprimer"

 

 

 

Hello !

 

"Coïncidence" avec mon billet d'avant-hier matin, à la suite du message que j'ai reçu, visant à encourager les personnes malades, en ce moment, Cends a, le même jour, écrit un billet pour solliciter ceux et celles qui le souhaitent, à se joindre à elle, par la pensée, pour une prière commune, ce lundi à 14 heures, pour toutes les personnes qui souffrent, de notre connaissance. Je pense aussi que cela peut avoir plus de poids qu'une prière isolée. Ca ne fera pas de mal d'essayer, de toutes façons.

 

Autre info: Anne-Marie Lionnet m'a prévenue hier que l'émission à laquelle elle a participé, l'an dernier, repasse sur Direct 8 mercredi 28 octobre à 22h30.

 

 

 

Mon billet de ce jour sera consacré à la nécessité de s'accorder le droit de s'exprimer, de donner son avis, quand bien même il ne ferait pas plaisir à entendre, même si cela n'exclue pas le tact et la diplomatie.

 

Je vous ai raconté, dans mon billet du 20, mon accès de rogne, en constatant qu'au bout de tant d'années, rien n'a changé, et que trop souvent, le "malheureux" individu lambda, insuffisamment informé, se fait encore et toujours "plumer" (au mieux), par tout un circuit qui surfe sur la vague du mal-être, et/ou de la recherche spirituelle.

 

Malencontreux "hasard" ? J'ai reçu, le 16, jour de la diffusion du reportage sur le sujet "les sectes en veulent à notre santé", un courrier d'une association faisant appel à ma "générosité". Je m'étais déjà fait mon idée, auparavant, et n'avais pas la moindre intention de cautionner qui ou quoi que ce soit qui ne répond pas à mes critères. Mais ça avait contribué à "faire monter la "mayonnaise".

 

Mon but, il est très clair: faire partager mon expérience, aider les ANONYMES à comprendre ces "phénomènes" dits "paranormaux", qui n'ont rien que de très "normal", il suffit juste de regarder les choses d'un autre oeil, sans a priori, et en écoutant son coeur. Loin de moi l'idée de nier l'influence positive et l'utilité de "l'élite du spirituel" qui ne manque pas d'occasions de s'exprimer, pour le plus grand bien commun. Ces éminents personnages sont connus et reconnus, et n'ont pas besoin de mes finances ni de mon temps pour vendre leurs ouvrages ou remplir leurs salles de conférences, et c'est très bien.

 

Mais surtout, ce qui me remplit de joie, ce sont les dialogues qui s'instaurent, via les commentaires ou messages. Mon rêve, ce serait que de plus en plus de gens "simples", dont je fais partie, osent s'exprimer, parler de leurs expériences, échanger, ouvrir eux aussi, pourquoi pas, des blogs pour témoigner.

 

 

Je n'aime pas cirer les pompes, de qui que ce soit, (pourtant je n'ai pas mal au dos !). Et je ne veux pas être complice de ce qui ne me convient pas. Je voulais donc répondre à cette association pour expliquer mon refus, mais j'ai tergiversé. Je ne me sentais pas le droit de dire ce que je pensais. Qui étais-je pour donner mon opinion ? Et si je me trompais ? N'allais-je pas blesser ? Et puis, de toutes façons, qu'est-ce que cela changerait ? Qu'en avaient-ils à faire de mon avis, ces gens là ? Et de toutes façons, s'ils outrepassaient leurs droits, il y avait la "justice divine", non ?

Alors je me suis "défoulée" sur mon blog, et j'ai renoncé, décidant de ne rien répondre du tout. Je pensais avoir pris une sage décision.

 

Apparemment, j'étais seule à le croire, car il m'est arrivé un incident suffisamment désagréable et énervant, pour que j'en cherche le sens. Il m'a fallu plusieurs jours, mais j'ai enfin compris... et décidé de me DONNER LE DROIT DE DIRE CE QUE JE PENSE, que cela plaise ou non.

 

Ce même mardi 20, en fin d'après-midi (alors que j'avais décidé de "m'écraser", et de ne pas polémiquer sur le sujet), nous rentrions chez nous, avec mon compagnon, dans ma voiture. J'étais au volant. Je suis très respectueuse du code de la route, et très prudente (peut-être trop parfois). Alors que nous abordions la ville de notre domicile, un poids lourd qui me suivait depuis un bon moment, (et qui avait dû s'agacer de traverser le dernier village à 50 à l'heure, et d'être obligé de s'arrêter derrière moi quand j'ai laissé passer des piétons qui s'étaient engagés sur un passage protégé, alors qu'il faisait déjà sombre), ce poids lourd donc, a entrepris de me doubler dans un rond point, sur la 2è voie. J'ai très bien compris ce qu'il cherchait à faire, le surveillant du coin de l'oeil. Alors m'a carrément coupé la route pour tourner à droite (heureusement que je tournais là aussi !). Je me suis déportée sur le gravillon en freinant, sûre que si je ne le faisais pas, il n'aurait aucun scrupule à m'écrabouiller (ou m'écraser ?).

 

Commentaire de mon compagnon, outré aussi:

"Si tu le laisses faire !"

 

J'étais ulcérée, j'enrageais, et me suis collée derrière lui, pleins phares, pour relever le n° de plaque minéralogique, afin de le signaler à la police à mon arrivée (nous n'avions pas nos portables).

Mais la colère est montée d'un cran encore quand il a voulu faire la même chose à un autre véhicule au rond point suivant. L'autre conducteur ne l'a pas laissé faire et a accéléré.

Peu après, le camion a pris la bretelle opposée à la mienne, preuve une fois de plus que sa façon de mettre en danger ceux qui PARTAGENT LA ROUTE AVEC LUI, AVEC LES MEMES DROITS QUE LUI, ne lui a pas fait gagner beaucoup de temps.

 

Arrivée à la maison, j'ai sauté sur le téléphone pour signaler cela à la police, en donnant le N° du poids lourd.

 

Et alors ????

Eh bien rien ! Le policier, bien aimable, a confirmé qu'il y a de plus en plus de "fous" du volant, en particulier chez les "poids-lourds", ils le savent bien. Mais cela leur est difficile d'intervenir, sauf à prendre les contrevenants sur le fait, m'a-t-il dit, parce que tenus par leur "territoire d'intervention". J'ai raccroché, en pensant amèrement:

 

"Chacun pour soi, et Dieu pour tous", si je comprends bien le raisonnement, et le plus "couillon", c'est celui (ou celle plus exactement) qui respecte le code et son prochain, apparemment.

 

Tout cela était pourtant très clair, même si j'ai mis plusieurs jours à réaliser ce qu'on cherchait à me faire comprendre:

 

* Un poids-lourd (pour un groupe, ou personnages ayant plus de "poids", par oppositon au véhicule léger)

 

* Etrange similitude entre le nom du quartier où s'est produit l'incident et l'adresse de cette association

 

* Etrange similitude entre le n° du département de la plaque minéralogique et le n° de département de l'association

 

* La façon de doubler sans vergogne, qui correspondait à mon impression que trop de gens cherchent à se servir du spirituel, non pas pour aider les "petits" à avancer, mais au contraire pour les "doubler" ! Voir le sens populaire dans le Larousse: "trahir sa confiance" !

 

* Ma façon de me dire "à quoi bon ?". La justice "divine" y pourvoira ! A rapprocher de l'attitude fataliste du policier.

 

Alors je me le tiens pour dit:

 

S'EXPRIMER, C'EST UN DROIT, SI ON NE LE PREND PAS, PERSONNE NE NOUS LE DONNERA, ET ALORS, POURQUOI S'EN PLAINDRE ?

 

Bonne journée !

 

 

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 17:30

 

 

Hello !

Petit clin d’œil encourageant que j’ai eu hier soir. Je rédigeais un courrier à Anne-Marie, quand, au moment même où j’écrivais mes coordonnées (en haut à gauche), mon oreille a été attirée par une voix féminine (dans une pub, peut-être), qui disait exactement ceci:

 

« Je m’appelle Isabelle, j’ai 16 ans ».

 

C’était exactement l’âge qu’avait Isabelle quand elle est « partie ».

 

Dimanche matin (le 4), j’écoutais un peu distraitement une émission religieuse à la radio (Sud, aux alentours de 6h45).

Le sujet annoncé ce matin là ?

LES SECTES !

 

L’homme d’église, dont je n’ai pas entendu le nom, mais qui me semble être le présentateur habituel, a donné son opinion sur le sujet, qui rejoint en tous points les conclusions que j’avais écrites, à l’époque, dans mon livre, mais hélas toujours d‘actualité.

 

J‘ai pris des notes en sténo, il a dit à peu près ceci:

 

« Je pense que s’il y a autant de sectes, c’est qu’il y a de vrais besoins et de vraies attentes.

Dans ce monde impersonnel, il y a des gens qui peuvent être très seuls.

Ils vont dans des lieux où ils peuvent se retrouver avec les autres, où ils se sentent aimés, reconnus.

C’est le reflet d’une société en manque d’amour.

C’est que ces personnes, peut-être, vont chercher dans des sectes ce qu’elles ne trouvent pas dans nos institutions.

Ne nous y trompons pas, les sectes savent tout cela et savent profiter des faiblesses. »

 

Il a ensuite abordé le sujet de l’accueil, posant la question:

« Est-ce que j’accueille la personne pour elle-même, dans un souci de fraternité, de communion ?  Ou bien, sous prétexte d’un accueil chaleureux, est-ce que je ne vais pas profiter de la faiblesse de l’autre, de sa solitude, pour lui faire miroiter un environnement extrêmement fraternel, qui fera de cette personne, non plus une personne libre, mais inféodée. »

 

IMPORTANTE QUESTION, NON ?

 

Et il a terminé par ces mots, suivis de la chanson de Pierre Perret: « Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux »:

 

« Les sectes enferment dans une cage » !!!!

 

Mon opinion sur le sujet n’a pas varié d’un iota: la responsabilité de cette situation est générale. On n’écoute pas l’autre, on préfère, quand le sujet gêne ou dérange (et pis encore quand on n’y a rien compris), le faire passer (l’autre) pour tout un tas de choses, parfois même en lui ôtant sa dignité.

Car nier quelqu’un, nier ce qu’il vit, pense ou ressent c’est lui ôter sa dignité.

 

DE QUEL DROIT ?

 

Alors, après, on pleurniche ou on crie à l’imbécillité.

 

Et c’est-ce qu’il se passe face à la montée de ce besoin de spiritualité... en niant le vécu de tant de gens, sous prétexte que ce serait « paranormal », pas « cartésien », etc.

N.B.: comme déjà vu, quand on lit dans le Larousse la définition de « Cartésien », on trouve, entre autres:

 

« Esprit cartésien, méthodique et rationnel »

 

Et si on cherche ces 2 adjectifs, on constate que pour ce qui est de « rationnel », qu’il dit aussi ceci:

 

« Qui est déduit par le raisonnement et n’a rien d’empirique ».

 

Est-ce que cela confirme que nier la réalité, les faits, peut cadrer avec cette définition ????

 

Face à ce manque de respect, d’écoute, de tolérance, qui font assez penser à du mépris, comment s’étonner que tant d’êtres se tournent vers toutes ces mains tendues… et ouvertes (effectivement, c’est plus efficace pour recueillir les dons (dans le sens d’offrandes, pas de capacités.. Quoi que !!!). Parce que ces personnes vulnérables, en recherche, en souffrance, elles donnent souvent sans compter, pour un peu de bonheur (ce qui est bien sûr trop souvent encouragé). Le problème, c‘est que, tout à leur bonheur, elles ne font pas attention à ce qu‘elles donnent, ni où elle donnent.

 

Alors, les mains de ceux qui ont flairé le bon coup sont grandes ouvertes, il ne s’agirait pas que cela tombe à côté. Et on ratisse large, on fait feu de tout bois.

 

En recherchant des papiers, hier, je suis tombée sur le double d’un courrier que j’ai écrit, il y a 2 ans (jour pour jour avant l’accident causé par le véhicule ayant dupliqué mes plaques). J’avais été poussée (déjà, mais n’étais pas allée jusqu’au bout de ma réflexion), à dire ma façon de penser à une association, à la suite d’un incident dans lequel un camion a failli, en me doublant (!!!), m’écrabouiller (ainsi qu’à une autre automobiliste, d’ailleurs). Je vous le remettrai.

 

Il s’agissait d’une association qui prétendait aider ceux qui vivent des faits inexpliqués. J’ai refusé les sollicitations à renouveler l’adhésion, ayant constaté qu’en fait, c’était surtout prétexte à auto promotion de quelques uns, et les anonymes (les seuls récits qui m‘intéressaient), ils avaient tout au plus eu droit à 4 pages, sur une année.

 

Voilà, tu as raison, Jackette, je suis assez en colère. Je crains, hélas, que le phénomène ne s’arrête pas si facilement, même si les esprits s’ouvrent.

 

Combien encore, ulcérés de se sentir rejetés, tomberont dans ces panneaux, vrais miroirs aux alouettes, qui font entrevoir un avenir enchanteur pour les « élus » (ceux qui adhèrent, cela va de soi). Et afin de les garder bien prisonniers, on leur annonce des catastrophes, qu’ils éviteront, eux, bien sûr…

 

On n’a besoin de personne pour parler. L’adage ne dit-il pas qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même ?

Il suffit juste d’oser s’affirmer, dans sa différence.

 

Et si certains y voient le mal, c’est leur affaire.

Bonne soirée !

 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 21:04

 

 

 

Hello !

 

Puis quelques mois plus tard, une « amie » d‘assez longue date a commencé à me parler d’un « enseignement » qui lui avait été recommandé par une nouvelle connaissance, dont elle est très vite devenue « amie ».

Cet « enseignement » se faisait par K7. Elle m’a montré les titres, et j’ai reconnu le nom du site.

 

Le problème, c’est qu’on avait déjà eu un froid, toutes les 2, un an ou 2 auparavant. A la suite d’une conférence, je me suis rendu compte qu’un groupe, que je lui avais fait connaître, ainsi qu’à d’autres personnes d’ailleurs, me semblait dériver dans une direction que je n’approuvais pas, et je l‘en ai avisée, ainsi que toutes les personnes susceptibles de garder contact avec ces gens.

 

Elle m’en avait voulu et m‘avait tourné le dos, car très attachée à une de ces personnes (elles se donnaient du « petite soeur », alors qu’elle se connaissaient de quelques semaines à peine).

 

Elle a ouvert les yeux aussi, et m‘a envoyé une carte (que j‘ai toujours), plusieurs mois après, me demandant qu‘on se revoie, car elle se disait sans amis.

 

Alors, on comprendra que je n’avais pas envie de jouer les garde-chiourme, cette fois-ci.

De toute façon, la ficelle était tellement grosse, qu’elle le verrait bien, me semblait-il. Ce d’autant plus elle ne jurait que par la Sainte Vierge et Jésus.

Elle avait d’ailleurs été très admirative de mon tableau au pastel (effectué d’après une « vision » que j’avais eue juste à cette période, « hasard » ?), représentant Jésus tenant un gros cœur dans une main.

 

Je n’ai donc pas jugé utile de la prévenir.

 

Je lui ai dit de me prendre aussi des K7 quand elle en commanderait (elle prévoyait de le faire dans les semaines suivantes), nous nous les échangerions. On verrait toujours, en en discutant, après notre lecture.

 

Le temps passa, et quelques détails m’ont un peu étonnée. Ils semblaient devenir de plus en plus craintifs: peur d’agression (en voiture, notamment), risques de manipulation à grande échelle, etc.

 

J’ai réalisé trop tard que cela venait de documents qui leur étaient donnés ou vendus, je ne sais par leurs nouvelles relations, visant à détourner leur attention du présent, en leur annonçant des dangers (plus ou moins possibles), pour le futur

 

Ma camarade fréquenta (mais sans vraiment m’en parler) de plus en plus la personne qui lui avait fait connaître ce site et ses « messages » (une médium qui faisait du channeling).

 

Cette dernière a emballé littéralement ma camarade, car, via ces messages en channeling de son cher Papa décédé, (enfin, c’est-ce qu’elle prétendait, et ma copine n‘avait pas de doute sur le sujet), qu’elle lui faisait payer 50 €, à l’époque (oui, mais ça durait 1 heure, me répondait ma camarade quand je trouvais cela cher), plein de choses extraordinaires lui étaient annoncées. Sauf que cette personne travaillait sous couvert d’association (ce qui permet de ne pas payer de charges).

 

Voilà… Un jour ma camarade m’a appelée pour me dire qu’elle avait reçu les cassettes. Elles étaient tellement « géniales » qu’elle les gardait, y compris la mienne, et me les copierait. Je proposai d’aller les chercher, car je ne voulais pas lui faire faire de frais pour me les envoyer, sachant leur situation financière catastrophique. Je lui envoyai des cassettes vierges (les frais de port étaient plus élevés que les cassettes, mais au moins, elle n’avait pas d’avance de frais à faire). Nous prîmes rendez-vous, pour une paire de jours plus tard.

 

Dans la journée qui suivit, mon chat Biscotte s’est fait renverser par une voiture, après qu’un voisin haineux envers les chats lui ait fait peur. J’ai dû remettre mon déplacement à plus tard, devant m’en occuper beaucoup, car c‘était grave.

 

A la suite, j’ai attrapé une otite très très douloureuse, qui m’a rendue sourde comme un pot, malade comme un chien, et qui de ce fait m’a empêchée de me déplacer en voiture… Donc, d’aller chercher ces funestes cassettes..

 

Parallèlement, ma camarade m’appelait de temps en temps pour prendre des nouvelles. Chagrinée, je constatais qu’elle changeait: sa voix prenait un ton assez suffisant, de plus en plus exalté.

Par contre, son attitude envers la petite chose souffreteuse que j’étais à ce moment là, empêchée de ce fait de bénéficier de ce « génial  enseignement d’Amour et de Lumière » (peut-être étais-je trop « négative » pour le mériter ?), son attitude envers moi donc devenait de plus en plus condescendante, pour ne pas dire… méprisante.

 

Cela dit, les siens, de soucis, étaient quand même sans commune mesure avec les miens, mais elle ne semblait pas s’en préoccuper le moins du monde.

 

Quand enfin j’ai pu faire le trajet jusque chez elle (assez circonspecte, vu les changements constatés, avec beaucoup de doutes et d‘interrogations), les choses sont devenues très claires…

 

 

Leur situation, qu‘elle m’expliqua, pourtant assez dramatique, ne l‘inquiétait pas le moins du monde, elle riait, d’un rire qui résonnait étrangement dans ma tête. Le ton envers moi était clairement méprisant. D’ailleurs sa fille ne jugea même pas utile de venir me dire bonjour, et m‘ignora (pourtant ce couple était très à cheval sur la politesse, et habituellement, j’avais droit à de grandes marques d’affection).

 

J’étais encore présente quand la nouvelle « amie » l’appela. Avec consternation, j’entendis ma camarade lui demander un nouveau rendez-vous de « channeling », toujours au même tarif, (l’amie « géniale » accepta de ne déposer le chèque que le mois suivant, sympa, non ?).

 

Il faut dire que toutes les prédictions personnelles qui lui étaient faites auraient pu faire rêver… sauf quelqu’un de « négatif », j’y ai eu droit encore, avec un sourire narquois et condescendant en prime.

 

Il était annoncé à ma camarade (par la « voix » de son cher père défunt), qu’ils allaient partir dans un village (devenu tristement célèbre depuis, avec tous ces discours échevelés), et y gagner des sous comme les chiens des puces. Entre autres: les gens viendraient en bus la consulter, tellement elle opèrerait de guérisons… grâce à ces « enseignements », cela va de soi !

 

Alors, évidemment comment ne pas payer encore et encore pour entendre de telle prophéties ?

 

Sauf que le gouffre se creusait, hélas, et même en positivant, je les voyais « mal barrés », et n’ai pas mis les formes du tout pour tenter de leur expliquer qu’il y avait un souci, et un gros. Les messages et explications de mes chers inspirateurs célestes sur les formes de cette manipulation, ne me laissaient aucun doute là-dessus.

 

Inutile de dire que je fus très mal reçue, et mes chers « petits » Anges avec. Il était évident pour mes camarades » que j’étais le « diable ». Les hurlements que j’entendais dans le téléphone (il semble que ce soit un mode de communication) me vouaient aux gémonies pour avoir eu l’outrecuidance de les « JUGER et JUGER un authentique Maître », car, rajouta-t-elle outrée « pour ta gouverne, sache qu’il y en a ».

 

Au cas où je n’aurais pas compris, j’ai reçu quelques jours plus tard une longue lettre gratinée qui a fini de me mettre KO !

 

Chapeau « l’enseignement d’amour et de Lumière » ! Envolées les belles paroles soigneusement « mitonnées » dans les textes « géniaux ».

 

Si j’avais fait un signalement, à l’époque, peut-être me serais-je remise plus vite, de cette épreuve.

 

Voilà, je n’aurais jamais cru, même si j’avais eu quelques « échantillons » sur mon chemin, que l’on puisse perdre les pédales aussi vite et à ce point.

 

Alors, cela m’a rendue prudente, et je fais très attention aux textes de tiers que je mets sur mon blog, vous me comprendrez, je suppose.

Bonne soirée.

 

 

 

 

 

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 11:19

 

Hello !

 

On ne fait pas toujours ce qu’on veut. Je préfère, et de loin, écrire des billets humoristiques et/ou encourageants, mais les circonstances me poussent à reparler des dangers des manipulations mentales.

 

Je croyais qu’en écartant ce sujet qui me « gonfle », et en passant à autre chose, c’était la meilleure solution.

Oui, mais se taire, c’est tomber dans le piège.

 

Cependant, j’ai compris aussi, depuis 18 mois, qu’il faut faire attention où on va témoigner de son vécu, parce que certaines personnes mal intentionnés peuvent s’en servir (outre pour faire rentrer des sous dans leurs caisses, de caution pour faire croire à leur bonne foi et à leur honnêteté.

 

« C’est en faisant des erreurs qu’on apprend » disait la phrase, entendue je ne sias plus où, que mes chers inspirateurs célestes m’ont demandé de noter dernièrement (hasard ?)

 

Bien m’en a pris d’écouter mon ressenti et de refuser « l’invitation » d’aller refaire une conférence sur ce sujet.

 

Le 28 octobre, je vous ai raconté sur FA l’épisode de la souris prise au piège. Il y avait un détail que je sentais significatif, mais sans en saisir la raison, c’était non pas que ce soit l’ingénieur (mon compagnon), qui ait réussi à piéger la souris, mais c’était prénom, de mon compagnon, très très significatif de l’incident.

 

Or, c’est-ce même 28 octobre, que s’est produit l’accident occasionné par le véhicule qui a usurpé ma plaque minéralogique.

 

Avant-hier matin, sur Sud Radio (infos de 6h30 environ), sur le sujet des agissements d'un « frère » (d'une communauté), pédophile, il a été déploré que sa hiérarchie, informée, lui ait seulement conseillé de prier Dieu pour se débarrasser de ses « pulsions », et l‘ait envoyé ailleurs.

 

Le problème, comme il a été dit, c'est que  cela n'a pas suffi, et que le nombre de victimes innocentes s'est porté à plus de 50 !

 

« La justice de Dieu était plus simple que celle des hommes » a-t-il été dit textuellement par le présentateur.

 

Quand il s'agit de faits graves, il ne faut pas attendre, j'en prends bien conscience, et mes chers inspirateurs célestes de confirmer :

 

« Cela ne doit pas dispenser de faire son propre travail (ou devoir), car Dieu laisse à chacun son libre arbitre, il ne contraint personne et donc pas celui qui ne veut pas se remettre en question, et qui va pouvoir ainsi continuer. Le (ou la) seul qui peut faire avancer une situation, c'est celui (celle) qui témoigne de ce qu'il a vu, lu, dit, entendu, vécu. Personne ne peut le faire à sa place ! "

 

Et effectivement, le « prédateur » en question n’a pu cesser ses méfaits que parce que les victimes ont parlé.

 

En se taisant, on ROULE POUR LES MALHONNETES, non, puisqu’on les laisse continuer ??!!

 

Il y a dans toutes les professions des gens honnêtes, attentifs et clairs, et d’autres qui ne le sont pas, ou moins, ou qui peuvent se tromper de bonne foi (on peut tous se tromper, de bonne foi, « l‘enfer est pavé de bonnes intentions »).

Les scandales divers et variés qui touchent beaucoup de professions (y compris dans le milieu religieux, de gradés de la sécurité, santé, politique, etc.) le prouvent quasiment tous les jours.

 

IL CONVIENT DONC DE SE GARDER DE METTRE TOUT LE MONDE DANS LE MEME PANIER, sous prétexte qu’il y a des véreux, QUELLE QUE SOIT LA PROFESSION CONCERNEE.

 

Beaucoup trop de personnes en recherche de sens à leur vie, parce qu’elles se trouvent (ou se sentent) rejetées, incomprises, pas écoutées, jugées, raillées, méprisées même parfois, et donc qu’elles n’ont pas trouvé de l’aide ni des réponses à leurs souffrances ou interrogations, se tournent vers d’autres « courants ».

Parfois elles tombent bien, parfois c’est l’enfer.

 

 

TOUT COMME IL EST IMPORTANT, QUAND ON APPRECIE QUELQU’UN (à plus forte raison quand c‘est au pluriel), DANS UN GROUPE, DE BIEN FAIRE LA DIFFERENCE ENTRE LA PERSONNE (ou les) APPRECIEE ET LES AUTRES, donc de ne pas se laisser aveugler.

Et ce n’est pas si simple.

 

Et, j’en ai parlé récemment dans un billet, face à qui vous montre la lune, en vous demandant de l’aider matériellement, c’est souvent recommandé, (via, s’il faut, la culpabilisation), quand ce n’est pas exigé, et aussi en lui donnant votre temps (à plus forte raison s‘il semble penser que cela lui appartient), il est donc nécessaire et prudent, contrairement à ce que prétendent certains bien pensants, et quitte à passer pour un imbécile (heureux ?), de non seulement regarder la lune, mais aussi le doigt, en remontant jusqu’à la tête (pour essayer, comme déjà dit, de voir ce qu’il y a derrière), et même, ça ne mange pas de pain, le montreur de lune dans sa globalité, et, allez, ne nous arrêtons pas en si bon chemin, vérifier ce qui l‘entoure (même si c‘est le « Ciel » ! ).

 

Je voudrais rappeler ici que TOUT LE MONDE PEUT, A UN MOMENT OU UN AUTRE, SE FAIRE MANIPULER, UNE PERSONNE SUFFIT PARFOIS, OU DANS UN GROUPE, ET ON NE LE VOIT PAS TOUJOURS CLAIREMENT VENIR..

Ou alors, aveuglé par le gros « nœud cadeau » qui entoure la « paquet », on fait taire sa « petite voix ». Lourde erreur !

 

Et n’oublions pas non plus que nous-même pouvons (de bonne foi), non seulement nous manipuler nous-même, mais aussi manipuler les autres.

 

Et ceux qui sont persuadés qu’à eux cela ne leur arrivera pas (ou plus), sont, suivant mon expérience, ceux qui sont souvent le plus susceptibles de l’être (j‘ai déjà entendu quelqu’un m‘assurer qu‘à lui cela ne lui arriverait jamais, alors qu‘il y avait les pieds dedans).

 

D’abord parce que les « vitrines » de tous ces « mouvements » sont loin, très loin d’annoncer la couleur. On peut vite se laisser séduire, parce que ces personnages ont bien compris que pour faire avaler une couleuvre, il faut l’enrober copieusement de « miel ».

 

Un parent de mon compagnon s’est retrouvé à suivre une formation (de son entreprise, une grand boîte), et s’est retrouvé piégé par une secte. Heureusement, il s’en est rendu compte rapidement.

 

Ensuite, c’est parce qu’on y atterrit le plus souvent par le biais de connaissances ou de proches, de bonne foi, donc on y va le plus souvent en confiance.

 

Dès 2003, une amie pourtant équilibrée, avec un métier qui garde en règle générale les pieds sur terre (même s’il n’y a pas de garantie totale), m’avait imprimé des textes d’un site sur la spiritualité, qui lui avaient semblé très intéressants et « vrais ». Quand j’ai disposé d’Internet, je m’y suis rendue, et au début, j’ai trouvé aussi que les textes étaient beaux.

 

Mais assez vite, je suis tombée sur un texte qui m’a semblé totalement échevelé: il était expliqué (même si je schématise un peu) que Dieu était totalement dépassé par les événements de cette pauvre terre, et qu’un « Messie » allait devoir venir sauver la terre à sa place (donc lui prêter main forte).

 

Qui pouvait croire à des choses pareilles ?

Cela m’a semblé totalement loufoque, et j’ai arrêté d’aller sur ce site, oubliant presque le nom. Ce d’autant plus que j’ai réalisé, par recoupements, que chaque fois que je m’y rendais, il m’arrivait quelque chose de désagréable (je n’avais pas l’ADSL, donc je ne passais pas trop de temps en ligne, ce fut facile à déterminer).

 

Hélas, la suite m’a prouvé et me prouve encore plus depuis que j’ai fait les démarches nécessaires, que c’est possible. Le discours a été remanié (la couleuvre devait malgré tout avoir du mal à s’avaler). J’oubliais juste ce que m’ont pourtant dit mes chers inspirateurs célestes: ces mouvements sont toujours en mouvement, et les manipulateurs adaptent leurs discours au « terrain ».

 

S’informer auprès de professionnels et/ou d’associations spécialisées, (et en tapant dans le moteur de recherche, on en trouve, il ne reste plus qu’à s’adresser à qui nous semble le plus à l’écoute, sans crainte, comme j’ai eu trop longtemps, d’être pris pour un ou une illuminé).

 

Quelle importance, d’ailleurs, face à de tels dangers ?

 

Ce n‘est pas dénoncer, ce n‘est pas risquer de faire avoir des ennuis, (on n’est pas des gamins dans une cour d’école), C‘EST TOUT SIMPLEMENT UNE MESURE DE SAUVEGARDE.

 

Si on ne le fait pas, il ne sert à rien d’aller pleurnicher sur les résultats, et de gémir que les pouvoirs publics ne font rien, que les professions en charges de ces problèmes ne font pas leur travail.

 

C’est la leçon que je tire de ma mésaventure.

 

S’INDIGNER C’EST BIEN, AGIR, C’EST UN DEVOIR… SI ON EST REELLEMENT INDIGNE.

 

 

Dans le prochain billet je vous conterai le cas assez représentatif de « camarades ».

 

Bonne journée !

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 17:07

 

Hello !

 

Ce matin, je me suis réveillée tôt, pleine d’énergie, malgré un soupçon de grippe qui tente de me mettre le grappin dessus depuis quelques jours.

 

Après avoir écrit mon billet, dimanche, je l’ai envoyé à quelqu’un qui se reconnaîtra, pour info. La personne m’a dit penser que c’était exactement ce que devais faire et dire, et elle m’a écrit qu’au moment même où elle ouvrait mon mail, Joe chantait (à la radio, je suppose):

« Les Dalton »

Après, quand elle a branché la télé sur France2:

 

« L’invité du dimanche » était Olivier Marshall (ancien « flic »). Le sujet a été illustré par 2 chansons de Joe:

« Les Dalton » et « La bande à Bonnot » !!!!

 

Et une autre encore, qui se reconnaîtra, que j’avais consultée par rapport à ce problème, m’a écrit le même jour pour me signaler que chaque fois qu’elle pensait à moi et à ma question, elle entendait Joe.

 

Le soir de dimanche, je tournais et retournais la question de savoir comment aller cette fois-ci au bout de la démarche, et une chanson de Joe (encore !), peu connue, dont le titre est:

 

« Isabelle, prends mon chapeau » m’est venue à l’esprit.

 

J’avais copié les paroles à Anne-Marie, il y a quelques années, mais les ai égarées. Je les ai recherchées sur Internet. Une photo de Joe les illustrait, et j’ai retrouvé instantanément mon cœur de midinette. Qu’il était beau !!!

 

Comme les belles choses ne courent pas les rues par les temps qui courent (Hi ! Hi !), je partage: si vous voulez vous remplir les mirettes, tapez sur le moteur de recherche le titre et le nom de l’interprète, et vous trouverez.

 

Mais ce n’était pas la seule raison qui m’a fait entendre ce titre. Puisqu’on ME FAISAIT PORTER LE CHAPEAU,

 

***** Tiens, « coïncidence » ??? Juste comme je finissais de taper « chapeau », Stéphane Bern disait ces mots à la télé du salon ("Comment ça va bien", sur France2, 16 h 05 environ):

 

« Merci à tous, Isabelle… » et il a égrené les prénoms de ses assistants !

 

Puisqu’on me faisait porter le chapeau, donc, j’ai eu l’intuition de la démarche à faire: m’assurer que les 2 mails que j’avais envoyés à quelqu’un de bien précis, pour lui signaler le problème (relatif au « chapeau« ) lui étaient bien parvenus (puisque, est-ce un « hasard » ? Pitchoune n’avait pas reçu mes 2 mails non plus).

 

Je suis passée lui laisser un courrier, et avant de passer le porche, j’ai levé machinalement la tête. La plaque de la rue portait le nom suivant:

 

« xxxx du 8 mai 1945 »

J’ai su que je faisais la bonne démarche, puisque c’est le jour où l’occupant a signé la fin de la guerre de 39/45.

 

Et effectivement, alors que je circulais en voiture, la personne à qui j’ai laissé le courrier m’a rappelée fort gentiment. Non, mes mails ne lui étaient pas parvenus. Notre entretien a été très productif. Nous étions parfaitement sur la même longueur d’ondes. Quand nous avons raccroché, j’ai rallumé le moteur (je m’étais garée pour lui répondre), et la station nostalgique diffusait A L’INSTANT MEME CECI:

 

« Pour avoir comme lui autant d’amour dans le regard,

Il est libre Max » chanson interprétée par Hervé Cristiani.

 

Remarque: Max est un des noms de Résistant de Jean Moulin !!

 

Voilà, tout ceci m’a bien fait comprendre que si j’avais fait ce qu’il fallait, il y a 6 ou 7 ans, quand mes camarades sont tombés dans ce groupe (qui leur a fait perdre les pédales et leurs moyens), c’est-à-dire alerter un organisme ad hoc, au lieu de culpabiliser stupidement de ne pas avoir su les empêcher de tomber dans ce piège, et encore moins de réussir à les en sortir (après tout, ce n’était pas mon boulot), je n’aurais pas eu, j’en suis convaincue, à me « cogner » cette « cuisante » expérience d’il y a 18 mois.

 

Je ne comprenais pas pourquoi je n’arrivais pas à effacer tout cela de mon esprit, j‘ai enfin mis le doigt dessu:

 

PARCE QUE JE N’AVAIS PAS FAIT CE QU’IL FALLAIT: SIGNALER LE PROBLEME A QUI DE DROIT.

 

Certes, j’ai témoigné dans mon livre, mais en donnant très peu d’explications sur le sujet, donc ça ne servait pas réellement à grand chose.

 

Je vais réparer cela dans le prochain billet.

Bonne fin de journée !

 

 

 

 

 

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 17:55

 

Hello !

 

Quelques jours à peine avant de recevoir le courrier m’avisant du « fameux » accident qu’aurait causé mon véhicule, pourtant bien tranquille et peinard dans mon petit coin de paradis, et n’ayant pas plus que moi, probablement, envie d’aller traîner dans ce coin de France pas trop bien réputé, et alors que mon compagnon attirait mon attention sur un passage d’un livre sur le sujet de ses problèmes d’allergie, mon regard est tombé sur une citation de Gide, dans ce même ouvrage.

La voici:

 

« Dans un monde où tout le monde triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan. »

 

Inspirée par ces chers Anges, je l’ai notée. Je suppose qu’elle « annonçait la couleur ».

 

Ce d’autant plus que j’avais ressenti devoir en noter une autre, attribuée à Stendhal, trouvée par « hasard »:

 

« Le courage consiste à savoir choisir le moindre mal, si affreux soit-il. »

 

Heureusement, j’ai eu aussi plusieurs signes très encourageants: en même temps que ce courrier là, nous avons reçu notre titre de propriété pour notre maison (cela fait pourtant 10 mois que nous avons signé, et nous avions appelé plusieurs fois le notaire pour signaler ne pas l’avoir reçu).

Cerise sur le gâteau, le certificat de propriété était accompagné de 2 chèques de remboursements (un pour mon compagnon, un pour moi). On nous avait fait trop payer !!!!!!!

Symbolique tout cela, non ?

 

Autre signe très agréable, c’est que ce même jour, j’ai cherché dans mes placards (!) un cartable pour y loger le dossier de ma voiture, ainsi que les papiers nécessaires pour prouver ma bonne foi. J’en ai pris un (blanc), sur lequel est marqué: « L’esprit de conquête », qui m’a paru vide, et j’y ai retrouvé avec joie…

 

Le portrait de Joe que ces chers Anges m’avaient inspiré il y a 2 ans environ, qui était à mon intention (pour la première fois, les précédents avaient été pour offrir, notamment à ses enfants). Je l’avais mis là pour le protéger pendant le déménagement, et ne m’en souvenais plus.

 

Après appel à l’assurance en question et à la mienne, mon intuition me conseillant de porter plainte, j’ai entrepris de le faire, et ai appelé un numéro d’un corps de métier qui a pour vocation d’assurer ce « service » (et rétribué pour cela).

Je suis tombée sur quelqu’un… de mon village, pourtant tout petit, qui m’a dit où me rendre.

 

Oui, mais apparemment, je dérangeais, la personne qui m’a reçue a trouvé que je m’inquiétais pour rien, que ce n’était pas grave. Elle a appelé l’assurance qui m’avait adressé le courrier, qui n’a pu que confirmer ce que disait…

 

Le CONSTAT, non signé !

Ils ont même refusé d’aller inspecter ma voiture, pourtant sous leurs fenêtres, sous prétexte que j‘avais pu la repeindre ! Elle a plus de 9 ans et n’a jamais été accidentée

 

J’étais sidérée, mais suis repartie, assez contrariée, n‘ayant pas la moindre preuve que je contestais. J’ai rappelé mon premier interlocuteur, comme il me l’avait gentiment proposé, si je n’obtenais pas satisfaction. En son absence, un de ses collègues, vraiment très à l’écoute, a trouvé totalement justifié, lui aussi, que je m’inquiète et veuille tirer tout cela au clair, et m’a vivement conseillé de porter plainte. !

Il m’a envoyée dans un autre bureau, à quelques kilomètres encore de là, pour y déposer ma plainte.

 

Et vous savez quoi ?

Rebelote, la personne qui m’a reçue a refusé de prendre ma plainte, et m’a invitée à ne pas me faire du souci pour ça, que ça arrive très fréquemment, etc.

 

Est-ce une raison pour ne rien faire et laisser faire ?

 

Elle a appelé…

L’assurance en question, comme sa collègue peu avant, qui lui a dit la même chose. Et moi, je suis repartie une main devant, une main derrière, après m’être entendu dire vous savez quoi ???

 

«Vous ne devez pas avoir de soucis pour vous mettre dans un tel état pour ça ! »

 

Si j’ai été rassurée quelques minutes, il n’en a pas été de même de ma « petite voix » qui me répétait en boucle de porter plainte.

 

Heureusement, j’ai des proches qui travaillent dans le domaine de la sécurité, dont un, qui connaît bien le coin de l’accident, car ses activités professionnelles le conduisent à y intervenir, et il m’a confirmé que si effectivement ce problème est très fréquent, il est pourtant important de porter plainte, afin de se prémunir, mais aussi d’empêcher que les usurpateurs de plaques ne commettent peut-être quelque chose d’encore plus grave.

 

Le lendemain matin, nous nous sommes rendus dans une autre ville du département pour obtenir que ma plainte soit enregistrée.

 

Le bâtiment comprenait sur sa gauche le bureau dans lequel j’ai été reçue, et sur sa droite…

 

Le musée de LA RESISTANCE et…

Un mémorial portant cette inscription:

 

EN SOUVENIR DES CONFLITS (avec en-dessous les dates des guerres) !!!

 

J’étais bouche bée !

 

Le fonctionnaire d’état a, lui, fait son travail, et enregistré ma plainte, même si ce n‘était pas son rôle, puisque ceux qui sont payés pour cela ne l‘ont pas fait. Il a déploré cette situation où le travail ne se fait pas, et il a noté scrupuleusement tout ce qui m’avait été dit pour me dissuader de déposer plainte.

 

Il était content que mon témoignage puisse ainsi permettre de mettre le doigt sur tous ces dysfonctionnements et les faire cesser.

J’en étais ravie aussi, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, et ceci même quand je l’ai entendu me dire:

« Vous allez faire grincer des dents », phrase qui m’a semblé très significative.

 

Je lui ai répondu que cela m’était parfaitement égal, au contraire, je les attends, les dents, qu’elles rayent le parquet ou pas, puisque je ne fais que dire la Vérité, et que je trouve inadmissible que ce soient les gens honnêtes qui soient obligés de se justifier face au mensonge, et non le contraire.

 

Voilà, la suite bientôt !

Bonne soirée !

 

 

 

 

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 20:02

Hello !

 

Avant de revenir sur mon billet précédent dans un prochain billet, je voudrais aborder le sujet de 2012, que je pensais traiter il y a quelque temps, mais avais un peu « enterré ».

Quelqu'un du site Femme Actuelle m'a confié tout dernièrement, en MP, avoir extrêmement peur de tout ce qui est annoncé pour cette date.

 

Une de mes copines de longue date m'avait envoyé il y a quelque temps la photocopie d'un article du journal « Midi-Libre » du 17/10/11, qui l'a beaucoup rassurée, m'a-t-elle dit. Là encore, elle m'a avoué avoir été très angoissée par tout ce qu'elle avait pu lire ou entendre sur le sujet.

 

Je ne crois pas le moins du monde à toutes ces prévisions « catastrophistes », qu'il me semble particulièrement irresponsable de diffuser, surtout quand on se prétend d'un haut niveau spirituel,

 

***** Tiens, « hasard » ? Juste comme j'écrivais la phrase ci-dessus, Rachida Darty, au micro de BFM TV a répété ceci à 2 reprises :

 

« Il faut arrêter de se faire peur »

 

Bon, revenons à ces gens qui sèment la panique. La peur est un vecteur de manipulation, et elle est une des armes de prédilection dans la panoplie des gourous, afin de fédérer, bien évidemment. Pour pouvoir être prévenu de la date du danger et pouvoir aller vous mettre à l'abri, vous êtes amené à vous rapprocher du gourou, pour finir par ne plus le quitter d'une semelle.

 

Comme je le disais à la personne qui m'a écrit, j'ai un souvenir d'enfance où, justement, dans le dortoir, nous étions très angoissées, avec les copines, parce que nous étions le jour prévu de la fin du monde. Depuis, cela a été annoncé des dizaines de fois (et il y avait eu des tas d'annonces antérieures).

 

Plusieurs livres sérieux sont parus, dont les auteurs ont fait d'importantes recherches qui démontent toutes ces prédictions.

 

L'ouvrage cité par le journal est celui de Laure Gratias, je relève un passage significatif :

 

« Nulle part la date de 2012 n'apparaît dans ces textes anciens. Même constat du côté des textes anciens de chacune des religions. Si l'apocalypse est évoquée, elle n'est jamais datée. »

 

Titre du livre : La grande peur de 2012 – Ce que disent vraiment les prophéties » (Editions Albin Michel).

 

Encore faut-il savoir de quoi on parle, quand on dit « Apocalypse ». Le Larousse explique ceci :

 

« dernier livre du Nouveau Testament. Ouvrage de Saint Jean l'Evangéliste (…) Il se compose de sept visions qui symbolisent le triomphe final de l'Eglise, après le règne de l'Antéchrist ».

 

Je voudrais quand même rappeler que nous n'aurions jamais dû passer l'an 2000 !

 

Gardons donc espoir et confiance, nous allons tout au contraire vers une meilleure façon de vivre, plus en conscience, plus respectueuse, notamment grâce aux nouvelles découvertes scientifiques qui prouveront l'existence de « l'au-delà » et d'une « Energie Créatrice », quel que soit le nom qu'on lui donnera.

 

Ce n'est que mon opinion, évidemment.

 

Quand on cherche à s'informer un peu, on peut déjà constater que la science progresse énormément du côté de ces découvertes là.

 

Autre bonne nouvelle : Anne-Marie m'a dit aujourd'hui que son prochain livre va bientôt sortir (voir le site d'Isabelle Lionnet). Elle est encore fatiguée. Espérons qu'elle se remette vite.

 

Bonne soirée 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 15:42

Hello !

 

J'ai écrit ce billet sur FA, mais je n'ai pu faire un "copié/collé" ici (pas le même logiciel, apparemment).Je n'ai pas le temps de le réécrire, veuillez vous y reporter.

Bonne fin de week-end

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