On a une nichée de lapereaux au fond du jardin. Mon compagnon a réussi à en prendre un en photo. Il est au centre de l'image, au pied de la haie, entre les 2 touffes d'herbes. C'est tout mignon !
Hello !
Même si la période est agitée, je prends un petit moment pour vous transmettre un des derniers "conseils" de ces chers Anges, afin de retrouver l'être véritable en soi, et par là même, toutes ses capacités.
Avant de méditer, il m'a été conseillé de dire ceci:
"J'accepte d'être et de devenir tout ce que Dieu* me permet d'être et de devenir.
J'accepte tous les dons, toutes les capacités, toutes les possibilités, tous les pouvoirs que Dieu m'a accordés, et je les utilise avec Amour, sagesse et discernement.
J'accepte de ressentir, et je ressens tout ce que Dieu m'accorde de ressentir.
J'accepte de comprendre, et je comprends, tout ce que Dieu m'accorde de comprendre.
J'accepte d'entendre et j'entends tout ce que Dieu m'accorde d'entendre.
J'accepte de voir et je vois tout ce que Dieu m'accorde de voir."
* ou le nom qu'on veut bien lui donner.
Lors de chacune de ces affirmations, visualiser ce que l'on dit.
Je repars emballer et astiquer !
Bonne fin de journée !
Hello !
Je profite d'un petit moment pour vous reparler des signes et de leur valeur de conseil, de prévision, qui, en prenant le temps de les analyser et d'en chercher le sens, peuvent permettre de savoir que faire, dans des situations d'interrogations.
J'ai parlé du nombre impressionnant de signes me prévenant (enfin, tentant de me prévenir) qu'il y avait problème dans l'assocaition qui, au final, m'a valu tant de souffrances.
Le tout premier signe, ce fut dès la première fois où je suis allée là bas assister à une conférence de quelqu'un pour qui j'avais beaucoup d'admiration. Tout à ma joie de rencontrer cette personne, et bien qu'ayant ressenti beaucoup d'angoisse avant de m'y rendre, je n'ai pas eu l'impression qu'il y avait souci.
Comme quoi, un seul être lumineux peut accaparer l'attention et empêcher de voir clairement ce qu'il y a autour.
Le tout premier signe donc fut que quelques heures après mon retour, ma montre s'est arrêtée, puis s'est remise en marche... à la bonne heure !
Je n'y ai pas prêté attention, pensant à un "coucou", un "clin d'oeil" de mes chers inspirateurs célestes, suite à cette rencontre. A l'époque, je ne savais pas faire la différence avec un signe qui probablement demandait d'arrêter, ou de passer à autre chose.
Pourtant quand même, malgré l'insistance de la personne de cette association avec qui j'avais été en contact, j'avais refusé catégoriquement de témoigner de mon vécu. Cela me faisait trop peur.
Cependant, lorsque plusieurs épreuves m'ont amenée à comprendre que je devais faire taire mes peurs et écrire un livre pour témoigner de ce que je vivais, j'ai fait l'amalgame et pensé que je devais saisir toute occasion de parler (oui, j'ai une fâcheuse tendance au tout ou rien).
Et quand j'ai été à nouveau contactée par cette association, à la fois pour me demander d'assister aux conférences, et pour témoigner, j'ai accepté les 2.
Aussi sec, j'ai commencé à préparer ma conférence, pour la soumettre à la dame, qui voulait savoir ce que j'allais dire (?!), quand un bruit a attiré mon attention. Il venait de la véranda:
Un chat noir y était entré !
Je n'ai pas cherché à analyser le fait que cela se produise au moment où je préparais cette conférence, et n'y ai donc pas vu de signe négatif, car je me refuse à avoir quelque mauvaise pensée que ce soit par rapport aux chats noirs, à juste titre, d'ailleurs.
Le problème, c'est qu'au fil du temps, ce chat en question s'est avéré être particulièrement méchant. Il venait d'un quartier voisin, et battait tous les chats qu'il trouvait sur son chemin, rentrant même dans les jardins et habitations pour en découdre.
Mais le pire, c'est qu'il a provoqué la mort d'un jeune chat magnifique qu'avait eu notre chat Mémère, quand elle vivait chez nos voisins. Il l'a poursuivi jusque sur le toit de leur maison, l'a acculé, et la pauvre petite bête est tombée du toit et s'est cassé les reins. Elle est morte quelques jours plus tard. Cela s'est passé en l'absence de nos voisins, ils nous l'ont raconté par la suite. J'avais bien entendu un chat miauler plaintivement, dans leur jardin, le jour en question, mais n'ai pas réussi à voir d'où ça provenait.
Revenons à ma première conférence. J'étais très angoissée de cette prise de parole, sentant intuitivement qu'il fallait faire très attention à ce qu'on disait dans cette association, et j'avais très peur que mes paroles soient mal interprétées ou causent de la peine.
Quinze jours avant, j'ai commencé à souffrir de mes gencives, de plus en plus fortement. La nuit qui a précédé ma conférence, ce fut très douloureux, je n'ai pratiquement pas dormi. J'étais bourrée de cachets. La douleur a cessé comme par magie le matin avontmon départ, quand l'amie chez qui nous dormions m'a demandé:
"Je ne comprends pas pourquoi une telle culpabilité en toi".
Cette phrase a suffi à me "guérir", mais en même temps, elle me donnait une indication, je n'ai pas su le voir, à l'époque. Je n'avais pas pris la peine de demander à mes "petits" Anges s'il fallait que je fasse cette conférence ou pas.
Si je l'avais fait, tout aurait été différent.
Je me le tiens pour dit
"Il ne s'agit pas de faire beaucoup mais de faire bien", et écrire un livre et tenir un blog, c'est déjà pas mal.
J'essaierai de trouver le temps de vous parler de tous les autres signes de mise en garde, et il y en a !
Bonne fin de journée !
Hello !
Croquette médite
Hello !
J'espère que le moral est bon, malgré le froid et la neige.
Ici, ce matin, tout est blanc de givre, et les petits oiseaux en sont à leur 2ème service, tant ils ont besoin de se réchauffer. Biscotte les observe, derrière la vitre, et en a les dents qui s'entrechoquent !
Quelques petits signes, pour commencer :
Samedi 23, mon petit réveil bleu s'est réveillé !!! Il a émis quelques petits « bip » vers 18h30, environ, alors qu'il est réglé sur 5h50, et qu'il ne sonnait plus depuis le 10 octobre (il avait sonné sur une période de 4 semaines, de temps en temps).
Il n'a pas sonné à nouveau depuis...
Et moi je n'ai pas pris le temps de chercher le sens du signe !
Dimanche matin (le 24, Saint Modeste !), comme il y avait un voile de neige et qu'il faisait froid, je suis allée faire un tour à notre future nouvelle maison, car j'y ai mis quelques plantes, et je voulais les protéger (la maison est distante de 5 ou 6 km de celle que nous louons actuellement).
J'en repartais juste, écoutant distraitement « CHERIE FM », quand la chanson d'Amel Bent a commencé :
« Je n'ai qu'un philosophie,
Être acceptée comme je suis... »
N'ayant pas trop envie d'écouter cette chanson là, j'ai zappé sur Nostalgie, pour entendre, aussitôt :
« A toi
A la petite fille que tu étais
A celle que tu es encore souvent
A ton passé, à tes secrets... »
A rapprocher des points sur lesquels ces chers Anges m'aident à travailler ???
« Sortir de l'idée du sacrifice !
Arrêter donc de ce fait, de se taire, de taire ses ressentis et/ou souffrances, de les sacrifier sur l'autel de ceux des autres, de se cacher dans son petit trou, de se nier donc soi-même par peur du rejet ou de ne pas être aimé et/ou parce qu'on ne s'est pas senti le droit d'être soi-même, voire même d'exister, suivant les circonstances du début de sa vie, et qu'on l'a perpétué en mode de vie, en mode d'expression.»
????
Et pour terminer ce billet, sans sortir tout à fait de l'idée du sacrifice, je voudrais aborder un sujet, celui des épreuves.
Très souvent (« trop »disent ces chers Anges), face à des épreuves trop lourdes, trop importantes, on peut être amené à penser qu'on a dû faire des choses graves, dans une vie antérieure.
Et d'ailleurs, on l'entend souvent dire, cela semble être une idée courante.
Ce n'est pas tout à fait l'avis de mes chers inspirateurs célestes, qui m'ont expliqué que « les choses sont bien moins simples, pour ne pas dire simplistes, que cela. »
Ils déplorent que ce genre de discours puisse amener les personnes vivant des épreuves lourdes, à, en plus, se croire coupable, se sentir honteuses, voire ressentir un sentiment de colère et d'injustice qui n'ont pas forcément lieu d'être.
Ils déplorent que ces idées reçues là puissent conduire à mépriser les souffrances d'autrui.
Ils ont ainsi évoqué ce qu'a vécu et souffert Jésus Christ :
« Qui peut raisonnablement penser que Jésus aurait « payé » ainsi des souffrances faites à d'autres, dans une vie antérieure ?
Jésus a choisi ce destin là, pour démontrer ce qu'il voulait démontrer, (nous en avons déjà parlé il y a quelque temps).
Les épreuves difficiles sont choisies par des âmes fortes, souvent même de « vieilles âmes », ce n'est donc pas automatiquement pour « payer » des « forfaits », cela peut être par Amour, pour permettre une compréhension."
Et à l'appui de ces explications, mes chers inspirateurs célestes rapportent le mystère de la relation « victime/bourreau » à celui, éternel, del’œuf et de la poule.
Qui a été créé en premier, l’œuf ou la poule ???
A l'origine, s'il y a eu une première victime, il y a donc eu automatiquement un premier bourreau. Si ce bourreau là était le premier, la première victime n'avait donc pas d'antécédent de bourreau.
Alors ????
A méditer ?
Bonne journée !
Photo d'une de mes eouvres (miniature)
Hello !
Il arrive qu'on soit amené à vivre un incident, un fait désagréable, perturbant, voire difficile, qui nous surprend, nous bouleverse, qu'on ne comprend pas sur le moment, un peu comme un orage dans un ciel clair.
Sauf que quand ce fait se produit, c'est parce qu'on a à coup sûr eu des signes et des avertissements, qu'on n'a pas su voir, ou pas voulu voir, donc dont on n'a pas tenu compte. Ces signes et avertissements vont crescendo, jusqu'à l'éclatement : d'abord ils pointent le problème, puis ils deviennent de plus en plus déplaisants, parallèlement à la croissance du problème, si on ne l'identifie pas.
Si, par exemple, on fait confiance en toute bonne foi, ou parce qu'on se refuse à voir, (quelle qu'en soit la raison, y compris parce que cela fait écho à un vécu difficile sur lequel on a mis le mouchoir), si on fait donc confiance à quelqu'un qui abuse de notre générosité, de notre bonne volonté, voire qui nous manipule à notre insu, et à plus forte raison si on fait preuve d'aveuglement, voire pire, de complaisance, ON VA ATTIRER DANS SA VIE LE MEME GENRE DE SITUATION, avec des similitudes frappantes (enfin, qui devraient l'être, si on voulait bien arrêter de penser uniquement « coïncidence », « hasard »), qui, si on les analyse, peuvent permettre de remonter à la source ; et plus c'est important et désagréable, plus le problème est grave et ancien.
Le problème d'origine, non ou mal identifié, a ouvert une brèche, comme dans un bateau, et si on n'y remédie pas, cette brèche va s'élargir, et provoquer le naufrage, quand on ne prend pas la peine de chercher l'origine de cette brèche, et qu'on se contente d'écoper au fur et à mesure.
Viendra un moment où la faille sera trop importante pour être contrôlée ou réparée, et écoper ne servira plus à rien, il faudra quitter le navire ou couler avec lui.
Mais quand ce problème d'origine est identifié, il convient de chercher, dans son histoire personnelle et familiale, ce qui a ouvert la porte à ce problème là, et là encore, après avoir « décortiqué » la situation, en cherchant les similitudes, les associations (!!) d'idées, bref en faisant bien attention à tout ce que l'examen de la situation nous suggère.
Ensuite, il conviendra de guérir les blessures oubliées, mal soignées, voire non identifiées en cause, afin de ne plus attirer ces événements négatifs dans sa vie, puisque tel est leur sens : servir de « radar », de révélateur, indépendamment de ceux qui les déclenchent.
Il est important de bien comprendre que, si on se laisse voler son temps, sa richesse (intérieure ou pas), sa créativité, on se manque de respect à soi-même, et de ce fait, on va attirer à soi, par la faille créée, d'autres situations du même acabit, et de plus en plus...
La voie d'eau ira en s'élargissant.
Et je dois dire que depuis que j'ai identifié l'origine de mes déboires, et surtout l'ai éradiquée, je ne suis plus jamais tombée sur ce genre de personnages ou abus, quels que soient les groupes ou associations que les circonstances de ma vie m'ont amenée à côtoyer, bien au contraire.
Je n'ai plus non plus été amenée à vivre de situation aussi déplaisante.
Cela dit, je veille à rester dans une sage réserve, car le fait de garder ses distances en toute situation, permet de mieux l'appréhender dans sa totalité, et de moins risquer de se laisser aveugler par des attachements qui peuvent empêcher de discerner le vrai du faux.
C'est un peu dommage, c'est peut-être un tort, mais tant pis.
J'apprends à bien faire la différence entre TOLERANCE et...
COMPLAISANCE , et Dieu sait que j'avais été prévenue par ces chers Anges !
A bientôt pour les nombreux autres signes.
Bonne soirée !
Photo personnelle de mon chat Biscotte
Hello !
Les signes. Signes de nos chers disparus, signes de nos Anges Gardiens, difficile de savoir exactement. Peu importe, ils sont là pour nous aider et aussi pour nous guider, m'ont expliqué mes « petits » Anges.
Cependant, il ne faut pas confondre les « coucou », et autres « clins d’œil » destinés à prouver leur présence à nos côtés, leur survivance, voire leur guidance, avec les signes du destin qui sont le reflet de notre situation, de notre comportement, de notre bagage émotionnel, de ce qui nous perturbe, la réponse à nos questionnements... ou à ceux qu'on aurait intérêt à avoir, avec aussi une indication sur la suite des événements.
Il m'a été précisé, mon expérience me l'a confirmé, et pas seulement depuis bientôt 11 ans maintenant que je reçois leurs messages, (car j'ai toujours ressenti qu'il m'en était donné, dès l'enfance, même si je n'en voyais qu'une partie, et même si, auparavant, je n'en avais pas compris la finalité), il m'a donc été précisé que tous ces signes et « clins d’œil » ne survenaient pas par « hasard » (sauf à croire au « hasard », et c'est le droit de chacun, y compris de ne pas vouloir y voir quoi que ce soit, quel qu'en soit le motif), mais pour donner des indications.
Il n'est qu'à constater qu'ils n'arrivent pas toujours quand on le demande, rarement comme on le demande, et le plus souvent quand on ne s'y attend pas.
Le choix du signe est donc symbolique. Ces chers Anges m'ont enseigné, dès 2002, à les décrypter.
Remarque, souvent faite, mais qu'il est bon de répéter : un même signe a souvent plusieurs sens, différant parfois d'une fois à l'autre, mais aussi d'une personne à l'autre.
Évidemment, on a le droit de penser le contraire, et de ce fait là de s'imaginer que nos Anges Gardiens familiaux (proches « disparus ») et/ou Guides, décideraient d'un coup, (lubie ?) :
« Tiens, aujourd'hui j'ai envie de faire un petit coucou. »
On a le droit de le croire, bien évidemment, mais cela me semble mal connaître leur attention à notre égard et leur désir omniprésent de nous aider, de nous guider, y compris en tentant de nous alerter sur un souci... Quand le besoin s'en fait sentir donc, c'est-à-dire au moment même auquel l'action se situe :
pensée, projet, souci, questionnement, personne sur qui on attire notre attention, etc.
C'est ainsi que j'ai pu constater que très souvent, un bruit bizarre, inattendu, la chute sans raison d'un petit objet parfois précis, (sans conséquence bien évidemment), quelque chose d'inattendu, etc., peuvent intervenir pour attirer notre attention sur ce à quoi on pensait à l'instant même, et de ce fait donner une indication, par des symboles, des similitudes, un peu, j'en ai souvent parlé, comme autrefois le jeu « pyramide », dans lequel Marie-Ange Nardy excellait.
Il me semble particulièrement important de préciser que, pour nous donner un signe, surtout si c'est un « clin d’œil » d'encouragement lors d'une période difficile, ILS NE FERONT JAMAIS DU TORT A PERSONNE, ET SURTOUT PAS A DES GENS QUI NE SONT POUR RIEN DANS NOS SOUCIS.
NE PAS CONFONDRE SIGNE DE PRESENCE ET RELATION DE CAUSE A EFFET, qui découle donc d'une action, QUI TENTE DE DONNER UNE INDICATION, mais aussi DE REVELER UN PROBLEME.
Cela me ramène à une certaine conférence, qui m'a interpellée, mais que j'ai mise de côté, sous le prétexte que « ce n'était pas mes oignons » .
Une personne racontait les signes reçus d'un proche disparu. La narration de l'un d'eux m'a laissé un sentiment de malaise, qui m'est toujours resté, et qui aurait dû me faire toucher du doigt la non prise en compte de dégâts faits à autrui, tout à cette recherche et ce témoignage de signes. Je me suis arrêtée, à ce moment là, au fait que si ça amenait un apaisement, c'était déjà ça.
La personne faisait état d'une journée où, au long de son chemin, plusieurs objets sont tombés bizarrement. Cela allait d'ailleurs crescendo, jusqu'à ce qu'une pile d'objets dans un COMMERCE, s'effondre, sans raison apparente, près d'elle. Vu l'importance et l'étrangeté des faits, la personne qui témoignait les a mis sur le compte d'un « clin d’œil » de son être cher de l'au-delà.
Au moment de poser les questions, après ce témoignage, j'ai demandé à la personne qui racontait si elle ne pensait pas, vu que tant de choses tombaient à ses pieds, pratiquement, que cela pouvait vouloir lui dire que quelque chose ne tenait pas debout, se « cassait la figure », n'allait pas. Elle a semblé étonnée et m'a dit ne pas y avoir songé.
Mon intuition me confirmait pourtant que ce n'était pas un « clin d'oeil » mais un signe cherchant à prévenir d'un problème, mais je ne me sentais pas assez en confiance avec tous ces gens pour en dire plus.
Nos « défunts » et nos Anges Gardiens ne nous feront jamais de tels « clins d’œil », ils sont trop respectueux de tous pour, simplement pour notre convenance personnelle, aller provoquer des dégâts susceptibles de causer du tort à des tiers innocents.
Penser le contraire, n'est-ce pas considérer que nos peines seraient les seules importantes aux yeux de nos chers Anges, et tant pis pour les « dommages collatéraux » ?
Eux respectent chacun ici bas, d'autant plus qu'ils sont mieux placés que quiconque pour savoir que chacun a ses peines et ses épreuves, et n'a pas à payer injustement, et ils savent à quoi s'en tenir sur tous et tout.
On pourrait se dire que ce n'est pas grave, comparé aux souffrances d'un décès, mais qu'en sait-on exactement ? Qui peut savoir les conséquences de dégâts faits aux autres ?
Etre dans l'Amour et la Lumière, est-ce que cela ne doit pas commencer par être attentif aux autres (et pas qu'à ceux qui ont des douleurs similaires, à notre sens, ou qui servent nos buts), et à plus forte raison ne pas mépriser les peines des autres, y compris de ceux qui les cachent ????
Il s'agissait simplement d'une « synchronicité », m'ont expliqué mes chers Anges, d'une « relation de cause à effet » destinée à alerter sur le fait que cette recherche liée aux signes (réels ou supposés) de « défunts », pour parfaitement louable et respectable qu'elle soit, et quelque réconfort qu'elle puisse donner, pouvait AUSSI, sans analyse de tous les paramètres, ni discernement, dans l'attente de quantité et non de qualité, donc au stade à finalité COMMERCIALE, faire des dégâts chez des innocents, sabotant leur travail légitime.
Dégâts dont il semblait y avoir non conscience, tout à un désir (compréhensible) d'apaisement mais aussi de convaincre afin d'apporter du soulagement aux peines semblables.
Mais bon, si on se place du côté des personnes concernées par ces dégâts, et c'est quand même la moindre des choses, quoi que certains puissent en penser, même aveuglés par leur souffrance, car pour avoir fait un stage dans une grande surface, en 1981 (pourtant période plus « cool » que l'actuelle sur le plan de l'emploi), juste avant de me tourner vers le métier d'ambulancière, je peux témoigner que le métier est loin d'être facile, et qu'on a à répondre de la façon de mettre en rayon.
Alors, cela laisse quand même un sentiment d'injustice, si on le voit sous l'angle d'un signe d'un défunt qui serait dans l'Amour et la Lumière, et à qui cela ne poserait pas de problème de causer des problèmes à des innocents, pour donner satisfaction à un proche aimé.
Je ne pense pas que ce soit compatible.
Enfin, ce n'est que mon avis et mon ressenti, fruits de mon expérience mais aussi de l'intérêt et de la compassion dus à chacun.
A chacun de voir...
Face à la perte, je l'ai vécu avec le « départ » de mon père, puis de mon amie « medium », et enfin de mon frère, surtout aussi parce que ce furent des départs rapides, on a envie de rattraper ce que le temps ne nous a pas permis de faire, et de ce fait, on fait notre possible pour qu'ils soient fiers de nous, avec l'envie de « travailler » pour eux. C'est humain et normal, et peut-être justifié.
Encore faut-il garder à l'esprit que :
« Il ne s'agit pas de faire beaucoup, mais de faire bien ».
Bonne fin de journée !
2 de mes "poulettes"
Hello !
Dès le début de la réception des messages, en 2002, mes chers inspirateurs célestes m'ont parlé du rôle des animaux dans notre vie, disant qu'ils sont pour nous :
« Comme de petits anges, venus sur terre pour nous aider, grâce aux signes qu'ils nous donnent ».
Ils m'ont expliqué les symbolismes et « coïncidences » permettant de comprendre.
Et ces signes sont divers, j'en ai beaucoup parlé par rapport à mon chat Biscotte, surtout, qui nous en a donné énormément, de plusieurs façons, je n'en finis pas de décrypter tout ce qu'elle tentait de me faire comprendre , des années plus tard .
Il s'agit non seulement de nos animaux, mais également de ceux avec qui nous sommes en contact, par les circonstances (ceux des voisins, par exemple).
J'essaierai de trouver le temps de vous donner des exemples qui tentaient de me prévenir des dangers encourus (avec l'aide d'animaux, mais pas seulement), jusqu'en juin 2010, et il y en a eu ! Quand je remonte dans mes agendas et que je répertorie tout, je ne peux pas dire que je n'ai pas été prévenue. Il suffisait juste de prendre le temps de faire des recoupements.
Le problème, c'est que comme ces situations faisaient écho à un vécu familial particulièrement difficile à vivre pour moi, j'avais mis inconsciemment un voile, pensant illusoirement m'éviter de revivre de telles souffrances.
J'ignorais bien évidemment que tout ce sur quoi on met le mouchoir (le déni), finira par exploser avec pertes et fracas.
Mais il y a eu peut-être un signe lié aux soucis de santé de mon frère.
Un de leurs chats s'était allongé sur les jambes de mon frère, peu avant son « départ », qui étaient gonflées et douloureuses. De ce fait, mon frère l'a chassé sans trop de ménagements. Le chat lui a alors mordu la jambe.
La petite bête ressentait-elle le danger et cherchait-elle à attirer l'attention sur le caillot qui allait provoquer l'embolie pulmonaire fatale ?
« L'embolie pulmonaire est la complication majeure de la phlébite. On la redoute chaque fois que se forme un caillot qui obstrue une veine d'un membre inférieur (veines du mollet ou de la cuisse) ». selon le site « Doctissimo ».
Nous nous posons la question, avec ma belle-soeur.... Mais nous ne le saurons sans doute jamais.
Bonne soirée !
Photo personnelle
Hello !
Vous n'allez pas le croire, mais ça y est, on a trouvé la maison de nos rêves à acheter ! Elle nous plaît à tous les 2, ce qui est une forme d'exploit.
On l'avait déjà repérée en décembre, mais nous hésitions à cause des travaux. Les qualités nous ont finalement convaincus, car outre le cadre magnifique, elle devrait permettre à mon compagnon de mieux se préserver des ondes électromagnétiques.
Voilà, reste plus qu'à se reposer un peu avant le déménagement.
On a de la neige depuis hier matin, donc repos forcé !
Sujet important que le « hasard » m'a désigné.
Je suis tombée tout à l'heure sur l'émission :
« Toute une histoire » sur France2, présentée par Sophie Davant, consacrée aujourd'hui au...
harcèlement à l'école.
Une mère y a raconté la descente aux enfers de sa petite fille, qui a finalement mis fin à ses jours, il y a un an, victime de harcèlement de la part de ses « camarades » de collège. Elle avait 12 ans.
Cette Maman et son mari ont pourtant prévenu le collège mais les choses n'ont pas été prises suffisamment au sérieux, et hélas, la conclusion a été tragique, car l'enfant s'est murée dans le silence, honteuse de ce qu'elle vivait (et c'est une constante, face à une agression, que l'agresseur parade, pavoise, alors que la victime s'enferme dans la honte).
J'avais le cœur serré en écoutant ce témoignage et les conseils du Docteur Stéphane Clerget, présent sur le plateau, car cela m'évoquait les modes d'action des sectes et gourous, tant par les humiliations et vexations publiques, que par la façon de dire et penser des « spectateurs » plus ou moins complaisants sinon couards, et des agresseurs, que ce serait la victime la coupable, qu'elle l'aurait cherché, notamment, et c'est un comble,,,
En étant différente !
Le docteur Clerget, s'est insurgé contre cette abomination, exhortant tous ceux qui voient, savent et à plus forte raison lorsqu'ils ont un rôle d'encadrement, à intervenir, parler, dénoncer, expliquant notamment le pourquoi de ces silences complices:
« Le groupe se solidarise grâce à une victime expiatoire ».
Cela peut sembler effectivement plus commode, de faire l'autruche, de faire comme si on n'avait rien vu, de laisser les choses suivre leur cours sous prétexte qu'il n'arrive que ce qui doit arriver, que ce n'est pas grave, etc., mais c'est oublier un peu vite que tout revient, y compris quand on se trompe, de bonne foi, car aider quelqu'un qui fait du tort, y compris en se taisant, donc en n'étant « que » complice, c'est aussi faire du tort, même si c'est indirect.
Comment s'étonner alors de chuter soi-même, si on envoie ou laisse aller quelqu'un au casse-pipes ?
J'en ai fait plusieurs fois l'expérience cuisante.
J'ai raconté dans mon livre la toute première fois. J'avais organisé un soir une conférence pour une medium, à la tête d'une association (connue quelque temps auparavant), pour parler des Anges (parce que j'avais peur de parler moi-même de mon expérience, et que la dame en question me semblait plus crédible que moi !).
Or, dès cette conférence, je me suis rendu compte qu'il y avait un problème de comportement de l'intervenante et de certains membres de cette association, mais n'ai pas jugé nécessaire ni urgent de le signaler, pensant attendre et voir la suite.
Dès le lendemain matin (soit quelques heures à peine après), un de mes chats, Biscotte (que j'avais recueillie dans la période même où j'avais fait la connaissance de la medium) a attrapé le coryza (on avait déménagé peu avant et j'avais laissé passer la date des vaccins).
Cela n'a pas été grave pour elle, mais elle a contaminé mes 2 autres chats (Croquette et Cracotte), qui elles, ont failli en mourir.
Je me doutais bien que cela avait un sens, mais ne comprenais pas lequel, même si le fait que cela ait débuté à la suite immédiate de cette conférence m'ait interpellée.
Dans la foulée, Biscotte m'a transmis la maladie des griffes du chat. Facile de savoir que cela venait d'elle car cette maladie est transmise uniquement par les jeunes chats, et qu'elle a débuté de mon menton, et plus précisément d'un bouton que j'avais pressé.
Je me rappelais très bien la façon dont cela s'était produit : Biscotte avait frotté son œil (qui coulait) contre mon visage, et surtout contre le bouton, J'avais frotté, mais pas écouté mon intuition qui me disait de désinfecter...
Et j'ai été malade pendant 4 mois, avec des kystes énormes dans le cou, exactement sous le bouton du menton, qui suppuraient.
Tout a cessé quand j'ai assaini (désinfecté donc) mon entourage, mais surtout averti les personnes en contact avec toutes ces personnes que je m'en désolidarisais, en expliquant aussi et surtout pourquoi.
Et chaque fois que j'ai fait l'autruche face à des gens au comportement sujet à caution, ignorant les signes et mes intuitions, j'ai eu des ennuis qui allaient crescendo jusqu'à ce que je cesse les relations avec ces personnes et aussi, encore, que je prévienne les personnes susceptibles d'être touchées et/ou d'intervenir.
Voilà, ce n'est donc pas un bon calcul, loin s'en faut, de se taire face à des abus, à plus forte raison par intérêt, car le retour se fait sentir immédiatement, c'est donc facile d'arriver à faire le lien et d'agir pour faire cesser cela.
Bonne soirée !