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13 septembre 2012 4 13 /09 /septembre /2012 16:00

 

P1030272.JPGPhoto prise peu après le "départ" de mon frère: des centaines de toiles d'araignées mises en lumière par le soleil et la rosée matinale. Très symbolique, tout cela.

 

 

Hello !

 

 

Depuis plus de 10 ans que je reçois des messages, et plus de 5 ans que je vous les fais partager, ainsi que le témoignage de mon vécu (sur le site de Femme Actuelle, au départ), j’ai eu un petit coup de découragement, donc, dernièrement.

 

 

Grâce à "mon" hibou Petit Duc (qui va bien, j’ai pu avoir des nouvelles aujourd’hui !), j’ai repris le collier.

 

Car l’oiseau est symbole de communication avec le « ciel ». Et ce surnom évoquant mon frère ne peut que me motiver (voir billet précédent).

 

J’ai trouvé sur un site dont j’ai oublié de noter les coordonnées, que le hibou aiderait « les héros solaires à percer le mystère de la nuit ».

 

D’autre part, il symboliserait aussi la tristesse et la mort.

Cela me ramène à mes autres capacités entrevues quelquefois, sur lesquelles je me suis décidée à travailler, j’en parlerai probablement, capacités susceptibles d’amener du baume au cœur de ceux qui sont dans la tristesse à la suite d’un deuil.

 

Hier, en début d’après-midi, j’étais au volant de la voiture, avec mon compagnon, repensant aux épisodes liés aux sectes et manipulateurs et aux souffrances que cela m’avait amenée à ressentir, qui faisaient écho bien sûr à des vécus et des « formatages » subis, me donnant ainsi l’occasion de les mettre au jour et de les évacuer.

 

Alors, je réitérais encore à mes chers inspirateurs célestes ma lassitude face à cela, même si je pense ne plus avoir à y être confrontée, ayant décrypté (complètement, j’espère) ce sur quoi ces épreuves tentaient d’attirer mon attention : le formatage familial dû aux épreuves (les sectes se veulent une famille « protectrice », pour ceux qu’elles enrôlent).

 

C’est alors que la radio, Nostalgie, a diffusé…

 

Qui vous savez, qui chantait :

« Ça va pas changer le monde » vers 14 heures.

 

J’écoutais attentivement, me demandant quel sens donner à ce signe.

La présentatrice, à la fin de la chanson, a répondu à ma question, qui a dit à peu près ceci (de mémoire, je n’ai pas noté, étant au volant sur l’autoroute et assez sidérée, je dois le reconnaître) :

 

« Joe Dassin : « Ca va pas changer le monde » MAIS QUAND MEME, MADAME, CA VA CONTRIBUER A BIEN L’AMELIORER ! »

 

Alors, est-ce qu’on peut continuer à baisser les bras et à dire : « Ras le bol » ?????

 

On repart, vaille que vaille, il y a tellement de "cadeaux" par ailleurs, et pour mon frère, impossible d'abandonner !

Bonne fin de journée !

 

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17 août 2012 5 17 /08 /août /2012 11:23

 

P1030278.JPG

 

 

Hello !


Mercredi était jour de la Sainte Marie. En principe, j’ai toujours un petit signe gentil ce jour-là.


Mon amie « décédée » avait toute confiance en la Sainte Vierge, de son vivant. Le premier message qui m’a été fait d’elle par une médium qui ne la connaissait pas, et donc ne savait pas ses préférences, un mois après son décès, me disait :


« Marie est notre Source Etoilée »


Rapport avec le titre de mon 1er livre : « Pluie de poussières d’Etoiles », titre qui m’avait bien sûr été suggéré par ces chers Anges, notamment aussi parce qu’il contient des paroles de chansons de Joe ???


Et puis c’est aussi phonétiquement le début de mon prénom.

D’autre part, ce jour-là, nous nous sommes retrouvés pour midi, en famille chez ma mère, afin de « fêter » avec retard ses 90 ans.


J’ai quand même posé la question à ma mère, à savoir, si elle se souvenait si le rêve qu’elle a fait de mon frère venu lui dire qu’il était parfaitement bien, s’était produit dans la nuit du jeudi (Saint Amour) au vendredi, ou durant sa sieste du vendredi.

 

Sans hésitation, elle m’a répondu :

« Pendant la nuit ». 

Je lui ai donc fait remarquer que c’était la nuit de la Saint Amour, et j’ai vu l’émotion dans ses yeux, vite réprimée, on ne se refait pas.


Elle m’a quand même avoué qu’elle n’aurait jamais pensé une telle chose possible : de demander, et d’avoir ainsi la réponse. Je lui ai dit que c’était ce que je vivais pratiquement tous les jours.


Après le repas, nous l’avons amenée à un vide-greniers proche, car elle aime bien… Et nous aussi !

Pendant notre balade, je me suis arrêtée devant un stand présentant d’innombrables CD. Un prénom a attiré mon attention :


« Joe » !


Mais le nom n’était pas celui que j’espérais, alors j’ai arrêté de chercher aussi sec, et me suis éloignée en ronchonnant intérieurement :


« On n’a pas idée de se prénommer Joe, et pas Dassin » (Hi ! hi !)…


Quand soudain, ma fille qui était derrière moi a vu, elle, ce qu’il fallait voir et m’a rappelée. Et c’était…


Bingo !


Un DVD de Joe, collection INA, avec ses plus grands succès de télévision (26), de 1965 à 1980, et en supplément 3 interviewes d’émissions télé et la version anglaise de « L’été indien ».


J’étais bien sûr « aux Anges », ravie du cadeau…

Ce d’autant plus qu’à y regarder de près, on voit une tache, au niveau du bas de sa joue (probablement un reste de colle d’une étiquette), qui me donne vraiment l’impression d’une bouche pulpeuse qui donne un baiser !


Evidemment, j’ai eu droit à quelques rires sous cape quand je l’ai fait constater, sur un ton badin,  aux « mécréants » qui m’accompagnaient, mais bon, pas grave, l’essentiel est ce qu’on ressent.


Je vous mets la photo.


« Coïncidence », le 20 est je le rappelle, jour anniversaire des 32 ans de son « départ ».


Bonne journée (pas trop caniculaire, j’espère), à tous et toutes !

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14 août 2012 2 14 /08 /août /2012 11:13

P1020475

 

Hello !

 

Merci à toutes et tous, malgré les vacances, d’être fidèles à mon blog, qui n’a d’autre prétention que de vous faire partager mon vécu.


Je vous rappelle que le site « Femme Actuelle » clôturera les blogs dès le 21 août, jusqu’en 2013.


En attendant de nous retrouver sur ce site, car La Communauté Femme Actuelle (que je remercie) a accepté gentiment et « avec joie » (ce qui m’a beaucoup touchée, j’en ai les larmes aux yeux rien que de l’écrire) de perpétuer mon blog à la réouverture, je vous rappelle que vous pouvez continuer à me lire sur le site de mon blog « jumeau », sur over-blog :


http://lesangesetmarylou8.over-blog.com

 

« Coïncidence » ou pas, « notre » pigeonneau (qui semble être une demoiselle)…


A QUITTE LE COIN !


Enfin, bon, il n’est pas très loin, on entend encore parfois ses « roucous », venant d’arbres aux alentours… Mais le fait est qu’il semble voler de ses propres ailes !


Autre joli signe à vous raconter, en attendant d’avoir un peu plus de temps :


Vendredi 10 Août, lors de mon coup de fil quotidien à ma mère, donc juste après avoir posté mon billet du même jour : « Explications » (sur les « coïncidences » par rapport aux films programmés par erreur), elle m’a raconté qu’alors qu’elle était dans un demi-sommeil, sur le canapé, et que pensant à mon frère, elle se disait, pensant à son fils:


« Si seulement je pouvais savoir où il est, et s’il est bien »,


Elle a rêvé que mon frère ouvrait la porte, et venait vers elle en l’assurant qu’il était parfaitement bien et heureux où il se trouvait !


Si ma mère croit en Dieu, elle n’est pas très portée sur la spiritualité, et n’aime d’ailleurs pas plus que ça que je parle des Anges… pour diverses raisons… qui ne lui passeront probablement pas, j’en ai pris mon parti.


Mais elle a reconnu que ce rêve, qui semblait répondre à point à ses questionnements, ce rêve donc l’a rassérénée.


J’ai oublié de lui demander, sur le moment, si elle avait rêvé ce jour même, ou la nuit qui précédait, car la veille était…

SAINT AMOUR.


Je ne le saurai pas, car elle perd beaucoup la notion du temps, mais je suppose que cela devait être le cas.

 

Voilà, bonne journée à tous et toutes.

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 16:53

 

Hello !

 

Comme je vous le disais dans l’avant dernier billet, en revenant sur les billets des 23 et 26 02 2011, des « bizarreries » ont attiré mon attention.


Dans le billet du 23, j’évoquais ce fait, qui ne m’avait pas frappée sur le moment, bien que ma fille ait ressenti devoir m’en parler, car c’était la première fois que cela se produisait:


Cet avis rectificatif d’erreur de programmation, venant du cinéma de la ville où elle travaille, concernant le film :


« Le fils à Jo »,

qui lui avait fait penser immédiatement, bien sûr, à qui vous savez.


A mieux y regarder, la formulation du texte m’avait semblé étrange :

« (…) pour le film « Le fils à Jo ». En effet, la séance du lundi 28 02 11 entre en conflit avec celle du film « Au-delà ». Le fils à Jo sera donc programmé en fait le mercredi 23 et le dimanche 27 à 21h15 ».

 

J’ai donc relu attentivement ces billets et suis remontée dans mon agenda de cette année, à pareille époque, du fait que « Le fils à Jo », était prévu le 28 02 (jour anniversaire de mon frère) et reprogrammé le 23 02, à 21h15...

 

Et voici ce que j’ai constaté :

Le 23 février, qui tombait un jeudi cette année, était « Saint Lazare » !!


Mais c’était surtout quelques heures avant…

Le scanner passé par mon frère, le 24 à 8 heures du matin (donc moins de 12 heures après 21h15)…

Scanner qui a amené la découverte du cancer au poumon, d’un très mauvais pronostic.

 

Le lendemain, 25 février 2012, le « hasard » m’a permis d’entendre, à moins d’une heure de distance, une fois à la radio, l’autre fois en fond sonore du magasin « Carrefour »

« Love is all »

 

Le dimanche 26 février, qui était jour du Carême, sur le chemin d’un vide grenier, beaucoup de signes m’ont été donnés, je vous remettrai le billet.

« Coïncidence », à la suite de ce 26 février, mon agenda (d’écolier) comporte 32 pages de notes, avant de recommencer au lundi 27.

Ce lundi 27, l’écho des bronches passée par mon frère ce jour-là, a amené un pronostic bien meilleur, ce qui nous a soulagés et a donné à mon frère un élan important pour se tourner vers la spiritualité et la foi, ainsi que la certitude qu’il allait s’en sortir.

 

Et le 28 février, jour de son dernier anniversaire, c’est aussi le jour où, au retour d’Aurillac (où mon compagnon avait rendez-vous pour ses soucis d’électrosensibilité)…

J’ai confondu un bout de bois avec un oiseau, sur le bord de la route, que j’ai voulu « sauver » en allant le chercher, ce qui nous a valu une bonne crise de fou rire, que j’ai racontée dans le billet :

« Faire provision de rires »

 

Je me doutais bien que cela laissait entendre qu’il y aurait des jours sombres, mais cela signifiait aussi que cette fois-ci, contrairement à Mai 2011...


Il n’y avait pas d’oiseau à sauver.

 

Je suppose que tout cela signifiait que sa « programmation initiale », qui était une « erreur » (et qui  "entrait en conflit " avec la foi en l'autre monde) due aux souffrances du vécu par rapport à notre père (ce dernier se prénommait Georges, et les 3 premières lettres donnent phonétiquement : JO !). Car ce vécu là, et les souffrances ressenties, avaient détourné mon frère de la foi.


Dès le 24 février au matin, sa vision de la vie a changé, car après l’annonce du pronostic très sombre du 23, il n’a pas vu d’autre issue que la foi et la prière, pour s’en sortir.


Et les nouvelles rassurantes du 27, suivies de la visite du médecin le 29 février (Saint Auguste - prénom de notre grand-père paternel et de notre oncle exécuté pendant la guerre : Augustin), l’ont conforté dans cette voie…


Même si hélas, quelque temps plus tard, des métastases ont été décelées ailleurs, et malgré la pénibilité du traitement, il croyait en sa capacité à se guérir, lui qui réussissait tout ce qu’il entreprenait. Je suis sûre que ce fut une chance pour lui, afin de passer du mieux possible cette période qui le séparait de son « départ » vers « l’au-delà » auquel il croyait enfin, grâce à ses ressentis qu’ils s‘autorisait enfin à avoir.


Et mon billet du 26 02 2011 « Etre fils de », rappelait, certes, le « formatage » familial (travail, travail, travail), mais augurait peut-être aussi son rapprochement posthume avec notre père, que sa recherche spirituelle l’a amené à effectuer. Grâce à la compréhension que cela lui a donné, il s’est senti beaucoup plus apaisé et serein, (nous avons pu en discuter les derniers temps).

 

Je suppose que cela signifiait qu’à partir du 23 février, cette « erreur de programmation » issue d’erreurs d’interprétation de l’enfance, qui empêchait l’évolution spirituelle de mon frère, allait être réparée.


Bonne fin de journée !

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 10:58

 


Hello !

Je pense avoir trouvé le sens de l'expression:

"La programmation du film "Au-delà" entre en conflit avec "Le fils à Jo", grâce au com de Jackette, et au billet qu'elle a écrit hier.

J'avais trouvé étonnant d'utiliser une telle expression, alors qu'il suffisait de dire:

"Nous avons programmé par erreur aux mêmes périodes, tel film et tel autre", et de mettre le rectificatif.

Mais je me doutais bien, sachant qu'il n'y a pas de "hasard", que si ce message, que je n'aurais jamais eu à connaître normalement, m'avait été rapporté par ma fille, c'est que cela avait un sens (pour moi, bien évidemment).

On va prendre les choses du début, pour mieux expliquer.

D'abord, le "langage des signes" (je ne parle pas de celui qui permet aux sourds et muets de se faire comprendre, mais de celui des signes qui nous sont envoyés pour mieux nous guider, et la façon dont ils nous sont amenés, pour nous amener à comprendre) ; ce langage là donc, fonctionne sur le même principe qu'un jeu qui est longtemps passé à la télé, avec Marie-Ange (!!!!) Nardy:

"Pyramide",  qui consistait à dire le bon mot, pour amener sur la voie de la compréhension du mot recherché.

Ce n'est pas évident au départ, mais avec un peu de réflexion et l'habitude, on y arrive.

Lundi 21 donc, après avoir écrit le billet pour les restos, et celui intitulé:

"Un problème ? Sûrement pas !",
dans lequel je racontais le signe qui m'avait été donné grâce à la chanson (dont je ne sais toujours pas l'interprète (elle est passée sur RFM vers 9h37, le 20 je crois), à la suite de mes craintes:

"Je ne laisserai personne te détruire
Ni te barrer le chemin..."


Nous sommes partis chez la tante de mon compagnon, pour l'aider à amener son chien chez le véto (elle a du mal à marcher).
 
Nous sommes passés par Caussade, car il y a le marché le lundi matin.
Il y avait un méchant crachin qui n'incitait pas trop à la promenade. Comme mon compagnon se garait, une pensée s'est glissée dans mon esprit:

"Et si on se mettait un petit coup de Joe avant de sortir ?

Aussitôt répété à voix haute, aussitôt fait:
j'ai zappé de la station d'infos pénibles à la station nostalgique.

Et alors ?
Bingo !
L'ami Joe chantait à cet instant précis:
"L'équipe à Jojo !"

Ah ! quelle joie !
Joie double d'ailleurs, en voyant la tête de mon compagnon:
Les yeux ronds, l'air éberlué, avec même... une vague lueur de colère !!!

C'est agaçant, pas vrai, de constater une fois de plus qu'il y a des choses qui ne s'expliquent pas, ne se maîtrisent pas ?!

Ah ! Dommage que ces moments là ne soient pas plus fréquents, ils me paient de tant "d'agacements" !

Ensuite, hier matin, quand nous sommes partis à Toulouse, après l'écriture de mon billet, alors que nous arrivions à hauteur de...
Caussade,

tandis que je réfléchissais aux "coïncidences" liées au com de Jackette et au titre de son billet du jour,

j'ai eu l'intuition de ce que ces chers Anges voulaient que je comprenne:


c'est que ma dépendance au travail m'empêche de me réaliser pleinement, notamment parce qu'elle me prend trop d'énergie, et de ce fait ne me permet pas de faire ce qui est primordial, c'est-à-dire mes capacités dites "paranormales" !

Quel rapport avec le film:
"Le fils à Jo ?"

Dans son com, Jackette dit:
"Pas facile d'être le fils de..."

Mon problème, en rapport avec le "formatage" qui s'est mis en place pendant mes années lycée, c'est que je viens d'une famille de "bosseurs".

Chez nous, peu de place pour l'amusement, il y avait le travail,
puis le travail,
et enfin le travail !


Mon père (qui avait son propre garage), ne  prenait jamais de vacances, à part le dimanche après-midi, et encore, si aucun client ne venait se faire dépanner.
Il pouvait même être appelé la nuit!

Ma mère travaillait "comme une bête", à la vigne. Elle a été la première femme du village à conduire un tracteur, c'est elle qui a repeint la façade (à étage) de notre maison, juchée sur un échafaudage...

Ce qui lui a valu quelques haines solides de "dames" du coin qui devaient avoir peur que leur mari ne leur demandent de faire pareil.

Elle avait été élevée ainsi, et pour elle, c'était naturel.

J'ai eu quelques signes précédemment, qui ramenaient vers ce problème, j'espère avoir le temps de vous les raconter, mais ce qui a vraiment fait "tilt", c'est quand je suis allée répondre au com de Jackette, sur son blog.

Il y avait une "coïncidence" vraiment trop évidente avec mon billet du jour.

Je continue les explications dès que possible,
Bonne journée !

 

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 10:49

 

Hello !

 

En sauvegardant mes billets du blog Femme Actuelle, je suis tombée sur :


Billet du 23 02 2011 : « Le film « Le fils à Jo » 

Billet du 26 02 2011 : « Etre fils de »,


écrits l’an dernier, qui me semblent avoir essayé de prévenir pour les soucis de mon frère. En effet, le proche dont je parle dans le billet du 23 02 2011 : « Le film « le fils à Jo », c’était lui, mon frère, dont l’anniversaire était le 28 février.

 

Et « Etre fils de », cela nous ramène à nos soucis de « formatage » communs, et entre autres notre dépendance au travail, « héritage » familial.

Voici donc le copié/collé du billet du 23 02 2011 « Le film « Le fils à Jo » :

 


Rehello !

Pratiquement à la même période que le film "Au-delà", est sorti un autre film, dont le titre m'a interloquée, mais sans plus:

"Le fils à Jo".

J'ai vu une interview de Gérard Lanvin (l'acteur principal), sur le sujet, mais comme il s'agit d'un père qui apprend à jouer au rugby à son fils, je n'y ai rien vu qui puisse faire penser à... qui vous savez !

Donc, je ne m'y suis pas plus intéressée que cela, même si de temps en temps il se rappelle à mon attention, notamment quand nous sommes allés voir "Au-delà", la bande annonce de "Le fils à Jo" y figurant.

Or hier soir, il y a eu un truc bizarre. Ma fille m'a appelée pour me faire part d'un fait qui l'avait interpellée.

Elle travaille dans un établissement de soins, et à ce titre je suppose, elle a reçu un mail du cinéma de la petite ville où se situe son lieu de travail. Ce mail, le voici:
 

Bonjour,
Nous avons commis une erreur sur la programmation de 23 au 01.03.11 pour le film "le fils à Jo" en effet, la séance du lundi 28.02.11 à 21h15 entre en conflit avec celle du film "Au delà".
Le fils à Jo sera donc programmé en fait le mercredi 23 et le dimanche 27 à 21h15.
toutes nos excuses pour ce contre-temps.
En vous remerciant 


Sur le moment, quand elle m'en a parlé, je n'y ai rien vu d'autre qu'une...
Coïncidence !

Mais à la réflexion, peut-être pas, car hier, nous étions la Sainte Isabelle, et j'ai toujours un signe ce jour là.

Alors j'ai mieux étudié le texte.
Nous sommes aujourd'hui le 23.

L'expression "entre en conflit" signifie bien sûr que les 2 films ont été programmés par erreur le même jour.

Bon, je sèche sur le sens, j'espère seulement que ces chers Anges ne se mettent pas en tête de faire de moi une cinéphile, ou de m'amener à lever le pied plus souvent, en m'expédiant au ciné.

Autre "coïncidence", le 28 février est jour anniversaire d'un proche à moi.
 

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4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 17:55

Hello !


Désolée de ne pas avoir trop de temps en ce moment. Je commence à sauvegarder les billets qui ne l’avaient pas été (et il y en a !), et cela me donne l’occasion de les relire.

Peut-être que cette interruption du site Femme Actuelle (voir mon billet précédent sur le site Femme Actuelle pour avoir le lien vers mon autre blog sur over), est le signe que je devrais me mettre en quête de faire éditer un livre sur mon blog ?


Heureusement que Guylaine est en vacances, sinon, elle râlerait, depuis des années que je le dis et ne le fais pas !

 

En attendant, il semble que des choses soient en train de se mettre en place, vu les signes.

 

D’abord,  cela concerne « notre » nid de pigeons, qui se sont installés dans le chêne qui surplombe mon potager, peu après le « départ » de mon frère. Hier et avant-hier, les parents ont commencé à apprendre au petit (apparemment il n’y en a qu’un) à voler. Nous l’avons observé avec les jumelles, il était attendrissant à mouliner ses ailes.


IL VA POUVOIR VOLER DE SES PROPRES AILES !


Bonne symbolique, non ?


Remontons au lundi 30 juillet, qui était jour anniversaire de ma mère. Je suis partie de bonne heure à Caussade (environ 7 heures). Dès que j’ai allumé le moteur, Joe chantait, sur Nostalgie :

« L’équipe à Jojo » 

Avec notamment les paroles suivantes :

« Il n’y avait jamais un copain de trop dans l’équipe à Jojo… » 

Effectivement, il y a un copain de plus, depuis le 26 Mai.

 

Peu après, mais je n’ai pas fait attention à l’heure, la radio (je n’ai pas noté laquelle non plus) a diffusé un extrait de la chanson de Daniel Ballavoine, qu’on entend rarement:


« Aimer est plus fort que d’être aimé »


J’ai fait connaissance avec cette chanson peu après ma mésaventure dans l’association, grâce à un signe que mes chers Anges m’ont donné avec elle, pour me consoler et me soutenir, à la suite d’un message « assassin » reçu d’une personne de ce groupe, qui n’appréciait pas que je donne ma version de l’incident dans mon blog.


Cette mélodie, on l’aurait dite (« hasard » ?) écrite pour la circonstance, tant les paroles collaient à la situation, notamment :

 

 « Toi qui sais ce qu’est un rempart,

Tu avances sous les regards

Courroucés,

Tu écris mais sur le buvard,

Tous les mots se sont inversés.

Si tu parles il te faut savoir,

Que ceux qui lancent des regards

Courroucés

Ne voudront voir dans leur miroir,

Que ce qui peut les arranger…

Toi qui as brisé la glace,

Tu sais que rien ne remplace la Vérité,

Et pour couler le brise-glace,

Il faudrait un rocher...

L’Amour te porte dans tes efforts,

L’Amour de tout délie du secret… »

 

Au retour, ce lundi, quand j’ai remis le moteur en marche pour rentrer chez moi, Joe encore chantait :

« La femme qu’on attendait »,

Suivi immédiatement de Francis Cabrel, avec :

« Je l’aime à mourir », mélodie qui m’a donné tant de signes autour du « départ » et des explications reçues de mes chers inspirateurs célestes.

 

Alors, on va bien voir.

Bonne fin de journée à tous et toutes.

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 11:05

 

Hello !

 

Plus particulièrement par rapport au com de Claire, la mort physique fait partie de la vie, qui a de ce fait un début et une fin programmés. Cela me semble à rapprocher du fait que personne ici bas n'appartient à personne, et je pense (mais ce n'est que mon ressenti) que nous sommes venus intégrer cela.

 

Personne n'étant Dieu sur cette terre (ou le nom qu'on veut bien lui donner), je ne crois pas, pour ma part, qu'on ait la possibilité d'empêcher un décès s'il doit se produire. Cela fait partie des choses que l'on doit accepter, même si cela semble injuste.

 

Mais je pense aussi que comme les autres épreuves, chaque « départ » nous enseigne des tas de choses, si on veut bien le reconnaître et en être reconnaissant.

 

Par contre, je crois qu'il est possible de l'adoucir, ce départ, et ceci tant par le fait de la personne concernée elle-même, que par le fait des prières, de la pensée positive, autant que du soutien et de la présence, respectueux des désirs du malade. C'est ce qu'il me semble ressortir de la façon dont est parti mon frère.

 

Je suis persuadée que son moral et le nôtre lui ont permis de vivre ses derniers mois et sa fin, du mieux possible. Ce déni que nous avons eu face à l'inéluctable lui a donné foi en lui et en la Force Divine qu'il a enfin acceptée et reconnue, et donc a contribué à lui faire vivre de façon plus sereine sa maladie, puisque l'espoir était là...

 

Et de ce fait, son « départ » a été « idéal » pour lui, vu son état, mais pour nous aussi, car il nous a été épargné de le voir finir comme il devait logiquement partir.

Nous en sommes reconnaissants à la vie.

 

Je vais vous parler des signes que j'ai eus, qui laissaient présager un souci, pourtant, mais auxquels je n'ai pas voulu chercher de sens.

Eh non, je ne vois pas des signes partout !

 

Mais d'abord, rectification. Il est parti la veille de la Pentecôte, et non de l'Ascension, comme dit par erreur dans un des derniers billets (la Pentecôte fait suite à l'Ascension qui a lieu 10 jours après Pâques).

 

Mais cette confusion c'est justement, parce que la veille de l'Ascension, un signe m'avait été donné.

 

Petite précision en ce qui concerne l'interprétation des signes : si les divers dictionnaires et sites peuvent aider à se faire une idée, il est utile aussi de d'abord se poser la question de ce à quoi nous fait penser l'objet sur lequel porte ce qui nous semble un signe.

 

Et là, il s'agissait de mon potager, mais plus précisément de mes plants de tomates. J'avais fait des semis quelque temps avant ce fameux jour, et planté des tomates, courgettes et poivrons, faisant fi des conseils donnés couramment, d'attendre la fin des Saints de Glace.

 

IL ME SEMBLAIT QUE TOUT DANGER ETAIT ECARTE.

 

Or, ce fameux matin de la veille de l'Ascension, une inattendue et méchante gelée m'a « zigouillé » plusieurs plants de tomates, et en partie cuit courgettes et poivrons.

 

PAR CONTRE, TOUT CE QUE J'AVAIS SEME MOI-MEME, A RESISTE . LA GELEE A PORTE UNIQUEMENT SUR CE QUI , DANS MON JARDIN, AVAIT ETE SEME PAR D'AUTRES !

 

Malgré ce constat quand même encourageant, cela m'a mise en rogne, car j'ai bien ressenti qu'il y avait un sens, c'était trop inattendu et désagréable....

 

Du coup, ces chers Anges ont eu droit à l'inévitable :

 

« Qu'est-ce qu'il y a encore ? Ras le bol ! »

 

Peut-être aurais-je dû méditer pour savoir sur quoi portait cet avertissement sur le fait que CE QUE JE CROYAIS HORS DE DANGER NE L'ETAIT PAS FINALEMENT …

 

Sauf que j'ai foncé ventre à terre dans une jardinerie racheter d'autres plants.

 

Na ! Voilà !

 

Certes, le vendeur , quand je lui ai dit venir remplacer des plants gelés a ouvert des yeux ronds, et plus encore quand je lui ai appris où j'habitais (à 7 ou 8 km), en réponse à sa question.

Il m'a lancé un rien rieur :

 

« Ce n'est pas normal ! Déménagez ! »

 

« Je sais bien que ce n'est pas normal » ai-je répondu.

 

Mais bon, ma réflexion n'est pas allée plus loin. J'avais trop peur de chercher à savoir.

 

Or, le potager et plus encore les tomates, cela me fait penser irrésistiblement à mon frère, car c'était un pro du jardinage, et surtout des tomates qu'il avait toujours à profusion, quelles que soient les conditions.

 

Mais il y avait eu d'autres faits très significatifs aussi.

Cet hiver, tout ce qui représente la Provence (nos racines maternelles) à mes yeux, et que j'avais tenu à planter de ce fait, a gelé dans mon jardin, avec ces températures exceptionnellement basses :

 

Mimosa, olivier, lauriers roses, etc.

 

Il y a eu aussi un cerisier (ce qui me fait aussi penser à mon frère, car ils en ont un énorme dans leur jardin, et chaque année ils nous en donnaient), cerisier qui avait eu l'air de repartir, au printemps, mais dont cette dernière gelée de la veille de l'Ascension a eu raison.

 

Et enfin le plumbago, qui a semblé mort, mais qui est reparti après son « décès », en même temps que ce plant de TOMATE qui a poussé spontanément dans son pot ! (je vous avais mis la photo). C'est le plus beau, le plus sain et le plus vigoureux de tous mes plants de tomates, alors qu'il partage un pot avec le plumbago, et que les autres sont en pleine terre !

 

Signe de résurrection ?

 

Du coup, cela m'a rappelé ce fameux minuscule plant de tomate, qui a poussé spontanément dans un creux de l'évier, à la fin de l'été dernier. Je vous avais mis la photo, il faut que j'essaie de la retrouver.

 

La symbolique m'apparaît clairement maintenant : quelque chose (qui évoque mon frère pour moi), qui pousse de façon extraordinaire, inattendue, où on ne l'attend pas, mais qui n'est pas destiné à survivre, n'ayant pas assez de matière nourricière pour cela, vu les conditions dans lesquelles cela a poussé.

 

Cela devait probablement présager son évolution spirituelle inattendue, mais qui n'allait pas suffire à le faire vivre.

 

Bonne symbolique, malgré tout, que cette gelée tardive qui, pour désagréable qu'elle soit, n'atteint que ce qui a été semé par d'autres (les idées reçues, les idées faussées, les croix qu'on fait porter, etc.), non ce qui vient directement de moi. A moi maintenant de faire attention à ce que je vais planter, et à privilégier ce que la vie m'apporte spontanément.

 

Voilà, à bientôt et bonne journée !

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 20:59



Hello !

 

Petit complément de mes chers inspirateurs célestes, au billet d’hier.

 

« N’est-ce pas une bien plus grande force que de savoir reconnaître humblement ses faiblesses, et mieux encore d’y travailler dessus, plutôt que de se crier fort en toutes circonstances  (pour mieux essayer de s’en persuader ?) ? Nous en revenons là encore au déni. Sur cette terre, la vie n’est facile pour personne, et les grandes souffrances sont souvent muettes, parfois cachées sous un masque jovial, d’autres fois derrière un masque fermé. Le tout étant de se respecter. »

 

Je poursuis ma lecture du fascicule de Christophe André : « Petites histoires de l’estime de soi », fascicule offert par la Librairie et les éditions Odile Jacob.

 

Je ne doute pas le moins du monde qu’il ait été mis sur mon chemin par ces chers Anges, car il continue leur œuvre de « restauration ».

 

J’ai relevé notamment, P. 45, chapitre intitulé « Le répondeur », quelques lignes dans lesquelles beaucoup d’entre vous se reconnaîtront. Il y raconte s’être trompé de numéro en voulant téléphoner à un confrère, et être tombé sur une dame à qui il a expliqué son erreur. Elle lui a répondu :

 

« Ah, désolée d’avoir décroché »

 

Cet homme, d’une compréhension extraordinaire (oui, certes, il vaut mieux, pour un psychanalyste et psychothérapeute, mais bon !), et pour qui les mots Amour et Respect prennent vraiment toute leur dimension, a compris, au son de la voix de la dame, que sa réponse n’était pas une boutade, mais le reflet d’une estime fragile.

 

Voici le passage :

 

« Le réflexe des personnes à l’estime de soi fragile, qui craignent toujours d’avoir dérangé ou de s’être trompées. Qui s’excusent pour tout et à tout bout de champ. Ces personnes qui rendent la vie des autres un peu plus vivable et agréable (imaginez une société peuplée uniquement de narcissiques persuadés de leur bon droit et ne s’excusant jamais), mais qui ne prennent pas assez soin de la leur. »

 

Pages 51/52 et 53, Christophe André relate, dans le chapitre intitulé « L’intouchable », le cas d’un patient qui fut un « enfant émotif, fragile, sans défenses », qui servait de tête de turc à d’autres enfants, quand ils ne le rejetaient pas. L’auteur rapporte les séquelles qu’il en a gardées, devenu adulte, lesquelles conditionnent son comportement.

 

Page 52, le Docteur André rapporte qu’après avoir fait ce récit sur son blog, un internaute lui a laissé un com, demandant s’il existe (je cite, comme à chaque fois, entre guillemets et en couleur) « des études sérieuses sur les conséquences psychologiques des rejets et humiliations subis dans l’enfance ? ».

L’internaute poursuit, p. 52 et 53 :

 

« Vous écrivez dans votre précédent livre qu’il s’agit des événements les plus dangereux et graves pour l’équilibre psychologique » (…) « (ce que d’ailleurs le Christ a vécu à une profondeur indicible puisque divine). »

 

L’internaute, toujours, rappelle que Christophe André y a cité « un extrait du Psaume 31 que toute la tradition catholique attribue à Jésus. Le Talmud est on ne peut plus clair sur la gravité de l’humiliation publique puisqu’il classe ce péché dans les péchés irrémissibles : « Celui qui fait blanchir la face de son prochain en public, c’est comme s’il l’avait tué. (…). L’antique sagesse avait donc reconnu la très grande nocivité de ces comportements qui adviennent surtout pendant l’enfance et l’adolescence, période où l’on discerne mal la gravité de tels actes. »

 

Je rajouterai que si les jeunes peuvent effectivement manquer de discernement et agir de cette façon, n’oublions pas que ces pratiques sont aussi employées par les gourous et les sectes.

 

Il est important de le répéter, de prévenir et de dénoncer ces agissements quand on en est victime, ou que quelqu’un, parmi nos connaissances en est victime, car cela peut entrainer des séquelles graves, y compris chez des adultes, à plus forte raison s’ils sont sensibles.

 

Et il est aussi important de prévenir qu’il ne faut surtout pas se laisser influencer par les discours de ces personnages là, qui, comme tous agresseurs ou harceleurs, visent à tenter d’intimider et culpabiliser afin d’empêcher de se défendre en dénonçant leurs méthodes.

 

La solution ? Parlez, confiez-vous, expliquez la situation, renseignez vous sur les comportements que vous subissez, il n’est jamais trop tard pour signaler des abus. Pour vous, pour restaurer votre image, votre dignité, mais aussi pour éviter que d’autres ne subissent les mêmes « traitements ».

 

La dignité et l’intégrité de l’être participent non seulement du respect, mais aussi de la liberté.

 

Bonne fin de journée !

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8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 18:39

Hello !

 

Dernièrement, en constatant que de toute façon, quel que soit le jour de mon « départ », j’aurai résisté plus longtemps que mon frère, puisqu’il était plus jeune que moi de 10 mois, j’ai ressenti un « soupçon » de sentiment de culpabilité (vite écarté), et ai demandé à mes chers inspirateurs célestes :

 

« Pourquoi ai-je réussi (enfin jusqu’à présent) à surmonter, et pas lui ? »

 

Ils m’ont répondu que « grâce » aux souffrances endurées, j’ai appris à écouter ma voix intérieure, et elle m’a amenée sur ce chemin de spiritualité et de compréhension, au lieu de chercher à l’étouffer via des dépendances ou une fuite en avant.

 

Le recours aux dépendances, j’avais essayé, dans mes jeunes années, avec les médicaments : antidépresseurs, anxiolytiques, plus tous ceux pour en contrer les effets secondaires. Mais heureusement, j’ai des enfants, et j’ai pris conscience, au bout d’un certain temps, que non seulement cela ne réglait pas mes problèmes, mais que comme j’étais plus ou moins un zombie, (vu le nombre ingurgité), cela les rendait malheureux, et me faisait perdre le contact avec eux. Le remède (c’est le cas de le dire) s’avérait pire que le mal.

 

Et en me tournant vers la recherche intérieure, j’ai vite vu qu’il n’y avait pas photo ; parce que non seulement je retrouvais le sens de la vie, mais qu’en plus, j’avançais. Alors, j’ai pu arrêter la dépendance aux médicaments.

 

Certes, j’ai souvent senti dans mon entourage un peu d’incompréhension, voire de condescendance, parfois. Je me doutais qu’on devait penser :

 

« Mais qu’est-ce qu’elle a besoin de chercher midi à quatorze heures ? »

 

C’est tellement plus simple, en apparence, de nier ses sentiments, et de les étouffer en en grillant une, ou en levant le coude, ou bien en allant s’acheter des fringues. Le problème, c’est que ça ne les règle pas les problèmes.

 

Un jour il faut bien se résoudre à gratter où ça fait mal.

 

Et aujourd’hui, j’ai entrepris de lire un petit fascicule trouvé dans un vide-greniers il y a une quinzaine de jours. Il est de Christophe André, psychiatre et psychothérapeute que j’apprécie beaucoup, notamment dans :

 

« Imparfaits, libres et heureux – Pratiques de l’estime de soi » - Editions Odile Jacob.

 

Le fascicule a pour titre :

« Petites histoires d’estime de soi »

 

Page 18, il y a un chapitre intitulé :

« L’ascension »

 

Il y est rappelé que c’est le jour où Jésus est monté au Ciel.

Cela m’a rappelé le « départ » de mon frère, la veille de l’ascension, justement. Mais en lisant la suite, l’émotion est montée :

 

« (…) j’aimerais bien faire comme dans le poème de Francis James : Prière pour aller au paradis avec les ânes »


 « Lorsqu’il faudra aller vers vous, ô mon Dieu, faites

Que ce soit un jour où la campagne en fête

Poudroiera. Je désire, ainsi que je fis ici bas,

Choisir un chemin pour aller, comme il me plaira,

Au Paradis où sont en plein jour les étoiles.

(…)

Et faites que, penché dans ce séjour des âmes,

Sur vos divines eaux, je sois pareil aux ânes

Qui mireront leur humble et douce pauvreté

A la limpidité de l’amour éternel. »

« J’aime bien les ânes. Les vrais. Et même tous les autres, tiens. »

 

Etranges « coïncidences », si vous vous souvenez de ce fameux âne qui  a crié comme un putois juste au moment où le fourgon contenant les cendres de mon frère a démarré pour s’éloigner, non ? Lui qui « faisait toujours l’âne » pour amuser la galerie.

 

Et ce paysage magnifique, magique, sur le chemin conduisant au village où reposait son corps, avec tous ces tapis de fleurs de toutes les couleurs ?

Rappel aussi : Francis est le prénom de mon demi-frère.

 

Est-ce une confirmation de ce que mes chers inspirateurs célestes m’ont affirmé, à savoir qu’il est « monté tout droit vers la Lumière » ?

 

Ce d’autant plus qu’une amie médium et psychothérapeute a ressenti de me dire (sans que je ne lui demande rien, cela va de soi) ce que ses guides lui inspiraient :

 

« Votre frère est parfaitement bien là où il est, il a trouvé sa place dans l’Univers, tout va bien pour lui ».

 

Voilà, à bientôt !

Bonne fin de journée !

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