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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 11:07

 

Je remets cette photo, mise il y a peu, qui me semble très symbolique:

 

P1020744

 

 

 

Hello !

 

 

 

J’ai oublié de vous préciser, dans le billet précédent, que souvent, notamment quand je chipotais dans mon assiette, mon père me disait, quand j’étais petite :

 

 

 

« On voit que tu n’as pas fait la guerre ! » (en rapport avec :

 

« Elle a dû faire toutes les guerres, pour être si forte aujourd’hui ».

 

 

 

Merci encore infiniment à tous et toutes.

 

Je n’aurais jamais pensé devoir livrer ainsi mes blessures secrètes, et auparavant, d’ailleurs, je ne voulais pas le faire, mais je ne regrette pas, au regard de ce dont plusieurs d’entre vous m’ont confié que cela a contribué à leur faire prendre conscience.

 

J’en éprouve beaucoup de réconfort, surtout pour celles que cela a décidées à se faire aider par un « psy » (professionnel, je vous en supplie !), afin d’évacuer enfin les sentiments de culpabilité dont elles n’arrivaient pas à se débarrasser.

 

 

 

C’est la raison du « sauve qui peut », dont j’ai parlé, ressenti en lisant le livre de Guy Corneau : sa « sœur d’âme », comme il appelle la femme qu’il aimait, est « partie » d’un cancer, dans de grandes souffrances (il l’a accompagnée dans son combat). Elle n’avait pas eu le courage de travailler sur le sentiment de culpabilité qu’elle traînait depuis le jour où sa petite sœur a été écrasée par un véhicule, en sa présence.

 

Cette dame avait aussi refusé les traitements allopathiques, pensant que les médecines douces suffiraient.

 

 

 

J’espère que tout cela fera réfléchir les non conscients de leur immense ignorance quant au fonctionnement de l’être, donc de leur dangerosité à se vouloir "sauveurs" sans la moindre formation (et d'ailleurs, solide, c'est encore mieux !), ainsi que tous ceux qui se rendent complices, qu’ils le veuillent ou non, en les soutenant.

 

 

 

Cela nous ramène au sujet des sectes et gourous.

 

Étant donné que mes chers inspirateurs célestes m’avaient dit qu’ils avaient un fonctionnement similaire au cancer, en déprogrammant leurs proie de la vérité de leur âme, pour les rendre à leur image, je me suis inquiétée, face à la mort de mon frère :

 

 

 

« Est-ce à dire que les sectes auront le dessus, que le « mal » est trop avancé ? » ai-je demandé, même si je n’y croyais pas vraiment, tant il y a une chose dont je suis sûre, c’est que quelles que soient les apparences, tout est dans « l’ordre divin ».

 

 

 

Mais ces chers Anges m’ont rassurée. Ils ont toujours défini les gourous et manipulateurs par :

 

« Voleurs d’âme », voire même parfois : « violeurs d’âme ».

 

 

 

Et « sur le sujet de son âme, la guérison a été rapide, spectaculaire et parfaite ».

 

Il avait fait un tel bond en avant !

 

 

 

Je ne peux m’empêcher de faire le lien avec ce que mes recherches en psychogénéalogie et plus précisément les 3 « constellations familiales », sur un an, ont permis de mettre à jour, même si tout le mérite de cette guérison de son âme en revient bien sûr à mon frère, sous l’influence de sa maladie.

 

 

 

Mais peut-être cela a-t-il donné un coup de pouce, car après tout, face à la maladie, il aurait au contraire pu encore plus se fermer.

 

 

 

Rappel : ces chers Anges ont répondu, quand je leur ai demandé de ne pas s’occuper de mes vieilles blessures, mais de celles de mon frère, qu’on « pouvait aussi faire d’une pierre 2 coups ».

 

 

 

Et quant au choix d’incarnation qu’il avait fait: que son corps n’arrive pas à remonter ces 4 décennies d’excès, voici les explications données :

 

 

 

« Cette chère âme, a choisi ce « départ » là, refusant tout « miracle » qui aurait guéri son corps (même s'il y croyait dur comme fer de son "vivant"), car cela aurait pu donner à penser qu’il n’était pas grave de ne pas respecter son corps, sa santé, pendant tant et tant d’années, parce qu’un « miracle » pouvait toujours survenir et sauver, comme un coup de baguette magique.

 

Cela aurait même pu contribuer à pousser certains, n’ayant pas conscience que le « sauveur » est en eux (en association avec les méthodes de soin), à s’adresser à des « faiseurs de miracles ».

 

 

 

Au contraire, cette belle âme a voulu démontrer sans qu’il puisse y avoir le moindre doute, qu’il est de toute première importance de prendre soin de soi, de penser AUSSI A SOI, de se ménager, de ne pas sacrifier sa santé et sa vie par rapport à des considérations qui ne peuvent absolument pas être plus importantes que le respect de soi DANS LE PRESENT.

 

C’est ce qui peut faire toute la différence entre la guérison de l’esprit, du « cœur », de l’âme et celle du corps".

 

 

 

La suite bientôt !

 

Bonne journée !

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 18:21

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Hello !

 

Photo personnelle du dernier tableau que j'ai exécuté, en peinture, en 2009. Je n'ai pu peindre depuis. "Hasard" ? Une amie qui se reconnaîtra l'avait chois pour inspirer un concours de poésie.

 

Après vérification, c’est dans le billet du 17 mai que j’avais ressenti devoir mettre la photo des 2 ânes (l’un derrière l’autre). C’était le jour de l’Ascension.

C’est aussi dans ce billet que j’évoquais un sinistre jour d’octobre, où le choc subi ma donné l’impression que mon esprit se séparait de mon corps.

 

Ce 26 mai à 15h12, quand ma belle-sœur m’a appelée pour me prévenir, j’ai cru, l’espace d’une seconde, que ça allait recommencer. Mais non, j’ai réussi à garder mon intégrité.

 

De ce funeste jour d’octobre, j’ai pu en parler avec mon frère, (à qui je ne m’étais jamais confiée sur ce jour là), lors de notre dernière communication téléphonique, le 11 mai. Nous avions déjà éclairci des points sur lesquels j’avais voulu garder le secret, préférant porter le chapeau (!!!) et passer pour la méchante. Et j’ai eu la joie d’apprendre qu’il avait enfin compris de lui-même, et me donnait parfaitement raison.

Ce fut déjà un début de guérison pour moi.

 

Mais il m’a fait encore un inestimable cadeau de guérison ce 26 mai, quand j’ai démarré ma voiture pour me rendre chez eux, dans l’Aude. J’espérais entendre à la radio qui vous savez. Comme ce n’était pas le cas, je n’ai plus fait attention à la musique, et suis partie.

Je conduisais depuis peu, quand des paroles de la chanson diffusée ont frappé mon oreille :

 

« Maintenant, comme avant,

Doucement, sans pâlir, sans souffrir…

Aujourd’hui, je te dis :

Souffrir par toi n’est pas souffrir,

C’est comme mourir ou bien faire rire

C’est s’éloigner du monde des vivants

Dans la forêt voir l’arbre mort seulement… »

 

Chanson interprétée par Isabelle Boulay : « Souffrir par toi n’est pas souffrir ».

 

Voilà le premier cadeau de guérison pour moi…

 

Un des drames de ma vie, c’est que l’enfant que j’étais s’est crue responsable des souffrances d’enfant de son frère, liées à notre père. Dans mon esprit d’enfant, s’est ancrée l’idée que si je n’avais pas existé, la relation entre notre père et mon frère aurait été normale.

Ma mère était hélas enfermée dans ses tragédies familiales (pendant l’enfance, son père avait martyrisé son plus jeune frère qu’elle aimait beaucoup) et, enkystée dans ses souffrances, ne s’est pas rendu compte qu’elle reproduisait des schémas perpétuellement. Et mon père n’avait pas, apparemment, la force de s’imposer, car tout cela devait le dépasser.

 

J’ai cru, dans mon petit cœur d’enfant, que je n’avais de ce fait pas le droit d’aimer, ni d’être aimée, et que je n’avais pas le droit de briller ni de réussir pour ne pas faire d’ombre à mon frère…

 

Mes « petits » Anges m’avaient permis de le comprendre, il y a pas mal de temps déjà, mais le sentiment de culpabilité était semble-t-il trop ancré en moi. Alors, m’ont-ils expliqué ces jours-ci, puisque sur cette terre je n’avais pas droit à l’Amour, mon esprit les a rejoints, car « Là-Haut », point « d’humains » ( !) pour interdire à quiconque d’aimer (pour son bien !), tout au contraire.

 

Et grâce à cette chanson, il m’a été expliqué que mon frère avait fait ces choix de vie et de départ (puisque chaque âme choisit la vie qu’elle veut vivre, les expériences qu’elle veut venir faire), par Amour pour moi, pour me permettre de me délivrer plus vite de ce sentiment dont je n’arrivais pas à me défaire.

 

Ce fut pour moi un moment intense de gratitude et de reconnaissance, même si je n’ai pu m’empêcher de faire remarquer que j’aurais préféré qu’il guérisse.

 

Et ce matin, j’ai reçu un message, de « là-haut », de mon frère, me confirmant cela, et ajoutant que c’était aussi son choix de « départ » fait par Amour pour sa petite femme adorée, pour lui permettre, avec son aide, bien sûr, elle qui le considère comme son sauveur, de trouver un « sauveur » encore plus efficace… Si, si, c’est possible, m’a-t-il dit en riant : hé ! Hé ! Hé !

Et ce sauveur si efficace, c’est celui qui est en elle (qu’elle appelle Dieu), car elle est très « croyante »).

 

Parmi les innombrables signes que j’ai reçus depuis son départ, hier vers midi, tandis que nous attendions, à la gare, le train qui devait ramener mon fils aîné en région parisienne, mon attention a été attirée par le fond sonore. C’était la chanson de Vanessa Paradis :

 

« Marilyn et John », puis j’ai un peu « décroché », quand rapidement, à nouveau, une chanson a attiré mon attention. Il s’agissait de Francis Cabrel (rappel : Francis était le prénom de notre demi-frère) :

 

« Elle a dû faire toutes les guerres

Pour être si forte aujourd’hui,

Elle a dû faire toutes les guerres de la vie,

Et l’amour aussi… »

Et la dernière phrase :

 

« Je l’aime à mourir », qui est aussi le titre.

 

Ce fut très émouvant pour moi, qui ne me suis pas trop senti le droit non plus, comme mon frère, d’exprimer mes souffrances, vu celles des autres. Et puis mon père me disait souvent affectueusement que j’étais une « petite Nature ».

 

Peu après, vers 14h35 environ, après avoir longuement discuté de tout cela avec une amie chère qui se reconnaîtra, je suis allée au salon. La télé, allumée par mon plus jeune fils sur…

DIRECT STAR (Direct Etoile ?), diffusait un clip de Chimène Badi :

 

« Ma liberté », chanson avec laquelle j’ai eu des signes aussi, après la découverte, à la suite de ma dernière « constellation familiale », de l’origine du veto.

 

J’aime beaucoup Chimène, donc je suis restée à l’écouter. L’air suivant fut…

 

« Je l’aime à mourir », interprété cette fois-ci par Shakira !!!

Elle portait le n° 11 (l’Aude !)

 

Ensuite, Louisy Joseph interpréta une mélodie dont j’ai relevé quelques paroles :

 

« On a tous au fond du cœur

Quelque chose qui nous fait du mal,

Qui nous enchaîne… ».

 

Ce matin, je suis allée faire quelques courses. Quand je me suis garée devant le centre commercial, Johnny Halliday chantait :

« J’ai oublié de vivre ».

 

Je suis entrée dans le magasin et me suis dirigée vers le fond (rayon animaux), qui se trouve juste dans le prolongement des téléviseurs…


Pour voir et entendre Shakira terminer une chanson avec seulement ces 2 phrases :

 

« Je l’aime à mourir…

Je l’aime à mourir… »

 

A bientôt pour les autres signes.

Bonne fin de journée !

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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 20:19

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Hello !

 

 

 

Je remets cette photo personnelle, qui date de plusieurs années pourtant, mais que j'ai ressenti de mettre dans un récent billet. C'est en cherchant une photo pour illustrer ce billet que j'ai réalisé le "Hasard", et la symbolique !!!!

 

 

 

 

En premier lieu encore, merci à tous et toutes, qui vous êtes associés à notre peine. Un monde « fou » l’a accompagné hier, et je dois dire que toutes ces, et vos manifestations de soutien et de sympathie furent et sont encore source d’émerveillement et de gratitude pour nous.

 

 

 

J’avais pensé vous raconter dans l’ordre tous les signes et toutes les explications et guérisons, bref, tous les beaux cadeaux de l’épreuve, (probablement annoncée par le billet du même titre, peu avant), mais j’ai opté pour les derniers, ceux d’hier, autour de la crémation (son choix), parce que depuis je me sens tellement mieux, et ma belle-sœur, ainsi que ma mère, et mes enfants, aussi, que j’éprouve un sentiment immense de reconnaissance pour lui et tous ces chers Anges qui nous entourent, que je voudrais vous faire partager.

 

 

 

D’abord, je voudrais vous décrire mon frère (plus jeune que moi de 10 mois et demi). C’était un boute en train, qui ne ratait pas une occasion de faire rire… Y compris, et d’ailleurs de préférence, dans les situations qui ne prêtaient pas à rire, voire sérieuses. Et quand les éclats de rire fusaient autour de lui, il était heureux, et il s’esclaffait : « Hé ! hé ! hé ! hé ! Il maniait aussi bien l'humour potache, que décalé, lui aussi. »

 

 

 

C’est bien simple, il me faisait un peu penser à Carlos, compère de qui vous savez, bien qu’un peu moins corpulent et plutôt blond.

 

 

 

Hier, jour anniversaire de mon fils aîné, (« coïncidence », mon amie « voyante » a été aussi enterrée le jour de mon anniversaire), nous l’avons tous accompagné. Entre notre arrivée, la cérémonie et la crémation, nous étions sur le site depuis une bonne heure et demie. Puis, AU MOMENT MÊME où le fourgon contenant l’urne et les fleurs a commencé à partir…

 

 

 

UNE SERIE DE « HI HAN ! » sonores a soudain résonné dans le calme et le silence, venant du jardin à côté, (dans lequel certains avaient vu un âne), faisant sursauter tout le monde.

 

 

 

C’était tellement incongru, inattendu, décalé, mais surtout insistant et très bruyant, qu’alors que mon premier mouvement a été de sursauter sans y prêter attention, j’ai fini par ressentir très nettement qu’il y avait là un signe. Ce d’autant plus que dès que j’ai eu cette intuition et que j’ai fini par dire à mes proches :

 

 

 

« Bizarre cet âne qui se met à braire juste au moment où le fourgon démarre. Ça, je ne serais pas étonnée que ce soit un coup de Gérald, pour détendre l’atmosphère et dire : Ça suffit de pleurer, maintenant on rigole »…

 

 

 

Les cris se sont arrêtés rapidement après mes paroles !

 

 

 

La famille a convenu que c’était tout à fait lui, cette façon de faire, mais sans sembler vraiment convaincue qu’il s’agisse réellement d’un signe.

 

 

 

Moi je n’arrivais pas à arrêter de rire, le cœur soudain bien plus léger. Cela rejoignait d’ailleurs un signe que ma belle-sœur avait eu de lui les 2 jours précédents, je le raconterai.

 

 

 

Et juste avant cela ou juste après, je ne me souviens plus très bien, mon plus jeune fils a reçu un appel pour lui annoncer qu’il était reçu à son année... Alors qu’il pensait devoir passer le repêchage, nous en avions parlé dans la voiture, justement.

 

 

 

Nous sommes restés une bonne demie heure de plus, puis sommes partis manger rapidement, et avons pris la route pour rentrer chez nous, avec mon fils aîné et notre fils. Sur le chemin, je repensais à cet âne, que nous n’avons pas réentendu le temps que nous sommes encore restés.

 

Qu’est-ce qui pourrait indiquer qu’il s’agissait vraiment d’un signe de « Tonton » ????

 

 

 

Et soudain, l’intuition m’est venue par cette expression…

 

 

 

« FAIRE L’ANE » !!

 

 

 

C’est exactement ce que j’ai entendu ma mère dire de son fils, toute notre enfance, avec tendresse et amusement, quand il faisait ses pitreries pour amuser la galerie :

 

 

 

« Il faut toujours qu’il fasse l’âne » ou « Gérald ! Arrête de faire l’âne » !!!

 

 

 

Arrivée à la maison, j’ai appelé chez ma belle-sœur (ma mère est restée avec elle, car elles habitent le même village), pour leur en parler. Cela les a convaincues. D’ailleurs ma belle-sœur m’a rappelé la fois où, il y a quelques années…

 

 

 

IL AVAIT FAIT LE CHIEN (avec force aboiements et grognements qu’il nous a mimés pour nous les raconter), depuis son garage…

 

Et vous savez pourquoi ????

 

 

 

« Hasard » ou « coïncidence » ???

 

 

 

POUR FAIRE FUIR DEUX ADEPTES D’UNE SECTE QUI SONNAIENT A SA PORTE !!!!

 

Et il avait dû être convainquant car ils avaient détalé !

 

 

 

Bonne symbolique, non ??? Je reviendrai sur ce sujet, justement, dans un prochain billet.

 

 

 

En attendant, avec un tel joyeux drille, la « fine équipe » de ces chers Anges a une recrue de choix et n’a pas fini de manier l’humour…

 

 

 

Justement, j’avais la nostalgie, après ces quelques années un peu difficiles moralement, qu’ils m’ont aidée à passer, des messages humoristiques des premières années, qui me faisaient beaucoup rire !

 

 

 

Dès que possible, je vous raconte les cadeaux de guérison.

 

Bonne fin de journée !

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 16:51

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Hello !

 

 

 

Comme je l’ai évoqué dans mon avant-dernier billet, mes chers inspirateurs célestes m’ont expliqué tout dernièrement que nos êtres chers peuvent parfois, par leur manière de « partir », nous donner, comme un ultime cadeau d’Amour, une indication sur un aspect de notre vie qu’il pourrait y avoir avantage pour nous à « travailler ».

 

 

 

Sans doute, avec d’autres signes que j’essaierai de prendre le temps de vous raconter, me préparaient-ils...

 

 

 

Lors de la découverte du cancer du poumon de mon frère, j’avais bien ressenti que son combat, et par ricochet le mien, allaient permettre, peut-être, d’aider ceux qui traversent de telles situations.

 

 

 

Je voulais à toute force croire que ce serait de son vivant. Ses prises de conscience et le bond en avant dans la spiritualité qu’il a faits en quelques mois me laissaient espérer qu’il allait pouvoir renverser la fatalité de ce que je savais pourtant depuis tant d’années…

 

 

 

Mais voilà, il ne m’avait pas tout dit. S’il m’avait parlé des bons résultats, il avait omis de me dire qu’il n’y avait pas que ce cancer là. Même s’il savait à quoi s’en tenir, il pensait qu’il allait réussir à renverser la vapeur.

 

 

 

Il avait une opération prévue, pour une nécrose des os au niveau des hanches. Elle n’a pu se faire à cause de la découverte de son cancer. Les médecins ont paré au plus pressé. Mais ça l’a condamné à l’immobilité, qui malheureusement, couplée à d’autres facteurs (dont le cancer), a probablement provoqué une embolie pulmonaire qui l’a emporté avant-hier, veille de Pentecôte, en quelques minutes, dans les bras de sa femme adorée qui n’a rien pu faire…

 

 

 

Il est parti dans des circonstances similaires à celles de la mort de notre père… Vers qui il avait enfin un chemin de retrouvailles et de réconciliation « posthumes », ces derniers mois, car il avait compris, grâce à des lectures, le pourquoi de ses dépendances et de son autodestruction.

 

 

 

Mais comment remonter un organisme atteint à ce point par 4 décennies d'excès, et dans un tel état de « délabrement » en si peu de temps ?

 

Guy Corneau, qui a réussi à s’en sortir, avait une alimentation saine depuis très longtemps. Et il a bien raison de dire que la guérison est due à un ensemble de facteurs.

 

 

 

Mon frère, s’il a toujours aimé la vie, c’était avec tous ses excès.

 

 

 

Je vais essayer de prendre les choses dans l’ordre.

 

 

 

Tu me conseillais, Jackette, dans ton dernier com, que j’ai lu un peu avant d’apprendre la nouvelle, de profiter de la vie tant qu’il en était temps. Cette phrase a résonné dans ma tête, un peu comme une sonnette d’alarme.

 

 

 

Mais voilà, la glace a gagné… provisoirement. Je dis provisoirement car, hélas, je n’ai pas réussi à la briser et à dire à mon frère que je l’aimais, tant qu’il était en vie. J’ai pourtant failli y arriver, lors d’un des 2 ou 3 échanges que la vie nous a permis d’avoir sur la spiritualité, ces dernières semaines, mais le veto était encore trop pesant, trop pressant, même si j’y travaillais. J’ai remis à plus tard, pensant que le temps m’en donnerait l’occasion…

 

 

 

Maintenant il sait, d’où il est, je n’ai plus besoin de donner des preuves, pour remplacer les mots. Certes les mots nous auraient réchauffé le cœur. Mais je n’ai pas à culpabiliser de ne pas y être arrivée, les preuves d’amour sont quand même plus efficaces que des mots, comme me l’ont fait entendre ces chers Anges.

 

 

 

De « là-haut », ils ont la capacité de voir ce qu’il y a vraiment derrière les mots, lesquels peuvent souvent être un écran de fumée destiné à masquer les véritables sentiments et intentions, qui sont parfois fort éloignés de ce qui est prétendu.

 

 

 

« On va faire danser les étoiles » ai-je entendu à mon réveil 2 matins de suite.

 

 

 

J’ai cherché le sens de Pentecôte. A cette période, les peuples divisés se réunifient avec la manifestation de l’Esprit Saint. Alors, nul doute pour moi que mon père est venu avec joie accueillir son fils, lui qui, « grâce » à la compréhension liée à la maladie, ne le rejetait plus, et ne rejetait plus la Lumière et l’Amour divins.

 

 

 

Je dois avouer que j’avais, autrefois, parfois, envisagé avec crainte le décès de mon frère, à cause de son rejet de ce que je nomme Dieu, mais que chacun est libre d’appeler comme il l’entend. Non que j’aie peur d’une quelconque « punition », bien évidemment, mais du fait que son âme refuse d’aller dans la Lumière et ne trouve pas la paix.

 

 

 

Voilà, plein de beaux « enseignements », des guérisons pour moi aussi, arrivent de l’épreuve, (car nos blessures et nos souffrances, exprimées différemment, parce que nous étions aussi différents qu’il est possible de l’être, ont la même origine)…

 

 

 

Comme l’annonçaient les magnifiques palmes ciselées par le vent sur nos voitures, à même le givre, cet hiver ; mais aussi cette multitude de coquelicots qui ont poussé à la place des gravats… Fragiles, certes, mais rouges comme le sang pur de la vie !

 

 

 

La suite bientôt.

Bonne fin de Pentecôte !

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 18:13

Photo personnelle

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Hello !

 

 

Après réflexion, j’ai réalisé avoir commandé le livre « Revivre ! » le vendredi 18 mai, et c’est le matin suivant (samedi 19), ainsi que le dimanche matin, que je me suis réveillée avec dans la tête l’air de « Mozart L’Opéra Rock », mais paroles « version Anges Gardiens » :

 

« Ce soir c’est le grand soir,

On va faire danser les étoiles… »


 

Etrange « coïncidence », cela ne m’a pas marquée sur le moment, alors je n’ai pas relevé la page, mais l’auteur a fait état, dans le livre, d’un surnom qui lui était donné, si je me souviens bien, avec ce même mot : « Rock ».

 

Mais il y a aussi un autre fait bizarre (voir la photo). Sur le côté droit du jardin (vu de l’extérieur), ou gauche (vu de l’intérieur), une profusion impressionnante de coquelicots ont poussé spontanément.

Ce qui rend la chose un peu étrange, c’est qu’à cet endroit là, il y avait, quand nous avons pris possession des lieux, des cailloux entassés, tout le long (à l’endroit même où poussent les coquelicots).

 

Moi ça m’allait bien, ces cailloux. J’adore les cailloux du Quercy Blanc. Et puis ça faisait sauvage, naturel.

Mais mon compagnon est du genre maniaque, alors il a enlevé les cailloux un à un, les a amenés à la déchèterie par seaux entier, puis il a tamisé TOUTE LA TERRE, pour qu’elle soit fine… Oui, avec un tamis, il y a passé des jours !

 

Je n’ai rien dit parce que ça lui fait plaisir de nettoyer. Il aime que ça soit « propret », alors même si ça me serre le cœur, de voir le jardin « domestiqué », je ne dis rien. Pendant ce temps, il oublie qu’il a mal. Et je ne le regrette pas, cette profusion de leurs est magnifique.

 

Mais comment expliquer que toutes ces fleurs aient poussé spontanément ?

Mon compagnon pensait même que je les avais semées dans son dos.

Certes, il y en a en ce moment, même dans d’autres endroits du jardin, c’est la saison, mais seulement un plant ou 2 par ci par là.

 

Alors je me suis rappelée avoir déjà eu un signe lié aux coquelicots, et j’ai fait des recherches sur Internet, pour retrouver la symbolique (j’en avais parlé dans un billet aussi, à l’époque):

 

Sur « musee.somme », il est dit :

 

« Le coquelicot est un symbole international à la mémoire de ceux qui sont morts à la guerre. Son origine est aussi internationale. »

 

D‘après http://plantaromes.canalblog.com/archives/2005/12/19/1128056.html

Symbolique du coquelicot : « mais sa symbolique la plus remarquable est celle qu'on lui attribue dans la Légion royale Canadienne.Le coquelicot est le symbole internationnal à la mémoire de ceux qui sont morts à la guerre, et chaque année, le 11 novembre, pour des millions de canadiens, le coquelicot devient " la fleur du souvenir".


« Hasard » ou « coïncidence » ? L’auteur du livre « Revivre » est Canadien (Québec).


Et j’ai retrouvé aussi un blog dans le Gard (département où habitaient mes grands-parents maternels jusqu’à la mort de ma grand-mère), où l’auteur raconte :

« 08.05.2011

Le coquelicot symbole du souvenir

Le matin du 8 mai à l'entrée du cimetière un petit coquelicot fleurissait presque au pied du monument aux morts. »

(http://ledignan.blogs.midilibre.com/archive/2011/05/08/le-coquelicot-symbole-du-souvenir.html).


Rappel : c’est le 8 mai 2011 que j’ai fait ma première « constellation familiale » en rapport avec la guerre 39/45 et les drames de ma famille maternelle.

 

Oui, on peut bien sûr penser qu’il s’agit de « hasards », de « coïncidences », mais pour mes chers inspirateurs célestes qui ont attiré mon attention sur tout cela, c’est un signe encourageant, symbolisant les résultats positifs de mes recherches.


 

Mais le coquelicot a aussi une autre symbolique, il fête les 8 années de mariage.

 

« Coïncidence » encore ? C’est en 2004 (pour l’anniversaire de son « départ »), il y a donc presque 8 ans, que j’ai commencé à avoir des signes avec mon chanteur préféré, et que j’ai fait les 2 premiers portraits de lui (offerts, sur « conseil » de ces chers Anges, et avec leur aide, la même année, à ses enfants pour le premier, et à une jeune femme qui a fait un site en son hommage pour le 2ème).

 

Bonne fin de journée !

 

 

 

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 17:25

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Hello !

 

Pour essayer de te répondre, Claire, disons que ce funeste jour là est synonyme pour moi de cruelles trahisons et désillusions.

 

J’espère que vous allez bien, et que les vacances se sont bien passées pour ceux et celles qui sont partis.

Je vous ai un peu abandonnés, un peu fatiguée ces derniers temps. Je suppose que cela va bouger sous peu, c’est souvent ainsi, après un coup de fatigue.

 

Hier matin et ce matin, je me suis réveillée avec dans la tête la chanson de « Mozart L’opéra Rock », dont le titre est : « C’est bientôt la fin », mais, avec les paroles suivantes :

 

« Ce soir c’est le grand soir,

On va faire danser les Etoiles,

Bien plus haut, bien plus haut… »

 

Version Anges Gardiens ???

 

Même si Montpellier joue un match important ce soir, et que mon fiston (le dernier) suit l’affaire, et bien que connaissant le penchant de ces chers Anges pour le sport (contrairement à moi !), je suppose qu’il ne s’agit pas de cela (hi ! hi !).

 

Tout cela n’est bien sûr pas à prendre au 1er degré, au « diable » les oiseaux de mauvais augure, mais dans le sens de « l’Ascension », après la « Résurrection » de Pâques (le 8 avril), ascension vers le meilleur, comme le dit le reste de la chanson :

 

« Allez viens,

C’est bientôt la fin,

De ce monde qui n’entend rien,

Allez viens sonner le tocsin,

Fais valser leurs vieux discours,

Viens danser, c’est notre tour… »

 

Peut-être va-t-il y avoir des découvertes scientifiques ou autres, allant dans le sens de la spiritualité, vers plus d’écoute intérieure, plus de respect des autres et de la Terre ? J’y crois vraiment. Peut-être que c’est le sens de ce qui m’a bien semblé un signe, le 26 Avril ?

 

Sur la fin du mois d’avril, nous avons eu pendant quelques jours beaucoup d’oiseaux nouveaux qui sont venus manger ou se poser dans notre jardin, parfois en même temps.

 

« Coïncidence » ? Mon agenda, qui est un agenda d’écolier, vert et jaune « fluo », est décoré, sur la couverture, d’une femme en robe rose, chapeau de fruits et feuilles, qui danse, toute auréolée de lumière, tenant un ballon SUSPENDU A UN FIL, qui porte l’inscription :

 

« Une grille Fun Tendance » 2 libellules et un oiseau sont autour d’elle.

Et ce mois d’avril, est agrémenté, dans mon agenda toujours, de logos « Peace and Love ».

 

Le 26 Avril dernier, notamment, alors que quelques minutes auparavant j’avais remarqué une jolie huppe, perchée en haut d’un tas de terre, au bout de mon potager, j’ai avisé par « hasard », un gros oiseau perché sur la mangeoire. Il nous tournait le dos. Mais comme il est resté longtemps (au moins 20 mn), nous avons eu le temps de le photographier… et de le voir tourner la tête vers nous, derrière le rideau. Voir la photo.

 

Il s’agit d’un FAUCON CRECERELLE, oiseau bénéficiant d’une protection totale, sur le territoire français, depuis le 17 avril 1981. Wikipédia dit : « Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement, de le naturaliser ».

 

« Coïncidence » ? Mon père qualifiait souvent mon rire de « rire de crécelle » !

 

J’ai aussi lu (sur le site de la L.P.O., je crois), qu’il « défend son territoire avec fermeté, expulsant même des rapaces plus grands que lui », et que « c’est un auxiliaire précieux de l’agriculture ».

 

Le plus étrange ? Il a un vol dit du « Saint Esprit » : « il s’immobilise sur place, comme suspendu à un fil » !

 

J’ai bien sûr cherché la symbolique, et ai notamment trouvé : « représente l’ascension » !

 

Ou encore : « symbole du mortel lié à l’immortel », « messager protecteur et visionnaire »

 

Il y a quand même un point qui me « défrise », c’est cette appellation de « rapace », que lui a donné l’humain.

 

A-t-on jamais vu un animal, quel qu’il soit, et encore moins un oiseau, truffer la terre de tuyaux de toutes sortes, la bétonner, abattre ses arbres pour son confort, répandre toutes sortes de produits chimiques pour obtenir plus de profits et de « sécurité, et se croire autorisé à tuer des espèces, sinon pour le plaisir, du moins en les qualifiant de nuisibles… et j’en passe ?

 

Bon, mais revenons à « mon » faucon. Je suis quand même allée vérifier, après son départ, qu’il n’ait pas mangé de petits oiseaux, (même si ce n’est pas sa nourriture habituelle), et n’ai pas vu la moindre plume dans le jardin.

 

Le lendemain (27), tandis que je cherchais des infos sur lui, j’ai remarqué une autre « coïncidence », c’est, au programme d’une chaine télé, le soir même :

 

« L’oiseau rare », avec un personnage nommé… Isabelle !

 

Allez, courage, les mauvais souvenirs et les mauvais jours devraient bientôt être « exorcisés » et faire place à la récolte des fruits !

Bonne fin de journée !

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 11:56

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Photo personnelle

 

 

Hello !

 

Je voudrais reparler d’un sujet important : les messages qui nous sont transmis par nos Anges Gardiens. Les mots ne sont jamais choisis à la légère.

 

Contrairement à nous, ils savent dire ou plus souvent suggérer en peu de mots un maximum de choses, qui peuvent porter sur plusieurs années, sachant que tout ne peut nous être dit, dévoilé, car nous avons un chemin de compréhension à faire. Cependant, le choix des mots est là pour nous aiguiller, nous aider dans nos recherches.

 

Pour cela, le dictionnaire peut nous être fort utile, car trop souvent, notre attention peut être focalisée sur le premier sens d’un mot, celui qui éveille en nous quelque chose sur le moment, mais on ne pense pas à chercher du côté des autres sens possibles.

 

Exemple : Résistance, qui évoquait pour moi, sur le moment, associé à Jean Moulin, (dont un dessin m’avait été inspiré et dont le nom émaillait ma vie : rues, lycée, bâtiments, etc.), le fait d’être trahi, torturé, fusillé, et la guerre.

 

Or, il y avait aussi l’autre sens : celui de résister, de ne pas lâcher prise, de ramer à contre courant, mais aussi celui de ne pas se laisser impressionner, ne pas se laisser écraser, etc.

 

Autre exemple dont j’ai compris le sens plus récemment, c’était le fameux « Don Quichotte », que ces chers Anges me donnaient en exemple du piège dans lequel il faut éviter de tomber : se tromper de cible, perdre son temps et son énergie à guerroyer contre des ennemis imaginaires, qui ne sont que des épouvantails.

 

Mais le nom de ce personnage de Don Quichotte évoquait aussi pour moi quelqu’un de bien précis, de mon histoire familiale, à l’origine d’un piège pour moi, là aussi. Mais cela, si j’en avais conscience, j’avais du mal à le mettre à plat pour chercher de ce côté-là les blocages.

D’autant plus que je me suis trouvée parfois confrontée (douloureusement) à des personnes qui me semblaient en être des « clones », les répliques parfaites, mais quelque chose en moi refusait de faire le lien.

 

Pourtant, cela expliquait beaucoup de mes soucis.

 

Même chose, parfois, s’il nous vient à l’esprit un mot ou une expression qu’il n’est pas dans nos habitudes de dire. Cela peut être pour essayer de nous mettre sur la voie d’un problème, ou d’une solution.

 

Un des exemples : quand une de mes copines est tombée, il y a plusieurs années, dans un groupe que la suite (et le présent !) a démontré dangereux, et qu’elle m’a enregistré des cassettes de leur prétendu « enseignement », cassettes que je n’ai pu écouter avant 2 bons mois (accident de mon chat suivi d’une grave otite qui m’ont empêchée d’aller les chercher), ce qui m’a laissé le temps de voir les « dégâts » s’opérer chez cette copine et sa famille…


Dès que j’ai compris qu’il y avait un gros problème de ce côté-là, mon otite a cessé, et j’ai pu aller chercher les cassettes sans risques (puisque j’en avais vu les effets), et ainsi avoir la confirmation, de visu, face au comportement complètement « fou » de ma copine et des siens.

 

Comme j’essayais, à ce moment là, de comprendre ce qui me bloquait ainsi, des intuitions me venaient, pour me mettre sur la voie : son prénom, expressions utilisées par cette copine, etc.

Mais à cette époque là, je ne savais pas et n’ai compris qu’un peu tard.

 

Il y a eu aussi un fait un peu trop long à raconter, mais qui, en résumé, me démontrait que suivre ses conseils (en l’occurrence écouter et suivre cet « enseignement »), pouvait s’avérer dangereux pour moi-même, et plus généralement pour d’autres. Là aussi, je ne l’ai compris que plus tard, en faisant des rapprochements.

 

Il y a aussi les « coïncidences », les faits étranges et désagréables qui se produisent juste avant, pendant, ou juste après ce qui pose souci.

Sans surtout tomber dans la paranoïa (ce qui n’arrangerait rien, bien au contraire), il est bon de chercher à faire des recoupements, de façon pragmatique, sans conclusions hâtives, en prenant le temps de voir venir, car parfois on peut penser à une raison qui nous semble la seule possible, et ne pas avoir tenu compte d’un autre fait concomitant, qui s’avèrerait pourtant le « bon ».

 

C'est pourquoi il est bon de bien prendre le temps d'écouter, de noter, d'analyser, de comprendre, de lire et relire, même des années après, les messages qui nous sont transmis.

 

A bientôt et bonne journée !

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 17:51

Photo d'une carte du jeu "Messages de vie" de Mario Duguay

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Hello !

 

J’espère que vous allez tous bien et que vous profitez du soleil, en souhaitant qu’il revienne vite pour les Bretons, qui se reconnaîtront.

 

Joli signe, dernièrement, que je vais vous raconter.

Le 8 Mai (fête de la Victoire de 1945, donc fin de la 2ème guerre mondiale), nous étions invités chez la Tante de mon compagnon.

Elle est abonnée à une revue mensuelle que j’aime beaucoup, et me la passe quand elle l’a lue. Enfin, disons plutôt que j’y saute dessus dès que je la vois.

 

Je pensais l’avoir lue en totalité, au moment de repartir, ce Mardi 8 Mai, et l’avais posée sur la table. Mon compagnon l’a prise en mains et l’a ouverte au « hasard », pile sur une photo pleine page qui m’a sauté aux yeux…

Devinez…

 

C’était bien sûr qui vous savez, une pub pour la station Nostalgique, avec en sous titre :

La Légende.

 

J’ai retrouvé instantanément mon petit cœur de midinette. J’adore son gentil sourire un peu triste.

 

Je ne l’avais pas vu quand j’ai feuilleté la revue, probablement parce que j’ai tourné 2 pages à la fois.

 

Alors j’ai mieux observé.

Titre de la revue :

 

« Pleine Vie » de Juin.

 

La photo est sur la page de droite.

Sur la gauche, rubrique…

 

« Bien-être Câlinothérapie »

 

Titre :

« Comment ça va l’amour ? »

 

Sous-titre :

« Un rendez-vous sans tabou pour mieux vous aider dans votre vie amoureuse.

Une seule règle, ne pas avoir peur des mots. »

 

Excellent programme, non ?

 

*** Comme je termine d'écrire ces mots, j'entends un cri d'oiseau, comme un appel...

C'est le pic épeiche, perché sur la mangeoire (un couple nous rend visite tous les jours).

Bonne symbolique d'ascension !

 

Bonne fin de journée !

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 16:34

 

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Photo de mon dernier pastel "inspiré", que j'ai offert récemment. La fleur rouge symbolise la vie.

 

 

 

Hello !

 

Finalement, notre promenade « mouillée » d’hier après-midi était chargée de symboles, que m’ont expliqués mes chers inspirateurs célestes, en rapport avec le « balayage » des souvenirs, mais surtout de l’influence, du vécu de l’enfance.

 

Je pensais avoir depuis longtemps « évacué » tout cela, compris, pardonné, mais je n’avais pas pris la mesure exacte du conditionnement que cela avait laissé, non plus que de quelques points importants, dont j’ai réalisé la portée, et qui vont m’aider à me libérer de ce conditionnement.

 

Cette personne, qui est passée devant moi, tandis que nous étions dans le train, symbolisait vraiment la racine du problème.

 

Ce matin, je rentrais en voiture de mes courses, en réfléchissant au fait que je m’étais abritée sous un dolmen, hier, qui, selon mon compagnon, servait de tombeau, autrefois.

 

Etait-ce en rapport avec ce vécu familial, et notamment avec ce petit demi-frère que je n’ai pas connu, auquel je ne m’étais jamais autorisée à m’intéresser, pour des raisons que je comprends enfin ?

 

Parallèlement, j’arrivais au niveau du panneau d’un artisan, peu avant le chemin vers mon domicile, quand AU MEME MOMENT, a débuté la chanson (sur Nostalgie « Vos plus belles émotions » si je ne me trompe, vers 10 heures):

 

« Petite Marie » de Francis Cabrel. « Coïncidence » ? Même prénom que mon demi-frère !

 

J’ai bien sûr prêté l’oreille aux paroles, notamment :

 

« Petite furie je me bats pour toi

Pour que dans 10 000 ans de ça,

On se retrouve A L’ABRI sous un ciel aussi joli

Que des milliers de roses (…)

 

Je viens du ciel et les étoiles entre elles

Ne parlent que de toi et d’un musicien qui fait jouer ses mains

Sur un morceau de bois

De leur amour plus bleu que le ciel autour…

Petite Marie, je t’attends transi SOUS UNE TUILE DE TON TOIT (…) »

 

Arrivée à destination, j’ai attendu que la chanson se termine avant d’arrêter le moteur, mais j’ai quand même pris le temps d’écouter l’annonce de la chanson suivante :

« SUPERTRAMP, en version originale »

 

Pointe d’humour de ces chers Anges, pour la saucée d’hier ? Super trempés, en version originale, style Anges Gardiens ???

 

Cela nous ramène naturellement aux signes d’hier.

D’abord ce joli lézard, avec sa bonne bouille et son regard bienveillant, qui ne me faisait plus peur, couramment employé pour symboliser la recherche de Lumière et la sagesse.

La tête dans le Ciel (le bleu), et le reste vert, comme la couleur de la vie, « rassurante, rafraîchissante, humaine » nous dit le Dictionnaire des symboles de Chevalier et Gheerbrant.

 

Ensuite, le fait que je me sois réfugiée, recroquevillée sous ce dolmen, où étaient enterrés les morts, qui reflète ma vie : la petite place que je me suis trouvée pour me mettre à l’abri des éléments, entre ce jeune frère mort, et mon frère cadet malade, à sa naissance (asthme)…

 

Mais, bon signe, m’ont expliqué ces chers Anges :

 

« Tu n’es pas restée dans cette position inconfortable, et illusoirement protectrice, tu as pris la décision de tenter ta chance. Oui, comme tu l’as fait remarquer, vous avez tout connu :

 

la chaleur, la douceur, le soleil, puis la pluie qui trempe et donne froid. Mais vous n’avez pas vraiment souffert ni vu le temps passer, tant vous vous êtes amusés, comme des gamins, car le soleil, la douceur et le beau temps sont revenus et vous ont réchauffés.

 

Et que dire de ce chêne immense, que tu as remarqué et devant lequel tu as posé, dont beaucoup de branches avaient été sciées, mais qui repartait de plus belle, pourtant, avec sa multitude de jolies feuilles d’un vert tendre.

 

Enfin, tu as fait provision d’orties pour ton jardin. Si elles piquent quand on les cueille sans précautions (ce qui ne fut pas le cas), cela ne les empêche pas d’être une bénédiction pour traiter et nourrir le jardin.

 

Alors, est-ce que ça ne vaut pas la peine de s’autoriser à vivre vraiment TOUT, de s’autoriser à TOUT RESSENTIR ?

Parce que c’est cela être vivant, tout ressentir ! »

 

Bonne fin de journée !

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 17:51

Hello !

 

Avant de continuer, je voudrais citer cette phrase, envoyée, avec d’autres, une amie, ce matin :

 

« Le cœur le plus sensible à la beauté des fleurs est toujours le premier blessé par les épines » (Signé Thomas Moore).

 

Si le déroulement du week-end de « constellations familiales » apporte à chaque fois beaucoup d’éclaircissements, beaucoup de baume sur les plaies, grâce à la compétence du professionnel qui la conduit, les jours suivants en amènent encore, un peu comme si une vanne s’était ouverte… balayant les phrases « assassines » entendues dans l’enfance, qui, comme celles d’un gourou, dictaient leur loi depuis des décennies, à mon insu.

 

Grâce à tout cela, j’espère avoir enfin complètement cerné le problème lié au fait de me retrouver confrontée parfois à la trahison, à la manipulation mentale (qui confine à la folie), visant, pour hypnotiser, à faire croire à une « bonne œuvre », ces 3 « ingrédients » étant toujours mêlés.

 

D’autres raisons ont donc été mises en lumière, les plus difficiles à accepter et à extirper. Même si au fond de soi on sait à quoi s’en tenir, il y a toujours cette main invisible qui semble empêcher de voir vraiment.

 

C’est donc aussi l’explication de ma tendance à faire « l’autruche ».

Reculer le plus possible la prise de conscience avec la réalité, même si on l’entrevoit en filigrane, même si on n’est pas totalement dupe, tant pis, c’est toujours cela de gagné sur le « tsunami » que cela va provoquer, « réplique » de celui qui a tant marqué.

 

Cela paraît tellement plus simple de les enterrer, ces souvenirs. Cruelle erreur, car ils ne font que livrer bataille à l’intérieur de soi, et tôt ou tard, le « pus » devra sortir… Et le « tsunami » déferlera de toute façon.

 

Evidemment, cela fait écho à des vécus de l’enfance, et c’est pour cela qu’à chaque fois c’est si difficile à vivre et à dépasser.

Pourtant, la seule façon de briser le cercle vicieux, c’est de retrouver la blessure de départ.

 

Alors, enfin, sur le chemin du retour, quand, comme souvent devant de tels spectacles… significatifs… les larmes me sont montées aux yeux devant un petit veau ou un tout petit agneau tétant leur mère, dans les champs, je ne me suis plus traitée de « madeleine ».

 

Et mes chers « petits » Anges m’ont montré qu’ils étaient heureux, par les signes qu’ils m’ont donnés.

Rappel : c’était le jour de la fête de mon père.

 

J’écoutais le CD de qui vous savez, en roulant, la tête dans les nuages… c’était un tel bonheur de se sentir enfin le droit d’être soi…

 

Quand je me suis rendu compte que je n’étais pas sur la route habituelle.

 

Comme je passe toujours par le même itinéraire, par peur de me perdre, je n’ai pas fait attention et ai raté l’embranchement.

 

Sur l’instant, l’angoisse est montée : où allais-je bien atterrir, avec mon sens de l’orientation particulier ?

 

Mais comme la chanson qui passait à ce moment là était :

« Ma bonne étoile », rassurée, je me suis dit que j’étais en bonne compagnie, alors, je ne risquais rien…

ET JUSTE A L’INSTANT, JOE CHANTAIT :

 

« Et me voilà roi mage,

Au début d’un voyage,

Qui ne finira qu’à la fin des temps…

Oh ! Oh ! Ma bonne étoile… »

 

Effectivement, tout s’est bien passé, et cette route que je ne prenais jamais de peur de me perdre (très significatif là aussi), elle m’a ramenée chez moi plus tôt que si j’avais emprunté celle que je connais, et elle a été plus agréable, car j’ai traversé 2 sites touristiques très beaux.

 

« Hasard » ? Peu de temps après mon arrivée à la maison, je me suis aperçue qu’une belle huppe bien vivante arpentait le jardin, malgré la pluie, picorant avidement.

Nous l’observions, avec mon compagnon, quand j’ai remarqué qu’il y en avait une autre, un peu plus petite, non loin d’elle.

Pour la première fois, un couple de huppes venait picorer dans le gazon. Elles sont restées une bonne dizaine de minutes, mais nous n’avons pu les photographier ensemble, elles bougeaient trop.

Quelle différence avec celle qui paraissait sans vie, quelques jours avant, et qui ne s’est envolée que quand je suis sortie dans le jardin (secret ?) !

 

Un peu plus tard, ce fut un couple de tourterelles qui nous a rendu visite. L’une des 2 s’est même posée sur le toit de la mangeoire.

 

Signe ou « coïncidence », depuis cette constellation, j’ai plus d’appétit, et cela dure.

 

Bonne fin de journée !

 

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