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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 10:35

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Hello !

 

Merci pour vos com. et messages. Pour te répondre, Claire, je pense que tu avais raison, il semblerait que cela symbolise Pâques et la Résurrection, car peu de temps après, j’ai vu à la télé un reportage sur les cérémonies des Rameaux, et effectivement, certains avaient des branches de palmiers, à la place des rameaux d’olivier ou de laurier.

 

Bonne symbolique tout cela, avec Pâques qui approche, et sachant que nos voitures recouvertes de palmes par le givre, portent le même nom (même si classification différente) !

 

Il y a quelques jours, j’ai été amenée à discuter avec une amie de longue date, sur le sujet des sectes, et surtout sur les conséquences que l’emprise morale peut avoir sur le psychisme, qu’on est souvent loin de soupçonner.

 

Elle-même est tombée sur un groupe dit de « spiritualité », il y a très longtemps, bien avant que nous ne fassions connaissance.

Elle m’en avait un peu parlé auparavant, mais elle est revenu sur un soir où, au vu des « expériences » pratiquées dans ce groupe, elle a soudain ressenti un gros malaise, une sensation d’étouffement, et s’est sentie poussée à fuir.

Ce qu’elle a fait, pour ne plus revenir.

 

Mais, et c’est ce qui confirme qu’il ne faut pas prendre à la légère ces faits et agissements, lors de cette dernière conversation, elle m’a avoué que cet épisode l’avait tellement bouleversée et écœurée, qu’elle est restée DES ANNEES sans pouvoir prier, rejetant de ce fait, pratiquement tout ce qui touchait à la spiritualité, tant elle avait peur de retomber sur quelque chose de similaire, et parce qu’elle n’y croyait plus.

 

Cela ne m’a pas étonnée, vu l’effet que mes expériences ont eu sur moi : envie de tout arrêter, écœurement par rapport à ce « milieu », impression que tout cela est trop dangereux.

Or, ce sont certaines personnes qui sont dangereuses, et il faut les faire contrôler, ce n’est pas la recherche spirituelle qui est dangereuse, tout au contraire.

 

Et c’est là le risque, m’ont expliqué mes chers inspirateurs célestes, et contre lequel ils m’avaient pourtant souvent mise en garde, et ce dès 2002 :

 

« Ne pas se laisser abuser par toute personne voulant nous soumettre à son jeu dans la société ».

 

C’est le piège, quand on veut trop en faire, trop bien faire, quand on ne se donne pas le droit à soi-même d’exister individuellement, c’est de tomber sur des individus, isolés ou en groupe, qui, derrière des entreprises commerciales maquillées en association caritative (rien de tel pour attirer les dons, bonnes volontés et endormir la méfiance), vont utiliser à leur seul profit cette « manne ».

 

Pour éviter ce piège là, toujours bien se poser la question si l’on fait ce que l’on ressent vraiment devoir faire, en toute liberté, sans contrainte, parce qu’on le ressent ainsi, et non pour essayer d’étouffer un sentiment de culpabilité d’être et d’avoir, alors que d’autres n’ont pas, ou bien de devoir racheter une prétendue erreur, filons (dans le sens de gisement, non dans celui de « partons ! », quoi que !), filons dont vont se gorger ces individus.

 

S’assurer que l’on n’est pas « téléguidé » par une ou des volontés terrestres masquées, qui n’ont souvent pour seul but que le pouvoir et le profit.

 

Mes chers Anges m’ont précisé dès 2002, et souvent répété :

« Il ne s’agit pas de faire beaucoup, mais de faire bien ! »

 

Et pour être sûr de faire bien, il ne faut pas hésiter à vérifier, et ne pas se contenter de discours et le cas échéant, à signaler les dysfonctionnements et abus.

 

Et c’est aussi le sens de l’épilogue de la tentative d’usurpation de mes plaques minéralogiques (voir en fin d’année pour ceux qui me lisent depuis peu), qui m’a valu un courrier d’une assurance, au nom d’une assurée COUVERTE par cet organisme, prétendant que mon véhicule aurait occasionné des dégâts au véhicule de cette personne, mais aussi à son fils, dans une ville de région parisienne (à plus de 600 km de chez moi !), qui n’a pas une très bonne réputation, et où je n’ai jamais mis une roue, ni un pied, d’ailleurs.

 

Mes proches ont toujours trouvé cette histoire pas très claire, et moi de même, d’où mon dépôt de plainte.

 

Mais je ne crois pas le moins du monde au hasard, il y avait peu de chances qu’une telle histoire tombe sur ma voiture (même si c’était particulièrement symbolique, du fait du nom de ce type de véhicule).

 

Cela m’a permis, en analysant les faits, les « coïncidences », de comprendre qu’il fallait que je fasse moi aussi un constat de ce que j’avais vécu et dont j’avais été témoin, depuis toutes ces années, auprès d’une autorité dont c’est le rôle, de protéger les individus des manipulations et dérives à caractère sectaire.

 

Quelques uns des autres faits significatifs de la situation, c’est le nom du prétendu conducteur, qui faisait irrésistiblement penser à ROBOT (un robot, c’est « téléguidé », cela agit suivant une autre volonté que la sienne, la volonté de celui qui le « manipule » !), et le nom de la prétendue victime, qui évoque assez le verbe ROULER (rouler pour) voire ROLE.

 

Plus d’un mois après le retour de l’accusé de réception de mon courrier en réponse à cette assurance, (expliquant qu’il ne pouvait s’agir de mon véhicule), j’ai reçu de leur part un courrier de relance, me signifiant que ma compagnie ne les avait pas contactés !

 

Alors là, la rogne m’a prise, et je les ai rappelés, les renvoyant à la plainte déposée (que je n’avais pas mentionnée dans le courrier), laquelle avait été transmise au parquet de leur région.

 

Quand j’ai évoqué la maréchaussée et la justice, mon interlocutrice a bredouillé qu’elle ne savait pas, que dans ce cas je ne devais pas tenir compte de leur lettre, qu’elle n’avait pas eu le temps de lire mon courrier…

 

- « En plus d’un mois » ? ai-je persiflé.

 

Sa façon de me répondre, les incohérences du prétendu constat non signé (donc qui n’a pas de valeur juridique, et dont on peut facilement prétendre, en cas de contrôle, qu’il ait été contrefait !), tout cela donc m’a amenée à me poser encore plus de questions et à avoir des doutes sur la prétendue « victime » couverte par l’assurance ( !!!), parlant au nom de son fils (très symbolique tout cela aussi !).

 

La suite des informations nous a convaincus qu’il y avait probablement eu une tentative d’escroquerie à l’assurance, peut-être même couverte par une employée de cet organisme.

 

Bien m’en a pris de porter plainte, pour leur couper l’herbe sous les pieds.

 

Ni « hasard », ni « coïncidence », donc, je retiens de cet épisode qu’il ne faut pas hésiter à se défendre, et à faire intervenir les personnes compétentes pour juger les faits concernés, tant pour soi-même que pour éviter à d’autres de payer des pots cassés qu’ils n’ont pas à payer.

 

Une fois de plus, j’ai pu constater que tout ce qui arrive a sa raison d’être (surtout quand c’est bizarre, désagréable…) et son enseignement, si on veut bien prendre le temps d’essayer de décrypter le message.

 

Cet épilogue avait fait taire mes scrupules, liés au fait qu’il me semble important de laisser chacun penser et faire ce qu’il veut, en me démontrant qu’en laissant faire des faits graves sans les signaler, on LES COUVRE et en même temps, on fait courir le risque que les « dysfonctionnements » s’étendent, fassent boule de neige, faisant du mal et du tort à des êtres qui n’y sont pour rien, innocents donc, les coupant de leur foi, de leur vérité, de leur intégrité, de leur rôle, bref, les détournant de leur chemin originel d’épanouissement.

 

Non, le risque n’est pas que matériel (encore que ces chers Anges recommandent de ne pas mépriser l’argent, meilleure façon de tomber sur des aigrefins qui eux le convoitent pour eux-mêmes, et sont tout à fait disposés à nous en délester).

 

« C’est une excellente chose de vouloir aider son prochain, nous applaudissons à cela, mais « charité bien ordonnée commence par soi-même », n’oublions pas notre propre chemin d’évolution et de compréhension, et ne nous en laissons pas détourner par quiconque se prétendant tellement évolué qu’il n’a pas à travailler sur lui dans cette vie là.

Répétons encore et encore : bien malheureux il est celui qui prétend avoir trouvé la Vérité, cela signifie qu’il ne peut plus progresser, donc qu’inévitablement il régresse. »

 

Mais malgré tous ces éclaircissements là, je n’arrivais pas à surmonter mon dégoût, ma démotivation…

Jusqu’à l’annonce de la maladie de mon frère !

 

Nul doute que beaucoup de bonnes et belles choses se préparent, qui vont perpétuer cet élan !

 

Bonne journée !

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