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4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 14:01
Un beau cygne (du Parc animalier de Gramat dans le Lot) et un canard (pas vilain ni petit !)

Un beau cygne (du Parc animalier de Gramat dans le Lot) et un canard (pas vilain ni petit !)

Hello !


Comme j'habite assez loin du lieu où se déroulait la Constellation familiale, je suis partie vendredi après le repas de midi, pour faire étape chez l'amie avec qui je devais y aller.
JE VENAIS JUSTE DE PASSER LE PANNEAU MARQUANT LA FIN DU VILLAGE DE MON DOMICILE, écoutant le CD:


"WORDS" de FR David ("Mots"), qui était une des chansons préférées de mon frère, et que j'ai aussi toujours aimée, mais beaucoup plus depuis son "départ". J'ai d'ailleurs dû commander le CD au pays d'où était originaire "l'occupant" qui a tué le 1er mari de ma mère et son frère ("coïncidence" ?), durant la guerre de 39/45. 


Il y a à peine quelques semaines que je l'ai, et il passe souvent en boucle quand je conduis...


"Words don't come easy to me" (les mots ne me viennent pas facilement)


"This is the only way (C'est la seule manière)


For me to say (Pour moi de dire)


I love you" (Je t'aime)


Enfin, plus précisément j'écoute la version originale, qui, "coïncidence" encore, est la... 13ème (13, c'est le chiffre de l'arcane qu'on dit sans nom, qui symbolise "la mort", mais dans le sens de transformation: "mourir pour mieux renaître").


Juste à la sortie du village donc, LE CD S'EST BRUSQUEMENT ARRETE !!!!


Après
"It is just un simple song" (C'est juste une simple chanson), et juste avant:


"That I've made for you on my own" (que j'ai écrite moi-même pour toi)


Arrrrgggh ! 


Grosse angoisse, car il ne voulait plus remarcher !
En dernier recours, à tout "hasard", j'ai éteint puis rallumé le poste,  et...


Le CD est reparti normalement !!!


Ouf !!


J'ai pensé que le travail allait sûrement porter sur ma relation à mon frère, puisque les paroles évoquent quelqu'un qui ne sait pas dire je t'aime (maladie familiale), et qui pour ce faire, écrit une chanson.


Depuis le début des messages, mes chers inspirateurs célestes ne lésinent pas à me faire remarquer à quel point nos désaccords à tous sont le plus souvent liés au sens de mots auxquels on n'accorde pas la même signification.


Voilà pourquoi Ils me demandent souvent de bien préciser, et notamment la différence de sens entre l'expression 


"empêcheur de tourner en rond" (parfois remplacée par "empêcheur de danser en rond"), dont la signification est: 


"trouble-fête", "voire "emmerdeur" n'ayons pas peur des mots" ajoutent-Ils malicieux" !!


Et l'expression: "tourner en rond" qui signifie ne pas trouver de solution, faire du sur-place.
Intéressant non ???


Et c'est aussi ce que l'on apprend lorsqu'on étudie "LA COMMUNICATION NON VIOLENTE":
S'assurer que l'on a bien la même définition d'un mot qui cause problème.


Comme à chaque "constellation familiale" que je fais, toujours beaucoup de signes et ce que l'on nomme des "synchronicités".


Peu après l'épisode du CD muet, la radio sur laquelle j'avais "zappé" (Chérie !!!) a diffusé une autre de mes chansons préférées: 


"Tout doucement" de Bibi:
"Tout doucement,
Envie de changer d'atmosphère, d'attitude..."


Puis quelque temps plus tard, a été diffusée une autre que j'adore, celle du film: 


"Dirty Dancing" !!!!


Je suppose que celle-là parle à beaucoup d'entre vous, principalement les femmes, car ce film et cette chanson réussissent le miracle de réveiller un petit coeur de midinette, même à 60 piges !!


"Coïncidence" ? Ce film a été rediffusé durant les fêtes du 1er Noël sans mon frère (2012). Et nous l'avons regardé, ma petite-fille, ma fille, ma belle soeur, ma mère et moi !!! 4 générations et la personne que je considère comme ma soeur, puisque c'est le grand Amour de mon frère.
Pourquoi le miracle évoqué plus haut ?


Parce que dans le film l'Amour triomphe de l'adversité, des a priori, et les menteurs et manipulateurs sont démasqués !


L'enfant fragilisé par un sort adverse (sinon injuste), le "vilain petit canard", (joué par Patrick Swayze), y compris dans le regard de la société et de ses stéréotypes, est devenu, symboliquement, un beau cygne. 


L'enfant fragile s'est avéré ne pas être "Bébé" (sa partenaire), choyée, aimée, pour ne pas dire adorée par son père, mais celui qui, bien qu'ayant dû se "sauver" (dans le sens de se secourir) tout seul, n'en avait pas moins gardé et/ou développé des qualités de coeur et d'honnêteté remarquables, par opposition à son rival qui tentait de lui faire porter le chapeau de ses vicissitudes. 


Tout cela était bien encourageant !!!!
Revenons donc à la constellation. Nous voici samedi matin très tôt. Je me sentais en "hyper vigilance", attentive à d'éventuels signes, comme à chaque fois.

Nous sommes arrivées, avec mon amie, vers 5 heures, à la gare de départ, ayant choisi de faire le trajet en train. Mon amie s'est dirigée vers la borne permettant d'imprimer les billets réservés sur internet, posant son sac au sol, à ses pieds. Elle devait insérer sa carte bancaire afin que la transaction se fasse.


Je m'étais un peu éloignée, par discrétion, tandis qu'elle pianotait. 


- "Ca marche" ! s'est-elle exclamée.


Du coup, je me suis rapprochée d'elle...
Quand mon attention a été attirée par un jeune homme qui me semblait bien près d'elle, et en position stratégique, me semblait-il, pour potentiellement voir ca que mon amie faisait.


Il y avait peu de monde à cette heure là. J'avais remarqué un groupe de jeunes (4 ou 5), à la porte d'entrée, mais personne si près. Prise d'un pressentiment, j'ai fixé le jeune homme, qui du coup a fermé les yeux, donnant l'impression d'être captivé par ce qu'il entendait (il avait des écouteurs aux oreilles), avec un air angélique (!!), mais sans bouger pour autant...


Pensant m'être trompée, j'ai tourné la tête de l'autre côté...

Pour, machinalement, la tourner à nouveau vers le jeune en question...


Et constater, éberluée, avec une impression d'irréalité, qu'il s'était rapproché au niveau du côté droit de mon amie...
Et dans la minute qui a suivi...


Je ne l'ai plus vu !


J'ai plongé le regard par terre, pour voir, toujours avec ce sentiment d'irréalité..


LA MAIN DE L'INDIVIDU DANS LE SAC DE MON AMIE !!!


j'ai crié, prête à lui courir derrière pour récupérer le larcin, ce qui a fait pousser un cri à mon amie, et...
L'individu a tout lâché, montrant ses mains vides, assurant qu'il n'avait rien !!


J'étais soulagée, je n'aurais pas à faire un 100 mêtres de bon matin, (ce d'autant plus que je ne suis pas douée comme l'autruche pour la course !), mais outrée quand même. Quel culot !
Je lui ai répondu:


- "Eh ! Vous aviez la main dans son sac !"


Réponse/disque rayé (à croire qu'il a suivi un cours d'affirmation de soi !):


- "J'ai rien, vous voyez bien, j'ai rien" (phrase répétée 3 fois, en montrant ses mains).


Puis il est retourné auprès de ses "collègues", leur parlant dans une langue que nous n'avons pas comprise, mais, selon mon amie, il devait me traîter de qualificatifs peu amènes (noms d'oiseaux ? de VOLATILES ???).


Je me posais la question si appeler les forces de l'ordre, mais mon amie m'a dit craindre une agression violente (il n'y avait plus qu'eux et nous dans le hall de gare). Et puis l'heure du départ approchait.


Bien évidemment, j'ai ressenti qu'il ne s'agissait pas d'un "hasard", et ai réfléchi aux symboliques.
Première constatation: le danger ne venait pas de ce qui a la réputation d'être dangereux, qui est désigné comme tel, en tous cas au moins dans l'esprit des gens !


En effet, nous avions été beaucoup mises en garde par notre entourage par rapport à notre ville de destination. Mais nous étions confiantes.
Et effectivement, nous n'avons rien vécu de négatif là bas.


Par contre, le danger se situait là où nous nous pensions en sécurité, puisque connaissant les lieux: la gare du domicile de mon amie, que je connais bien aussi pour avoir habité plusieurs années le coin.


Et là, encore une histoire de MOTS: GARE, cela peut aussi s'entendre dans le sens de la mise en garde: "Gare à ceci" !


La suite des explications bientôt !
Excellente journée !!

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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 13:18

Hello !


Ce week-end, j'ai fait (accompagnée d'une de mes meilleures amies), une "constellation familiale" (psychogénéalogie)...


Constellation que j'aurais dû faire il y a 2 ans si j'avais suivi les conseils de mes chers "petits" Anges. A cette époque là, j'en avais ressenti le besoin. Un matin je circulais en voiture, et me posais intérieurement la question si la faire ou pas, et si oui où, en écoutant un CD de qui vous savez...


Soudain, alors que Joe chantait:


"Je pense à toi...


Le CD s'est interrompu...


Laissant la parole à une station de radio, au micro de laquelle le présentateur a prononcé le nom et le quartier de la ville dans laquelle devait se dérouler ladite constellation... puis le CD A CONTINUE normalement avec la suite, dont:


"Où es-tu, que fais-tu ?"


Voilà, c'était net et sans ambiguïté !!! 


Avec une telle précision, pas moyen, ensuite, de faire preuve de mauvaise foi en disant qu'on n'avait pas compris, quand, à la place, on a fait une formation en "affirmation de soi", parce que c'était proche du domicile, et qu'à cause de la fatigue due aux travaux de la maison on craignait de ne pas avoir la force de faire le trajet... mais aussi par peur de tomber en panne de voiture (elle donnait des signes de fatigue qui tentaient pourtant d'attirer mon attention sur la nécessité de "réparer") ****


*** Tiens, confirmation ?!! Juste comme j'écrivais la ligne ci-dessus, mon oreille a été attirée par ce qui se disait à la radio (RMC): 


"La peur est mauvaise conseillère" (discussion liée aux effets de la peur, entre un politique et M. Bourdin, sur les solutions à trouver par rapport aux attentats, peu après 8h50).


Le sujet de ce billet, il s'est dévoilé le dimanche 29 novembre  (1er dimanche de l'Avent, bonne symbolique non ?!!).


Rappel mais aussi précision pour les personnes qui ne me lisaient pas durant la période 2008/2009 (environ), sur le site de "Femme Actuelle".


A cette époque là, mes chers inspirateurs célestes m'ont permis de prendre conscience des influences liées à "5 volatiles", comme ils disaient, plus précisément (ce sont des symboliques, bien sûr):


- Caliméro (l'injustice)


- Le vilain petit canard (le rejet)


- Le dindon de la farce (la victime)


- Le canard boîteux (la mauvaise image de soi)


Et "la quintessence", selon l'expression de mes chers Anges, c'est:


- L'autruche !!!


Cette dernière, c'est la symbolique de qui ne veut pas voir, qui est dans le DENI donc, et, pour ce qui me concerne, c'est celle qui rapplique "ventre à terre", dès qu'elle détecte un risque "d'attaque" des 4 volatiles pré-cités, afin d'en contrer (illusoirement) les effets potentiellement perturbants, voire dévastateurs, du moins le craint-elle. 


Et comme l'autruche est championne à la course (au moins la mienne), elle les coiffe généralement au poteau !


Et quand on finit par ouvrir les yeux et voir la réalité en face, généralement à la suite d'une épreuve, alors pour le coup, les effets des 4 volatiles sont vraiment dévastateurs puisque trop longtemps "enterrés" et ignorés, ils jaillissent comme des "diables" de leur boîte !


Le volatile qui m'a donné le plus de "mal", ce fut Caliméro, à mes yeux, jusqu'à dimanche: "le gros pénible", "l'emmerdeur patenté", et sa "réplique": 


Le dindon de la farce. 


Le vilain petit canard, il n'a pas eu la même charge négative pour moi, puisqu'il devient un beau cygne à la fin, et grâce aux conseils de mes chers Anges, le travail a été efficace.


De même pour le canard boîteux, lui aussi "réplique" du précédent.


Bon, mais si de temps en temps il m'arrive de subir quelques assauts de ce qui me semblait une guigne, j'avais quand même intégré, grâce à mes chers Anges, qu'ils ne sont que le reflet, le plus souvent, de la façon dont je me traîte moi-même (mais qui peut aussi être, éventuellement) la façon dont je traîte quelqu'un d'autre). 


Alors je cherche la solution, afin d'en sortir... tout en déplorant quand même de mettre une bonne quinzaine de jours à m'extirper du puits sans fond !


Mais bon, les effets pervers de "l'animal" me semblaient limités quand même. Je m'en étais débarrassée, donc.


Quand, lors d'une****
****
Tiens Joe chante juste à l'instant... 


"Les yeux d'Emilie" ! 


Mon compagnon a dû changer de station avant de partir, et mettre Nostalgie (il est aux alentours de 9h40), notamment ces phrases qui me sautent aux oreilles:


"Je réchauffais ma vie à son sourire (...)
Et la mélancolie, au soleil d'Emilie, devenait joie de vivre..."


Bon présage, je suppose puisque ma constellation personnelle a porté aussi sur la joie de vivre, qui est le challenge que je suis venue relever... péniblement, très péniblement pour ne pas dire assez vainement jusqu'à présent.


Bon, mais reprenons le sujet du volatile: 


Quand, lors de la constellation d'une participante, l'injustice venant sur le tapis, le "Constellateur" a proposé de mettre en scène Calimero. 


J'ai glissé à l'amie qui m'accompagnait:


"Calimero, les Anges m'ont aidée à m'en défaire" ***


*** Quand j'ai rapporté ma phrase, plus tard, j'ai dit "débarrasser" au lieu de "défaire", réalisant par la suite que le choix de mot est important, même si dit sans y faire attention.


Quelle ne fut pas ma surprise d'être choisie par la participante pour incarner "l'emmerdeur patenté" ! J'ai accepté, même si je n'y étais pas obligée, curieuse de voir "l'ennemi" de près, trop intriguée aussi d'avoir été choisie sur tant de personnes, en expliquant au groupe que "le petit père Caliméro" et moi étions de "vieux potes".


Oui, "Vieux potes" mais, dans mon esprit, pris dans le sens de l'illustration parfaite de l'expression:


"AVEC DE TELS AMIS, ON N'A PAS BESOIN D'ENNEMIS."


Je commençais à imaginer le poussin geignard collant à la personne comme la misère au pauvre, entrant par la fenêtre alors qu'on venait de le jeter par la porte, et qu'on soupirait de soulagement, adossé à cette dernière !


Afin de ne pas être "parasitée" par mes a priori et nos vieux "différends", j'ai demandé la Lumière et à être parfaitement neutre...


Et le comportement de Calimero n'a pas été, mais alors pas du tout ce que je pensais !


Dès le début, le ressenti de devoir tourner autour des participants, généralement en sens inverse de leur marche, en veillant à passer derrière chacun, afin de les avoir sous contrôle, un peu comme traçant une frontière invisible, pour baliser (dans le sens de signaler un danger particulier).


Quand le constellateur a demandé, dès que j'arrêterais de tourner en rond, de me placer, Caliméro est allé se placer DEVANT la personne qui constellait, comme un rempart,  même si je ne ressentais pas l'intensité de ses souffrances, face à ceux qui les déclenchaient. 


Quand la "protégée" de Calimero a cherché à l'écarter de son chemin, il a refusé, expliquant:


"Je ne veux pas que tu m'écrases ! Mais si tu me le demandes gentiment, je veux bien."


Elle a fait ce qui lui était demandé et le poussin s'est écarté de son chemin, avec un sourire  ("je réchaussfais ma vie à son sourire" ??) et un gentil petit signe, mais est resté à surveiller la situation...


Pour se retrouver en conflit de pouvoir avec...


LA JOIE DE VIVRE !


Laquelle ne le supportait pas, ne le quittant pas des yeux...


Le résultat ?


Calimero ne savait plus où donner de la tête, comme hypnotisé par la joie de vivre, l'attention attirée cependant par les manifestations de souffrance de certains personnages, qu'il aurait voulu aller limiter, consoler, mais qu'il ne pouvait aller faire, tant le poids du regard et du rejet de la joie de vivre le clouaient sur place.


Note: j'ai été obligée, à plusieurs reprises, de fermer les yeux, aux prises avec les signes de mon burn out: tête qui tourne, troubles de la vision, peur de tomber, envie de fuir... 


Mais le besoin de régler la situation, pour la guérison de la protégée de Calimero a été plus fort...


Et Calimero est resté jusqu'à la guérison !


La constellation finie, j'ai réalisé que la solution, pour la résolution de mon challenge lié à la joie de vivre, POUR CE QUI ME CONCERNE, bien évidemment, c'est d'accepter ma partie Calimero, j'ai ressenti même de l'affection pour elle, puisque j'avais ressenti l'Amour de Caliméro pour toutes les parties souffrantes et son besoin de leur venir en aide.


Je ne dois plus en avoir HONTE, ni en avoir PEUR. Ce n'était pas une marque de faiblesse mais celle de la difficulté à m'accepter telle que je suis. Lui, versait les larmes que je n'avais pas pu verser enfant, lui reconnaissait et écoutait mes souffrances niées et reniées. 


Et si Calimero signale une INJUSTICE, c'est d'abord et avant tout celle que nous nous faisons à nous-même, qu'il convient de reconnaître et réparer.


J'avais déjà réalisé depuis longtemps que Calimero est le REVELATEUR d'une souffrance enfouie, non reconnue ou pas suffisamment, sur laquelle il convient de travailler, mais là j'ai eu la confirmation du fait que l'urgence n'est pas de se débarrasser du sentiment d'injustice, mais de SOIGNER LES EFFETS DU SENTIMENT D'INJUSTICE, donc de bien soigner les effets des souffrances sur lesquelles il alerte.


Non Calimero n'est pas un "empêcheur de tourner en rond" puisque c'est lui qui tourne autour de la situation, mais il cherche à consoler des peines qui n'ont pas été reconnues. Et ce, tant que ces souffrances ne seront pas reconnues et SOIGNEES, en prenant le temps qu'il faut pour cela. 


"ON N'ECRASE PAS UNE PETITE "BETE" QUI SOUFFRE PARCE QU'ON NE VEUT PAS ENTENDRE SA SOUFFRANCE, C'EST INHUMAIN !


En clouant le bac de Calimero dès qu'il se manifeste, on cautionne les injustices ressenties ou subies, donc on les perpétue, et on va attirer des expériences qui vont les faire ressortir, comme on se prend les pieds dans le tapis sous lequel on a glissé la poussière.


Entendons nous bien, même si tu l'as bien compris et intégré, mais ce qui va sans dire va mieux en le disant, nous ne sommes pas en train de dire qu'il faut faire de l'apitoiement sur soi un mode de vie, mais qu' au contraire, il convient de reconnaître le signal que Calimero pointe: les souffrances de "l'enfant intérieur" que chacun a en soi, qui n'ont pas été soignées, et qui ne peuvent être reconnues que par soi-même.
Note: la définition de l'adjectif "volatil" est: "qui s'évapore".


Calimero, bien compris et bien utilisé peut s'avérer un baume pour les plaies.


Mais comme tout médicament, il ne doit pas être utilisé ad vitam aeternam, afin D'EVITER TOUT RISQUE D'ACCOUTUMANCE et d'EFFETS SECONDAIRES NEFASTES qui feraient que le REMEDE SERAIT PIRE QUE LE MAL, puisqu'il perpétuerait aussi le problème: LE JUSTE MILIEU, comme toujours !


Cependant, il est nécessaire de faire le traitement adéquat à chaque crise, car, pour reprendre la citation de Mark Twain:


"On ne se débarrasse pas d'une habitude en la flanquant par la fenêtre: il faut lui faire descendre l'escalier marche par marche."


Et pour ce faire, il convient de bien la voir, la soupeser, afin d'adapter la procédure, de la prendre dans ses bras, l'envelopper d'amour et d'attention, de compassion surtout, compassion à la mesure de celle qu'éventuellement on a eu l'impression de ne pas recevoir, du moins pas à notre convenance.


Et le poussin pourra devenir une belle poule...


Aux oeufs d'or ???"


Du coup, je me suis souvenue avoir vu, il y a pas mal de temps, un article sur la nouvelle version de Caliméro destinée aux enfants, j'en avais parlé dans ce blog, sur le moment, mais l'avais oublié. J'ai retrouvé l'article, sur internet, qui date de janvier 2014 (il y a près de 2 ans !!).


Titre:


"Calimero, non il n'est plus une victime, il agit !"


Il est écrit notamment: plus loin:


"Sa célèbre phrase a été conservée, mais elle est désormais devenue « le signal pour agir et surmonter les obstacles ». « Il peut être affecté mais rebondit toujours. Grâce à ce changement radical, il devient proactif (...)"

Je mets le lien, mais je ne sais pas s'il fonctionnera:


http://www.toutelatele.com/calimero-non-il-n-est-plus-une-victime-56286#x8vdyyk1tgCfxbeC.99

 

Suite et complément à toutes ces explications dès que possible !


Excellente journée !!

La poule aux oeufs d'or, un de mes dessins peint à l'encre vers 2003 je crois

La poule aux oeufs d'or, un de mes dessins peint à l'encre vers 2003 je crois

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 18:11
Un de mes tableaux. Il date de 2007 ou 2008

Un de mes tableaux. Il date de 2007 ou 2008

Hello !


J'espère que vous ne souffrez pas trop de la chaleur actuelle et que le moral est bon.


Hier une de mes amies me confiait ses soucis du présent, mais aussi un autre, potentiel, qui l'inquiétait. Elle me disait que si ce dernier souci se produisait, elle se battrait, bien sûr, mais qu'elle était lasse.


Mes chers inspirateurs célestes m'ont fait remarquer (ce que je n'avais pas réalisé auparavant), que mon amie utilisait très (trop) souvent cette expression:


"Se battre".


Ils m'ont dit de lui expliquer ceci


"On n'a pas à se battre, on a A ETRE, tout simplement".


Ils m'ont précisé qu'en utilisant cette expression de façon habituelle, on envoyait à notre insconcient une forme d'ordre et de considération de la dureté et de la difficulté de la vie. Ordre et considération qui nous ont été d'ailleurs transmis dès notre plus jeune âge, par notre éducation, le plus souvent, mais aussi par nous-même...


Et que nous perpétuons, si nous n'y prenons pas garde.


Et de ce fait, nous courons le risque d'être amenés à affronter des situations (celle envisagée ou une autre à la place) qui exigeront de nous de dépenser toujours plus de nos forces.


Comment remédier au problème ?


En prenant conscience, en priorité, de nos réactions et discours intérieurs... ainsi qu'extérieurs, face aux situations affrontées et aux risques potentiels.


Ensuit, accepter la situation, non pas dans une intention de résignation, mais parce qu'elle existe... un peu comme, m'a-t-il été expliqué, lorsque, lors d'une promenade ou d'un trajet, on se trouve arrêté par le cours d'une rivière, qui nous barre le chemin... du moins le chemin que l'on pensait prendre.


Le fait est là, il y a une rivière.

Il serait fou de penser pouvoir la faire disparaître par nos seules forces.


Ensuite, plutôt que de perdre son énergie à "taper dans tous les coins", prendre le temps de se connecter à sa sagesse intérieure pour trouver la ou les solutions, et peut-être aussi le sens à donner à l'événement, les leçons à en tirer.


Il est important de se faire totalement confiance pour trouver la solution, et aussi de faire confiance à la vie, aux solutions et éventuellement aides qui vont se présenter.


En étant calme, concentré, ouvert, confiant, on se trouvera en mesure de faire face de la façon la plus simple et la plus rapide possible.


Pour parfaire l'exercice, s'imprégner, par avance, de gratitude pour le fait que le problème soit résolu de la meilleure façon qu'il soit.


Voilà, bonne fin de journée !

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 16:37

Hello !


En ce jour symbolique, le billet portera sur:

la confiance en soi et les peurs qui n'ont pas lieu d'être. 


Les peurs qui n'ont pas lieu d'être, (par opposition à la peur signal d'alarme d'un danger, qu'il convient d'écouter et d'analyser), sont des freins, voire des blocages ; elles peuvent être le fondement d'a priori ; le rejet, et tout ce que cela suppose peut en être la résultante.


Qu'est-ce qui peut aider à éloigner les peurs qui n'ont pas lieu d'être ?


"C'est la confiance en soi !" m'ont expliqué mes chers inspirateurs célestes.


"Nous entendons par là la confiance en soi lucide, intelligente... donc, tout en étant humble et sage, bien sûr. Il ne s'agit pas d'orgueil ni de prétention, qui cachent souvent des peurs insconscientes.


Le préalable à la confiance en soi ?


C'est l'acceptation de soi-même, et notamment de sa différence, de ses différences, y compris et surtout quand on la (les) considère comme des "disgrâces".


En acceptant sa ou ses différences, en les intégrant à soi et à sa vie comme des forces (au moins potentielles), on met certaines peurs à distance.


Il est important de bien prendre conscience que nous avons TOUS une ou des différences, il n'y a pas 2 êtres identiques en tous points.

Comme déjà dit, cela commence dès l'ADN.


Rappel: tout ce que nous fuyons ou rejetons nous revient comme un boomerang.


Il est donc essentiel de cesser de perdre son temps et son énergie à refuser une partie de soi, pire encore à la haïr ! 


Autre question/rappel: quelle pire injustice peut-on se faire à soi-même ?


Comment, dans ce cas là, s'étonner de se sentir mis de côté, rejeté, ou tout au moins de ne pas se sentir accepté, un peu comme si on n'était qu'à moitié partie intégrante de notre vie ?


En essayant de "gommer" une ou des différences, afin de se fondre dans la masse, on donne naissance à des peurs confuses: car on court le risque que ce qu'on cherche à gommer soit mis en lumière à notre corps défendant !


Il est donc très utile et important de se visualiser baignant dans la Lumière et l'Amour, EN COMMENCANT par ce que l'on a du mal à accepter en soi: qui son hypersensibilité, qui ses capacités, qui ses origines, qui ses différences physiques, qui son métier, qui sa maladie, qui un ou des "défauts", qui un ou des traits de caractère, etc.


On peut aussi, éventuellement, parler à son enfant intérieur, et lui expliquer que s'il en a souffert, c'était parce qu'il ignorait qu'il s'agissait en fait d'une richesse, un joyau précieux, qu'il est grand temps maintenant de dé-couvrir (en ôtant ce qu'il a mis en place pour l'oublier ou le cacher) et de le mettre en Lumière, avec joie et respect, car ce n'est qu'ainsi que la graine pourra se développer et donner les DIX GRACES !


Et les dix grâces, cela commence par L'ESTIME DE SOI !


Quand on ne rejette plus une ou des parties de soi, que l'on s'accepte et s'aime tel que l'on est, on est sur le chemin de l'estime de soi. 


Dès que l'on intègre que l'uniformité n'est en aucun cas la perfection, il est plus aisé de trouver le chemin de l'estime de soi, laquelle conduira directement à...


LA CONFIANCE EN SOI !


Dès que l'on a confiance en soi, parce qu'on a pris conscience de nos atouts et de notre potentiel, on écarte des peurs qui n'ont pas lieu d'être. 


Récapitulatif: en acceptant et aimant sa ou ses différences, on accepte les différences des autres, puisqu'en prenant conscience de leurs richesses potentielles, elles ne font plus peur, bien au contraire, et cela favorise plus encore la confiance en soi (puisqu'on a chassé des peurs "fantômes" qui risquaient de la fragiliser !), mais aussi le respect comme règle de vie !


C.Q.F.D. !!!"


Et pour terminer, un conseil de ces chers Anges, en forme de constatation:


"N'aie jamais peur de ta Lumière, ne crains jamais de l'irradier, il n'y a que l'ombre que cela peut gêner ou faire fuir."


Voilà l'appel de ces chers Anges en ce jour, et en conclusion:


"Pour du bonheur A LA PELLE !!!!"
 

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9 juin 2015 2 09 /06 /juin /2015 11:00

Hello !


J'espère que vous ne souffrez pas trop de la chaleur.


Dernièrement, nous discutions avec une dame qui a développé un sentiment d'infériorité et un manque d'estime de soi du fait de la comparaison entre sa situation matérielle et professionnelle, et celles de son conjoint. Ces sentiments là l'ont longtemps amenée à supporter des situations qui ne lui plaisaient pas.


Mes chers inspirateurs célestes ont souvent abordé ce sujet là avec moi, insistant sur le fait que ce que nous appelons la "réussite" n'a absolument rien à voir avec Leur définition de ladite réussite.


Face aux dictats actuels, qui donnent visiblement plus de poids à ceux que l'on nomme "grands", de par leur situation professionnelle et/ou leur compte en banque, on peut effectivement se laisser entraîner, même inconsciemment, à nourrir peu à peu ce sentiment de dévalorisation de soi, alors même pourtant qu'au fond de nous, nous SAVONS que cela n'a rien à voir !


"Il faut de tout pour faire un monde" aiment à répéter ces chers Anges.


De ce fait, ils tiennent à souligner que le travail de chacun est indispensable, à son niveau, pour mener à bien l'ensemble des plans divins.


Ils insistent sur le fait que le travail des "humbles" (entendons par là ceux qui vivent simplement, modestement) a la même valeur, sinon plus, à leurs yeux.


Notamment le travail qu'effectuent ceux et celles, "travailleurs de Lumière", sur ce chemin de spiritualité, qui consacrent une partie de leur temps (aux dépens de leurs revenus) à, pour certains, diffuser les messages qu'ils reçoivent, pour d'autres relayer ces enseignements autour d'eux, après les avoir appliqués, et qui de ce fait apportent une aide non négligeable à la construction de l'édifice de la Nouvelle Terre.


Ces personnes là, de plus en plus nombreuses, en outre, ne sont pas (ou plus) dans la course au profit, aux possessions, à la surconsommation, à la promotion personnelle, et aux manipulations de toutes sortes qui vont trop souvent avec, et ne participent donc pas (ou bien moins) à la mise à sac des ressources de la Terre, tout au contraire, car elles sont compris l'importance de tout ce qui est "petit".


"Ne crois-tu pas que ce "travail" là est particulièrement digne d'intérêt et de respect ?" ont questionné ces chers Anges.


Sur la même période, je suis tombée sur une citation affichée par une amie sur Facebook:


"La planète n'a pas besoin de gens qui "réussissent". La planète a désespérément besoin de faiseurs de paix, de guérisseurs, de conteurs d'histoires, et de passionnés de toute sorte." 
Signé: S. S. Le Dalaï Lama.


Toujours sur la même période, dans le n° 352 du magazine "Psychologies" de juin 2015, p. 44, rubrique:


"La phrase qui guide Selah Sue", on trouve cette citation de Alain de Botton:


"Assurez-vous que votre définition de la réussite est bien la vôtre."


Extrait des propos recueillis par Anne Laure Gannac:


"La plupart d'entre nous avons une vision de la russite qui repose sur ce que la société nous en dit (...)"


Confirmation est faite dans cette page, sur les conseils que m'ont donnés mes chers inspirateurs célestes:

sortir la tête du guidon, prendre le temps de se poser, de se retrouver soi-même, de se questionner sur soi et sur sa façon de conduire sa vie, et ce régulièrement, afin d'être bien sûr d'être sur son propre chemin, et non sur le chemin de quelqu'un  d'autre, et surtout de s'assurer d'être en paix et en accord avec soi-même.


Ce, surtout si le corps "parle" et nous envoie des signaux de mal être !!


Ces chers Anges rappellent que dès le plus jeune âge, on peut être amené à perdre le contact avec son être véritable, pour se plier à ce qu'on croit devoir être ou faire pour être accepté, aimé, reconnu, et ne pas être rejeté: avec le cercle familial, les copains, les amis (et les autres !), les enseignants, le milieu professionnel, l'entourage, jusqu'à la société tout entière dans l'exercice de nos activités...


La meilleure façon pour arriver à être heureux d'être soi ????


"DEVELOPPER LA CONFIANCE EN SOI, L'ESTIME DE SOI, L'AMOUR DE SOI, L'ACCEPTATION DE SOI, LE RESPECT DE SOI.

Prendre conscience de sa propre valeur et de la valeur du "travail" fourni.


Cela ne veut pas dire avec orgueil ni prétention, mais simplement, sereinement, en développant la force tranquille de celui (celle) qui sait que sa place, quelle qu'elle soit, y compris dans le moment présent, et que son être tout entier, font partie intégrante du Plan Divin, et à ce titre là, aussi indispensables que la place et l'être de qui que ce soit d'autre.

C'est indispensable pour éviter la manipulation.


De cette façon, il deviendra plus aisé, sinon évident d'accepter,  respecter et aimer son prochain."


Voilà, bonne journée !!!

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 18:32
Cracotte décompresse !!!

Cracotte décompresse !!!

Hello !


On parle beaucoup, en ces temps dits de "crise", du "burn out" et de son corollaire, la dépression.


Si pour ce qui concerne la "déprime", mes chers inspirateurs célestes disent qu'elle arrive quand on n'a pas mis l'essentiel en "prime time", pour ce qui est de la dépression, ils expliquent qu'elle est la conséquence DES PRESSIONS, pressions que l'on s'est laissé imposer, pressions que l'on s'est imposées soi-même, pensant faire ce que l'on croit que notre entourage attend de nous, mais aussi pensant bien faire, parce qu'on est toujours influencé par le "formatage" de l'enfance et du début de notre vie. 


Ce d'autant plus que si l'on n'en a pas pris conscience, on aura attiré à soi des circonstances et personnes qui l'auront perpétué.


Il y a plusieurs mois, après en avoir entendu parler, j'ai ressenti l'intuition d'acheter le livre d'Isabelle Filliozat ("psychothérapeute, certifiée clinicienne en analyse transactionnelle et maître praticien en programmation neuro-linguistique"):


"L'intelligence du coeur - Rudiments de grammaire émotionnelle", éditions J.C. LATTES.


 Dans le même temps, peu avant notre dernier déménagement, en faisant le tri dans les bouquins de mon compagnon, je me suis aperçue qu'il l'avait ! Il l'avait acheté il y a plus de 10 ans, quand il était en activité, mais n'avait pas trouvé le temps de le lire et l'avait oublié. 
Récemment, j'ai entrepris sa lecture et ne le regrette pas !!!


Là encore, je trouve la confirmation de bien des explications de mes chers Anges, en ce qui concerne le domaine des émotions, des peurs, du sentiment de culpabilité, du poids de l'héritage transgénérationnel. 


De nombreux cas sont abordés, qui font écho au vécu de tout un chacun, je suppose, et au mien en particulier. Notamment, p. 102/103:


"Sylvie se perçoit comme émotive et trop sensible. Son hyperémotivité est le reflet de celle de sa mère. Celle-ci ayant refoulé ses affects, Sylvie prend en charge leur expression. L'horreur des camps était telle, que la société entière a tenté de minimiser l'impact psychique de l'épreuve sur les survivants. Aucun accompagnement psychologique ne leur a été fourni, pas même la reconnaissance de ce qu'ils avaient vécu. Il a fallu des années et des années avant que l'histoire vraie des gens ne commence à être entendue. Beaucoup de rescapés n'ont vu d'autre option que de refouler les émotions ressenties pendant cette période de leur vie. Mais ce qui est refoulé reste actif dans l'inconscient."


Les peurs, les colères, le sentiment de culpabilité y sont "disséqués". 


J'ai relevé aussi, p. 144:


"Pourquoi les victimes se sentent-elles coupables ? C'est injustifié. Leur sentiment de culpabilité est fait du retour sur soi de la colère ressentie, mais inexprimable, envers l'agresseur, et de la honte d'avoir été fragile et agressé, d'avoir été humilié.
Quand une victime accède à la fureur d'avoir été molestée, elle ne ressent ni honte ni culpabilité déplacée. Elle peut projeter sa colère sur le coupable, le laisser porter la honte.
Ce n'est pas facile quand dans son enfance on a intégré la honte et la culpabilité comme des parties de soi."


Plus loin, toujours dans ce livre, Isabelle Filliozat traite:


"L'art d'être heureux et de rendre les autres heureux"
"Empathie et résolution des conflits"


Si tous ces livres, tous ces témoignages pouvaient ouvrir les consciences et permettre à chacun, non seulement de se libérer du poids d'émotions héritées, des bâillons du passé, mais aussi, dans le présent et le futur, de ne plus se laisser bâillonner face aux agressions, maltraitances (qu'elles soient physiques ou psychologiques), humiliations, manques de respect, qui détruisent l'essence de l'individu, et le poussent à coup sûr vers la dépression et l'auto-destruction (qu'elle soit consciente ou pas).

Pour que plus jamais ne soient banalisés tous ces méfaits. Ces prises de consciences sont des passages obligés si l'on veut que règne un jour sur cette terre, la paix, le respect et l'harmonie...


Voilà, bonne soirée !

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