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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 17:34

Hello !P1020063Cracotte prend la vie du bon côté !

 

Oups ! J’ai pris un peu de retard avec mon blog.

Dernièrement, ces chers Anges sont revenus sur le fait que tout « échec », si on le veut bien, recèle, dans un coin plus ou moins caché, une porte qui donne sur la compréhension, et par là même la « réussite ».

 

Tout comme toute « réussite », comporte, parmi toutes les ouvertures qu’elle suscite, une porte qui peut conduire dans une impasse, voire même à se perdre.

 

Cela semble rejoindre le billet que Sand nous a remis dernièrement (blog « plume d’ange » sur over), qui rappelle la notion de chance et de malchance.

 

Cela m’a remis en mémoire le billet que m’avaient inspiré ces chers Anges, il y a une paire d’années, donnant leur définition de l’expression:

 

« Tirer le diable par la queue », qui signifie, m’avaient-ils expliqué, s’entêter à écouter son mauvais ego (part d’ombre, « diable« ), qui serine à l’envi qu’on n’a pas de chance, que ce n’est pas la peine d’essayer, etc. »

 

Bref, hélas, tout ce qui dissuade de raisonner en abondance.

Ce faisant, on se cramponne à sa part d’ombre, on refuse de la lâcher. Elle au moins, elle ne nous déçoit pas: elle est toujours là. Ben oui, elle nous suit… comme notre ombre !

Et pourtant, si on essayait de courir le risque de l’envoyer promener, cette part d’ombre, et qu’on accepte d’ouvrir la porte qui donne sur la Lumière, combien on serait surpris !

 

Voici un exemple:

 

La « leçon » de ces dernières semaines étant encore fraîche dans mon esprit, j’essaie de penser un peu plus à l’amusement, et à lever le pied aussi (pourvu que ça dure !).

Du coup, Samedi, j’ai entraîné mon compagnon à un loto. Oh, un petit loto tout simple, sans lots faramineux, juste histoire de se changer les idées (et de montrer à ces chers Anges ma bonne volonté, hi ! Hi !).

 

Il y peut-être 30 ans que n’étais pas allée à un loto. Il y avait beaucoup de monde, 500 personnes au moins pour 12 lots, dont 4, les plus importants, assez difficiles à transporter.

Certes, l’idée m’avait effleurée que si on gagnait un de ceux là, ce serait du « sport ». Mais bon, je l’ai chassée sans l’ombre (!) d’un doute, vu ma chance habituelle, ai-je pensé, pas de risque, et pour ce qui est de mon compagnon, guère plus.

 

L’essentiel était de bien suivre les recommandations de ces chers Anges: sortir, se distraire, se reposer, voir la vie avec légèreté.

 

Première constatation: moi qui déteste la foule, je me suis sentie bien, pourtant, les gens qui nous entouraient étaient sympa.

 

Et vous savez quoi ???

 

J’ai gagné, à carton plein ! Heureusement que mon compagnon a crié pour moi, car je m’étranglais sur ma chaise ! Puis j’ai attrapé le fou rire.

 

Parce que j’ai gagné quoi ???

 

Je suppose que ces chers Anges étaient sur le coup, car il s’agissait…

 

D’un quart avant de cochon !

 

Moi qui ne suis pas portée du tout sur la viande, tant par goût que par souci des animaux, et pas vraiment sur la cuisine non plus !

 

Après avoir eu une pensée émue pour cette pauvre petite bête sacrifiée, et prié pour sa petite âme, il a bien fallu faire face à la situation (une trentaine de kilos !). Heureusement un boucher a accepté de nous venir en aide, et de découper et préparer les morceaux.

 

Je soupçonne ces chers Anges de chercher à me faire apprécier la cuisine et la nourriture, car comme nous n’avons qu’un petit congélateur, il a fallu remonter les manches et se plonger dans les recettes. Heureusement que la tante de mon compagnon me conseille.

Me voilà dans les pâtés, potées, etc.

 

Je parierais ma chemise que « là-haut », ça rie sous cape.

 

Allez, je ne leur en veux pas, c‘est très agréable de gagner, et ainsi de lâcher l‘ignoble mauvais ego, en lui démontrant que les gros lots ne sont pas que pour les autres !

Surtout que cela semble bien démontrer ce que préconisent mes chers inspirateurs célestes quand ils disent qu’on a tout à gagner à prendre la vie du bon côté, et non du côté des devoirs, difficultés et obligations.

 

« Coïncidence »… ou pas, le loto était celui…

Des pompiers !

 

Vous savez, ceux qui éteignent les feux. Des bûchers ?

Allez, bonnes symboliques !

 

Bonne soirée !

 

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 16:24

Hello !P1010993.JPG

Photo personnelle prise l'an dernier, de l'intérieur de la maison, sur l'arrière, depuis la porte fenêtre du salon. La maison est celle de nos voisins.

 

 

 

A 14 heures, j'ai regardé l'émission:

  

« Toute une histoire », sur France2. Les invités étaient des jeunes qui racontaient comment ils avaient été "appelés" par Dieu, que ce soit pour entrer au Carmel, ou être pasteur…

Dans la façon dont le jeune pasteur a décrit comment cela lui est arrivé, j’ai vu une similitude avec la façon dont se sont manifestés les premiers messages de mes chers inspirateurs célestes, en 2002.

 

Cela semble bien démontrer que le chemin spirituel de chacun lui est propre et particulier, et qu’il est donc particulièrement sot et prétentieux de chercher à imposer à l’autre sa façon de voir, le nom à donner à cela, voire des obligations.

 

Et il me semble de même tout aussi stupide de se permettre de juger la façon dont chacun ressent sa foi, et pire encore de s‘en moquer.

 

C’est tellement enrichissant d’écouter l’autre, dommage qu’on ne sache plus trop le faire, ou qu‘on n‘en prenne plus le temps.

 

Revenons au billet d’hier.

 

Je vous recopie le message qui a sauté en même temps que le livre sur Joe. Si mes souvenirs sont exacts, il date du début de l’année 2009. Il était adressé à la famille du jeune homme « mort » d’un accident de voiture non loin de mon quartier, à l’occasion de l’anniversaire de l’un d’eux.

Mais il peut s’adresser aussi à qui le ressent.

 

 

« Dans les moments de souffrance trop grande, imaginez qu’une main toute auréolée de Lumière (SA main), se pose sur votre cœur, comme une caresse, un baume sur vos plaies, et sentez-en tous les bienfaits.

 

Refaites le aussi souvent que nécessaire.

 

Ne culpabilisez pas de ce que vous n’avez pas fait, pas dit, pas su faire, pas su dire. Tout est bien.

 

Il n’y a rien à pardonner. Il sait maintenant tout l’Amour qui vous guidait, qui est en vous, et il vous en remercie, en ce jour anniversaire.

 

Vous avez fait beaucoup pour lui, mais vous pouvez encore faire: c’est avoir et/ou garder foi et confiance, et surtout, surtout, continuer sereinement votre route, sachant que son Amour vous enveloppe et continuera toujours à vous envelopper, tel un ruban de soie et de Lumière, invisible à vos yeux peut-être, mais tellement plus fort et plus beau que vos rubans terrestres. »

 

 

 

Bonne fin de journée !

 

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 18:03

Hello !P1010393

 Photo personnelle d'un portrait de Joe que j'ai fait au pastel

 

 

Je voudrais revenir sur les signes liés à des objets qui tombent sans raison apparente. Il peut être important, j’en ai souvent parlé, de faire attention à ce dont on parlait, ou à quoi on pensait, à ce moment précis, ainsi qu’à l’objet lui-même.

 

Cela peut donner des indications sur le « clin d’oeil » ou sur ce sur quoi on attire notre attention. Cette forme de signe est très fréquente.

 

Avant-hier après-midi (16 janvier), j’étais dans mon bureau en compagnie d’une dame, quand une pile de papiers, sur laquelle se trouvait le dernier livre sur Joe, trouvé récemment sur un vide-greniers, est tombée (oui, l‘ordre n‘est pas ma vertu première !). Le tout était posé sur une boite à archives, près de la dame.

 

Cette dernière était étonnée, m’assurant ne pas l’avoir touchée, ce que j’avais bien vu. Je lui ai expliqué qu’on attirait probablement son attention (et la mienne peut-être), sur le sujet que nous évoquions.

Sur le moment, j’ai tout ramassé, sans trop faire attention, le livre était tombé sur les papiers, par terre.

 

Hier matin, j’allais sortir de mon bureau, quand mon regard a été attiré par un papier, au sol. Il avait suivi le livre et les autres documents, dans sa chute, mais je ne l’avais pas vu, la veille. Il s’agissait d’un message qui m’avait été dicté par mes chers inspirateurs célestes, pour accompagner le portrait d’un jeune homme « décédé » dans un accident de voiture, le seul dont j’avais été amenée à donner un dessin, à 3 reprises, mais à 3 personnes différentes. Je vous le recopierai à nouveau dans un prochain billet, apparemment cela peut aider.

 

Du coup, j’ai mieux regardé le livre:

« Joe Dassin - 25 ans déjà, d’Axel Fox - Editions Rouchon.

 

Là, j’ai réalisé que cela fait cette année 25 ans que nous nous connaissons avec mon compagnon.

 

Etait-ce un signe ?

 

Sur ce, je suis sortie du bureau, pour entendre, au poste…

 

« Souviens-toi », chanson de Joe (« Il était une fois nous deux »). Il était 8h37, sur Nostalgie, ce 17 janvier.

 

A la fin de la mélodie, le présentateur, s’adressant à sa collègue, a dit:

 

« Il était une fois nous deux », c’est un petit peu notre histoire, Myriam ».

 

Note: Myriam se fête le 15 août, jour de la Sainte Marie (première partie de mon prénom).

 

Je suppose que ces chers Anges me font comprendre qu’ils attiraient aussi mon attentions sur ce dont nous avions parlé, avec la dame, et c’est souvent le cas.

Quand plusieurs personnes assistent à un signe, c’est qu’elles sont toutes concernées, d’une façon ou d’une autre, au 1er degré ou pas.

 

La suite bientôt,

Bonne fin de journée !

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 18:50

Hello !

 

Il y a plusieurs mois (au moment de mes recherches en psycho généalogie), j’ai lu un ouvrage de Francine Shapiro et Margot Silk Forrest:

 

« Des yeux pour guérir » - « EMDR: la thérapie pour surmonter l’angoisse, le stress et les traumatismes » (Couleurpsy/seuil).

 

En rangeant (eh oui, des fois ça m‘arrive !), ce matin, je l’ai retrouvé, et l’ai ouvert à la page marquée à ce moment là.

 

Francine Shapiro (psychothérapeute), est fondatrice de la « thérapie EMDR », introduite en France par le Dr David Servan-Schreiber.

Cette thérapie permet d’éliminer de son esprit les souvenirs traumatisants par des mouvements oculaires.

 

Je m’étais sentie poussée vers cette méthode, parallèlement à mes recherches familiales, et le « hasard » a fait que la psychothérapeute que j’ai rencontrée grâce à une connaissance, la pratique.

Comme j’aime bien me documenter sur ce qui m’intéresse, j’ai donc acheté ce livre, avant de décider de la suite à donner.

 

Nous n’avons fait que deux ou 3 séances, mais cela m’a semblé assez efficace sur certains souvenirs.

Mais je répète, comme à chaque fois, qu’il ne s’agit que de mon expérience. Et il convient là encore de bien choisir son praticien.

 

Je voudrais citer un passage du livre cité ci-dessus, dans le chapitre 9, intitulé:

« Du chagrin à la paix », qui commence par une citation de William Shakespeare:

 

« Mettez des mots sur le chagrin: le deuil sans parole murmure dans un cœur surchargé, jusqu’à le briser ».

 

Je me permettrais de rajouter que tout chagrin gagne a être mis en mots, me semble-t-il, quitte à l’écrire, si on ne sait à qui en parler.

 

Revenons au passage que j’avais relevé, à l’époque, page 280:

« Face à la mort, il existe une réaction particulièrement tenace, celle d’un sentiment persistant de culpabilité. On se sent responsable d’avoir dit ou, au contraire, pas dit certaines choses. On repense avec angoisse aux blessures qu‘on a pu infliger. En esprit, on revoit le lit de mort, on réentend les cris de souffrance. Toutes ces réactions sont normales après une perte et en général elles régressent et disparaissent progressivement, avec le temps. Quelquefois, cependant, le processus de guérison s’enraye. »

 

Les auteurs narrent plusieurs cas de personnes, amenées à affronter des tragédies, dans le cadre de leur profession, et qui sont restées prisonnières de souvenirs et sensations, mais aussi de sentiments de culpabilité liés à des reproches qu’ils se faisaient, pour ne pas avoir pu, selon eux, empêcher, limiter, aider suffisamment...

 

Il est cité notamment le cas d’un homme de 50 ans, qui a « travaillé sans arrêt pendant 7 jours, couvert de sang, dans le bureau de l’expert médical, après le crash du vol 800 de la TWA », écrasé de culpabilité qu‘il était de ne pas pouvoir rendre assez vite les corps aux familles.

 

Il est évoqué aussi dans ce même chapitre les cas de « traumatisation indirecte », qui peuvent se présenter chez des personnes « simplement » affectées par le récit de drames (auxquels elles n’ont pas assisté, pourtant), et par la représentation qu’elles peuvent s’en faire, laquelle les amène à superposer l’image d’un proche à la place de la victime.

 

Il est cité le cas d’un psychologue qui subissait des cauchemars et images obsédantes sur un gazage qu’il n’avait pourtant pas vécu lui-même, mais un oncle qu’il n’avait pas connu, et dont il en avait entendu le récit, enfant.

 

Le cheminement et les effets de la souffrance semblent décidément bien plus compliqués qu’on ne saurait le penser.

 

Bonne fin de soirée !P1010419.2.jpgPhoto prise en 2010 depuis le perron de la maison où nous habitions à ce moment là.

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 17:08

Hello !

 

Merci pour vos com.

Je pense aussi comme toi, Guylaine, parce qu’il y a longtemps que je le ressens, simplement, mes chers inspirateurs célestes me rassurent sur le risque de perte d’autonomie, et sur le fait que le lien n’est jamais rompu.

 

Revenons à la suite des signes. Le lendemain, dimanche, nous avons refait le chemin, avec mon compagnon, car nous devions tous nous retrouver chez mon frère et ma belle-sœur (qui habitent le même village que ma mère), et aller ensuite rendre visite à ma mère.

 

Nous sommes partis tôt, car je voulais faire encore des bricoles chez ma mère.

 

Elle a connu la dernière guerre (avec les drames que je vous ai racontés), mais a été elle aussi, je suppose, influencée par le vécu de ses parents, sur le conflit de 14/18. Aussi, comme beaucoup de gens de sa génération (et on peut les comprendre), elle entasse: provisions, objets, linge, etc., pour le cas où il y aurait un nouveau conflit, et où on manquerait de tout.

 

Le problème, c’est qu’avec tous ces objets, son espace vital est réduit, et ça fait beaucoup de choses à nettoyer.

Mais pas moyen d’obtenir qu’elle fasse de la place. Elle tient à tous ces objets qu’elle garde… pour nous…

 

Mais qui ne nous serviront jamais !

 

Dimanche, en fin d’après-midi, nous lui avons donc rendu visite. Elle était en Unité spécialisée, et nous n’avons pu entrer que 2 par 2.

Ma fille est allée récupérer les clés de la maison de ma mère, à la voiture, car sans ses clés, l’hôpital ne l’aurait évidemment pas laissée sortir, le lendemain (mon frère et ma belle-sœur ne pouvant être présents).

 

Nous les lui avons mises dans son sac à main, puis nous sommes partis tous.

J’ai repris le volant, et dès la sortie du parking, nous nous sommes trouvés face à un bel arc en ciel.

 

Mais ce qui était étrange et que je voyais pour la première fois, c’est que le pied de cet arc en ciel, formait comme une grosse boule des mêmes couleurs.

 

Nous avons tourné, et de ce fait l’arc en ciel se trouvait dans notre dos. JUSTE A CE MOMENT, la radio nostalgique a diffusé…

Qui vous savez, qui chantait « L‘Amérique »:

 

« Les amis, je dois m’en aller,

Je n’ai plus qu’à jeter les clés,

Car elle m’attend depuis que je suis né,

L’Amérique, l’Amérique,

J’abandonne sur mon chemin,

Tant de choses que j’aimais bien,

Cela commence par un peu de chagrin… »

 

Il était aux alentours de 17 heures.

 

Mes chers inspirateurs célestes m’ont recommandé de « bien garder présente à l’esprit l’image de cette boule brillante et irisée et de cet arc en ciel, afin de ne pas vivre l’expression « en voir de toutes les couleurs » dans le mauvais sens (celui du « mauvais sang »), mais dans celui du bon sens (bon sang !), celui de l’espoir et de la confiance en la vie. »

 

Voilà, Maman est sortie, cela semble aller.

 

Je suis plutôt sereine, ces situations apprennent à vivre au jour le jour, dans le présent, ce que j’ai toujours eu du mal à faire…

 

Aujourd’hui va bien, demain est un autre jour.

La suite bientôt.

Bonne fin de journée !L-Ange-et-l-arc-en-ciel.JPGPhoto prise il y a 2 ans environ, l'ange et l'étoile sont des autocollants lumineux que j'avais mis sur la vitre.

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 11:55

Hello !

 

Rose a raison.

C’est facile d’être positif et confiant quand tout va bien, cela l’est bien moins face à un souci important. Or, c’est dans ces moments là qu’il faut arriver à ne pas se laisser déborder, et à garder foi.

 

Samedi soir, en rentrant chez moi après la visite à ma mère, à l’hôpital, j’ai eu un très beau signe pour m’encourager.

 

Je venais de quitter Carcassonne, encore dans mes pensées. Le temps était gris et triste. Un très léger crachin commençait à tomber, quand j’ai avisé, sur le côté gauche, une trouée lumineuse. Elle partait du ciel, faisant étrangement comme un dôme de lumière qui inondait la campagne au-dessous, mettant en valeur chaque arbre, maison, champ...

 

La lumière semblait inhabituelle, comme dorée, ressortant nettement sur le fond acier alentour.

 

Je conduisais et n’ai pas voulu prendre le temps de m‘arrêter, mais j’ai quand même pu profiter de ce beau spectacle, presque irréel, qui me faisait penser aux descriptions qui sont faites de « l’au-delà », par ceux et celles qui ont vécu une NDE ou E.M.I. (une de mes amies qui a fait cette expérience, me l’a racontée).

 

J’ai bien compris qu’il s’agissait d’un signe pour me tranquilliser par rapport à ma mère et à nos craintes à tous (y compris à elle) qu’elle perde son autonomie et/ou connaisse une agonie difficile, tant l’image qui m’était offerte irradiait la paix, le calme, l’harmonie…

 

Ces soucis (et ce n’est sûrement pas un « hasard »), m’ont d’ailleurs permis de retrouver des souvenirs difficiles liés aux derniers mois de vie de mon grand-père maternel (son propre père donc, que ma mère a soigné chez nous avant qu‘il ne soit hospitalisé), souvenirs que je croyais avoir évacués ; mais apparemment pas totalement.

 

J’avais 14 ans à l’époque, âge qu’avait mon oncle maternel quand il a découvert les corps de son frère et de son beau-frère (Résistants fusillés).

 

Il y a apparemment encore un bagage émotionnel lié à la famille, sur lequel il va sûrement falloir travailler.

 

Mais pour revenir à ce beau spectacle lumineux, qui m’évoquait « l’au-delà », j’ai vécu quelque chose de similaire en 2002, quelques semaines ou une paire de mois avant que ne commencent mes messages.

 

Le jour où nous revenions de la petite ville de Provence où mon regard avait été attiré par la vitrine d‘une galerie: « Les peintres du spirituel », qui avait déclenché ma première « vision » de tableau, nous nous étions arrêtés sur le chemin du retour, pour admirer un panorama. Le ciel ce jour là était aussi assez gris et plombé, mais parce qu’orageux.

 

Soudain, un rayon de lumière avait troué les nuages, inondant un petit village typique, et seulement lui, comme un projecteur céleste. Nous n’avions pas l’appareil photos, je l’ai regretté, car ce fut vraiment un spectacle aussi irréel que magnifique.

 

Quelque temps après commençaient mes contacts en écriture automatique et intuitive.

 

Bonne journée !Marché de Noël 2011

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 17:50

Hello !

 

Désolée de vous avoir abandonnés ces derniers jours.

Quand les Anges recommandent de prendre le temps et de lever le pied, c’est souvent parce qu’une période chargée se prépare, ou qu’on est fatigué et qu’il faut se reposer, ou qu’ils nous préviennent de quelque chose.

Depuis le temps, je le sais bien, mais voilà, j’ai du mal à écouter.

Pourtant, j’avais bien des ressentis qui me laissaient penser que quelque chose se préparait.

Un matin, récemment, quand j’ai mis le moteur de ma voiture en marche, la fin d’une chanson (dont j’ignore l’interprète), a attiré mon attention.

Les paroles:

 

« Je sais bien que je l’ai trop dit,

Mais je le dis quand même:

Je t’aime »

 

Combiné au fait que la station était « CHERIE FM », j’ai bien ressenti qu’il s’agissait d’un petit signe de ces chers Anges.

En règle générale, quand ils m’assurent ainsi de leur amour…

C’est qu’il va m’en tomber une !

Afin que je garde courage, et que je sache qu‘ils sont là.

 

Je me doutais d’où cela allait venir, et cela n’a pas traîné.

Jeudi soir, ma mère a dû être hospitalisée, car elle avait à nouveau (entre autres), du mal à s’exprimer: un nouvel AVC menaçait.

 

Nous nous rendions compte qu’elle déclinait, ces derniers temps. Ce d’autant plus qu’elle avait rêvé 2 fois dernièrement, qu’elle cherchait mon père (« parti » il y a plus de 20 ans).

 

Je m’étais tranquillisée en me disant que du moment qu’elle ne l’avait pas trouvé, c’était plutôt bon signe (et c’était probablement le cas).

La nuit précédant son souci, elle avait rêvé aussi de sa mère.

 

Elle « évitait » souvent de prendre son traitement. Les docteurs et les médicaments, elle s’en méfie comme la peste. Cela nous avait inquiétés, car cela lui faisait courir le risque de se retrouver amoindrie, paralysée, même en dehors du fait de son grand âge, mais comment faire ?

 

Vu que nous n’avions pas le choix, j’ai demandé « là-haut » qu’on veille sur elle, et que tout se passe au mieux, et j’ai fait confiance.

 

Et c’est-ce qu’il s’est passé: ma belle-sœur est passée ce soir là la voir, et a ainsi pu se rendre compte du problème à temps, car cela n‘a été que transitoire ; à l‘arrivée du SAMU, c‘était passé, mais le problème a pu être pris à temps.

 

Elle est sortie aujourd’hui, le traitement l’ayant stabilisé, mais nous ne sommes cependant pas des plus optimistes, impression confirmée par quelques signes, qui, s’ils semblent tranquilliser par rapport au risque de la voir rester paralysée ou diminuée, semblent quand même préparer à plus ou moins long terme.

 

J’y suis allée samedi, pour nettoyer et ranger chez elle, car il y avait eu le maçon, la veille, qui a fini de réparer les séquelles du dégât des eaux qu’elle a eu il y a 2 ans, puis dimanche nous nous y sommes tous retrouvés.

 

En partant, samedi matin, tandis que je tournais et retournais dans ma tête le souci, notamment qu’elle ne prenne à nouveau pas son médicament, et se retrouve impotente, ou qu’elle n’arrive plus à rester chez elle, etc., j’ai réalisé, tandis que je prenais une bretelle pour rejoindre l’autoroute, que le fourgon juste devant moi, qui m’énervait car il roulait au pas, c’était… un corbillard !

 

Même s’il ne faut pas forcément prendre les choses au 1er degré, je suppose que le signe était pour me tranquilliser sur ces risques, pires que tout pour elle, qui ne se supporte pas ailleurs que chez elle, et ne veut pas d’assistance.

 

Les autres signes sur le sujet dès que possible.

Merci à tous et toutes de votre fidélité à mon blog, et de vos gentils souhaits. Je vous souhaite de même, de tout cœur.

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 20:20

Féérie magie Image lassie028 Centerblogs

Hello !

 

Merci pour vos com. Et vos vœux.

Rassure-toi Claire, il m’arrive souvent de ne pas trop comprendre sur le moment ce que ces chers Anges cherchent à me faire comprendre. Je le réalise parfois des mois, voire des années après.

Le choix de leurs mots n’est jamais fait par « hasard », car eux maîtrisent parfaitement notre vocabulaire, et leurs capacités et connaissances sont sans commune mesure avec les nôtres, puisqu‘ils ont une vision totale de la situation.

 

Pas de souci pourtant, la compréhension vient quand c’est le moment… ou pas, si cela ne doit pas être.

 

En ce début d’année, je voudrais revenir sur les 2 principaux fléaux, qui ouvrent la porte à la dépendance:

il s’agit des peurs, bien sûr « (celles qui n’ont pas lieu d’être, qui sont issues de fantômes du passé ou d’épouvantails du futur) »,

 

et aussi du sentiment de culpabilité.

 

« La peur inappropriée, injustifiée, hypothèque l’avenir, en empêchant de jouir du présent.

 

Et la culpabilité rive au passé, empêchant elle aussi de vivre et d’être normalement dans le présent.

Elle fait réduit en miettes la confiance en soi, l’estime de soi, l’amour que l’on DOIT se porter à soi-même. Elle fausse entièrement l’être, le détruisant sournoisement de l’intérieur, jusqu’à le rendre malade et/ou dépressif.

 

 

Ces 2 fléaux minent, emprisonnent, empêchent d’être soi-même, détruisent donc l’essence de l’individu, le rendant dépendant, (3ème fléau), car ils empêchent de vivre dans le présent. »

 

Nous comprenons donc pourquoi l’évocation de la culpabilité non identifiée, donc non traitée, non évacuée, et de ses dangers, rend littéralement hystériques, fous furieux, les gourous et manipulateurs, qui se frottaient déjà les mains devant leur proie.

 

A plus forte raison si on suggère « bêtement » de voir, le cas échéant, un professionnel de la psychologie (ce que je ne suis pas). Lequel, formé pour cela, aura vite fait de déjouer, dans la foulée, les manœuvres du manipulateur.

 

Je conçois, avec le recul, que cela soit rageant de voir ainsi ses plans de mise sous dépendance déjoués…Sans compter tous les petits et gros calculs de certains appétits qui gravitent autour.

 

Car, qu’est-ce qui peut mieux amener quelqu’un un à se dévouer corps et âme (portefeuille compris) pour un ou d’autres individus, et/ou des causes, que le fait de traîner un fardeau de culpabilité qui l’a amené à se croire et se sentir coupable, responsable d’événements et épreuves passés ???

 

« Ce fléau qu’est le sentiment de culpabilité, disent mes chers inspirateurs célestes, va conduire à penser devoir se « racheter », voire à se condamner à « expier » sans fin, en donnant, donnant, donnant… avec l’espoir illusoire de payer sa dette imaginaire, qui pourrait changer le passé.

 

Et hélas, tout comme la victime attire le bourreau, celui ou celle qui se culpabilise va attirer immanquablement le culpabilisateur (ou la). »

 

Or, dans toute situation, les responsabilités sont toujours partagées. Il faut bien en être conscient. Quoi qu’il soit arrivé, il est important de bien réaliser que cela devait se passer ainsi, pour une compréhension MUTUELLE. Dans le cas contraire, les choses auraient été tout autres, et pour certaines, auraient été évitées, d’une façon ou d’une autre.

 

« La culpabilité est le grain de sable qui détruit les rouages de l’être, sans rien apporter à la situation, tout au contraire. »

 

Bonne soirée, sans peurs et sans reproches, en s’acceptant soi-même, avec ses imperfections qui seront sources de richesses, comme l’on accepte son prochain pour les mêmes raisons.

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 10:40

Hello !

 

J’espère de tout cœur que cette nouvelle année 2012 vous apportera tout ce que vous pouvez souhaiter, et que pour ceux et celles qui ont connu une mauvaise année 2011, que la nouvelle page l’enverra définitivement aux oubliettes.

 

Je voudrais aussi tous et toutes vous remercier d’être aussi nombreux et fidèles à ce blog. Je me suis un peu laissée déborder ces derniers temps, écoutant un peu trop ma part d’ombre (mauvais ego), qui me désignait 50000 tâches et autant de raisons de ne pas avoir le temps de me « connecter » davantage.

D’où gros coup de fatigue, en cette fin d’année, que ces chers Anges, comme toujours, avaient vu venir bien avant moi, et dont-ils essayaient désespérément de me prévenir.

 

Parce que mon chemin, c’est d’abord et avant tout de transmettre leurs Lumières, afin que chacun et chacune puisse, c’est mon souhait le plus cher (et celui de ces chers Anges, à n‘en pas douter), y puiser, s’il le souhaite, quand il le souhaite, gratuitement et sans engagement (Hi ! Hi !), un peu d’espoir, un peu de joie, et peut-être un peu de compréhension pour mieux passer les épreuves et obstacles.

 

Rappelez-vous, il y a près d’un an, je vous l’ai raconté en son temps, tandis que me remémorant la mauvaise expérience vécue dans l’association  à « vocation d’aide », (oui, bon, affichée tout au moins), mauvaise expérience dont je n’avais d’ailleurs pas mesuré l’impact total, j’avais donc, en me remémorant les faits, confié à ces chers Anges que je n’étais pas sûre d’être prête à me « cogner » à nouveau à la méchanceté et à la haine.

 

A CET INSTANT PRECIS, mon attention a été attirée par une chanson qui passait à la radio, en sourdine, pourtant. Je suis allée coller mon oreille contre le poste, et ai entendu:

 

« Je ne laisserai personne te détruire ni te barrer le chemin ».

 

C’était la première fois que j’entendais cette mélodie. Récemment, j’ai voulu rechercher qui interprétait cette chanson, ne l’ayant plus jamais entendue depuis, et ai tapé cette phrase sur le moteur de recherche.

Et j’ai trouvé !

Sauf que les vrais mots de la chanson sont (d‘après le site paroles-mania):

 

« Je ne laisserai personne nous détruire

Ni barrer notre chemin (…) » - Titre: « Mon éternelle » de French Avenue.

 

Etrange, non ?

 

Mais surtout significatif. En se laissant barrer le chemin par les ignorants et/ou malhonnêtes et malveillants, ce n’est pas seulement son chemin personnel qu’on laisse bloquer, mais surtout celui de nos chers inspirateurs célestes, dont les connaissances et l’Amour sont sans commune mesure avec les nôtres, et méritent dont d’être transmis. Libre à chacun d’en faire ce qu’il veut, dans le respect de tous.

 

Respect qui fait partie intégrante de l’amour, aussi vrai que la dernière lettre du mot AMOUR, c’est le R…

 

Qui lui-même est la première lettre du mot RESPECT.

 

Aussi, ce ne fut probablement pas un « hasard », quand en repartant de chez mon amie, à notre retour d’escapade au marché de Strasbourg, le 22 décembre dans l’après-midi, la chanson qui passait à la radio, quand j’ai démarré, disait EXACTEMENT ceci:

 

« Ce sera nous le chemin,

Pour que l’Amour

Qu’on saura se donner

Nous donne l’envie d’aimer

Ce sera nous dès ce soir,

A nous de le vouloir,

Faire que l’Amour

Qu’on aura partagé,

Nous donne l’envie d’aimer ».

 

Quelle plus magnifique chanson pouvait bien être plus encourageante, et ainsi redonner des AILES, que celle-là, interprétée par Daniel Lévi (AVEC UN L, COMME AILES, en dernière lettre du prénom, et en première du nom !), dans « LES 10 COMMANDEMENTS » !!!!

 

Du coup, j’ai prêté attention aux paroles du début de la chanson de French Avenue: « Mon éternelle », en voici un extrait significatif:

 

« Si le passé nous ennuie

On construit notre demain,

Dans l’ombre des gens qui fuient,

Et qui jugent au quotidien.

Ça fait 10 mois aujourd’hui

Que tes rires me rendent si grand

Pour lutter contre la vie

Et tous ceux qui sont dedans »

 

Et la French Avenue, n’est-ce pas aussi le nom des CHAMPS ELYSEES, eux-mêmes chantés par ?????

 

Allez, excellente journée à tous et toutes !

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 17:48

 

Hello !

 

Les Anges disent souvent que l’on met au « menu » de nos journées ce que nous avons dans nos pensées. Traduction: plus on se focalise sur les difficultés, les responsabilités, les soucis, les peurs, les craintes, plus on en attire dans notre vie.

 

Notre voyage à Strasbourg, comme le week-end « magique », passé il y a quelques semaines quand mes amies nous ont rendu visite, l’a démontré une fois de plus. Nous avions décidé de laisser tous nos soucis de côté, et de profiter des belles choses qui s’offraient à notre vue, et non seulement nous n’avons pas été déçues, mais en plus, nous sommes passées à travers toutes les difficultés annoncées.

 

Mon amie l’a très bien décrit, nous étions comme des petites filles émerveillées devant toutes ces créations issues de l’intelligence, de l’adresse, de l’inspiration, du savoir-faire, du goût humains que ces chers Anges aiment tant mettre en exergue, eux qui croient probablement mille fois plus en nous et en nos possibilités que nous-mêmes.

 

Ils m’ont aussi appris, dès le début, à tirer les leçons de tout ce que je vis, des êtres que je croise, et j’en ai tiré.

 

Vous savez que je n’aime pas trop conduire, heureusement que c’était mon amie qui le faisait. Je l’ai observée, et cela m’a fait prendre conscience de la somme de blocages que j’ai encore à vaincre.

 

Quand nous sommes arrivées à Strasbourg, beaucoup de parking étaient complets, et des files de voitures attendaient à l’entrée de chacun qu’une place se libère. J’ai suggéré à mon amie d’aller plus loin, pour en trouver un où il n’y avait pas d’attente, quitte à marcher.

 

Mais ce n’est pas dans ses habitudes. Elle m’a expliqué, comme une évidence, qu’elle arrive toujours à trouver à se garer au plus près, où que ce soit. Nous avons tournicoté quelques minutes, et effectivement, elle a trouvé une place, très proche de la cathédrale ! Et ce n’est pas peu dire que cela était inespéré, vu l’affluence.

 

Le lendemain, ce fut encore mieux. Nous sommes arrivées au marché de Colmar en début d’après-midi. Même chose: parking complets un peu partout. Mais elle ne s’est pas démontée, sûre de son fait. Arrivées à la Petite Venise, lieu d’affluence, elle a parcouru l’allée, et…

Une place s’est libérée juste comme nous arrivions… la plus proche qu‘il soit, tout contre le marché !!!

 

Certes, j’ai l’habitude de demander à trouver une place, et en règle générale ça marche, mais jamais je ne me serais hasardée à penser en chercher et donc en trouver une aussi près, dans de telles conditions.

 

Résultat: le parking nous a coûté seulement 1 €, et nous avons gardé nos forces pour nous promener.

 

Rappel toujours bon à prendre: croire au meilleur, vouloir le meilleur et accepter le meilleur comme coulant de source.

 

J’avais un peu tendance à l’oublier, ces derniers temps. Je m’étais un peu trop laissée prendre par la notion de difficulté de la vie, probablement influencée par tous les discours pessimistes et alarmistes qu’on entend ci et là.

 

Voilà, prendre la vie comme elle se présente, en essayant d’y voir le challenge à relever, et en ne se focalisant pas sur la difficulté, donc en chassant les peurs et les craintes.

 

Nous n’avons pas gagné au grattage, mais j’ai trouvé, à mes pieds, tandis que nous marchions, un bracelet en argent.

Bon signe, apparemment, non ? Cela veut probablement dire qu’en prenant la vie dans le sens agréable, on trouve plus facilement de belles choses.

 

J’ai relevé cette phrase, attribuée à Jean de La Fontaine, trouvée par « hasard » dans l’oracle « Dés de la destinée » (maison 18) :

 

« On rencontre sa destinée, souvent par des chemins que l’on prend pour l’éviter ».

 

Je vous laisse méditer sur tout cela,

Bonne fin de journée !

 

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