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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 10:35

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Hello !

 

Merci pour vos com. et messages. Pour te répondre, Claire, je pense que tu avais raison, il semblerait que cela symbolise Pâques et la Résurrection, car peu de temps après, j’ai vu à la télé un reportage sur les cérémonies des Rameaux, et effectivement, certains avaient des branches de palmiers, à la place des rameaux d’olivier ou de laurier.

 

Bonne symbolique tout cela, avec Pâques qui approche, et sachant que nos voitures recouvertes de palmes par le givre, portent le même nom (même si classification différente) !

 

Il y a quelques jours, j’ai été amenée à discuter avec une amie de longue date, sur le sujet des sectes, et surtout sur les conséquences que l’emprise morale peut avoir sur le psychisme, qu’on est souvent loin de soupçonner.

 

Elle-même est tombée sur un groupe dit de « spiritualité », il y a très longtemps, bien avant que nous ne fassions connaissance.

Elle m’en avait un peu parlé auparavant, mais elle est revenu sur un soir où, au vu des « expériences » pratiquées dans ce groupe, elle a soudain ressenti un gros malaise, une sensation d’étouffement, et s’est sentie poussée à fuir.

Ce qu’elle a fait, pour ne plus revenir.

 

Mais, et c’est ce qui confirme qu’il ne faut pas prendre à la légère ces faits et agissements, lors de cette dernière conversation, elle m’a avoué que cet épisode l’avait tellement bouleversée et écœurée, qu’elle est restée DES ANNEES sans pouvoir prier, rejetant de ce fait, pratiquement tout ce qui touchait à la spiritualité, tant elle avait peur de retomber sur quelque chose de similaire, et parce qu’elle n’y croyait plus.

 

Cela ne m’a pas étonnée, vu l’effet que mes expériences ont eu sur moi : envie de tout arrêter, écœurement par rapport à ce « milieu », impression que tout cela est trop dangereux.

Or, ce sont certaines personnes qui sont dangereuses, et il faut les faire contrôler, ce n’est pas la recherche spirituelle qui est dangereuse, tout au contraire.

 

Et c’est là le risque, m’ont expliqué mes chers inspirateurs célestes, et contre lequel ils m’avaient pourtant souvent mise en garde, et ce dès 2002 :

 

« Ne pas se laisser abuser par toute personne voulant nous soumettre à son jeu dans la société ».

 

C’est le piège, quand on veut trop en faire, trop bien faire, quand on ne se donne pas le droit à soi-même d’exister individuellement, c’est de tomber sur des individus, isolés ou en groupe, qui, derrière des entreprises commerciales maquillées en association caritative (rien de tel pour attirer les dons, bonnes volontés et endormir la méfiance), vont utiliser à leur seul profit cette « manne ».

 

Pour éviter ce piège là, toujours bien se poser la question si l’on fait ce que l’on ressent vraiment devoir faire, en toute liberté, sans contrainte, parce qu’on le ressent ainsi, et non pour essayer d’étouffer un sentiment de culpabilité d’être et d’avoir, alors que d’autres n’ont pas, ou bien de devoir racheter une prétendue erreur, filons (dans le sens de gisement, non dans celui de « partons ! », quoi que !), filons dont vont se gorger ces individus.

 

S’assurer que l’on n’est pas « téléguidé » par une ou des volontés terrestres masquées, qui n’ont souvent pour seul but que le pouvoir et le profit.

 

Mes chers Anges m’ont précisé dès 2002, et souvent répété :

« Il ne s’agit pas de faire beaucoup, mais de faire bien ! »

 

Et pour être sûr de faire bien, il ne faut pas hésiter à vérifier, et ne pas se contenter de discours et le cas échéant, à signaler les dysfonctionnements et abus.

 

Et c’est aussi le sens de l’épilogue de la tentative d’usurpation de mes plaques minéralogiques (voir en fin d’année pour ceux qui me lisent depuis peu), qui m’a valu un courrier d’une assurance, au nom d’une assurée COUVERTE par cet organisme, prétendant que mon véhicule aurait occasionné des dégâts au véhicule de cette personne, mais aussi à son fils, dans une ville de région parisienne (à plus de 600 km de chez moi !), qui n’a pas une très bonne réputation, et où je n’ai jamais mis une roue, ni un pied, d’ailleurs.

 

Mes proches ont toujours trouvé cette histoire pas très claire, et moi de même, d’où mon dépôt de plainte.

 

Mais je ne crois pas le moins du monde au hasard, il y avait peu de chances qu’une telle histoire tombe sur ma voiture (même si c’était particulièrement symbolique, du fait du nom de ce type de véhicule).

 

Cela m’a permis, en analysant les faits, les « coïncidences », de comprendre qu’il fallait que je fasse moi aussi un constat de ce que j’avais vécu et dont j’avais été témoin, depuis toutes ces années, auprès d’une autorité dont c’est le rôle, de protéger les individus des manipulations et dérives à caractère sectaire.

 

Quelques uns des autres faits significatifs de la situation, c’est le nom du prétendu conducteur, qui faisait irrésistiblement penser à ROBOT (un robot, c’est « téléguidé », cela agit suivant une autre volonté que la sienne, la volonté de celui qui le « manipule » !), et le nom de la prétendue victime, qui évoque assez le verbe ROULER (rouler pour) voire ROLE.

 

Plus d’un mois après le retour de l’accusé de réception de mon courrier en réponse à cette assurance, (expliquant qu’il ne pouvait s’agir de mon véhicule), j’ai reçu de leur part un courrier de relance, me signifiant que ma compagnie ne les avait pas contactés !

 

Alors là, la rogne m’a prise, et je les ai rappelés, les renvoyant à la plainte déposée (que je n’avais pas mentionnée dans le courrier), laquelle avait été transmise au parquet de leur région.

 

Quand j’ai évoqué la maréchaussée et la justice, mon interlocutrice a bredouillé qu’elle ne savait pas, que dans ce cas je ne devais pas tenir compte de leur lettre, qu’elle n’avait pas eu le temps de lire mon courrier…

 

- « En plus d’un mois » ? ai-je persiflé.

 

Sa façon de me répondre, les incohérences du prétendu constat non signé (donc qui n’a pas de valeur juridique, et dont on peut facilement prétendre, en cas de contrôle, qu’il ait été contrefait !), tout cela donc m’a amenée à me poser encore plus de questions et à avoir des doutes sur la prétendue « victime » couverte par l’assurance ( !!!), parlant au nom de son fils (très symbolique tout cela aussi !).

 

La suite des informations nous a convaincus qu’il y avait probablement eu une tentative d’escroquerie à l’assurance, peut-être même couverte par une employée de cet organisme.

 

Bien m’en a pris de porter plainte, pour leur couper l’herbe sous les pieds.

 

Ni « hasard », ni « coïncidence », donc, je retiens de cet épisode qu’il ne faut pas hésiter à se défendre, et à faire intervenir les personnes compétentes pour juger les faits concernés, tant pour soi-même que pour éviter à d’autres de payer des pots cassés qu’ils n’ont pas à payer.

 

Une fois de plus, j’ai pu constater que tout ce qui arrive a sa raison d’être (surtout quand c’est bizarre, désagréable…) et son enseignement, si on veut bien prendre le temps d’essayer de décrypter le message.

 

Cet épilogue avait fait taire mes scrupules, liés au fait qu’il me semble important de laisser chacun penser et faire ce qu’il veut, en me démontrant qu’en laissant faire des faits graves sans les signaler, on LES COUVRE et en même temps, on fait courir le risque que les « dysfonctionnements » s’étendent, fassent boule de neige, faisant du mal et du tort à des êtres qui n’y sont pour rien, innocents donc, les coupant de leur foi, de leur vérité, de leur intégrité, de leur rôle, bref, les détournant de leur chemin originel d’épanouissement.

 

Non, le risque n’est pas que matériel (encore que ces chers Anges recommandent de ne pas mépriser l’argent, meilleure façon de tomber sur des aigrefins qui eux le convoitent pour eux-mêmes, et sont tout à fait disposés à nous en délester).

 

« C’est une excellente chose de vouloir aider son prochain, nous applaudissons à cela, mais « charité bien ordonnée commence par soi-même », n’oublions pas notre propre chemin d’évolution et de compréhension, et ne nous en laissons pas détourner par quiconque se prétendant tellement évolué qu’il n’a pas à travailler sur lui dans cette vie là.

Répétons encore et encore : bien malheureux il est celui qui prétend avoir trouvé la Vérité, cela signifie qu’il ne peut plus progresser, donc qu’inévitablement il régresse. »

 

Mais malgré tous ces éclaircissements là, je n’arrivais pas à surmonter mon dégoût, ma démotivation…

Jusqu’à l’annonce de la maladie de mon frère !

 

Nul doute que beaucoup de bonnes et belles choses se préparent, qui vont perpétuer cet élan !

 

Bonne journée !

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 17:08

Mémère a trouvé sa place !

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Hello !

 

Bonne fête aux Sandrine !

 

Comment savoir si c’est un signe ou pas ? Difficile parfois de faire la différence, même s’il n’y a pas de « hasard » ni de « coïncidence » (selon l’avis de mes chers inspirateurs célestes, et… le mien, au vu des circonstances).

 

Il y a les signes qui surviennent les jours remarquables (fêtes, anniversaires, etc.). Quand on note, un de ces jours là, des choses qui se produisent pour la première fois (au moins depuis un certain temps), et à plus forte raison s’il y en a plusieurs le même jour, c’est probablement un petit clin d’œil qui nous est envoyé.

 

Le 28 Mars aurait été l’anniversaire de la naissance de mon amie « décédée ». En général, j’ai toujours mon « petit » signe.

 

Et le matin de ce jour là, alors que j’étais au téléphone avec une amie, j’ai remarqué, tandis que mon regard tombait machinalement sur le jardin… un chardonneret.

C’est la première fois cette année que j’en voyais un, et comme c’est un passereau que j’aime beaucoup, je guettais depuis quelques semaines son retour.

Je l’ai signalé à mon amie, mais sans y prêter attention plus que cela. Cela me semblait « léger » pour un signe.

 

Mon amie m’a rappelée dans l’après-midi, et tandis que nous parlions, j’ai remarqué dans le jardin, un couple de tourterelles qui mangeaient au « réfectoire ». Elles y sont restées longtemps. Seule l’arrivée de mon compagnon, avec la voiture, les a chassées.

 

C’était la première fois que des tourterelles venaient se restaurer dans notre jardin. Je n’en avais pas vu avant… et n’en ai pas revu depuis ce jour là.

 

Comme de surcroît mon amie m’avait parlé d’un signe qu’elle avait ressenti avec le chant d’une mésange, nul doute, apparemment, d’un petit clin d’œil de mon amie, de « là-haut ».

 

Autre « coïncidence », le soir même, il y avait une réunion de l’association qui a réussi à empêcher qu’une antenne très puissante soit construite dans notre secteur.

 

A bientôt !

Bonne fin de journée !

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 19:20

Hello !

 

Pardon de vous avoir abandonnés, mais beaucoup d’occupations en ce moment.

 

Oser dire ce que l’on ressent, oser donner son avis, ces chers Anges persistent et l’ont signé le 14 Mars.

 

La veille, le 13, j’avais écrit le billet :

« Les Anges, l’intuition et les actes », qui se terminait sur la réflexion « bête », qu’on entend fréquemment :

 

« Il vaut mieux avoir des remords que des regrets »

 

Le 14 au matin, j’ai lu mes messages sur Internet. Il y avait une gentille vidéo sur l’amitié, envoyée par une excellente amie qui se reconnaîtra (et qui d’ailleurs, est-ce une « coïncidence » ? faisait partie des personnes qui m’accompagnaient dans le « gourbi », le jour où ces « braves » gens me sont tombés sur le paletot).

 

Dès sa lecture, j’ai ressenti de l’envoyer à Anne-Marie, pour lui faire un petit clin d’œil. Mais j’ai hésité, sachant qu’elle reçoit beaucoup de courrier, de crainte de lui prendre de son temps.

J’ai finalement envoyé la gentille vidéo, poussée par mon intuition, puis me suis attelée à la préparation de mon billet du jour, qui racontait la première partie de la conférence de Chantal Laffont.

 

Avant de le publier sur les blogs, je suis revenue à ma messagerie pour je ne sais plus quoi, et ai eu la surprise de constater qu’Anne-Marie m’avait déjà répondu…

 

En m’adressant le message qu’elle venait juste de recevoir, d’Isabelle (14 Mars 2012).

 

A sa lecture, je suis restée bouche bée en lisant qu’Isabelle rappelait le danger des REMORDS, mais surtout, parce qu’elle a utilisé les mots exacts que j’ai dits, le jour où les « braves gens » m’ont montrée du doigt, dans une phrase mise entre guillemets :

 

« POISON DE L’ESPRIT »

 

Sauf que moi, j’ai dit, ce jour là, pour tenter d’expliquer pourquoi je posais cette question :

 

« La culpabilité est un poison de l’esprit, qui détruit intérieurement »

 

Mais la « dame » a tellement hurlé, que je n’ai pu m’expliquer, car évidemment, ça n’arrangeait personne que cela soit expliqué.

 

Ce message d’Isabelle a mis encore du baume sur mes plaies, aussi parce que dans ce billet du 14, je parlais de Joe (dont j’avais entendu une chanson juste en arrivant), qui était le chanteur favori du Papa de Chantal, qui donc a été « nourrie » de ses chansons toute sa jeunesse.

Et je me posais un peu malicieusement la question :

 

« Qui sait, peut-être que la simplicité, le respect, le sens de l’humour, et surtout le bon sens de Joe sont contagieux ? »

 

Isabelle semble y répondre, ce 14 Mars, car voici une partie de la petite phrase qui suit sa signature :

 

« car si le mal est « contagieux » ! le bien l’est aussi et… sans doute… plus fortement… plus puissamment encore. »

 

Note : elle a mis le mot CONTAGIEUX entre guillemets, suivi, d’un point d’exclamation !

 

Pas de crainte donc, en cette période qui semble bien noire. Suivons nos intuitions, essayons de vivre du mieux possible, en « ligne directe » avec nos chers Anges, et tout cela fera place au beau ciel bleu.

 

Je vous raconte dès que possible les autres signes.

Bonne soirée !

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 17:01

 

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Photo du toit de ma voiture

 

 

 

Hello !

 

Ici, les nuits sont encore un peu froides, même si les jours sont chauds.

Le matin, j’amène à manger aux oiseaux (ils m’attendent de bonne heure, les pauvres, alors j’y vais dès que le jour est levé).

Mais hier, j’y suis allée un peu plus tard, car il y avait « Rominou » (le chat de voisins) qui faisait le pied de grue devant la porte, visiblement affamé. Je lui ai donné des croquettes et ai attendu qu’il ait fini pour aller garnir le « réfectoire » des oiseaux. Avec le ventre plein, il s’en va chez lui, et laisse les oiseaux tranquilles.

 

En revenant, je me suis aperçue que le soleil commençait à darder ses rayons sur nos voitures, mais il m’a semblé que le givre n’était pas comme d’habitude.

 

Je suis allée voir, et ai constaté qu’à nouveau, ma voiture, mais aussi celle de mon compagnon cette fois-ci, étaient couvertes de palmes finement imprimées dans le givre (comme celles du 5 Mars), même s’il commençait à fondre (les voitures étaient disposées dans le même sens, mais en V, par rapport à la place disponible).

 

Je vous ai mis des photos du toit, qui était moins fondu (la foncée est celle de mon compagnon, la claire la mienne).

Pourtant, il n’y a pas eu autant de vent que la fois précédente.

 

Puis, dans la matinée, j’ai ressenti d’aller sur le site de Sud Radio, voir quels avaient été les derniers sujets de « Leval sait tout » (en ce moment, je ne peux l’écouter).

 

Il y avait un sujet sur « les sectes », qui avait été traité le 8 Mars, disponible à l’écoute. Si vous voulez en apprendre un peu plus, il suffit d’aller sur le site, et de cliquer sur « télécharger ».

 

« Coïncidence » : un des intervenants porte le même nom de famille que mon amie « décédée ».

 

Suivant mon intuition, j’ai recherché sur mon agenda le 8 Mars, et ai constaté, d’abord, que c’était jour de « Saint Jean de Dieu ».

 

Ensuite, ce jour là, (je l’avais noté, comme tout ce que je fais et/ou qui me semble étrange, mais sans savoir s’il s’agissait d’un signe ou pas), mon attention avait été attirée sur la pendule du salon (celle qui marche !).

Elle marquait 16 heures, exactement l’heure sur laquelle sont arrêtées ma pendulette aux Anges peintres et la pendule de ma mère, qui représente un paysage provençal.

Je suppose que ce n’est pas la première fois que je regarde la pendule à 16 heures, mais ce jour là, cela a attiré mon attention, au point que je l’ai noté dans mon agenda.

 

C’est ce même soir que nous avons assisté, près de chez nous, à la conférence sur le cancer du poumon, donnée gratuitement par les meilleurs spécialistes de TOULOUSE, ainsi que le spécialiste de notre région.

 

En écoutant attentivement les informations de l’émission sur les sectes, j’ai pu entendre la confirmation que le problème est important. Une étude aurait mis en évidence qu’environ 20 % de la population connaîtrait quelqu’un en contact avec une secte.

 

Il a été aussi précisé qu’un des 2 moyens de piégeage, ce sont les soins.

 

Les « messages apocalyptiques pour 2012 ne peuvent pas être ignorés », a-t-il été dit, avec comme précision supplémentaire que « 2 MILLIONS DE PAGES SUR INTERNET SONT CONSACREES AU PHENOMENE 2012 ».

 

L’autre moyen, c’est la formation. 10 % des organismes qui se créent seraient concernés.

 

Je dois dire que ce qui m‘avait retenue d’en parler avec un de ces organismes, dès les premières fois où j’ai été témoin de dérives, et par la suite, c’est parce que je n’avais pas trop confiance dans le respect du droit à la liberté de pensée, de croyance, de culte de certaines associations.

Je trouvais qu’il y avait parfois un peu trop d’amalgames, que tout le monde était mis un peu trop vite dans le même panier.

Il suffisait qu’il y ait une brebis galeuse, et tous ceux qui utilisaient les mêmes méthodes ou avaient les mêmes croyances étaient montrés du doigt. Certaines associations ne cherchaient pas à trier le bon grain de l’ivraie.

 

Je craignais donc de faire plus de tort que de bien à la cause qui me tient à cœur.

 

C’était une erreur. Il y a plusieurs associations, il suffit de choisir celle qui nous semble respecter les libertés et le droit à la différence. Même si ces personnes ne partagent pas notre vécu ni nos convictions, elles n’ont pas à juger de cela, mais du tort fait à autrui.

S’il n’y a pas de tort, il n’y a aucune raison qu’elles interviennent.

Par contre, si tout le monde se tait, elles ne peuvent rien faire.

 

Et quand on songe au récent drame épouvantable, où tant de voix s’élèvent pour déplorer un manque de surveillance, alors, on ne va pas reprocher à ces associations de faire un boulot de prévention.

 

Beaucoup, qui approchaient ce jeune homme s’étonnent de ne pas l’avoir vu changer. C’est oublier un peu vite la puissance de la manipulation mentale. Pour ce dont j’ai été témoin depuis 10 ans, le changement peut être radical en très peu de temps, et la personne sous influence devient imperméable à tout autre discours que celui pour lequel elle a été « reprogrammée », et agit comme un robot, indifférente à tout argument, y compris la souffrance engendrée, aveuglée et hypnotisée qu’elle est par le but poursuivi.

 

Mes chers inspirateurs célestes m’ont demandé de chercher la définition du cancer. J’ai relevé celle de « La Ligue » (puisque c’était elle qui organisait gratuitement la conférence sur le cancer du 8 Mars) :

 

« C’est un type de cellules qui se développent de façon anormale et anarchique. Toutes les parties du corps peuvent être atteintes ».

 

Puis, mes chers « petits » Anges m’ont expliqué ceci :

 

« Les sectes sont comme un cancer. Aveuglées par leur Vérité, leur sentiment de toute puissance, elles vont se développer aux dépens des êtres sains, les empêchant de mener leur vie à leur guise (tout comme la maladie va empêcher le bon fonctionnement de la cellule saine). Peu à peu, elles vont soumettre l’être à leur loi, leur fonctionnement, puis « essaimer » et atteindre de proche en proche. Plus leur avancée se fait silencieusement, sournoisement, plus le risque est grand pour la santé mais peut-être aussi pour la vie. D’où nécessité de faire des examens et des contrôles, et de soigner énergiquement ».

 

Et c’est pourquoi il est important de s’adresser, en cas de doute, à des spécialistes, tout comme pour le cancer, qu’on ne peut espérer guérir (sauf miracle très rare) sans traitement médical fait par des spécialistes.

 

Bonne fin de week-end, et n’oubliez pas de changer d’heure !

 

P1020726.JPGPhoto du toit de la voiture de mon compagnon

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 11:18

P1020692.JPGAutre photo de "notre" picvert du 16 Mars. Il est revenu aujourd'hui, je l'ai vu et entendu dans le jardin.

 

 

Hello !

 

Ce matin, de la pièce où je me tenais, une phrase a attiré mon attention, venant de la télé du salon (BFMTV, vers 9h15), que mon compagnon écoutait afin de suivre le déroulement de l’intervention du « RAID ».

 

Un intervenant de l’affaire (je n‘ai pas fait attention à son nom), à qui un journaliste demandait à quoi le temps était occupé, avec le suspect, en attendant la date supposée de la reddition, cet intervenant don a répondu qu’on laissait parler le suspect, et « ON L’ECOUTE BEAUCOUP, AINSI, ON COMPREND DES CHOSES ».

 

« Si seulement !

 Il faut savoir parler, écouter et surtout ENTENDRE, ce ne sera jamais assez dit, confirment mes chers inspirateurs célestes, afin de peut-être limiter, sinon éviter le fanatisme, les débordements, l‘obscurantisme.

 

Oui, laisser parler, écouter aussi, même si on a du mal à comprendre et à entendre, même (et peut-être surtout) si ça dérange, afin que plus jamais personne ne pense que la seule issue possible est de faire parler la poudre.

 

La meilleure façon d’éviter que tout un chacun ne soit tenté de rendre justice soi-même, selon son seul ressenti, c’est d’essayer d’expliquer, d’argumenter, de démontrer, preuves fiables à l’appui, dans le calme et le respect, ceci afin d’être le plus juste possible. 

 

Le sentiment d’injustice, de non respect des droits, de déni, ainsi que les peurs irraisonnées peuvent conduire au fanatisme, à la révolte, à la haine et à la violence, avec toutes les conséquences que cela peut avoir. »

 

 

Bonne journée !

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 18:41

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Hello !

 

Excellent printemps à tous !

 

En ce moment, entre tout, difficile de ne pas éprouver de « hauts le coeur » (dégoûts, nausées).

 

Heureusement qu’Isabelle Lionnet, dans son dernier message du 14 Mars 2012, encourageait aussi à ne pas se laisser prendre par le pessimisme.

En voici un extrait:

 

« car :"si le mal est "contagieux" ! .. le bien l’est aussi et .. sans doute ... plus fortement ... plus puissamment encore !" essayez de le vivre ! »

 

J’essaierai de trouver le temps de vous raconter les signes autour de ce message, précisément.

 

 

Pour revenir sur les éclaircissements en cascade, est-ce que c’est une confirmation de plus qu’il est important de dire ce qu’on ressent devoir dire, et ne plus se taire sous le prétexte que tout le monde s’en fout de ce qu’on peut dire, alors, après tout, ils verront bien quand ça leur retombera sur le pif, quand le boomerang leur reviendra à pleine puissance dans la figure. Et puis, marre d’en prendre plein les gencives par les ignorants et les malhonnêtes…

 

Oui, je le reconnais, j’en étais arrivée à penser ainsi. 

 

Il semble que ce ne soit pas un bon calcul, justement, et que tout au contraire, alors qu’on pensait qu’en se taisant et laissant les choses se faire comme elles devaient, cela fait au contraire courir le risque que d’autres, en fassent de même et que cela ne se retourne contre nous, comme le fameux effet « boomerang », justement.

 

C’est le serpent qui se mord la queue.

 

Parler, dire ce que l’on sait, ce n’est pas se battre, mais être, et permettre peut-être à d’autres d’être aussi, et non de subir et payer des pots cassés, qu‘on aurait pu leur éviter.

 

Et face au constat qu’en se permettant d’être acteur de sa vie, et de la vie en général, cela met en mouvement tout un tas de bienfaits, alors, plus d’excuse pour « la fermer ».

 

Pour arriver à comprendre ce qu’il fallait que je fasse pour avancer, j’ai médité sur cette question, il y a quelque temps…

 

Et un nom m’est venu à l’esprit.

J’ai cherché et trouvé le site en question sur Internet, et suis restée interloquée de lire qu’il y était déploré que les mises en garde faites par ladite personne n’aient pas été écoutées et prises au sérieux et que cela ait finalement débouché sur un drame.

 

Étrange raisonnement, ai-je pensé, pour quelqu’un qui, bien que témoin direct d’un incident grave, n’ait non seulement pas pris le moins du monde conscience des faits (et là, il ne s’agissait pas de racontars), mais qu’en plus ce quelqu’un là encourage à aller dans cette direction…

 

Ce qui est son droit le plus strict, chacun est libre de se faire son opinion, bien évidemment, mais pourquoi ne pas comprendre que d’autres puissent passer à côté de ce sur quoi on veut attirer leur attention ?

 

Mais cela m’a amenée à réfléchir à la façon dont on perçoit généralement les choses, c’est-à-dire le plus souvent par l’affectif.

 

De ce fait, nous n’accordons d’importance qu’aux souffrances qui nous ont marqué, que nous connaissons pour les avoir vécues de près ou de loin, et/ou qui font partie de notre quotidien professionnel, risquant non seulement de ne pas prendre la mesure des autres, mais pire encore de les mépriser, de les nier, et ce faisant de laisser passer quelque chose de potentiellement grave.

 

On ne va pas comparer avec notre vécu, notre expérience, non ?

 

Et face à des scènes, plaintes ou témoignages qui nous paraissent de moindre gravité, on est trop souvent amené à se dire que ce n’est pas grave, on a vu tellement pire… Alors, on balaye d’un revers de main pour se tourner vers ce qui nous semble digne d‘intérêt, d‘investissement.

 

Et notre vigilance, notre discernement, ils sont encore plus amoindris quand des intérêts, affectifs surtout, mais aussi matériels, de prestige, d’espoir d’aide, etc., entrent en ligne de compte.

 

Alors, on peut continuer longtemps à déplorer cela, si soi-même on ne cherche pas à ne pas faire ce qu’on reproche aux autres, et donc à changer notre regard et nos actions.

 

Et ce sont ces réflexions et constatations qui m’ont conduite à prendre le taureau par les cornes, et à agir comme je voudrais qu’on agisse.

 

Sinon, quand les choses difficiles arrivent, on se retrouve à se reprocher de ne pas s’être fait suffisamment entendre.

 

En conclusion, voici un message que m’ont adressé mes « petits » Anges, à ce moment là.

 

« Tu dis avec juste raison qu’on ne peut vraiment comprendre les souffrances d’autrui, que lorsqu’on les a soi-même vécues, mais ce n’est cependant pas pour autant suffisant, car personne ne vit les choses de la même manière, parce que chacun a un « formatage » et un bagage émotionnel différents. Il est donc pratiquement impossible de mesurer la souffrance d’autrui. On ne peut juste que se rapprocher. »

 

Bonne fin de journée !

 

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 17:59

 

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 Autre photo personnelle du pic vert qui est venu passer un moment chez nous le 16 Mars.

 

 

Hello !

 

Après avoir écrit mon billet, hier, tandis que j’y repensais en mettant le couvert, mon attention a été attirée par la télé (BFM TV). Le présentateur a annoncé la séquence « Ciné - Que voir ? », vers 12h30.

 

Un court extrait du film « Clo Clo » a été diffusé. Je ne regardais plus, quand une phrase, d’un autre film, je crois, a frappé mes oreilles. Un homme criait:

 

« Un témoin qui se tait est un salaud »

 

Encouragement à ne plus se taire ?

 

Hier, mes chers inspirateurs célestes avaient évoqué le cas des tueries, dans lesquelles un individu massacre des innocents (victimes collatérales ou pas), et c’est pour cela que j’avais terminé mon billet sur le rappel de l’origine de la violence.

 

Car on peut retirer toutes les armes de la vente, celui qui veut tuer trouvera toujours à le faire, ne serait-ce qu’avec ses mains, un couteau de cuisine, ou en cherchant sur Internet.

 

C’est la violence sous toutes ses formes qu’il faut « tuer dans l’oeuf », ainsi que l‘irrespect, à part égale. Sinon, comment s’étonner que le droit à la vie même de chacun ne soit plus respecté ?

 

Et en ces temps préélectoraux (enfin, je me demande vraiment s’il y a eu une interruption de campagne entre chaque élection), combien se rendent compte que toutes ces haines qui sont balancées (pour rassembler !), entre Français, j’en ai déjà fait état dans le billet « Arrêtez » !, il y a quelque temps, ils ne s’évaporent pas, ces haines, ces vociférations, ces poings levés, ces « A bas » (ou «  abat » ????), ces « anti », bref, toutes ces horreurs, qui ne s’adressent non plus seulement aux candidats, mais aussi à ceux qui votent différemment !

 

Et ça fait rigoler les « non conscients ». J’ai failli écrire les ânes, mais ils n’ont pas mérité cela, les pauvres ânes (les vrais, ceux qu’on nomme les « bêtes »).

Et après, on va pleurnicher et déplorer qu’un fou en arrive à s’autoriser à massacrer au nom de ses convictions personnelles, et à éliminer ce qui le dérange.

 

« Qui sème le vent récolte la tempête »

 

C’est la banalisation de la violence qui fait qu’on ne la remarque même plus dans la vie de tous les jours, et que cela devient un mode de vie, un mode d’expression, qui va crescendo.

 

Quand changera-t-on ?

 

Je voulais aller voter (cela fait pas mal de temps que je faisais la grève), mais je ne suis plus sûre d’y aller.

 

Pourquoi ? Pour voter nul ??? Oui, ça me plairait bien, de voter nul pour ce qui est nul: cette bataille ignoble, et de mettre dans l’urne un bulletin, avec écrit dessus:

 

« Je veux…

De l’Amour, de la joie, de la bonne humeur » (paroles de Zaz)

 

Mais mon bulletin il ne sera pas comptabilisé comme tel, alors il va profiter à tous.

 

NON !

 

 

 

Autre chose, pour détendre l‘atmosphère et amener un peu de douceur, et ce n‘est pas du luxe:

 

Bonne fête à tous ceux dont c’est la fête aujourd’hui, y compris et surtout à mon fils aîné, José, et… à qui vous savez !

 

Je précise que je n’ai pas prénommé mon fils ainsi par rapport à Joe, bien sûr, mais parce que mon ex belle-mère avait demandé à tous ses enfants de baptiser leur premier né du prénom de son fils, leur frère, mort dans un accident du travail à l’âge de 18 ans… c’est-à-dire au même âge que mon jeune oncle maternel fusillé, « hasard » ?

 

Même si j’étais très jeune, à l’époque, je n’approuvais pas pour autant ces façons de faire, mais j’ai finalement accepté parce que le prénom me plaisait, sinon je ne l’aurais pas fait.

 

Près de 40 ans ont passé, et j’ai la certitude maintenant (vu des événements tragiques et mes recherches en psychogénéalogie), que ce n’est pas une bonne chose de demander cela à ses enfants, et de leur faire porter indéfiniment un deuil qu’ils n’ont pas à porter ni à faire porter. Cela fait courir trop de risques.

 

Ceci est un simple constat, non une critique, chacun fait ce qu’il peut, comme il peut, avec les connaissances et les outils de compréhension qu’il a, ajoutés a la difficulté à gérer sa peine, qui fait que malheureusement, il n’est même plus capable de discerner le mal qu’il fait ou qui est fait, aveuglé qu‘il en est.

 

« L’enfer est pavé de bonnes intentions ».

 

La peine, elle est dans le cœur, et les manifestations ostentatoires de désespoir sont parfois le signe d’un sentiment de culpabilité non identifié et non soigné. Et c’était le cas, précisément, du fait des circonstances de ce décès.

 

Alors, n’est-ce pas une chance que de plus en plus de gens témoignent de leur N.D.E. et de ce qu’ils en ont appris (notamment la survie de l’âme), ou des messages qu’ils reçoivent de défunts (les leurs, c’est encore mieux), qui ont ainsi amené un éclairage nouveau sur ce qui importe vraiment à ceux qui nous ont quittés: non pas de nous voir nous perdre dans des combats singuliers (et je ne prends pas cet adjectif dans le sens de duel, quoi que…), mais tout au contraire d’essayer de sublimer leur départ en nous escrimant à continuer à vivre dans la joie, l’amour, la paix, la tolérance, le pardon, la compréhension, et en mettant toute notre énergie à devenir meilleurs.

 

Tâche déjà tellement prenante !

 

Tant de « combats » ineptes, de devoirs de fidélité imposés, ont été menés au nom de défunts aimés, visant illusoirement hélas, à leur démontrer qu’ils comptaient, alors qu’ils ne demandent rien de tel, le plus souvent, surtout pas, et qu’ils sont mieux placés que quiconque ici bas pour savoir ce que l’on ressent et ce qu‘il en est réellement.

 

Trouver un sens à la perte d’un être cher aide à guérir et à continuer le chemin, mais encore faut-il faire attention à ce que l’on fait de ce sens !

 

Ce n’est que mon avis, chacun fait comme il veut, mais il faut assumer ses choix…

 

Revenons à Joe. Autre précision « coïncidence », mon premier fils est né la même année que le premier fils attendu par Joe, sauf qu’il n’a pas eu notre chance, son petit Joshua n‘a pas survécu (« coïncidence »: 3 premières lettres du prénom en commun).

 

Bonne journée !

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 13:09

P1020672.JPGUne des photos prise d'un pic vert, venu passer une bonne 1/2 heure dans notre jardin, poussant même parfois son cri caractéristique, le 16 MARS, jour de l'anniversaire de mon père. "Coïncidence" ?

 

 

Hello !

 

J’espère que vous passez un bon week-end.

 

J’ai acquis la certitude, depuis pratiquement 10 ans maintenant, que lorsqu’on a des blocages, ou que l’on a l’impression que quelque chose nous échappe, il est important de prendre le temps de chercher à comprendre pourquoi. Et dès que l’on comprend, j’en ai souvent fait état, j’ai pu constater dans ma vie personnelle et autour de moi, que beaucoup de choses se débloquent et s’éclairent d’un coup, comme un « effet domino », alors que souvent il ne s’agissait que d’un grain de sable qui bloquait les mécanisme.

 

Est-ce ce qu’on appelle « l’effet papillon ? »

 

En tous cas, je continue à le vérifier depuis plusieurs semaines et plus particulièrement ces derniers temps, où tout semble se bousculer pour le meilleur.

 

D’abord, (et est-ce un « hasard » si nous l’avons appris le 16 Mars, jour qui aurait été l’anniversaire de notre père ?), nous avons eu les résultats définitifs pour les soucis de santé de mon frère, à la suite de la réunion générale de confrontation de tous les médecins intervenant sur son cas.

 

Les ganglions ne sont pas cancéreux, non plus que la petite grosseur décelée dans l’autre poumon. Il y aura bien une chimio sur l’unique tumeur, mais vu les progrès faits dans le domaine, les « dégâts » seraient limités.

 

Heureusement que nous ne nous sommes pas laissés abattre par les nouvelles parfois contradictoires, et avons « gardé le cap sur l’espérance ».

 

Étant donné les circonstances actuelles de ma vie, j’ai fait le rapprochement avec une similitude vécue il y a plusieurs années, et racontée dans mon livre (je vais essayer de le faire rééditer).

Je n’ai pas signalé ce fait dans mon bouquin, pour ne pas y avoir vu un signe, à l’époque. Ce n’est que plus tard que j’ai fait le lien.

 

Pour mes nouveaux lecteurs, je vais résumer.

 

A cette époque là, j’ai eu un épisode, relaté au chapitre:

 

« Ce réveil est-il fou ? »,

Épisode durant lequel le réveil radioguidé de mon compagnon avait très souvent les aiguilles qui tournaient sans raison. Il s’est avéré que (entre autres), cela était destiné à me faire comprendre qu’il fallait que je me réveille, et que j’ouvre donc les yeux sur une personnes de mon entourage, surtout, pour qui j’avais de la considération et de l’amitié.

 

Elle était en train de se transformer en gourou sous mes yeux, et au nom de la loyauté et de l’amitié, JE NE VOULAIS RIEN VOIR, déjà.

 

Le jour où j’ai finalement « atterri » et pris la mesure du danger (tant financier que psychologique), j’ai mis mon ego dans la poche, et ai prévenu les personnes que je lui avais adressées que je me désolidarisais d’elle, expliquant ma position. J’ai ainsi eu confirmation que cette personne (qui tenait son « savoir » apparent d’un groupe à dérive sectaire, j‘en ai eu la confirmation plus tard). Progressivement, elle en était arrivée à faire payer à prix d’or de prétendus messages de leurs chers défunts à des personnes en souffrance.

 

Petite précision: au début, ses tarifs étaient modiques et fonction des revenus des personnes, elle avait l’air de faire du bon travail, en tous cas ses « patients » étaient satisfaits, et les messages qu’elle recevait étaient de bons messages.

Mais peu à peu, elle a commencé à perdre les pédales, augmentant ses tarifs sans vergogne (bien que toujours pas « patentée », mais sous couvert de la bien commode Association loi 1901, vrai fourre-tout).

Mais le pire encore, à rendre ses « patients » paranoïaques, ce qu’elle était devenue elle-même.

 

Heureusement, les dégâts ont pu être limités pour les personnes que je lui avais adressées, car elles avaient senti le problème, mais n’osaient pas, auparavant, me le dire !

 

Du jour où j’ai fait la démarche de prévenir, (car si se tromper est moyen de progresser, tromper, y compris en se taisant, c’est non seulement malhonnête, mais dangereux) ; ce jour même là, j’ai appris qu’un cancer (un des plus faciles à soigner), venait d’être décelé chez quelqu’un de mon entourage, à temps de toute façon, pour être éradiqué.

 

Difficile de ne pas faire le rapprochement avec celui découvert chez mon frère, quand enfin ses soucis de santé ont été pris au sérieux et que des examens ont été demandés par son nouveau médecin… Tout cela dans la période durant laquelle je me suis enfin décidée (sur la base de l’analyse du sens de l’usurpation des plaques de ma voiture), à taper du poing sur la table, à sortir de ma réserve, et à demander l’avis et l’arbitrage d’une association contre les manipulations.

 

Quand on essaie de faire pour le mieux, on ne doit pas avoir peur d’être contrôlé, non ?

 

Cela dit, le souci de santé de mon frère est potentiellement plus grave.

Mais, pronostic encourageant, les spécialistes sont confiants… à condition de faire ce qu’il faut, cela va de soi.

 

Bizarres ces « coïncidences », non ?

 

Et dans la foulée encore, nous venons d’apprendre, que grâce à l’intervention d’une association, l’installation d’une antenne relais très puissante a été stoppée à temps, récemment.

Elle se serait située à courte distance de notre maison, OR, C’EST JUSTEMENT LE SOUCI D’ALLERGIE DE MON COMPAGNON: hypersensibilité aux ondes électromagnétiques !!!!

 

Remarque: Les signes du « réveil fou » cherchaient aussi, probablement, à attirer notre attention sur le danger des ondes électromagnétiques pour mon compagnon (au moins), car il l’avait sur sa table de nuit, trop près de sa tête. Le spécialiste qui a donné une conférence à laquelle nous avons assisté le… 16 MARS encore, a confirmé que ce fait avait probablement joué un rôle dans le déclenchement de sa maladie.

 

Revenons au sujet, grâce à la vigilance de cette association et à ses interventions, le propriétaire qui devait vendre le terrain, a été informé et prévenu à temps des dangers auxquels cela exposait, ET IL A RENONCE A VENDRE A L’OPERATEUR !!!

 

Cela dit, il faut rester vigilant, et c’est pour cela que mon compagnon a tenu à adhérer (10 €, qui dit mieux pour une telle efficacité ?).

 

Et ce n’est pas tout ce qui s’éclaire, j’en parlerai dans un autre billet.

 

Personne n’est obligé de partager mes opinions et constatations, je témoigne de mon vécu, je le répète, en me basant sur ces faits, justement, non sur des « on dit », des explications foireuses de pseudo intellectuels ou scientifiques, (qui cherchent à protéger quels intérêts ?), pour me forger mon opinion, et je l’écris pour que chacun se fasse la sienne, (pourquoi pas en testant ?), car c’est essentiel de se forger son opinion personnelle, quitte à se tromper, peu importe, le temps démontrera ce qui doit l’être, mais cela fait partie du respect dû à chacun, et par ces temps de batailles politiques et autres, souvent fanatisées, cela vaut son pesant d’or, la liberté d’être et de penser, certes, mais surtout le respect de chacun et de ses opinions, qui permet à chacun d’exister, d’écouter, d’entendre et de se faire entendre.

 

C’est à mon sens le seul combat valable, celui qui ne tue pas, qui ne fait pas de victimes innocentes et « collatérales », qui tente de repousser l’ignorance et la violence, car la violence, il est bon d’en être conscient, elle se nourrit de l’irrespect, du rejet, de la haine, du mépris, du sentiment d’insécurité, du déni des droits, de l’indifférence même…

 

J’y reviendrai dans un prochain billet.

 

Bon dimanche !

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 14:16

La-porte-sur--jpg

 Photo personnelle d'une de mes peintures: "Une porte sur..."

 

Hello !

 

Voici la suite de la conférence de dimanche 11 Mars.

Ce fut vraiment, c’est le cas de le dire, le jour et la nuit avec ce que j’avais vécu.

 

Premier fait significatif: l’intervenante qui devait faire une conférence avant Chantal n’a pu venir, alors Chantal a accepté de la remplacer au pied levé, et a choisi de parler de l’aura et de la chromothérapie en plus de sa séance de « contacts médiumniques ».

 

Détail qui a son importance, j’en parlerai plus loin, la personne que Chantal a accepté de remplacer PORTAIT LE MEME PRENOM QUE MOI, AVEC LA MEME ORTHOGRAPHE !

 

Deuxième fait, constations favorables: pas de paranoïa, pas de panneaux de mise en garde, pas de surveillance, pas de critiques de qui que ce soit, et surtout, à aucun moment on ne m‘a demandé d‘adhérer, même pas en faisant passer des formulaires.

 

Troisème fait: point encourageant pour moi (en plus du prix d’entrée très abordable), c’est que s’il y avait du monde, personne ne vendait rien, contrairement à l’autre, où pratiquement la moitié de l’assistance était là pour vendre, promouvoir et de ce fait faire rentrer des sous dans des caisses.

 

Ainsi, au pire, si j’étais amenée à poser une question, on ne m’accuserait pas de faire ce que cette moitié de gens était venue faire (sauf que, vu le prix important du truc, et le coût du voyage, si telle avait été mon intention -et quel intérêt si loin de l‘endroit où je voulais habiter ?-, cela me serait revenu bien meilleur marché de me payer un pavé dans un journal, ou de faire un site à ma gloire, sur Internet).

 

Revenons à dimanche. L’atmosphère était agréable, il y a eu à la pause des tas de gâteaux faits maison, ainsi que des boissons, tout cela GRATUITEMENT, et avec le sourire.

 

Il y avait même une bibliothèque avec des livres prêtés gratuitement.

 

Voilà, ça c’est fait. Effectivement, sans comparaison.

 

Après mon intéressante et libératrice discussion en aparté avec Chantal, je suis allée m’installer dans un coin, contre un mur, au fond.

 

Elle a commencé sa conférence de remplacement.

Elle expliquait depuis peu quand un Monsieur assis au rang devant moi, sur ma droite, a levé le doigt pour poser une question. Chantal a accepté gentiment, même s’il y a un temps pour cela, normalement, à la fin des conférences.

 

L’homme s’est adressé à elle d’un ton normal, demandant des précisions, que Chantal lui a données, et qui pour ce que je sais du sujet, me semblaient justes.

 

Mais il a exposé son désaccord.

Chantal, sûre de son fait car cela fait partie de ses activités professionnelles, a-t-elle dit, a maintenu ses dires. Le contradicteur a encore monté d’un ton, persistant à la contredire.

 

Là, je dois dire que j’ai senti l’angoisse monter, et l’envie de partir en courant, tant ça m’a ramenée à ma mésaventure. Je me suis reprise, il fallait rester pour Chantal, ce n‘était pas correct de détaler.

 

Mais je suppose que ma détresse a dû se voir, car je me recroquevillais sur mon siège en me demandant pourquoi cela, même si nous étions loin des hurlements qui m‘ont été adressés, et de la façon de faire de la personne qui a fait son scandale, à l’époque, loin s’en faut.

 

Je n’ai pas eu à me poser la question deux fois, car la responsable de l’association est intervenue poliment mais fermement, rappelant au Monsieur, quand il a monté le ton, qu’il avait le droit de ne pas être d’accord, mais outre le fait que le moment des questions n’était pas arrivé, il n’avait pas à s’y prendre de cette manière.

 

A la pause, une jeune fille de l’assistance, située sur la rangée devant le Monsieur, est venue gentiment me trouver pour me dire de m’asseoir à côté d’elle, me voyant tassée dans mon petit coin ! J’ai accepté avec joie, car c’était ce que je pensais faire.

 

Bon, mais en rentrant chez moi, j’ai essayé de comprendre le sens de ce petit incident d’apparence similaire à celui que j’avais vécu, bien que sans commune mesure, car limité tant par l’attitude du Monsieur que par la prompte intervention de la responsable de l’association.

 

Je porte la poisse ou quoi ?

J’ai donc pris du temps pour méditer sur le sujet, décortiquant la scène.

 

Premier élément: Chantal remplaçait une Maryline (mon prénom).

Le contradicteur n’a pas hurlé d’entrée, sa question au départ fut posée d’un ton plutôt égal.

 

Deuxième élément: Chantal ne s’est pas laissée faire et a maintenu sa position poliment mais très fermement, sûre de son fait, en précisant qu’elle savait de quoi elle parlait, puisque cela faisait partie de ses activités professionnelles…

Exactement ce que j’ai dit à l’époque, que certains de ces « braves » gens venus tenir leur boutique ont interprété comme une tentative de ma part de chercher des clients. C’est drôle non ?

 

Troisième élément: la responsable de l’association a eu l’attitude juste (voir plus haut), intervenant dès que le personnage a commencé à élever le ton, lui imposant la nécessité du respect. Rien à voir avec les cris et le lynchage que j’ai vécus.

 

Effectivement, ce fut le jour et la nuit.

 

Bien sûr, quand j’ai été amenée à en parler, y compris et surtout à l’association contre les manipulations mentales j’avais été confortée, mais il restait encore quelque chose à comprendre.

 

Il me fallait prendre conscience de la gravité de l’impact psychologique que peut avoir une telle expérience. Il est vrai que jusque là, j’avais partiellement sous estimé le côté destructeur des blessures psychologiques qui en découlent, même si nous en avons beaucoup parlé, avec mon excellente psychothérapeute.

 

Moi je voyais surtout ce que ça m’aidait à comprendre des choses, donc cela occultait un peu la gravité des actes et des paroles.

 

Témoigner pour informer sur les manipulations et autres dérives, ça me gonflait beaucoup, j’avais du mal à l’accepter, parce que je ne voyais que l’extérieur de l’histoire: l’argent et le temps dont des gens de bonne foi se faisaient délester.

 

Mais, pour en avoir eu un échantillon, j’ai enfin réalisé totalement que pour des gens droits, sincères, sensibles, pour qui l’amitié n’est pas un vain mot, cela peut être extrêmement destructeur, bien plus que je ne l’avais réalisé jusque là.

 

J’ai aussi pris définitivement conscience d‘autre chose, grâce à la chanson de Joe:

 

« Les yeux d’Emilie », entendue en arrivant sur le lieu de la conférence.

 

Je n’avais pas fait attention aux paroles, aussi le lendemain, lundi, je l’ai entendue à nouveau, par « hasard », en allant aux courses, et là j’ai mieux écouté, notamment, j‘ai réalisé qu‘il y était aussi évoqué le jour et la nuit:

 

« Quand les jours ressemblent aux nuits, sans éclaircie à espérer, qui peut croire que l’été nous reviendra ».

 

Et là, le dernier blocage a sauté.

 

Ce qui me retenait, c’était toujours l’idée qu’il peut aussi y avoir des gens de bonne foi, chez ceux qui manipulent, parce qu’ils n’en ont pas conscience, qu’ils ont mal compris, qu’ils croient bien faire. Donc, par là même, ils peuvent être récupérés. De ce fait, j’avais peur de les blesser.

 

MAIS CE N’EST HELAS PAS LE CAS LE PLUS FREQUENT, il y a aussi les irrécupérables:

 

Les jours qui ressemblent aux nuits, « Sans éclaircie à espérer ».

 

Des personnages qui font les choses sciemment, bien qu‘affichant des discours trompeurs, et ceux qui éprouvent un plaisir sadique à faire du mal, aveuglés par la puissance que cela leur donne l’impression d’avoir, et qui par là même ne se remettront jamais en question.

 

Les choses sont tellement plus faciles à dire qu’à faire.

 

Et ceux là sont dangereux. Pour eux-mêmes, mais c’est leur problème, et surtout pour les personnes fragiles, fragilisées, seules, perdues, faibles, impressionnables et/ou sensibles.

La tolérance et le respect, ils doivent s’adresser en priorité aux victimes, donc avec le souci de parler pour permettre de faire cesser les effets.

 

Et apporter son aide à quelqu’un qui fait du mal, même inconsciemment, même de bonne foi, même en se taisant, et à plus forte raison en faisant semblant de ne pas voir, cela s’appelle de la complaisance, car c’est s’en faire complice, et par la même prendre le risque d’en recevoir les effets négatifs.

Je l’ai appris à mes dépens, mais je retiendrai la leçon.

 

Rien de tel pour motiver à continuer de témoigner.

Les autres signes bientôt.

 

Bonne fin de journée, avec le soleil pour tous, j’espère, sinon cherchez Emilie.

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 16:39

P1020475.JPG

 Photo personnelle d'un de mes pastels

 

 

Hello !

 

En milieu de semaine, en surfant sur Internet pour je ne sais plus quoi, et bien évidemment sans le chercher, je suis tombée par « hasard » sur un site annonçant la venue de Chantal Laffont (médium excellente, dont j’avais fait la connaissance dans le « gourbi »), pour ce dimanche 11 Mars, à l’invitation d’une association de la ville voisine.

 

Évidemment, comme je ne crois pas au « hasard », j’ai appelé pour m’informer. Il restait de la place, pour un prix d’entrée vraiment modique (ce qui n’est pas si fréquent).

 

Après ma mésaventure, j’avais décidé de ne plus jamais assister à une quelconque conférence « médiumnique ».

 

Je me suis pourtant inscrite, réservée mais sans appréhension (ce qui n’avait pas été le cas, à l’époque de ma mésaventure, où j’avais d’abord ressenti de ne pas y aller, avant de finalement me sentir poussée, dans les derniers jours, à y aller, pour y trouver les réponses à mes interrogations… mais avec quand même des signes importants laissant penser qu’il y avait quelque chose qui « clochait »).

 

 

Chantal et Anne-Marie sont les 2 seules personnes dont l’opinion m’importe, dans le « milieu » dit de la « médiumnité ».

 

D’ailleurs, j’ai toujours été persuadée que si l’une ou l’autre avait été présente lors de ma mésaventure, elles n’auraient pas laissé les choses se passer comme elles se sont passées…

Mais je n’aurais pas non plus compris tout ce que j’ai été amenée à comprendre… même si ce fut brutalement…

 

Avec Chantal, nous avions sympathisé lors d’une conférence que nous faisions ensemble, dans le « gourbi », même si j’avais assisté auparavant à plusieurs de ses « contacts médiumniques », qui m’ont toujours « scotchée » par leur précision.

 

Notre point commun ? C’est que son Papa adorait Joe, et sa jeunesse a été bercée par ses belles mélodies, y compris dans la voiture (quelle chance !).

 

Qui sait, peut-être que la simplicité, le respect, le sens de l’humour et surtout le bon sens de Joe sont contagieux ?

 

Dimanche, peu avant de partir, j’ai senti quelque chose dans ma bouche, au niveau des gencives. En regardant dans le miroir, j’ai constaté que j’avais un abcès (je ne l’avais ni vu ni senti auparavant), au niveau des incisives, devant, qui se perçait, mais sans la moindre douleur.

 

Peu après, j’ai pris en voiture la route qui serpente entre les bois de chênes, pour me rendre à la conférence, le cœur léger.

Je roulais depuis peu quand j’ai aperçu dans le ciel, au-dessus de ma voiture, une buse.

 

J’ai ralenti et me suis baissée pour essayer de la voir, mais n’ai distingué que sa queue qui s‘éloignait, car…

 

Un faucon a pris sa place, volant juste au-dessus de moi, plusieurs secondes, les ailes largement déployées, un peu comme s’il m’ouvrait la route…

 

A L’INSTANT MEME où Alain Souchon, sur Nostalgie (vers 14h), chantait ces mots exacts:

 

« UN GRAND OISEAU CAPABLE

M’emporte sur son dos bleu,

On s’envole dans le ciel bleu… »

 

Titre de la chanson, qui allait se trouver significatif:

« Il y a le jour, il y a la nuit »

 

Les signes commençaient, j’étais ravie.

 

Dans les derniers kilomètres, la station nostalgique a diffusé une musique que je n’aime pas. J’ai été tentée de zapper mais y ai renoncé, dans l’espoir d’entendre qui vous savez…

 

Bien m’en a pris, car la chanson suivante (vers 14h15), fut en effet Joe, avec:

 

« Dans les yeux d’Emilie »

 

J’étais arrivée à destination, qu’elle n’était pas terminée !

Je l’ai raconté à Chantal, qui m’avait reconnue, et que je suis allée voir.

 

Et l’abcès qui avait crevé était bien sûr très symbolique et significatif. Ce fut vraiment un bonheur et une nouvelle délivrance, d’avoir son avis et ses encouragements.

 

La suite est trop longue, je vous raconterai bientôt.

Bonne fin de journée !

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